La récidive !

Un matin mon téléphone vibre …

Marie avait récidivé …

Cette fois ma main ne sera pas suffisante pour recadrer cette jeune demoiselle rebelle et fière …

L’interphone sonne !

- « C’est Marie. » m’annonce-t-elle !
- « Très bien Marie. Je t’ouvre. Ma porte est ouverte. Tu rentres, tu m’enlèves tes chaussures, ton pantalon, tes chaussettes et tu vas te mettre au coin les mains sur tête au même endroit que la dernière fois. »

Pas de réponse mais je l’entends s’approcher.

Pas de discussion cette fois. On avait convenu tous les deux que cette fessée allait être sévère !

La voilà maintenant au coin en t-shirt et petite culotte.

Je place une chaise au milieu de la pièce, m’assoie et prend un instant pour regarder Marie qui reste immobile. Sa culotte blanche épouse parfaitement ses rondeurs que je m’apprête à rougir.

- « Marie, quand tu te sentiras prête tu viendras te positionner devant moi et tu me demanderas de te donner la correction que tu mérites. » je l’informe.

Après un long moment d’hésitation elle se retourne, vient se positionner devant moi et s’exécute tant bien que mal.

- « J’ai encore été désagréable avec mon entourage et pour cela je mérite d’être punie sévèrement. Pouvez-vous me donner une correction ? » me demande-t-elle toute penaude.
- « Oui Marie je le peux. Toi et tes fesses allez vous souvenir longtemps de cette correction. » je lui réponds en la basculant sur mes genoux.

La voilà sur mes genoux, son fessier offert à ma main, ses jambes blanches tendues et ses pieds nus solidement ancrés dans le sol. Elle semble prête à endurer sa punition comme une grande.

Je lui caresse doucement les fesses par-dessus son slip. Le calme avant la tempête …

Je lui administre une première claque appuyée pour ne lui laisser aucun doute sur la suite de la punition. Je la sens se contracter de tout son long. Je n’y prête pas attention et démarre une très longue série de claques alternant des claques lourdes et lentes avec des claques sèches et rapides.

Marie commence à gigoter et à émettre quelque soufflement et grognement. Je marque une pause.

- « Il ne s’agit que du début Marie. Tu le sais ça n’est-ce pas ? » je la questionne.
- « Oui monsieur. » me répond-elle assez fermement avec une once de défis dans la voix.
- « J’espère bien car on a convenu que tu méritais une sévère déculotté pour cette récidive ! » je la sermonne.

Les extrémités de ses fesses dépassant de sa petite culotte sont maintenant bien rouges. Je glisse mes doigts entre sa peau et les deux bords de son slip que je tire vers sa raie pour lui faire un string. Ses deux globes sont maintenant totalement nus et encadrés par ce bout de tissu.

Ma main se lève à nouveau et s’abat à rythme régulier en alternant entre sa fesse gauche et sa fesse droite. Ses gigotements sont maintenant beaucoup plus prononcés et des petits sons sortent de ses lèvres.

Je m’arrête, repositionne sa culotte normalement et relève Marie pour la positionner devant moi. La trace d’humidité au niveau de son entrejambe me confirme que la jeune demoiselle y trouve autant de plaisir que moi.

Elle profite d’ailleurs de cet instant d’inattention pour reprendre son souffle. Elle a raison car le pire est à venir.

- « Enlève-moi ta culotte ! » je lui ordonne sèchement.

Je devine un tressaillement.

- « Dépêche- toi ou tu retournes sur mes genoux ! » je la menace.

Après un court instant ses mains finissent par saisir sa culotte qu’elle commence à descendre. Arriver à la moitié de ses fesses et juste au-dessus de son pubis elle marque un arrêt et me regarde toute gênée.

- « Allons Marie je t’ai déjà vu cul nul. Ne m’oblige pas à t’aider tu risques de le regretter ! » je lui précise.

Cette menace semble porter ses fruits car sa culotte finit par descendre le long de ses cuisses, passer ses genoux et tomber délicatement à ses pieds.

- « C’est bien Marie. Te voila prête à recevoir la suite de ta fessée les fesses nues comme la vilaine que tu es. » je ne peux m’empêcher de rajouter.

L’effet est immédiat : ses joues deviennent aussi rouges que ses fesses.

- « Pour la suite de ta correction tu vas maintenant t’allonger au coin du lit en écartant bien tes cuisses pour que chacune de tes jambes soient positionnées de chaque côté de ce dernier. ».

Résignée Marie s’exécute. Cette position me permet d’avoir une grande marge de manœuvre pour utiliser des instruments et obliger la punie à dévoiler toute son intimité. Intimité que je devine gonflée et trempée de désir.

Je recommence à lui administrer des claques à la main mais beaucoup plus fortes grâce à cette nouvelle liberté de mouvement. Marie a enfoui sa tête dans la couette pour étouffer ses gémissements.

Je m’arrête. Il est temps de passer à la phase finale de la punition.

Je saisie le bat de son t-shirt que je ramène vers sa tête et lui enlève complètement. Marie résiste un peu mais finit par se rendre. La voilà quasiment complètement nue avec pour dernière protection son soutien-gorge.

- « Tu sais ce que l’on avait prévu si tu récidivais Marie ? » je la questionne.
- « Oui monsieur … » marmonne t’elle la tête toujours enfoui dans les draps.
- « Je veux te l’entendre dire Marie ! » je lui précise fermement.
- « La ceinture monsieur … » articule-t-elle.
- « C’est ça Marie. Et j’espère que cela te servira de leçon ! » je la sermonne.

Je déboucle ma ceinture et la fait glisser lentement le long des passants. Je la plie en deux et fais claquer chacune des extrémités. Marie a un léger sursaut en entendant le bruit sec.

- « Pas encore Marie … Pas encore … » je murmure.

Je pause le bout de la ceinture sur ses fesses et la fais glisser le long de ces dernières ainsi qu’à l’intérieur de ses cuisses.

Je l’enlève brusquement et lui administre rapidement un premier coup. Elle ne peut laisser échapper un petit cri de surprise ou de douleur et contracte ses fesses.

Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits et la ceinture s’abat une deuxième fois sur son cul encore serré. Cette fois c’est tout son corps qui se tend et elle saisit le drap avec ses mains.

J’attends un instant que la douleur de ces deux premiers coups s’estompe. Marie ne peut s’empêcher de serrer les fesses de manière aléatoire dans l’espoir de parer le prochain coup.

Celui-ci s’abat malheureusement entre deux contractions. Et le suivant tombe à la suite. Elle respire maintenant plus fort.

Je luis assène cinq nouveaux coups qui la poussent à se retourner totalement sur le dos sans aucune pudeur pour éviter le suivant.

- « Très bien Marie ! Tu refuses d’endurer ta punition comme une grande fille ! Eh bien tu vas être fessée comme un bébé à qui on change une couche. Lève tes jambes tout de suite ! » je lui ordonne.

Je peux lire l’incompréhension dans son regard.

Je lui saisi les pieds de ma main libre et les lui lève !

- « Ho non pas comme ça s’il vous plait ! » me supplie-t-elle.
- « Si comme ça Marie ! Comme doit être punie une demoiselle qui est incapable de se tenir comme une grande ! » je lui rétorque.

La voilà totalement livrée à ma volonté pour la dernière phase de sa correction.

Je lui administre dix nouveaux coups venant lui cingler les fesses impitoyablement. Elle tente tant bien que mal d’’y échapper mais rien n’y fait la punition arriva à son terme.

Je lui laisse quelques instants pour sécher ses larmes et reprendre ses esprits, lui demande d’aller au coin et ajoute qu’une fois qu’elle se sentira prête elle pourra venir dans mes bras.

Enfin, je l’autorisai à se rhabiller et nous nous quittâmes après avoir parlé de tout et de rien.



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