Mon service national 6 (Ma copine demande à être dominée et fessée)

Le jeudi matin, réveil très calme en douceur et langoureux. Petits bisous, enlacés, pleins de caresses et de câlins. Pendant les caresses, je descendais bien entendu sur ses fesses, une des parties de son anatomie que j’adorais. Je les prenais à pleines mains pour les caresser, malaxer, pétrir, pour bien lui ouvrir les lèvres vaginales. Je la caressais partout, elle aussi d’ailleurs, et c’était loin de me déplaire, bien au contraire. Au bout d’un très long moment, nous décidâmes d’aller prendre notre douche ensemble. Une fois dans la douche, on ne pouvait pas trop bouger car ça glissait. Elle s’est mise à genoux devant moi et me fit une fellation comme elle sait si bien les faire. Une fois que j’ai joui, elle s’est relevée et nous nous sommes enlacés. J’ai pris un gant et son savon et le lui ai passé partout sur le corps. Je lui ai fait faire un demi tour et j’ai pris ses seins dans mes mains. Je les caressai et malaxai bien, pinçai entre deux doigts les tétons qui étaient déjà bien durs. Sa respiration s’accélérait, elle gémissait doucement et je descendis ma main à son pubis et lui passais un doigt puis deux entre les lèvres vaginales. Elle gémissait plus fort et elle passa sa main dans le dos entre nous deux et prit ma verge en main et me fit bander plus fort. Je l’ai penchée en avant les mains sur le rebord de la baignoire et lui ai savonné le dos puis ses fesses qui étaient un peu marquées par la précédente correction, son entrecuisse et ses cuisses. J’ai mis un pied à l’extérieur de la baignoire et lui ai relevé la jambe, et elle posa son pied sur le rebord de la baignoire. Et il se passa ce qui devait se passer, nous avons fait l’amour. (Heureusement qu’elle était plus petite que moi). Une fois que nous eûmes fait l’amour, toujours dans la baignoire nous nous sommes bien rincés. Pour la rincer je me suis mis derrière elle. Elle était penchée en avant, j’étais à genoux et je lui rinçais l’entrejambe et sa raie fessière à la main nue.
Elle commençait à se trémousser.Je lui mis quelques claques très légères et elle me tendit ses fesses comme pour un appel à la fessée.Ce que je me mis à faire en lui donnant dans des claques plus vives sur ses fesses mouillées. De bonnes petites claques retentissantes et ses fesses se sont mises à rosir et rougir assez vite. Un vrai plaisir pour ma vue. Je suis sorti de la baignoire et de la main gauche je l’ai caressée par devant et j’ai continué à la fesser doucement tout en la caressant en même temps. Vu dans l’état où elle était ça n’avait pas l’air de lui déplaire. Je lui donnais la fessée depuis un bon petit moment déjà quand elle se mit à crier mais pas de douleur. Je me suis arrêté de la caresser intiment mais je caressais toujours ses fesses bien rouges et bien chaudes. Très peu de temps après elle me dit: « Je veux que tu me donnes une vraie bonne fessée juste à la main.» Elle m’embrassa et se releva. Elle me prit par la main et tout nus, elle m’emmena dans la chambre.
Arrivés dans la dite chambre, elle prit l’initiative de m’embrasser tendrement, amoureusement. Je l’ai laissé faire puisqu’elle savait ce qu’elle voulait. En plein milieu du lit, elle installa le traversin plié en deux et par-dessus elle mit deux oreillers et s’allongea dessus. Ses fesses étaient bien surélevées (je pensais un peu trop à mon goût mais en fait non, ça s'était écrasé quand elle s'est allongée dessus!), ses jambes serrées, je me suis mis à califourchon dessus à la hauteur de ses mollets. Je la caressais partout sur les fesses et l'arrière des cuisses. J'ai voulu lui écarter plus les fesses qu'elles l’étaient déjà mais elle me repoussa mes mains. D'un coup je me souvins que pendant une de nos conversations, elle m'avait parlé qu'elle aimerait se sentir dominée, ne pas pouvoir se défendre. Ni une, ni deux, je lui dis de ne surtout pas bouger.
Je suis retourné dans la salle de bain pour y chercher deux torchons, un gant mouillé dans une petite cuvette et deux ceintures de robe de chambre. Je lui ai attaché la main gauche entourée d'un torchon au niveau du poignet au pied du lit gauche et de même pour sa main droite au pied du lit droit. Me sentir ainsi Maître de la situation me donna une bonne raideur et je lui fis sentir les effets de cette situation de domination sur l’état de mon sexe, ce qui ne lui déplut pas, vu les hums qu'elle fit. J'ai alors pu lui écarter les fesses à ma convenance sans qu’elle puisse m'en empêcher. Puis j'ai commencé à la fesser gentiment au départ, des petites claques légères pas trop appuyées mais assez sèches. Au bout de presque 5 minutes, je l'ai caressé partout sur les fesses et l'arrière des cuisses. Là j'ai pris le gant mouillé et l'ai caressée bien partout où je l'avais fessée. Je me suis levé pour aller dans le couloir près de la porte d'entrée, où se trouvait une patère en bois avec un petit tiroir. J'ouvris le tiroir pour prendre la paire de gants en cuir de son père et retournai dans la chambre la rejoindre.
Quand elle vit la paire de gants de son père, elle me dit: " Non pas avec les gants de papa ".«Et si ma fille» lui dis-je en rigolant. Je lui écartai les jambes et y pris position à genoux entre elles, de façon à ce que mes genoux soient à la hauteur des siens. Je repassai rapidement le gant mouillé partout, même dans sa raie fessière, et elle essaya de serrer les fesses. Mais je lui mis une très forte claque sur chaque fesse et elle poussa un hurlement. "Ma chérie je vais te donner ce que tu m'as demandé tout à l'heure, mais avec les gants en cuir de ton papa. Ça va te cuire ma chérie ".
J'ai enfilé les gants, puis continué à la fesser avec les deux mains. Comme si je jouais de la batterie avec ses fesses et l'arrière des cuisses. Je la fessais depuis plus de 5 minutes, mes claques étaient moyennes et un peu plus rapide que le début. Ses fesses avaient un beau rouge un peu pâlichon uniforme. Avec les gants, je donnais de bonnes claques. Les petits gémissements du début, la face de la tête sur le matelas ce sont transformés, en petits cris étouffés. Je me suis arrêté de la fesser pour la caresser avec les gants et la malaxer partout où c'était devenu très rouge. Elle avait plus aucune réticences à ce que je lui faisais.
J'ai enlevé les gants et les ai passés partout, et quand je les passais dans la raie fessière je remarquais la chair de poule et les soubresauts qu'elle avait. J’ai repris le gant de toilette un peu mouillé et le lui ai passé partout sur le rouge coquelicot qu'elle avait. Je lui ai bien massé les fesses et l’arrière des cuisses avec les mains mouillées, ça lui faisait du bien. Puis j'ai séché mes mains et remis les gants difficilement et j'ai continué à la fesser pendant deux à trois minutes très vite et très fort. J'ai retiré les gants et l'ai caressée, massée, câlinée, j’ai embrassé ses fesses et cuisses hyper chaudes pendant plus de 5 minutes. Je m'aperçus qu'elle avait les larmes aux yeux mais je ne voulais pas en rester là. Je lui dis: "
Pour finir ta bonne fessée ma chérie, tu vas compter 50 claques sur chaque fesse ". Je lui ai donné les 100 claques très fortes à en avoir mal aux mains. Elle a peiné à aller jusqu'au bout et elle en pleurait. Ses fesses étaient tellement rouges, quand j'appuyais mon doigt dessus ça faisait un point blanc. Dans la position comme elle était, sa raie fessière était devenue rouge ainsi que les lèvres vaginales. J'ai eu un peu peur car c'était la première fois qu'elle pleurait comme ça. Je l'ai vite détachée et me suis allongé à côté d'elle et l'ai enlacée pour la cajoler, câliner et caresser. Quand je lui touchais les fesses, elle me disait "Fais doucement, j'ai très mal". Au bout d'environ 10 bonnes minutes elle ne pleurait plus et respirait correctement. On s'est longuement embrassé, je lui caressais en même temps les seins et y descendis pour les prendre en bouche et lui mordiller les tétons .Je suis remonté et nous nous sommes embrassés. Ses yeux brillaient mais plus à cause les larmes. Je descendis ma main à son entrecuisse qui était bien mouillé et je suis allé retrouver ses fesses qui étaient encore chaudes. Je lui dis: " Est-ce que tu veux que je continue la fessée... ", elle me répondit:
"Non ça va, mais je veux bien que tu me fasses un très bon et très long massage avec le lait hydratant."Je lui répondis " Qu'il était pas question que je lui fasse pas ". Et elle me dit: " Rattache moi avant ".
Elle s'est remise dans la même position et je lui ai rattaché les mains. Les fesses bien en l'air et les jambes presque en grand écart. Je lui ai mis du lait hydratant une grosse noix sur chaque fesse et aussi sur l'arrière des cuisses. Je l'ai bien massée partout et sans oublier bien entendu de sa raie fessière pendant plus de trente minutes. Je l'avais bien excitée, un petit filet blanchâtre coulait de son vagin, j'y mis un puis deux doigts sans problème.
Elle me dit: "Baise moi et sodomise-moi s'il te plaît", et c'est ce que j'ai fait sans la détacher. Je lui donnais de bons coups de butoir et j'ai éjaculé sur sa raie. Je me suis laissé tomber, couché comme ça sur elle, et l'ai embrassée sur la bouche, la joue, dans le cou. Nous n’en pouvions plus, épuisés, et je l'ai détachée. Nous étions bras dessus, bras dessous et on s'embrassait quand elle me dit: " J'ai bien aimé et j’ai pris trois fois mon pied ". On s'endormit comme ça un peu plus d'une heure, puis la faim nous a fait nous lever. Une fois avoir mangé, nous avons repris une douche ensemble vu que ça collait un peu. Mais cette fois nous avons été sages du moins presque... Moi oui mais c'est elle qui se mit à genoux devant moi et me fit une belle fellation. Elle me garda dans sa bouche jusqu'à l'éjaculation. Une fois la douche terminée, essuyés, habillés, et qu'elle ait fait le peu de vaisselle, nous avons fait plusieurs jeux de société. C'était bien pour lui faire plaisir car je suis un très mauvais perdant. Ce jour là, j'ai fais un gros effort, on a joué au Monopoly, je devenais fou. Je me suis fait humilier en perdant tout, au bout de plus de 4 heures de jeu. Du coup j'ai mal réagi et j'ai jeté le jeu par terre. (Je sais que c'est pas bien). "C'est une réaction d'un gamin de 10 ans que tu viens d'avoir... Tu mériterais une fessée pour ça Gilles!
- Ça c'est dans tes rêves".
Avec le recul c'est vrai que cette fessée aurait été largement méritée. A cette époque j'étais très impulsif. Je m'emportais très rapidement à en avoir des problèmes. D'où l'endroit où j'ai fait mon service national.
Mais à ce moment là c'était moi le fesseur et pas elle qui donnait.
Du coup j'ai ramassé ma bêtise et elle m'a bien aidé en plus, et nous sommes allés nous balader pour me calmer. Une fois calmé, je me suis excusé. Au bout de 15 ou 20 minutes elle est revenue à la charge pour mon mauvais comportement et j'ai dit stop, que je m'étais excusé. Elle continua en me disant que je méritais quand même une fessée et lui ai répondu qu'il en était hors de question. C'était notre première dispute. Du coup une fois rentrés, on s’est couché de bonne heure pour la première fois, il était environ 23h. Une fois au lit on a boudé chacun de notre côté. Le lendemain nous étions tout calmes et on ne boudait plus. L'orage était passé.

Gilles18



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