Le choix de Nathalie (suite et fin)

…. La pochette n'était plus là.

- Mais c'est pas possible, elle n'a pu disparaître ? Jérôme se sentait comme paralysé.
Frédéric se tourna vers sa compagne.
- Mais qui s'est occupé du sac, c'est bien vous les filles ?
Malgré les rougeurs d'un coup de soleil naissant, les joues de June devinrent livides.
- Je crois que j'ai oublié la sacoche là bas.
- Non ! Mais ça va pas là ! Tu es sûr ? Pourquoi tu l'as oubliée et pourquoi l'avoir sorti d'ailleurs ? Il n'y avait aucune raison de le faire. Frédéric était à deux doigts de lui sauter dessus.
June pleurait.
- Mais c’était au cas où ? On faisait comme ça avec mes parents pour les pique-nique on cachait toujours les papiers. Et puis c’est vrai qu’on n’a pas toujours été à côté des affaires.
- MAIS CACHÉE OU ? OU L'AS TU CACHÉE ?
- Entre deux pierres, dans un trou que j'ai refermé.
- TOI TU NE PERDS RIEN POUR ATTENDRE !
En prononçant ces mots, on eut dit que Frédéric venait de lui annoncer son arrêt de mort. Le regard de June trahissait son effroi.

De son côté Jérôme semblait maintenant réaliser l'état du désastre. Il touchait le fond :
- En tout cas c'est foutu pour le concert !

Comme sonnés, ils mirent du temps à admettre qu'il ne restait en réalité qu'une seule chose à faire, retourner sur les lieux du pique-nique et récupérer la pochette, si pochette il y avait encore. Qui sait, si un promeneur égaré et curieux ne l'aura découverte.
Jérôme et Nathalie se proposèrent de s'y rendre seuls :
- … Ce n'est pas la peine qu'on y aille tous !
Mais Frédéric insista :
- Non nous y allons aussi, je ne nous vois pas attendre au bord de la route on ne peut même pas entrer dans la voiture. Et June devra assumer sa faute!
Sa compagne, surprise, le regarda inquiète.
Le groupe se remit en marche, ne cessant de déplorer cet incident et ruminer cet échec.
S'il y avait un concert à ne pas rater c'était bien celui-là. L'occasion ne serait pas près de se représenter. Sans compter tout cet argent gâché. Tout ça à cause d'une simple négligence.
- Mais ça se réglera ! Annonça Frédéric d'une voix contrariée.

June ne disait rien absorbé par ses pensées, elle semblait hors d'atteinte. A plusieurs reprises Nathalie marcha à ses côtés tentant de dédramatiser la situation. Mais June se contentait de répondre poliment.
Devant, les garçons marchaient ensemble, sérieux, ils discutaient, peut-être commençaient ils par se faire une raison et qu’heureux de se retrouver ils évoquaient des souvenirs ou parlaient de leur projets.

Une fois arrivés sur place, ils reconnurent vite le coin où ils s'étaient tant amusés. June se précipita sur la cachette et ouf, la pochette était encore là. N'était-ce pas après tout le principal ?

Ils pouvaient se considérer comme étant rassurés, même si l'objectif principal de la journée avait lamentablement échoué. Il leur faudrait certainement encore du temps pour surmonter leur frustration.

Il s'accordèrent quelques minutes de repos avant de reprendre pour la quatrième fois le même chemin.

Tout à coup Frédéric se leva.
- Avant de partir je tiens absolument à mettre les choses au point. Avec Jérôme nous avons discuté et il nous semble important de ne pas en rester là, car finalement cette situation ne peut entraîner que des rancœurs qui pourraient bien peser sur notre relation pendant la semaine qui vient. Il nous semble important de punir la ou … "les" coupables. June est une fille très négligente, vous en avez eu la preuve et ce n'est pas la première fois qu'une telle chose se produit. A cause d'elle nous avons raté le concert. Elle doit maintenant se faire pardonner et elle sait très bien ce qui l'attend. Pour marquer le coup j'estime normal de la corriger devant vous et croyez-moi elle va avoir droit à une copieuse fessée qui lui servira de leçon !

Il y eut un silence de stupéfaction du côté des filles. C'est la première intéressée qui le rompit les yeux en larmes.
- Non Frédo s'il te plaît, pas devant nos amis. C'est la honte !
- Justement June, c'est exactement cela qu'il te faut ! La honte d'être punie devant eux. Tu t'en souviendras chaque fois que tu les reverras et pour la prochaine balade, crois-moi tu ne seras pas prête de recommencer.
La voix de Nathalie se fit énergique.
- Enfin, tu ne vas pas fesser June devant nous. C'est une erreur que chacun de nous aurait pu faire, nous sommes tous un peu responsables. Et moi particulièrement car c'est nous deux qui nous devions nous occuper du sac à dos. A ce niveau là j'assume comme June cette négligence.

Frédéric la reprit :
- J’ai dis la ou LES coupables. Il est vrai que si June s’est comporté de manière inqualifiable… Vous aviez malgré tout la responsabilité commune des affaires, c’est ce qui avait été établi avant de partir. De toute façon June n’y coupera pas. Si toi Nathalie estimes que tu as ta part à assumer, alors je serai prêt à alléger le sort de June, mais à la seule condition que tu sois prête à te soumettre à la même punition, c'est une question d'équité.Dans le cas contraire, il n'y aura de réparation que si June assume la totalité de la faute commise.

Nathalie se sentait véritablement interloquée ...
- Mais enfin, c'est ridicule !
- A tes yeux peut-être Nathalie, mais pas aux miens et ni d'ailleurs à ceux de June. Elle connaît parfaitement les règles que nous avons instaurées tous les deux et au fond d'elle elle est d'accord.

Nathalie se tourna vers sa nouvelle amie.
- C'est vrai June, tu te laisserais fesser comme ça devant nous ?

June semblait complètement déstabilisée.
- Oui c'est vrai, c'est lui qui décide et d'ailleurs c'est mieux. Sinon ce sera encore bien pire les jours prochains. Je préfère la recevoir maintenant. Mais laisse tomber Nathalie, toi c'est différent tu n'es pas comme moi, Tu n'en n'as pas besoin comme moi de te faire pardonner et de toute façon c’est ma faute, elle me revient en totalité.

Nathalie se tourna vers Jérôme qui jusque là était demeuré passif
- Et toi Jérôme, tu penses quoi ?
Jérôme semblait embarrassé.
- Moi je suis catastrophé pour le concert, mais en même temps ce n'est pas la mort, tout le monde survivra. Perso je suis contre les fessées, mais là, la faute est grave et peut peser sur l’ambiance.

- Mais ça ne te gênerait pas que June reçoive une fessée pour ça, et devant nous en plus ?

- .… C’est une affaire entre eux.

- Et pour moi aussi qui suis responsable quand même, ça ne te gênerait pas de me voir fesser par Frédéric, comme une gamine ?

- ... Si bien sûr, mais c'est à toi de décider. Je connais Frédo et je sais que rien de toute façon n'arrêtera sa décision pour June. Si elle est d'accord et qu'ils s'arrangent comme cela je n'ai rien à dire. Après… C’est vrai encore une fois qu’il y avait une responsabilité partagée. Si tu estime devoir assumer toi aussi la punition je ne m’y opposerais pas.

Nathalie se senti soudain interloquée et choquée par la réponse de son compagnon. Jamais elle n'aurait imaginé vivre une telle situation. Elle savait qu'il y avait là dedans quelque chose d'absurde, injuste et démesuré. Comment un garçon aussi sympathique et évolué que Frédéric pouvait envisager de fesser non seulement sa compagne mais aussi celle de son meilleur ami. Tout ça tenait du délire.
Elle savait qu'elle devait garder une position ferme et refuser de rentrer dans cette logique. Elle devrait remettre Frédéric à sa place, s'opposer à la toute puissance de ce garçon et dénoncer la lâcheté de son compagnon. Peut-être même envisager une séparation car ça allait vraiment trop loin.
Dans ce cas là, c’est certain un poids terrible pèserait durant cette semaine de vacance.

Et puis en même temps quelque chose de profondément enfoui en elle l'empêchait de suivre cette voie. Elle ne trouvait pas la force de contester encore moins de se révolter, quelque chose la dépassait. Comme si confrontée devant une faute très grave elle se sentait paralysée et incapable de la moindre réaction pour empêcher ce qui allait se jouer maintenant et dont elle allait elle-même se retrouvait partie prenante.

Il y eut un silence qui fut vite interrompu par Frédéric.
- Bon, nous n'avons pas toute la soirée devant nous. Le jour va tomber et nous avons encore du chemin à faire. Je vais commencer par administrer une première fessée à June, ensuite Nathalie tu te dis prête a assumer aussi ta responsabilité, mais avec Jérôme vous ne fonctionnez pas du tout comme ça et tu reste donc libre, tu me diras alors si toi tu veux prendre ta part. Si c'est non, et je ne t'en voudrais pas j'en finirai avec June car pour moi elle aura mérité cette deuxième fessée qui ne sera pas moins forte que celle qu’on t'aurait donnée.
Quand à toi June enlève ton short et ta culotte attends moi là !

Il s'absenta un instant en s'enfonçant dans les broussailles. June très embêtée au bord des larmes fît tomber short et culotte comme tout à l'heure avant le bain. Son tee-shirt qui lui descendait au niveau du nombril ne cachait pas son intimité entièrement épilée.
- je suis désolée pour vous, je suis vraiment désolée.
Jérôme éprouvait une grande pitié.

- C'est nous qui sommes désolés pour toi June. Veux-tu que nous vous laissions un moment ?

- Non, il ne voudrait surtout pas. Nathalie tu es vraiment gentille, ça me va droit au cœur mais s'il te plaît laisse le me fesser jusqu'au bout. Toi tu n'as rien à voir la dedans. Ce n'est pas à toi de recevoir une fessée, c'est moi la vraie fautive. Et j'ai l'habitude de toute façon, ne t'inquiètes pas pour moi.

Nathalie voulut répliquer quand Frédéric reparut, il tenait dans sa main une poignée de tiges flexibles qu'il venait de couper et dont il arrachait les feuilles.
Puis il retira son tee-shirt, histoire de se sentir plus à l'aise. Nathalie l'observait ses bras musclés lui provoquèrent un pincement au cœur.
Frédéric s'assit sur une sorte de banc en pierre naturel. Il fit signe à June de s'approcher. Elle effectua une sorte d'arc de cercle, comme pour tenter de retarder ne serait-ce qu'une poignée de secondes le moment fatal.

Aussitôt qu'elle le rejoignit, d'une main ferme il la fit basculer sur ses genoux. Les fesses bien exposées regard fixé au devant elle attendait résignée. Les coups commencèrent à s'abattre, réguliers sur la peau fine des fesses déjà brûlée par le soleil de midi. Ils continuèrent ensuite de très longues minutes. June, stoïque quelques instants, commença peu à peu à se contracter, des grimaces se dessinaient sur son visage, elle se contorsionnait. Quelques larmes tombèrent par gouttes successives sur la pierre chaude. Cela durait, semblait ne jamais devoir finir mais au contraire s'amplifier, solidement maintenue toutes ses résistances du début tombaient les unes après les autres. On pouvait mesurer les plaintes et les gémissements qui se faisaient plus forts entrecoupés de hoquets.
"Et pourtant elle doit en avoir l’habitude pensa Nathalie tétanisée par ce spectacle.

Maintenant les coups se faisaient encore plus forts et plus puissants s’abattaient également sur les cuisses. Le corps semblait atteindre son maximum de tension, elle cherchait à s'échapper mais Frédéric la maintenait bien. A plusieurs reprises ses mains fines voulurent s'interposer et cherchaient à faire tampons pour protéger ses fesses extrêmement rouges. Mais Frédéric les bloquait. Il semblait avoir acquis une technique très éprouvée, autant pour provoquer la douleur que pour contenir les gigotements de sa compagne. Il était de toute façon beaucoup plus fort qu’elle, aucun échappatoire ne pourrait la soulager. Cela continua un moment et quand les sanglots et les implorations semblaient avoir atteint un niveau record Frédéric s'arrêta.
June se releva d'un coup, comme si elle avait été couchée sur des ressorts bloqués qui enfin se détendaient, elle se trémoussait de douleur en se frottant les fesses. Ce n'est que quand il se saisir d'une baguette fine et qu'il lui assena un coup cinglant sur le milieu des cuisse que June se résigna de mettre et garder les mains derrière la tête comme il le lui demandait, non sans trépigner sous l'effet de ce dernier coup très cinglant.
La baguette avait dessinée sur les deux cuisses une ligne bien nette qui commençait à bleuir.
June pleurait de toutes ses larmes.
Frédéric se tourna alors vers Nathalie.
- As-tu réfléchis ?
- ...
Nathalie resta paralysée, même avec la meilleure volonté du monde aucun son n'aurait pu sortir de sa bouche.

Alors Frédéric saisit à nouveau le bras de June pour lui faire reprendre place sur ses genoux. Les coups reprirent de plus belle, la capacité de Frédéric semblait inépuisable, en totale opposition au corps épuisé et vaincu de June qui n'était plus en mesure de contenir quoique ce soit. A nouveau cet affreux rythme reprenait.

- ASSEZ !

C'était Nathalie qui s'approchait. La colère reprenait le dessus. Sans attendre quoique ce soit, elle abaissa et enleva à son tour culotte et short.
C'EST BON JE PRENDS SA PLACE !

June ne se fit pas prier pour se relever une nouvelle fois.
Aussitôt Frédéric se leva et faisait face à Nathalie.
Tu es vraiment sûr Nathalie ? Je ne veux en aucun cas que notre relation soit entachée à cause d'une fessée. !
- June a assez reçu, je ne veux plus qu'elle reçoive plus, c'est à moi maintenant !

En s'installant sur les genoux de Frédéric, Nathalie n'en menait pas large mais elle ne put s'empêcher de ressentir une sorte de satisfaction d'un devoir de partage accompli.

La fessée fut terrible. Bien qu'elle soit novice en la matière, Frédéric ne semblait pas pour autant vouloir l'épargner. On aurait dit qu'à partir du moment où elle avait accepté le partage qu'il prenait soin à respecter une totale équité. Le derrière de Nathalie, plus large mais aussi rebondi que celui de June s'empourpra très vite au rythme des claquements et les tressaillements du début devinrent très rapidement contorsions
Nathalie put constater comment les main de Frédéric frappaient vite et fort. Beaucoup moins habituée et résistante que June, les larmes abondèrent presque immédiatement. Elle émit une sorte de gémissement aigus qui surprit tout le monde tant il contrastait avec son attitude habituelle de fille bien trempée. Là, elle semblait entièrement soumise à la force musclé de son fesseur.
Jérôme qui était resté totalement passif pendant la fessée de June oscillant entre pitié et excitation se trouvait maintenant mal à l'aise. Au fur et à mesure que le rythme et l'intensité montaient, il se rendit compte qu'il ne pouvait abandonner Nathalie aux mains si fermes de Frédéric. Jamais il n'aurait imaginé que son ami puisse se donner à fond pour de simples fessées même pour celle de sa compagne.

- Je prends le relais !

Nathalie, étourdie par le feu d'artifice qui venait de s'abattre sur son postérieur, se leva non sans soulagement et se sentit plus rassurée quand elle s'allongea sur les genoux de son amant.
En effet, celui-ci se montra beaucoup moins virtuose et la fessée sous ses mains devint presque supportable.
Ce fut un soulagement également pour June qui, les mains derrière la tête, observait le supplice de son amie qui se sacrifiait pour elle.

Frédéric, de son côté, se rendit bien compte de la différence de traitement mais n'osait pas critiquer Jérôme. Il se contentait parfois de lui donner des conseils et de lui indiquer les parties des fesses et des cuisses les plus sensibles là où les coups présentaient le plus d'impact. Jérôme suivit ses conseils et effectivement Nathalie se crispait davantage. Mais jamais Jérôme ne franchit certaines limites comme le faisait sans état d'âme Jérôme.

Quand ce fut terminé, Nathalie se releva avec soulagement, les fesses très en feu malgré tout . Cependant le répit ne dura qu'un court instant. D'abord tout comme June elle ne put s'empêcher de se frotter l'arrière train avec vigueur mais elle remarqua tout de suite la main de Frédéric qui s'emparait d'une baguette. Elle comprit tout de suite ce qui se préparait et comme June elle leva aussitôt les mains derrière la tête pour éviter un coup. Mais malgré tout Frédéric s'approcha d'elle observant ses cuisses, prêt à lui asséner un coup pour lui strier la peau comme il l'avait fait avec June en guise d'avertissement. Elle fut à deux doigts d'en recevoir à son tour. Peut être la présence de Jérôme y fut pour quelque chose, mais il abandonna. Elle respirait..

- Bon on passe à la deuxième partie !

La phrase tomba comme un couperet, Nathalie ne s'attendait pas à un deuxième acte car elle s'était imaginée la séance terminée.

Frédéric conduisit June et la fit s'allonger sur la roche qui avait servi à la précédente fessée. Plaquée sur le ventre, les fesses bien relevées, June l'observait. Celui-ci mit la main à sa ceinture de son short, la déboucla, la retira méthodiquement et la plia en deux. Maintenant elle ne savait que trop ce qui l'attendait.
Puis il s'adressa à Nathalie : installe-toi à côté d'elle, nous gagnerons du temps.

Décontenancée, celle-ci jeta un regard anxieux à son compagnon puis résolue vint prendre position à côté de June. Les deux filles se trouvaient côte à côte, se touchant presque.. Frédéric ordonna à June de se hisser un peu plus haut pour que les deux fessiers se retrouvent au même niveau.
Ils s'adressa à Jérôme.
Je propose vingt coups chacune, chacun à notre tour.
La ceinture s'abattit sans retenue sur June qui tressaille en contractant ses deux lobes. Puis les autres coups tombèrent méthodiquement et très cinglants. Nathalie tourna légèrement la tête et observa les efforts que faisait son amie pour encaisser sans crier à chaque coup. La tension semblait terrible.

Puis arriva son tour, il n'y eut pas pause. Nathalie ne se montra à nouveau pas aussi résistante que son amie. Les gémissements reprirent, puis sa voix si particulière se fit entendre. A un moment donné, n'en pouvant plus, elle se releva.
Frédéric baissa le bras.
Bon, si tu veux, je termine sur June !
- Non !
Une fois de plus Nathalie ne supportait pas l'idée de voir June recevoir à sa place elle reprit courageusement position.
La séance repris, il restait encore une dizaine de coups à administrer. June toujours en position à ses côtés s'empara de la main de Nathalie qu'elle serra comme pour la soutenir dans l'épreuve. A chaque coup reçu, en réponse Nathalie lui serrait à son tour également, de plus en plus fort.

Une fois tous les coups administrés Frédéric passa la ceinture à Jérôme. D'emblée il se montra modéré en commençant par June. Il n'avait pas l'intention de frapper aussi fort que Frédéric, selon lui elles avaient déjà bien reçu et il cherchait au contraire à adoucir leur punition même en s'appliquant. Il commença doucement mais prit par le rythme des coups il se prit au jeu, après tout une correction était une correction et ce concert raté l'avait mis hors de lui. Il savait bien que pour June ce devait être une bonne leçon pour l'aider à prendre ses responsabilités à bras le corps. Et c'est oubli était trop sérieux pour le laisser passer comme ça. Il monta donc en force, et sans jamais l'atteindre, il se rapprochait de celle de Frédéric.

Au moment de passer à Nathalie, celle-ci tourna la tête et lui adressa un regard interrogateur comme pour lui dire : tu ne vas pas quand même frapper aussi fort ?

Faisant comme si rien ne pouvait l'atteindre, il tint le même rythme mesuré au départ puis de plus en plus fort. Pour apaiser Nathalie June lui prit à nouveau la main que serra Nathalie à son tour la serra fort, Jérôme lui aussi frappait fort.
Enfin ça s'arrêta, Nathalie n'aurait pas pu supporter un coup de plus. Mais elle avait tenu bon. Elle pouvait enfin souffler.

- Dix coups chacune, mais je préfère m'en charger tout seul je sais contrôler..
Elle tourna la tête et vit avec horreur que Frédéric s'était emparé d' une des baguettes les plus flexible dont il cherchait à en éprouver la résistance en la faisant plier.
- il vaudrait par contre que tu leur maintiennes les mains, il va y avoir de la résistance.
Jérôme se positionna face à June et lui attrapa les poignets. Celle-ci semblait effrayé par ce qui se préparait
- Non pas ça,.... pas ...

Schhhh...Tac

Le coup partit sec et cingla fort. Le souffle coupé, June chercha à s'extraire mais Jérôme la tenait bien.

ShhhTac

Le deuxième coup déclencha un cri perçant
Shhhtac

Les coups s’enchaînèrent, malgré les cris et les regards implorants qu'elle adressait à Jérôme. Celui-ci embarrassé ne la tenait que plus fermement tant les coups cinglants la faisaient réagir.
Pour Nathalie c’était un véritable calvaire que de sentir à côté d'elle qui souffrait et ne pouvait plus rien contenir, tout en sachant que son tour arriverait juste après.
Quand enfin le dernier coup siffla et s'abattit sur toute la largeur du fessier strié neuf fois Jérôme ne lâcha pas tout de suite et laissa June pleurer sans retenue plusieurs minutes.

- Ça fait trop mal … Je ne veux pas que Nathalie reçoive !

La réponse de Frédéric fut sans appel.
- Dans ce cas, les dix derniers coups seront encore pour toi. Prépare toi !

- NON PAS QUESTION !

Le visage en larmes, June se tourna vers Nathalie.
- Non, Nathalie tu as déjà assez reçu !

- il n'est pas question que je me débine June !

Jérôme s'empara de ses poignets pour la contenir et ils se regardaient dans les yeux quand le premier coup tomba. Il arracha aussitôt un cri à Nathalie qui ne s'attendait pas à une telle douleur. Frédéric fut plus prévenant dans l'application du coup suivant. Il frappait tout aussi fort mais lui laissait à chaque coup plus de temps pour pleurer et récupérer. Comme pour June, Jérôme s'appliquait à la maintenir ferme.
Au cinquième coup elle cria encore plus fort car le coup était tombé exactement au même endroit que le précédent. Elle mit plus de temps à arrêter ses pleurs. Une fois qu'elle réussit à se calmer, son regard se remplit d'une profonde angoisse dans l'attente du suivant.
Mais cette fois-ci ce n’est pas la baguette qui se fit entendre.

- C'est à moi de finir !

C’était Jérôme. Très décidé, il lâcha les bras de sa compagne qui se pressa de tempérer sa douleur en se frottant. Devant sa détermination Frédéric lui concéda sans commentaire la baguette. Au fond, c'était bien à Jérôme de punir sa compagne.

Il fallut insister pour que Nathalie accepte de se laisser à nouveau maintenir et cette fois par Frédéric et au moment où ils se retrouvèrent face à face elle ne put s'empêcher de lui adresser un regard de profond reproche, c’était à cause de lui qu’elle vivait cela, elle lui faisait sentir.
Maintenant, il lui restait encore cinq coups à tenir mais au moins elle savait que son compagnon serait plus clément.

SHTAAAC...

AAAAAAAAAH ! 


Son cri dut s'entendre loin, sûrement au-delà de la rivière tant la douleur la surpris. Jérôme avait non seulement parfaitement assimilé la leçon de son ami mais qu'il semblait vouloir le surpasser. De plus, il ne lui laissa pas le temps de se reprendre et les quatre derniers coups s’enchaînèrent comme s'il désirait vraiment finir en beauté.

Pendant que Nathalie se déversant en plaintes et en pleurs, Frédéric subjugué par la prestation de Jérôme s'adressa à lui.

- LA MÊME CHOSE POUR JUNE S’IL TE PLAÎT, ELLE LE MÉRITE BIEN.

- NOOON ! 

June qui avait assisté bouche bée aux aux derniers coups de Nathalie, implora son compagnon au moment où celui-ci lui saisit les poignets, elle répéta :

NOOOON ! 

SHTAC .... SCHTAC .... SCHTAC ... SCHTAC ... SCHTAC

Jérôme se montra particulièrement énergique et comme pour son amie, malgré l'habitude de recevoir, cette série avait largement dépassé la capacité de résistance de June et les deux filles pleurèrent de concert un bon moment.

Puis Frédéric qui tenait toujours June la fixa dans les yeux.

- Tu vois ce qu'il vient de se passer ! A cause de toi, non seulement nous avons raté le concert mais en plus tu as fait punir Nathalie à ta place. Tu peux vraiment la remercier pour ce qu’elle t’a évité !

-  Ouuuuuuh je m'excuse, c'est la dernière fois,..... Je ne recommencerai plus. C'est juré....

- .... Je l'espère.

C'était fini, les filles ne se firent pas prier pour se relever et une fois debout et que les fesses encore très brûlantes furent frottées autant qu’elles pouvaient l'être et elles s’enlacèrent en pleurant

- Merci Nath tu es la plus grande amie que j'ai jamais eue, jamais on avait fait ça pour moi, même ma sœur.

- Je ne suis pas prête d'oublier cette raclée.

Ensuite, comme dans un rituel éprouvé, June se précipita dans les bras de Frédéric la rédemption semblait enfin validée.

Gêné Jérôme regardait Nathalie.

- Excuse-moi Nathalie !

Elle se précipita aussi dans ses bras.

-  Ce n'est pas de ta faute, je sais que tu étais contre, je voulais soulager June.

Puis la voix de June se fit entendre . Son charmant accent british la rendait innocente.

- J'ai trop mal à mon derrière, je vais me tremper cinq minutes.

Elle se dirigeait à nouveau vers le plan d'eau, retirant la deuxième fois de la journée son haut pour plonger dans l'eau. De dos on pouvait voir son teint légèrement brûlé par le soleil contraster avec ses fesses d'un rouge intense qui virait au violet et zébrées de lignes bleues.

- SI TU PRENDS LE TEMPS DE NOUS RETARDER ALORS JE PRENDRAIS LE TEMPS DE T'EN METTRE UNE SECONDE TOUTE AUSSI CUISANTE. Et tu sais comme ça peut faire mal quand les fesses sont mouillées.

Comme ayant reçu une décharge électrique June stoppa instantanément sa course elle tourna vers Frédéric un regard de panique.

Vous voyez comme elle est ? A peine elle vient de s'en prendre une, et une bonne, qu'elle veut en faire qu'à sa tête, sans même nous demander notre avis ! Je ne sais pas ce qui me retient de recommencer.


Mais il fallait impérativement partir maintenant, les filles hésitèrent à se rhabiller tellement ça leur cuisait, elles se voyaient même marcher cul nu sur le chemin du retour, mais la peur de rencontrer des promeneurs les arrêta. L'opération s'avéra malgré tout délicate.

Le retour s'effectua calmement. D'abord ils marchaient par couple. Nathalie, encore sous le choc à côté de Jérôme, ils se tenaient par la main.

- Tu dois avoir très mal aux fesses, je suis désolée.

- C'est sûr, mais tu dis que tu mais je parierais que ça t'a excité, tu as dû bien te rincer l’œil avec June (elle désigna du regard son entre-jambe) et tu as bien fini par t'y mettre toi aussi, tu n'y allais pas de main morte, surtout à la fin, je ne t'en serais jamais cru capable !

- C'est vrai, avec June au début j'ai été surpris et ça m'a même excité. Mais après j’étais surtout gêné. En même temps il s'agissait d' une vraie punition, tu sais, ce concert j'y tenais vraiment, et puis ça devenait ridicule de faire semblant, j'ai joué le jeu. Et au fond tu étais partante.

- Pour ça tu l'as joué le jeu, et que trop bien. Moi, si je l’ai fait c’est que je me suis sentie responsable, je savais que June avait un problème à ce niveau et j’aurais dû vérifier et l’aider.

Mais toi tu étais bien contre les fessées au départ, tu ne vas pas me dire le contraire !

- Oui, bien sûr, mais en même temps, quand je vois comment Frédo et June fonctionnent, ça marche. Et c'est une manière d'assumer ses erreurs, de se corriger.

- Alors tu devrais aussi recevoir, toi aussi tu en fais des conneries et pas des moindres, ça ne marche pas que dans un sens, désolée !

- Oui, tout à fait, il ne doit pas y avoir d'exception, quand on le mérite on assume !

- Alors dans ce cas je pourrais te punir moi aussi ?

- S'il le faut, oui ! Pourquoi pas ! Je l'accepterais, même si tu frappais encore plus fort et que ce serait mérité, je l'accepterais ! C'est une question de justice.

La réponse de son amoureux troubla Nathalie. Ainsi pour réparer ses erreurs lui aussi accepterait être puni. Elle ne manquerait pas de le lui rappeler dès que la première occasion se présenterait, et elle aussi saurait se montrer à la hauteur. Elle se voyait déjà prendre sa revanche.

Puis Nathalie marcha à côté de June.

- J'ai honte Nathalie pour la fessée que tu as dû recevoir, ça fait super mal ! Trop pour toi !

Nathalie ne put retenir un rire nerveux.

- C'est sûr j'ai cru que j'allais terminer ma vie sur ce rocher. Mais ne t'inquiète pas, j'ai voulu assumer comme toi et je m'en remettrai…. Mais dis-moi, tu as toujours été comme ça ?

- Oui, j'ai toujours eu besoin de fessées, j'en ai tellement reçues, tu ne peux pas savoir, celle là était particulièrement sévère. Mais je peux te dire qu'elles ont toutes été méritées.. Sinon je suis encore pire.. Frédo te le dira, plusieurs fois il a essayé de ne plus m’en donner, et il a vite compris.

Un moment passa.

Ce qui m'embête c'est qu'on nous a indiqué une plage naturiste ou on pouvait bronzer en intégral, on voulait y aller mais pas question de montrer mes fesses dans cet état, mes cuisses non plus ? Ce serait la honte.

- Fais voir !

Une nouvelle fois June baissa short et culotte pour laisser à son amie le soin de faire l'état des lieux. Effectivement c'était impressionnant.

- Il faudra bien attendre cinq ou six jours, peut-être vendredi. Et moi ?

Nathalie s'apprêtait à son tour à se faire examiner quand la voix de Jérôme l'arrêta :

- Sauf si vous vous en prenez de nouvelles ! CA NE TIENT QU’A VOUS !

Les deux garçons s'étaient discrètement approché d'elles, ils avaient tout entendu.

fin



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