L’étudiante punie

L’étudiante punie

Mon premier récit F/f (Tout arrive)

« Natsukashii » désigne la nostalgie heureuse, l’instant où le beau souvenir revient à la mémoire…

J
uste après mon bac, je me suis inscrite à la fac en licence de japonais. Une évidence pour moi, passionnée par la culture nippone depuis toute petite. Dans le cadre de ce cursus, j’ai dû partir pendant tout un semestre dans la banlieue de Tokyo.

Il faut savoir que dans ce pays les gens sont extrêmement disciplinés, et il est inconcevable de se comporter comme un occidental.
A titre d’exemple, les retards sont à proscrire totalement, cela serait considéré comme un manque de respect. Il faut aussi être toujours très ordonné, très propre. Hors de question de manquer une douche ou de ne pas faire son lit.
Malheureusement, la discipline n’a jamais été mon fort ce qui m’a valu quelques déboires.

Mon arrivée sur place se passa plutôt bien. La maison pour les étudiantes, que l’on appelait la kishukusha, était agréable, et le dortoir, toujours illuminé d’une lumière naturelle, donnait sur un magnifique jardin remplis de cerisiers en fleurs.

Je fis rapidement la connaissance de mes colocataires (que des filles et la plupart japonaises) qui étaient sympathiques et ouvertes. J’ai aussi rencontré la dame qui s’occupait de nous et de notre maison, une personne très stricte, Saori San. J’ai malheureusement pris un mauvais départ avec elle, et j’ai eu droit à des remontrances dès le premier jour.
Elle était grande, avait des longs cheveux noirs parfaitement lissés et surtout… un regard sévère, on aurait dit qu’elle était en permanence contrariée.
Je m’efforçais alors du mieux que je pouvais de lui plaire, en étant bien obéissante et serviable. Après tout, elle s’occupait de tous nos repas et du linge, la moindre des choses était de se comporter de manière irréprochable avec elle.

J’ai de très bons souvenirs, la bonne odeur des sushis et des shukurimi à la cuisine, les fous rires dans les douches, les soirées karaokés endiablées et les sorties nocturnes au parfum de saké dans la capitale.

Mais mon souvenir le plus mémorable me renvoie à un moment peu glorieux de mon histoire.
Un jour, Saori San est venue me gronder pour ne pas avoir bien rangé mes affaires.
- Regarde ce que j’ai trouvé sur le sol ! Kimonos, livres et j’en passe ! Je suis très déçue de toi Lili San. C’est inadmissible un tel comportement à ton âge !
J’utilisais la formule la plus polie pour m’excuser (il y en a une dizaine différentes en fonction du degré de l’offense, et de la personne à qui l’on s’adresse)
- Moshiwakéarimassen ! Je vais le faire tout de suite. C’est la dernière fois je vous le promet ! Pardon, pardon…
Je m’inclinais le plus possible devant elle, le dos et la tête baissée car c’est d’usage lorsque l’on s’excuse là-bas.
- Tout de suite, dépêche toi. Tu as intérêt à obéir, Lili San !
Elle poussa un soupir et s’en alla, et je m’affalais sur mon futon au sol, le cœur battant la chamade tant son sermon m’avait remuée.

Je m’apprêtais à ranger mes affaires, quand les autres filles du dortoir arrivèrent. Elles insistèrent pour que j’aille à la douche avec elles, et me conseillaient de ranger mon coin de chambre après ça. Je me laissais convaincre, j’avais encore le temps de ranger pendant que Saori San préparerait le déjeuner. Nous nous rendîmes à la douche, en fil indienne, à la shawa commune. Je me lavais, m’habillais et revins à la chambre en prenant tout mon temps.

Mais une surprise m’attendait là.
Saori San, assise sur une chaise, droite comme un I.
- Ta chambre n’est pas rangée Lili San. Je t’avais pourtant prévenue !
Je baissais la tête, j’avais vraiment honte de moi. Je lui présentais mes excuses à nouveau.
- Pardon j’allais le faire, je vais le faire tout de suite, pardon…
- J’ignore comment les choses se passent en France, mais ici lorsqu’une jeune fille désobéit plusieurs fois de suite, elle est sévèrement punie. Et tu vis ici maintenant. Tu vas donc recevoir une bonne fessée.
- Une…fessée… mais…
- Parfaitement. Une fessée déculottée.
Elle ne me laissa pas le temps de réagir, elle se leva, m’agrippa fermement par le bras, souleva ma jupe et baissa ma culotte jusqu’au genoux. Je devins toute rouge de honte, en sentant l’air frais sur mes fesses nues. J’avais peur, c’était ma toute première fessée que je m’apprêtais à recevoir.
Elle me bascula sur ses genoux, et me donna une bonne fessée déculottée, longue et humiliante.

Je me suis souvent imaginée la façon dont je devais avoir l’air ridicule en gesticulant, en suppliant, implorant, gémissant, sans dignité aucune. Mes fesses nues exposées sur ses genoux, la culotte glissant de plus en plus bas le long de mes jambes, alors que je prenais peu à peu des couleurs sous les claques.

Elle s’arrêta au milieu de la fessée, laissa sa main posée sur mes fesses et me gronda à nouveau. « Tu devrais avoir honte ! J’espère que cette fessée va te remettre les idées en place Lili San ! » avant de reprendre la fessée de plus belle. Mes fesses me piquaient terriblement, Saori San n’y allait pas de main morte.

Une fois la fessée terminée, les yeux humides et les fesses bien réchauffées, je tombais à ses pieds.
Une compagne de chambre entra à ce moment précis, poussa un « Ooh » d’effroi et de surprise, et Saori San lui demanda de rester car elle allait avoir besoin de son aide.

Elle m’aida à me relever, me donna une bonne claque bien sonore sur les fesses pour me faire avancer.
- Va au coin, culotte baissée. Et toi Hishiro, surveille là, elle doit rester les fesses nues pendant 15 minutes.
Je n’en voulu pas à Hishiro qui fixa mes fesses tout le long de ma pénitence.
Étudiante en art, elle dessina la scène et immortalisa ce moment à jamais.

Saori San revint ensuite pour lever ma punition et me demanda de venir me pencher sur le bureau en vue de m’appliquer une crème apaisante sur les fesses. C’est aussi la position qu’elle nous faisait prendre quand on était malade et qu’elle voulait vérifier notre température, mais je ne l’ai découvert que plus tard. Cela me gêna qu’elle le fasse devant les autres filles, car certaines n’arrivaient pas à s’empêcher de rire, mais je ne voulais pas la contrarier à nouveau en disant quelque chose. Il me fallait lui obéir sans me plaindre. Recevoir la fessée m’avait rendue humble.

Malgré l’humiliation, je n’ai jamais autant ressenti autant d’apaisement dans le coeur. Quelqu’un s’occupait de moi… de mon corps et de mon âme.

Elle me pris ensuite dans ses bras tout en me donnant de petites claques sur les fesses et en disant « c’est fini, c’est fini… »

A l’époque je ne l’ai pas fait mais aujourd’hui, je dirais merci à Saori San. J’avais bien mérité cette fessée déculottée, et elle n’a fait que son devoir.



Avertissement 🔞

Ce site est strictement réservé aux adultes.

Il est question de pratiques entre adultes consentants.

J'ai plus de 18 ans