Mon service national 4 – Encore une fessée dominicale pour mon amie capricieuse
Après cette bonne fessée qui s'est déroulée le dimanche, nous avions déjeuné très tard. Elle avait les fesses en feu une bonne partie de la journée et bien sensibles. Nous avons fini cette journée dans les bras l'un de l'autre sur le canapé à regarder la TV car elle ne voulait pas sortir. Moi, la télé, c'est pas mon truc, sauf si ça m'intéresse. De l'après-midi au soir, je lui avais passé deux fois du lait hydratant juste sur les fesses et l'arrière des cuisses. Nous avions pas bien faim, on a donc dîné plus tard. Elle voulait encore regarder la TV. J'ai donc râlé et lui ai dit que je n'étais pas venu ici que pour regarder la TV. Elle a commencé à faire la moue, au bout de cinq minutes elle continuait toujours. Je lui ai dit: «Tu vas arrêter de faire ta gamine...» Elle me répondit qu'elle n'était pas une gamine.
«Ha bon, tu crois ça?», j'ai voulu l'enlacer pour discuter et elle me repoussa. Je lui ai dit: «Bien, comme tu veux, reste à bouder!», et je suis allé aux toilettes en me disant dans ma tête que soit elle agissait vraiment comme une gamine, soit elle me cherchait: c'est l'une ou l'autre.
En revenant, elle semblait toujours égale à elle-même. Je me suis assis à ses côtés et lui ai dit:
«Écoute-moi bien, si tu continues à agir de la sorte, je vais faire comme on fait à une gamine insupportable à savoir te donner la fessée que tu mérites.» Elle me répondit qu’elle n'en était pas une et me tira la langue. Elle était avec un T-shirt long qui lui arrivait presque aux genoux et dessous une petite culotte qui ne protégeait pas vraiment entièrement les fesses.
«En plus tu me provoques... Je te préviens que si tu continues comme ça, je vais te donner une bonne fessée.»
Elle me répondit:
«Même pas peur, t'es pas cap’.
- Ha oui tu crois ça? Avec ce que tu as reçu tout à l'heure, tu crois que je ne suis pas capable de t'en donner une autre? Bien, tu vas voir ça tout de suite si j'en suis pas cap’.» Elle était sur le canapé à côté de moi les jambes repliées sous elle. Je l'ai attrapée par le poignet et l'ai tirée en travers mes cuisses. Elle a essayé de se débattre et gesticuler. Pour la dissuader de continuer, j'ai retroussé son T-shirt et ai donné une trentaine de bonnes claques rapidement sur sa petite culotte. Elle s'est mise à crier presque immédiatement, elle devait certainement encore avoir les fesses douloureuses.
Au bout de cette série je lui ai dis qu'elle l'avait bien cherché et qu'elle était bien méritée. Elle m'a dit qu'elle avait fait ça pour rigoler et j'ai répondu que j'allais bien rigoler en la lui donnant, cette bonne fessée.
«J'espère qu'elle te fera réfléchir si une prochaine fois tu as l'envie de recommencer.»
Elle me dit qu'elle avait compris et recommencerait pas, c'est promis.
«C'est bien ma chérie et c'est dans ton intérêt de comprendre.»
J'ai continué à la fesser en relevant un peu mon genou droit afin de lui surélever son postérieur bien rebondi. J'ai remonté sa culotte dans la raie fessière et poursuivi sur ses fesses nues et l'arrière des cuisses. Les claques étaient moins fortes et moins rapides mais l'effet était visible. Elle commençait à bien gesticuler dans tous les sens, ses cuisses s'ouvraient. Je me suis mis à bien la caresser partout et entre les cuisses, j'ai glissé mon index et majeur sur sa petite culotte à l'endroit de sa vulve et c'était bien humide.
J'ai enlevé sa petite culotte, bien écarté ses cuisses et bien caressé partout, elle accentua d'elle-même sa cambrure, c'était très excitant. Ensuite j'ai continué à la fesser plus doucement uniquement sur les fesses, pas trop mollement, juste ce qu'il faut pour qu'elle ondule et gémisse. A la longue, ses ongles commençaient à me faire un peu mal quand elle serrait ses mains sur ma cuisse et ma jambe. J'ai repris la fessée en lui donnant des claques retentissantes à merveille. Je lui ai dit: «Tu vas compter les claques au fur et à mesure.» Cinquante claques sur chaque fesse sont venues lui chauffer son popotin. LOL !
Au bout de cette longue série, elle sanglotait de plus en plus fort, j'ai donc terminé cette bonne fessée en lui donnant 20 très fortes claques sur chaque fesse qu'elle a dû compter à haute voix.
Elle a mis un long moment à compter les claques, car avec la bonne fessée précédente que je lui avais donné, elle a ressenti encore plus la douleur.
Une fois la fessée terminée, elle s'attendait à recevoir des caresses de ma part, hé bien non, je lui ai dit de se lever et de rejoindre le coin du mur que je lui indiquai. Elle était debout devant moi et elle me dit que c’était n'importe quoi, qu’elle n'était plus une gamine. Je lui ai répondu que son comportement de tout à l'heure c'était quoi? Et dans la foulée je l'ai mise un peu de biais et j’ai donné 10 claques bien appliquées sur chaque fesse et lui ai indiqué de mon index le coin qu'elle devait rejoindre. Elle a hésité et je lui ai demandé si elle voulait que je continue à la fesser avec la brosse. Du coup, ça a été le mot magique, elle est allée au coin du mur, les mains croisées dans le dos au dessus de ses fesses, sans y toucher pendant 15 minutes avec ma demande de surtout bien réfléchir à tout ce qui venait de se passer.
Elle pleurait et sanglotait fort. Pendant ce temps, je me suis bu une bière tranquillement et ai préparé le lait hydratant. Au bout de ces 15 longues minutes pour elle, je me suis de nouveau assis en plein milieu du canapé et lui ai demandé de venir me rejoindre. Elle était calmée et ne sanglotait plus mais elle avait encore les yeux bien rouges. Debout devant moi, je lui demandai: «Alors, que me dit ta réflexion?», et elle me dit: «Je ne recommencerai plus et te demande pardon.»
Je lui dis de venir s'asseoir à côté de moi. Je lui ai demandé si elle avait bien retenu la leçon et elle me dit que oui, qu'elle n’est pas prête de recommencer. Je l'ai prise dans mes bras et l'ai câlinée un moment. Ensuite je lui ai fait voir le lait hydratant et elle a tout de suite compris ce qui allait se passer. Je lui ai fait signe de prendre la position, ce qu'elle a fait sans hésitation et sans faire de chichi. Je lui ai glissé un coussin sous elle pour bien relever son fessier et écarter ses cuisses. J'ai bien passé du lait partout sur les fesses, l’arrière des cuisses et l’intérieur de celles-ci. Je lui ai introduit deux doigts très facilement dans vagin tellement elle était trempée puis un troisième. Elle gémissait et ondulait de plus en plus sous mes caresses, pour mon plus grand plaisir, et le sien aussi à priori. D'un coup elle se laissa tomber à mes pieds et se jeta sur mon slip, le seul vêtement que je portais et me l'enleva, me tira sur le rebord du canapé et m'écarta les cuisses et s'occupa de moi. Ça devenait une tradition, en fait, qu'après chaque fessée j'avais le droit à une magnifique fellation pour mon plus grand plaisir et je n'allais pas m'en plaindre, évidement. Elle m'avoua plus tard qu'en fait elle prenait autant son pied que moi à me prodiguer cette caresse très intime.
Du coup ça nous a ouvert l'appétit et nous nous sommes restaurés. Après, nous avons regardé la TV, on se câlinait et on la regardait pas trop en fait. Elle prit la décision d'aller dans la chambre pour faire l'amour et je n'étais pas contre.
La prochaine fessée a eu lieu le mercredi suivant, mais c'est un autre récit pour une prochaine fois.
Gilles18
«Ha bon, tu crois ça?», j'ai voulu l'enlacer pour discuter et elle me repoussa. Je lui ai dit: «Bien, comme tu veux, reste à bouder!», et je suis allé aux toilettes en me disant dans ma tête que soit elle agissait vraiment comme une gamine, soit elle me cherchait: c'est l'une ou l'autre.
En revenant, elle semblait toujours égale à elle-même. Je me suis assis à ses côtés et lui ai dit:
«Écoute-moi bien, si tu continues à agir de la sorte, je vais faire comme on fait à une gamine insupportable à savoir te donner la fessée que tu mérites.» Elle me répondit qu’elle n'en était pas une et me tira la langue. Elle était avec un T-shirt long qui lui arrivait presque aux genoux et dessous une petite culotte qui ne protégeait pas vraiment entièrement les fesses.
«En plus tu me provoques... Je te préviens que si tu continues comme ça, je vais te donner une bonne fessée.»
Elle me répondit:
«Même pas peur, t'es pas cap’.
- Ha oui tu crois ça? Avec ce que tu as reçu tout à l'heure, tu crois que je ne suis pas capable de t'en donner une autre? Bien, tu vas voir ça tout de suite si j'en suis pas cap’.» Elle était sur le canapé à côté de moi les jambes repliées sous elle. Je l'ai attrapée par le poignet et l'ai tirée en travers mes cuisses. Elle a essayé de se débattre et gesticuler. Pour la dissuader de continuer, j'ai retroussé son T-shirt et ai donné une trentaine de bonnes claques rapidement sur sa petite culotte. Elle s'est mise à crier presque immédiatement, elle devait certainement encore avoir les fesses douloureuses.
Au bout de cette série je lui ai dis qu'elle l'avait bien cherché et qu'elle était bien méritée. Elle m'a dit qu'elle avait fait ça pour rigoler et j'ai répondu que j'allais bien rigoler en la lui donnant, cette bonne fessée.
«J'espère qu'elle te fera réfléchir si une prochaine fois tu as l'envie de recommencer.»
Elle me dit qu'elle avait compris et recommencerait pas, c'est promis.
«C'est bien ma chérie et c'est dans ton intérêt de comprendre.»
J'ai continué à la fesser en relevant un peu mon genou droit afin de lui surélever son postérieur bien rebondi. J'ai remonté sa culotte dans la raie fessière et poursuivi sur ses fesses nues et l'arrière des cuisses. Les claques étaient moins fortes et moins rapides mais l'effet était visible. Elle commençait à bien gesticuler dans tous les sens, ses cuisses s'ouvraient. Je me suis mis à bien la caresser partout et entre les cuisses, j'ai glissé mon index et majeur sur sa petite culotte à l'endroit de sa vulve et c'était bien humide.
J'ai enlevé sa petite culotte, bien écarté ses cuisses et bien caressé partout, elle accentua d'elle-même sa cambrure, c'était très excitant. Ensuite j'ai continué à la fesser plus doucement uniquement sur les fesses, pas trop mollement, juste ce qu'il faut pour qu'elle ondule et gémisse. A la longue, ses ongles commençaient à me faire un peu mal quand elle serrait ses mains sur ma cuisse et ma jambe. J'ai repris la fessée en lui donnant des claques retentissantes à merveille. Je lui ai dit: «Tu vas compter les claques au fur et à mesure.» Cinquante claques sur chaque fesse sont venues lui chauffer son popotin. LOL !
Au bout de cette longue série, elle sanglotait de plus en plus fort, j'ai donc terminé cette bonne fessée en lui donnant 20 très fortes claques sur chaque fesse qu'elle a dû compter à haute voix.
Elle a mis un long moment à compter les claques, car avec la bonne fessée précédente que je lui avais donné, elle a ressenti encore plus la douleur.
Une fois la fessée terminée, elle s'attendait à recevoir des caresses de ma part, hé bien non, je lui ai dit de se lever et de rejoindre le coin du mur que je lui indiquai. Elle était debout devant moi et elle me dit que c’était n'importe quoi, qu’elle n'était plus une gamine. Je lui ai répondu que son comportement de tout à l'heure c'était quoi? Et dans la foulée je l'ai mise un peu de biais et j’ai donné 10 claques bien appliquées sur chaque fesse et lui ai indiqué de mon index le coin qu'elle devait rejoindre. Elle a hésité et je lui ai demandé si elle voulait que je continue à la fesser avec la brosse. Du coup, ça a été le mot magique, elle est allée au coin du mur, les mains croisées dans le dos au dessus de ses fesses, sans y toucher pendant 15 minutes avec ma demande de surtout bien réfléchir à tout ce qui venait de se passer.
Elle pleurait et sanglotait fort. Pendant ce temps, je me suis bu une bière tranquillement et ai préparé le lait hydratant. Au bout de ces 15 longues minutes pour elle, je me suis de nouveau assis en plein milieu du canapé et lui ai demandé de venir me rejoindre. Elle était calmée et ne sanglotait plus mais elle avait encore les yeux bien rouges. Debout devant moi, je lui demandai: «Alors, que me dit ta réflexion?», et elle me dit: «Je ne recommencerai plus et te demande pardon.»
Je lui dis de venir s'asseoir à côté de moi. Je lui ai demandé si elle avait bien retenu la leçon et elle me dit que oui, qu'elle n’est pas prête de recommencer. Je l'ai prise dans mes bras et l'ai câlinée un moment. Ensuite je lui ai fait voir le lait hydratant et elle a tout de suite compris ce qui allait se passer. Je lui ai fait signe de prendre la position, ce qu'elle a fait sans hésitation et sans faire de chichi. Je lui ai glissé un coussin sous elle pour bien relever son fessier et écarter ses cuisses. J'ai bien passé du lait partout sur les fesses, l’arrière des cuisses et l’intérieur de celles-ci. Je lui ai introduit deux doigts très facilement dans vagin tellement elle était trempée puis un troisième. Elle gémissait et ondulait de plus en plus sous mes caresses, pour mon plus grand plaisir, et le sien aussi à priori. D'un coup elle se laissa tomber à mes pieds et se jeta sur mon slip, le seul vêtement que je portais et me l'enleva, me tira sur le rebord du canapé et m'écarta les cuisses et s'occupa de moi. Ça devenait une tradition, en fait, qu'après chaque fessée j'avais le droit à une magnifique fellation pour mon plus grand plaisir et je n'allais pas m'en plaindre, évidement. Elle m'avoua plus tard qu'en fait elle prenait autant son pied que moi à me prodiguer cette caresse très intime.
Du coup ça nous a ouvert l'appétit et nous nous sommes restaurés. Après, nous avons regardé la TV, on se câlinait et on la regardait pas trop en fait. Elle prit la décision d'aller dans la chambre pour faire l'amour et je n'étais pas contre.
La prochaine fessée a eu lieu le mercredi suivant, mais c'est un autre récit pour une prochaine fois.
Gilles18