
Les mémoires d’une domestique 2
Voici la suite des mémoires d’une domestique
Malheureusement elles étaient extrêmement exigeantes, et pour un oui ou pour un non elles me faisaient des reproches sur mon travail et rapportaient les faits à Monsieur ou à Madame.
C’était toujours la même chose.
— Pauline viens ici tout de suite !
J’arrivais dans le salon et allait voir Monsieur, la peur au ventre. Il avait le martinet à la main et se hâtait de relever ses manches, révélant ses avants-bras poilus.
— Qu’y a t’il Monsieur ?
Je demandais toute tremblante.
— Tu n’as pas fait correctement ton travail ! Tu mérites une bonne fessée !
— Oh Monsieur, s’il vous plaît pas la fessée !
— Je pense que c’est nécessaire malheureusement.
Il pointait avec son doigt la table à manger.
Je devais me pencher dessus, soulever mon uniforme et baisser moi-même ma culotte, avant d’être fouettée avec le martinet devant toute la maisonnée.
Madame et ses filles ne manquaient jamais ma fessée, et j’entendais parfois des petits rires étouffés et des remarques type « elle a les fesses toutes rouges » « elle est pas fière, là »
Je me rappelle notamment d’un soir où j’avais été punie car j’avais oublié de changer les draps des filles et j’avais été insolente en leur disant que ce n’était pas bien grave…
Le Monsieur, patriarche bourru, m’a réprimandée pendant toute la fessée :
« Clack ! Voilà ce qui arrive Clack ! Aux vilaines filles Clack !
il est grand temps Clack !
que tu apprennes Clack !
À obéir Clack !
Une bonne fessée déculottée ! Clack !
Pour te remettre Clack !
Les idées en place Clack !
Je dansais d’un pied sur l’autre en suppliant Monsieur d’arrêter.
A la fin, je frottais mes fesses rougies sous leur regards moqueurs.
— Nous attendons tes excuses.
Pour demander pardon Madame m’avait expliqué comment faire.
Il fallait que je garde ma culotte baissée, la jupe maintenue relevée, que je m’agenouille devant eux et que je dise « je vous demande pardon pour avoir désobéi, ou été insolente »
En général les filles mettaient du temps à me dire que j’étais pardonnée afin que je reste dans cette position humiliante le plus longtemps possible.
— Seras-tu bien obéissante et respectueuse à présent ?
— Oui, je le promets.
— Je consent à te pardonner, Pauline, j’espère que cette fessée t’auras appris les règles élémentaires pour être une bonne domestique, et j’espère que la prochaine fois tu feras un meilleur travail, digne de notre rang.
— Oui.
— Sinon tu auras encore une bonne fessée ! Est-ce -que c’est bien clair ?
— Oui Mademoiselle.
Je gardais les yeux baissés, je me faisais toute petite. J’avais tellement honte.
Ensuite j’étais envoyée au coin pour méditer, la culotte aux chevilles. Exposer mes fesses rouges étaient toujours un moment extrêmement embarrassant pour moi.
Mais ce soir là les filles devaient me surveiller pendant ma pénitence. Elles ont rapporté que je m’étais frottée les fesses et aussi que je m’étais retournée une fois.
Monsieur est venu, m’a tirée par le bras, et m’a donnée des claques supplémentaires qui ont bien résonné dans toute la pièce. Shhhaaaaaf ! Shhhhlaaaaf !
— Mais Monsieur, c’est elles qui… snif…
— Ah non, assume tes bêtises ! Je t’avais dit de ne pas te retourner !
Tu fais ta punition correctement et tu regardes le mur ! Non mais….
— Oui Monsieur, pardon Monsieur.
Les filles rigolaient devant un tel spectacle et applaudissaient.
Après avoir été punie Madame est venue dans ma chambre avec le pot de crème apaisante. Elle m’a fait mettre allongée sur ses genoux comme pour une fessée. Elle a simplement appliqué la crème sur mon derrière endolori en disant « qu’est-ce qu’on va faire de toi ». Ce fût un moment de réconfort et de douceur, qui tranchait avec sa sévérité habituelle, mais en même temps j’étais embarrassée que mes fesses soient encore le centre de l’attention !
Elle m’a donné aussi une punition supplémentaire, aller écrire des lignes dans le bureau de Monsieur. La chaise sur laquelle j’étais assise, la culotte baissée, était en bois dur. J’ai dû écrire 50 fois « Je dois rester à ma place de domestique, en étant obéissante et dévouée. Sinon je serai fessée »
Fin.
C
omme je vous l’avais raconté, le couple de bourgeois sévères dont j’étais la domestique avait deux grandes filles étudiantes en fac de médecine. Pendant les vacances, elles revenaient très souvent à la maison. Madame m’avait bien dit que je devais bien entendu leur obéir, et travailler avec davantage d’application lorsqu’elles étaient là.Malheureusement elles étaient extrêmement exigeantes, et pour un oui ou pour un non elles me faisaient des reproches sur mon travail et rapportaient les faits à Monsieur ou à Madame.
C’était toujours la même chose.
— Pauline viens ici tout de suite !
J’arrivais dans le salon et allait voir Monsieur, la peur au ventre. Il avait le martinet à la main et se hâtait de relever ses manches, révélant ses avants-bras poilus.
— Qu’y a t’il Monsieur ?
Je demandais toute tremblante.
— Tu n’as pas fait correctement ton travail ! Tu mérites une bonne fessée !
— Oh Monsieur, s’il vous plaît pas la fessée !
— Je pense que c’est nécessaire malheureusement.
Il pointait avec son doigt la table à manger.
Je devais me pencher dessus, soulever mon uniforme et baisser moi-même ma culotte, avant d’être fouettée avec le martinet devant toute la maisonnée.
Madame et ses filles ne manquaient jamais ma fessée, et j’entendais parfois des petits rires étouffés et des remarques type « elle a les fesses toutes rouges » « elle est pas fière, là »
Je me rappelle notamment d’un soir où j’avais été punie car j’avais oublié de changer les draps des filles et j’avais été insolente en leur disant que ce n’était pas bien grave…
Le Monsieur, patriarche bourru, m’a réprimandée pendant toute la fessée :
« Clack ! Voilà ce qui arrive Clack ! Aux vilaines filles Clack !
il est grand temps Clack !
que tu apprennes Clack !
À obéir Clack !
Une bonne fessée déculottée ! Clack !
Pour te remettre Clack !
Les idées en place Clack !
Je dansais d’un pied sur l’autre en suppliant Monsieur d’arrêter.
A la fin, je frottais mes fesses rougies sous leur regards moqueurs.
— Nous attendons tes excuses.
Pour demander pardon Madame m’avait expliqué comment faire.
Il fallait que je garde ma culotte baissée, la jupe maintenue relevée, que je m’agenouille devant eux et que je dise « je vous demande pardon pour avoir désobéi, ou été insolente »
En général les filles mettaient du temps à me dire que j’étais pardonnée afin que je reste dans cette position humiliante le plus longtemps possible.
— Seras-tu bien obéissante et respectueuse à présent ?
— Oui, je le promets.
— Je consent à te pardonner, Pauline, j’espère que cette fessée t’auras appris les règles élémentaires pour être une bonne domestique, et j’espère que la prochaine fois tu feras un meilleur travail, digne de notre rang.
— Oui.
— Sinon tu auras encore une bonne fessée ! Est-ce -que c’est bien clair ?
— Oui Mademoiselle.
Je gardais les yeux baissés, je me faisais toute petite. J’avais tellement honte.
Ensuite j’étais envoyée au coin pour méditer, la culotte aux chevilles. Exposer mes fesses rouges étaient toujours un moment extrêmement embarrassant pour moi.
Mais ce soir là les filles devaient me surveiller pendant ma pénitence. Elles ont rapporté que je m’étais frottée les fesses et aussi que je m’étais retournée une fois.
Monsieur est venu, m’a tirée par le bras, et m’a donnée des claques supplémentaires qui ont bien résonné dans toute la pièce. Shhhaaaaaf ! Shhhhlaaaaf !
— Mais Monsieur, c’est elles qui… snif…
— Ah non, assume tes bêtises ! Je t’avais dit de ne pas te retourner !
Tu fais ta punition correctement et tu regardes le mur ! Non mais….
— Oui Monsieur, pardon Monsieur.
Les filles rigolaient devant un tel spectacle et applaudissaient.
Après avoir été punie Madame est venue dans ma chambre avec le pot de crème apaisante. Elle m’a fait mettre allongée sur ses genoux comme pour une fessée. Elle a simplement appliqué la crème sur mon derrière endolori en disant « qu’est-ce qu’on va faire de toi ». Ce fût un moment de réconfort et de douceur, qui tranchait avec sa sévérité habituelle, mais en même temps j’étais embarrassée que mes fesses soient encore le centre de l’attention !
Elle m’a donné aussi une punition supplémentaire, aller écrire des lignes dans le bureau de Monsieur. La chaise sur laquelle j’étais assise, la culotte baissée, était en bois dur. J’ai dû écrire 50 fois « Je dois rester à ma place de domestique, en étant obéissante et dévouée. Sinon je serai fessée »
Fin.