Toute première fessée

Voici une histoire que j'ai écrite il y a longtemps et qui est autobiographique.
Si Mr Doz pouvait l'illustrer ce serait formidable.
Le fesseur ressemble à celui du dessin aftercare, quant à moi je suis une petite brune aux cheveux mi-longs, très menue et légère, ainsi facilement soulevable, portée pour être emmenée afin d'être fessée.

Toute première fessée

J'avais 19 ans lorsque j'ai commencé à discuter sur des tchats dédiés aux amateurs de fessées. Je n'avais aucune expérience réelle dans le domaine à cette époque. Pour moi, recevoir une fessée, c'était un rêve un peu inaccessible.
Un jour j'ai commencé à converser avec un fesseur de 40 ans, très gentil, et qui habitait à une demi-heure de chez moi. C'était un bel homme barbu, prof de maths dans un lycée parisien. Il venait de divorcer et son ex-femme refusait de se faire fesser par lui. Ça faisait un moment qu'il n'avait pas pratiqué cet art en vrai.
A force de discuter ensemble, nous sommes devenus amis, malgré la différence d'âge.
J'avais pas mal de difficultés en maths à la fac (j'étais en cursus d'économie, et des maths il y en avait énormément). J'avais pris l'habitude de scanner mes copies avec des mauvaises notes pour lui envoyer par mail, et je me faisais réprimander et menacer de représailles au téléphone. Cela faisait son effet, mais sans réelle punition derrière, cela restait quand même insuffisant pour avoir un réel impact.
Il ne tolérait pas le manque de respect, la désobéissance, la désinvolture, l'insolence et le mensonge.
Je l'appelais en général Monsieur ou Maître. Je crois qu'il voulait que je l'appelle Maître parce qu'il aimait le BDSM. Mais il prétendait que c'était parce qu'il était enseignant. Soit.
J'aurais voulu qu'il me fesse pour de vrai... Mais pour une jeune fille, ce n'était pas facile comme démarche. J'ai refusé de le rencontrer plusieurs fois, parce que j'avais peur.
Un jour, il me proposa à nouveau de le rencontrer. Ça faisait un an et demi que nous discutions ensemble. Les vacances scolaires d'été venaient tout juste de commencer.
— Tu n'as pas à avoir peur, on restera dans mon jardin. Sans pression, ma puce. Si tu ne veux pas de fessées, il n'y en aura pas. Et si tu préfères une sortie dans un café, en public, on peut aussi faire ça...
Il me semblait que c'était un homme raisonnable, responsable, et respectueux.
A mon sens cela n'était pas qu'une histoire de fesses, car il y avait de l'affection entre nous.
A 21 ans, je me sentais enfin prête pour sauter le pas de la première rencontre avec lui.
Le jour J, je portais une jupe en jean assez courte, et j'avais mis une jolie petite culotte, juste au cas où.
Je me suis rendue chez lui avec un mélange d'excitation et d'appréhension. Mon coeur battait la chamade quand je l'ai aperçu dans son jardin en train de bricoler. Je l'ai trouvé séduisant et charismatique.
Il a fini par me voir par-dessus le portail.
Il m'a souri et est venu me chercher.
Puis il m'a fait la bise. Un bisou avec la barbe, ça grattouille.
Il m'a ensuite tenue dans ses bras musclés un moment.
— Je suis fier de toi ma puce...
Il est vrai que je m'étais surpassée, étant assez timide dans la vie.
Il me donna une tape sur la fesse, sans doute pour me montrer qui est-ce qui commande, et m'invita à m'asseoir sur une chaise de jardin. Il s'est assis juste en face de moi.
J'étais un peu gênée, je n'arrivais pas à oublier le fait qu'il savait très bien que je souhaitais recevoir une fessée déculottée sur ses genoux.
— Tu es encore plus mignonne en vrai. Tu fais très jeune, on dirait une de mes élèves au lycée.
Il a pris mes mains dans les siennes.
— Comment tu trouves ton Maître en vrai ?
— Euh, très beau.
Il avait les yeux qui brillaient. J'osais de moins en moins le regarder tant il m'impressionnait.
Il a ensuite fait une tape sur sa cuisse.
— Allez, viens t'asseoir ici.
J'ai obéi de suite, et suis allée m'asseoir sur ses genoux. On a fait un petit câlin. J'ai beaucoup apprécié le fait d'être dans ses bras. J'avais l'impression qu'il me protégeait.
— Des bêtises à confesser ma puce ?
— Non... Aucune.
Je mentais évidemment.
Il me susurrait à l’oreille des phrases un peu chaudes...
"Je veux être celui qui te donne ta première fessée Manon"
"Ma main me démange"
"Tu n'as pas été sage dernièrement avoue-le"
Etc etc
J'ai fini par me décider.
— Bon, il faut que je t'avoue un truc.
— Quoi donc ?
J'ai pris une grande inspiration.
— J'ai raté mes partiels. Je n'ai pas obtenu ma licence d'économie. J'ai eu 6 en maths... 9 en stats... 8 en microéconomie...
— Tu te fiches de moi là ?
Il ne semblait pas s'attendre à de tels aveux.
— Ben non...
— Mais tu m'avais dit que tu avais bien réussi ?
— J'avais peur de te décevoir. Je pensais pas m'être plantée à ce point.
Il avait l'air très contrarié.
— C'est inadmissible. Je suis très déçu par ton comportement, Manon. Tu passes beaucoup de temps à discuter sur internet au lieu de travailler, voilà pourquoi tu as raté des examens... Je t'avais pourtant dit de travailler davantage ! Tu n'écoutes rien, évidemment...
— Oui mais c'était pour qu'on passe du temps ensemble aussi !
— Je suis désolé de te dire ça Manon mais... Ta première fessée ne sera pas ludique... Tu vas recevoir une punition bien méritée.
— Mais Maître...
— Allez ça suffit.
Il m'a fait me lever. Il m'a soulevée et prise dans ses bras.
— Et hop, une fessée pour Mademoiselle, une !
Il m'a ensuite portée et emmenée dans son garage.
La porte était grande ouverte, ce qui fait que je n'ai pas eu peur qu'il m'emmène là.
C'était son donjon SM à lui. Il y a avait un grand et confortable canapé vers lequel il s'est dirigé.
Il a commencé à déboutonner ma jupe, avant de la faire tomber à mes pieds.
— S'il vous plaît Maître, pitié.
Je reconnais le caractère grandiloquent de mes supplications, mais c'est tout ce qui m'était venu à l'esprit.
Ensuite il m'a installée sur ses genoux. Je n'avais plus que ma petite culotte pour me protéger et cacher mon intimité.
— Tu vas être punie Manon. Tu as désobéi et menti à ton Maître. C'est intolérable... Il n'existe qu'une seule manière d'expier tes fautes. Une bonne fessée déculottée.
Sur ce, il baissa ma culotte d'un geste brusque, jusqu'au creux de mes genoux.
Très humiliant. Mais nécessaire si l'on veut apprendre.
— Mon Dieu que c'est joli. C'est dommage... Mais tu ne m'as pas vraiment laissé le choix...
— Pardon Maître !
— Tu me présenteras tes excuses après la fessée. Quand tu seras bien désolée de ton comportement !
Il commença alors à claquer mes petites fesses. La gauche, la droite, parfois les deux en même temps. Ça piquait un peu et je laissais échapper quelques "aïe" .
A un moment, il immobilisa sa grande main experte sur mon derrière. C'était une sensation incroyablement agréable. Je sentais très bien la domination qu'il avait sur moi, une domination bienveillante.
Il me caressa un peu les fesses avec sa main.
— C'est fini... Tes petites fesses sont bien roses. C'est parfait.
Il me fit relever, et me prit dans ses bras. J'avais la culotte toujours baissée.
— Pardon pour avoir menti, et pour vous avoir déçu Maître.
— Je sais que tu es sincère. C'est très bien.
— Est-ce que je peux remettre ma culotte s'il vous plaît ?
— Mais bien sûr que non... Tu vas aller au coin comme ça. Tu vois là ? Le coin où la ceinture est accrochée au mur. Garde les mains le long du corps, n'essayes pas de cacher tes fesses ou de les frotter...
Je suis allée au coin qu'il m'avait indiqué.
Je savais qu'il me regardait, que j'étais au centre de toute son attention.
A un moment il est venu derrière moi... Il s'était mis à genoux, et j'ai senti un bisou sur mes fesses !
Puis il m'a enfin libérée et on est allé boire un rafraîchissement.
— Dis... Je peux revenir quand la prochaine fois ?
— Quand tu veux. Mais la prochaine fois, on va commencer par faire des maths et préparer tes examens de rattrapage.



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