La pénitence de la duchesse

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– Vous repentez-vous sincèrement de votre faute, ma fille ?
– Oui, mon père.
– Avez-vous conscience qu’en commettant l’acte de chair avec un réprouvé, excommunié, pour ses écrits et ses agissements, par Notre Sainte Mère l’Église, vous avez sérieusement mis en péril le salut de votre âme ?
– J’en demande pardon à Notre-Seigneur.
– Qui vous l’accordera, dans sa grande bonté, une fois pénitence faite.
– Ce dont je Lui sais infiniment gré.
– Le péché auquel vous vous êtes adonnée est d’autant plus grave qu’il bafoue les liens sacrés du mariage et que vous avez sali, par votre comportement, le nom illustre que vous portez. Votre mari…
– L’ignore.
– Mais pas Notre-Seigneur.
– Qu’Il me soit miséricordieux.
– Vous avez, en outre, mis le spectacle de vos débauches sous les yeux de votre sœur. Dont vous avez fait votre complice. Que vous avez incitée, ce faisant, à emprunter, elle aussi, la voie du Mal.
– J’en suis profondément honteuse.
– Priez, ma fille, priez, pour que ces péchés, malgré leur énormité, vous soient pardonnés. Et pour que vous soit donnée la force de supporter, avec courage et humilité, le châtiment qu’ils vont vous valoir.
– Quel sera-t-il, mon père ?
– Vous allez être troussée et fustigée. De ma main. Ce n’est qu’à ce prix que votre faute sera effacée et que vous pourrez reprendre place parmi les élus
– Mon père…
– La souffrance est rédemptrice.
– Sans doute, mais je suis femme…
– Ce dont je ne saurais m’aviser. Je suis le serviteur de Notre Seigneur. Et seul m’importe le salut de votre âme. Préférez-vous donc la damnation éternelle ?
– La damna… Oh, non, non ! Qu’il soit fait selon la volonté du Seigneur !
– Fort bien. Allez donc chercher votre sœur…
– Ma sœur ?
– Elle n’ignore rien du péché que vous avez commis. Il faut donc qu’elle n’ignore rien non plus du châtiment dont vous allez être gratifiée.



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