
Le Père Fouettard prend sa retraite
C
’est avec le tintement des petites clochettes et une bonne odeur de biscuits de Noël qu’Alex se réveilla le matin du 25 décembre. Depuis plusieurs jours la ville avait vêtu son beau manteau blanc de fête et les habitants vivaient dans une joie non dissimulée dans cette ambiance de fin d’année. Chaque rencontre dans la rue était l’occasion de sourire à des gens, qui d’ordinaire ne prenaient pas le temps de profiter de la chaleur humaine des passants.
Cette douce ambiance sucrée et joyeuse avait porté Alex pendant sa semaine de congés, qu’il n’avait malheureusement pas pu passer auprès de ses proches à cause d’une grève de soucoupe volante entre Paris et la contrée des amateurs de beurre salée. A défaut d’un grand repas de fête en compagnie de sa famille, le jeune homme avait opté pour le calme d’une soirée devant un bon feu de cheminée.
En se couchant il regarda une dernière fois par sa fenêtre à la recherche du traineau du Père Noël, en espérant qu’il passe pendant la nuit, lui déposer quelques cadeaux qui l’occuperaient pendant l’année. Toute la nuit, il se laissa porter par de beaux rêves colorés pleins de cadeaux et de gourmandises sucrées.
En fin de matinée, après avoir trainassé plusieurs heures dans son lit, Alex se décida à se lever pour voir ce qu’on avait pu lui déposer sous le sapin. Sans grande surprise, une montagne de cadeaux tapissait le sol de son salon sous le sapin de Noël, de magnifiques petits paquets entourés de ruban et de papiers colorées avec des formes plus ou moins explicites lui indiquaient que le Père Noël avait bien lu sa lettre. Il avait demandé un petit panel d’accessoires lui permettant de faire rougir les fesses des vilaines jeunes filles. Ceci pour répondre à ses envies de dresser les petites chipies.
Aussi, les petits gâteaux, qu’il avait déposé la veille dans une assiette, étaient pour la plupart grignotés et un petit message griffonné au dos d’une liste de cadeaux se trouvait sur le dessus de l’assiette :
« Cher Alex,
J’ai décidé de prendre ma retraite, je demande donc aux jeunes fesseurs dotés d’un minimum de sagesse de prendre mon relai pour discipliner les petites chipies aux alentours de chez eux.
Voici la tienne, je te la confie, elle attend sagement que je passe la punir.
N’hésite pas, à être créatif, j’ai cru comprendre que mon ami le Père Noël avait fabriqué quelques instruments assez chouettes pour toi.
Joyeux Noël.
Le Père Fouettard ».
En voyant ce message le jeune homme se demandait s’il pouvait être à la hauteur de la réputation du Père Fouettard. Malgré une certaine expérience dans la discipline, Alex avait entendu parler de la sévérité avec laquelle le Père Fouettard avait l’habitude d’opérer pour venir corriger les petites chipies, une fois par an, quand son collègue le Père Noël ne les trouvaient pas sur la liste des enfants sages.
Pour rejoindre la chipie dont il devait s’occuper aujourd’hui, le jeune homme regarda attentivement le mot que son collègue de discipline lui avait laissé. Il s’agissait en effet de la liste de cadeaux de sa jeune voisine, qu’il avait régulièrement croisé dans les parties communes de son immeuble. Cette chipie, qui lui semblait particulièrement timide, ne lui avait que rarement adressé la parole, elle ne s’attardait jamais à discuter avec ses voisins et avait tendance à oublier les règles de politesse élémentaires en présence de ses ainés.
Sur la jolie lettre que la chipie avait décorée pour envoyer au Père Noël, elle avait listé les cadeaux qui lui faisait le plus plaisir, le jeune homme sourit en lisant ses envies : « Une licorne géante, la paix dans le monde, une machine à voyager dans le temps, un martinet rose et des milliers de livres à en faire exploser ma bibliothèque ». L’humour un peu décalé de cette chipie lui donnait envie d’aller accomplir sa nouvelle mission, sans attendre il prit les paquets qui lui permettraient de la punir convenablement et se dirigea vers son appartement avec la note du Père Fouettard.
En arrivant devant sa porte, Alex trouva une petite note manuscrite indiquant que le Père Fouettard avait déjà mis la chipie au coin, afin que le jeune fesseur la trouve dans les conditions idéales pour recevoir sa punition de Noël.
En rentrant dans son appartement, il pouvait constater que toute la décoration respirait l’esprit de Noël et les saveurs sucrées des petits biscuits au pain d’épices. Il s’avançait vers une pièce qui semblait animée pour trouver la petite chipie l’attendant sagement dans un coin, la culotte légèrement baissée.
Devant le spectacle que la petite chipie lui offrait, le jeune fesseur prit quelques instants pour observer la jeune fille, les fesses à l’air, prête à recevoir sa punition bien méritée. Il resta un moment silencieux, à apprécier le spectacle, avant de se décider à avancer vers elle pour lui indiquer que sa position n’était pas réglementaire et qu’une culotte ne doit pas recouvrir la moitié des fesses. Quelques secondes plus tard le jeune homme observa la chipie baisser sa culotte.
Satisfait d’une telle docilité, il accrocha devant elle la lettre que le Père Fouettard avait laissé à son intention ce matin. Après la lecture de la lettre la chipie laissa échapper quelques larmes d’appréhension, son voisin s’installa derrière elle, sur le grand canapé gris, pour déballer les cadeaux qui lui serviront à corriger la petite chipie. C’est avec une lenteur exagérée qu’Alex exposa la petite cravache noire « de dressage » et une petite brosse qu’il venait de recevoir à Noël.
Il interpella ensuite la petite chipie en lui demandant de se tenir droite devant lui pour lui exposer les raisons qui l’ont conduites ici le matin de Noël. Devant ses explications, plus que bancales, Alex commençait à s’impatienter. A un moment il décida de lui montrer son énervement en se levant puis en lui prenant le menton.
- Maintenant je ne veux plus entendre de justifications ou d’excuses, je t’ai demandé les raisons qui t’ont conduites ici aujourd’hui.
La petite chipie hésita encore plusieurs minutes avant de répondre à son voisin. Déterminé à lui montrer son autorité sur elle, Alex s’empressa d’abattre une dizaine de claques sur les fesses nues de la chipie.
Surprise par la sévérité de cette première fessée, la petite chipie se dépêcha d’énumérer les différentes bêtises pour lesquelles elle mériterait d’être punie et qui sont la cause de cette situation.
Finalement satisfait de cette réponse, le jeune fesseur repris sa place sur le canapé, face à la petite chipie, il lui indiqua que l’heure des excuses était terminée et qu’il lui fallait maintenant assumer toutes ses bêtises de l’année. Devant l’incompréhension de la petite chipie, le jeune fesseur lui tira légèrement le bras pour la conduire à ses côtés. Elle tremblait légèrement devant cet homme qu’elle ne connaissait pas encore mais qui s’apprêtait à la punir.
En regardant sévèrement la petite chipie, Alex tapota sur ses cuisses pour lui indiquer comment elle devait se positionner pour sa punition. La jeune fille hésita quelques instants avant de finalement se pencher sur les genoux de cet homme, qui la guida un peu pour s’installer dans la meilleure position possible pour subir sa fessée.
- Bien. Maintenant jeune fille je vais te punir, car comme tu l’as annoncé tout à l’heure tu as largement dépassé ton quota de bêtises pour une seule petite chipie.
Tétanisée dans cette position infantilisante, la jeune fille n’arrivait plus à parler, mais réussit à hocher la tête avant de sentir les premières claques s’abattre sur ses fesses. Alex commença par fesser la chipie avec force afin qu’elle comprenne immédiatement que la punition s’annonçait sévère.
Sous la première avalanche de claques, la petite chipie avait beaucoup de mal à retenir ses larmes et ne pas s’échapper des genoux de son voisin.
Après plusieurs minutes de cette sévère déculottée, Alex décida de prendre la petite brosse pour que la petite chipie goûte à ces nouvelles sensations. Le premier crie qu’elle poussa quand la brosse claqua sa fesse gauche lui prouva l’efficacité de ce nouvel instrument.
Les pleurs de la chipie s’accentuaient sous la dureté des claques, le jeune fesseur alternait entre de lourdes claques bien appuyées et de rapides séries très rapprochées afin de troubler encore plus la chipie sur le point de craquer.
Après dix longues minutes de ce sévère traitement, le visage de la petite chipie était couvert de larmes et ses fesses dégageaient une intense chaleur.
Finalement, après une dernière série de claques très rapide sur la jointure entre les cuisses et les fesses, le fesseur posa la petite brosse sur le dos de la chipie pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits.
- Très bien. Maintenant jeune fille tu vas retourner quelques minutes dans ton coin pour réfléchir à de nouvelles résolutions pour l’année à venir.
Le jeune fesseur aida la petite chipie à se relever et lui indiqua qu’elle avait interdiction de toucher ses fesses.
Pour laisser la petite chipie réfléchir à son comportement passé et ses futures résolutions, Alex prit la liberté de se préparer un chocolat chaud et de gouter les petits biscuits que la chipie venait de préparer pour les fêtes.
Plusieurs minutes ont passé, le jeune fesseur réfléchit à la meilleure manière de marquer l’esprit de cette petite chipie. C’est finalement en voyant sa petite cravache qu’une idée un peu sadique lui vint à l’esprit.
- Alors jeune fille, j’espère pour toi qui tu as pris le temps de bien réfléchir à tes nouvelles résolutions. Je t’écoute.
- Je dois arrêter de faire des bêtises.
Clac. Clac. Clac.
- C’est tout ? Tu te moques de moi jeune fille ?
- Non, non, je suis désolée je pensais que..
Clac.
- Maintenant je veux t’entendre me lister toutes tes nouvelles résolutions, et attention à toi si je ne trouve pas cela convainquant.
La petite chipie prit une grande inspiration avant d’articuler ses bonnes résolutions.
- Je ne dois plus reporter à plus tard ce que je peux faire dès maintenant.
Clac. Clac. Clac.
- Excellent idée jeune fille. Quoi d’autre ?
- Je ne dois plus arriver en retard.
Clac. Clac. Clac. Clac.
- Effectivement, les retards sont inadmissibles. Ensuite ?
- Je dois être polie et parler gentiment aux autres.
Clac. Clac. Clac.
- Evidement. Autre chose jeune fille ?
- Je ne dois plus abuser de l’alcool et des gourmandises.
Clac. Clac. Clac.
- Bien, nous avançons. Une autre idée ?
- Je dois travailler régulièrement.
Clac. Clac. Clac. Clac. Clac.
Cette dernière série de coups de cravache étaient encore plus lourde que les précédentes. La petite chipie tremblait et ses fesses irradiaient sous la main de son sévère fesseur.
- Bien jeune fille, je vois que tu as compris la leçon.
- Oui Monsieur.
Alex déposa la cravache avec la petite brosse, il prit quelques instants la petite chipie dans ses bras pour la consoler en lui murmurant que sa punition était terminée.
En y repensant il trouvait que ce rôle lui allait plutôt bien et il avait beaucoup apprécié punir sa jeune voisine.
- Si tu as, de nouveau, des problèmes de comportement ou des bêtises à confesser, tu peux monter deux étages et je serai là.
- Oui Monsieur.
- Bien, je vais te laisser jeune fille, joyeux Noël.
Juste avant de passer la porte, la chipie s’approcha du jeune fesseur pour lui murmurer.
- Je m’appelle Nina, joyeux Noël Monsieur, et merci.