L'école de danse M.C.

L'école de danse M.C.

C'était sa première journée à l'École Supérieur de Danse Marie Clarck dite M.C.

L'an passé Laure avait connu un échec à l'entrée du concours pour l'opéra de Paris, malgré sa scolarité entière à l'école de danse de l'opéra de Paris, la voie la plus sûre pour préparer ce concours. Et comme elle avait maintenant plus de 18 ans à cette rentrée, le redoublement était impossible dans son ancienne école aux places limitées.

L'école M.C, après l'école de l'opéra qu'elle venait de quitter, était l'établissement qui présentait le meilleur taux d'acceptabilité des dossiers pour rentrer à l'Opéra. C'était donc sa meilleure, peut être même sa seule dernière chance.

Elle apprenait la danse au conservatoire depuis ses 6 ans, elle avait toujours rêvé d'intégrer l'opéra de Paris. Elle n'allait pas remettre en cause ses rêves pour un seul échec ! Elle n'était pas prête à changer cette idée. Et tant de ses amies de son ancienne école avaient été prises à l'opéra ! Elle en était verte de jalousie, surtout qu'elle ne s'estimait pas moins bonne qu'elles !

Elle écoutait le discours de sa nouvelle principale, Mme Fudges, qui présentait l'école et le programme de cette année :

"Le métier de danseur se vit comme une passion, un mode de vie, un art, où la sensation d'avoir quelque chose à transmettre prime sur la performance. Mais la technique n'est pas à négliger. Danser demande du talent, certes, mais aussi beaucoup de travail, d'efforts et de persévérance. Le corps est soumis à rude épreuve, de même que le mental. Car le danseur enchaîne échauffements, auditions, répétitions et représentations dans un esprit de compétition.
C'est pourquoi pour vous préparer convenablemenr à votre futur métier vos emplois du temps seront très complets et pour pouvoir les assurer dans les meilleures conditions notre école applique une certaine discipline..."

Laure connaissait la réputation de sévérité de l'école. Certains anciens élèves déchus s'étaient même plaints de châtiments corporels. Elle pensait cependant que cette appellation était exagérée.
Elle avait fait les petits rats de l'opéra et après tout quel professeur de danse classique n'utilisait jamais sa baguette pour cingler une cuisse ou une fesse afin de corriger une posture ou de faire cesser un bavardage ?
Elle connaissait surtout le niveau de réussite de l'Ecole M.C. Elle savait qu'il lui faudrait travailler dur mais elle se donnait un an pour réussir le concours. Les matières enseignées à M.C étaient multiples et finalement après toutes ces années à l'école de l'opéra, elle était satisfaite de découvrir une nouvelle école, de nouveaux professeurs et de nouvelles méthodes pour approfondir sa technique et ses connaissances.

Plongée dans ses rêveries, elle avait perdu le fil du discours de Mme Fudges et fut bien en peine de répondre à sa demande lorsque celle-ci l'interpella.
"- Mlle Laure Duprès pouvez-vous m'indiquer ce que je disais concernant le règlement ?
- Euh... pas mot à mot... déglutit-elle.
- Donc dès votre premier jour de cours vous ne vous donnez pas la peine d'écouter mes consignes ? Vous pensez peut-être que le règlement ne s'applique pas à vous ?
- Non bien sûr...
- Bien sûr que quoi Melle Duprès ?
- Bien sûr que le règlement s'applique également pour moi... répondit-elle gênée. Laure commençait à transpirer et n'aimait pas du tout la tournure que prenait la conversation, ni que toute l'attention de la classe soit ainsi tournée vers elle.
Face au silence qui s'installait et à cours d'argument, elle finit par ajouter d'une voix mal assurée,
- Je m'excuse Mme Fudges...
- On ne s'excuse pas soit même, un veuillez m'excuser aurait donc mieux convenu souligna Mme Fudges en la fixant à travers ses lunettes. Puis elle ajouta, je pense qu'une petite discussion chez notre directeur vous fera le plus grand bien pour mieux comprendre le fonctionnement de notre école et ce que nous attendons de nos élèves en matière de savoir-être. Vous vous y rendrez ce soir à 17h, je serai également sur place pour expliquer la situation."
Et sans attendre de réponse de sa part elle enchaina sur la suite de sa présentation.

"Comme je le disais les horaires sont stricts les petits déjeuners ont lieu à 7h le matin et l'extinction des feux se fait à 22h le soir, il n'est pas question de voir de la lumière encore allumée ou d'entendre des bavardages après cette heure.
Par contre à 7h nous vous conseillons d'être déjà prêtes pour être à l'heure au cours de 7h30. Il vous faudra manger léger pour les cours de danse de la matinée et une collation vous sera proposée à 10h. L'après-midi est réservée aux cours théoriques..."

Laure ne suivait de nouveau plus, toute à ses pensées du rendez-vous de la fin de journée. Se faire remarquer ainsi dès le premier jour, c'était bien sa veine...

Elle passa le reste de la journée avec moins d'entrain. Seule la remise de ses tenues lui fit momentanément oublier sa mésaventure.
Elle disposait de justaucorps à tutu de plusieurs couleurs pour les cours de danse et d'un jeu de l'uniforme de l'établissement composé d'une jupe plissée courte bleue marine et d'une petite chemise avec l'écusson de l'école pour les cours théoriques. Des sous-vêtements blancs étaient également fournis. Elle pourrait également porter cet uniforme à l'extérieur si elle le souhaitait, pour représenter l'école, mais devrait alors avoir une conduite adaptée à l'image de l'école.

La journée se termina assez tôt pour leur permettre et s'installer dans leur chambre et de ranger leurs affaires. Elle tournait en rond avant l'heure fatidique des 17h.
Elle avait mis son uniforme et se rendit au bureau du directeur bien à l'heure. À 17h elle tapa à la porte.
- Veuillez entrer ! 

Mme Fudges était déjà là, à discuter avec M. le directeur. Si Mme Fudges était proche de la retraite, cheveux gris en chignon serré et lunettes écaille tenues par une cordelette, M. Durand était plutôt jeune pour une personne occupant un poste de directeur d'une école de cette ampleur. Tout juste dans la quarantaine, il portait une chemise et un pantalon bien taillé. 

- Ah Mademoiselle Duprès vous arrivez bien, Mme Fudges venait juste de finir de m'expliquer le motif de votre convocation. Pouvez-vous nous donner votre version des faits ?

M. Durand et Mme Fudges était assis dernière un grand bureau. Comme il ne lui avait pas donné l'autorisation de s'asseoir, Laure resta debout de l'autre côté du bureau. Cette question de but en blanc, la déstabilisa.
Mal à l'aise, elle baissa la tête et répondit :
- J'ai perdu le fil de la présentation de Mme Fudges...
- Vous n'écoutiez donc pas ? Et vous pensez réussir vos études dans notre école sans être un minimum concentrée ?
- Je ferai plus attention désormais...
- Vous savez que notre école ne peut se permettre de garder des élèves dissipées. Nous avons une file d'attente importante pour l'admission et si nous estimons qu'une autre personne a de meilleures chances de réussite nous n'hésiterons pas.
Laure devint blême, ils n'allaient tout de même la renvoyer le premier jour.
- Est-ce que vous êtes prête à nous montrer davantage de motivation et d'implication personnelle ?
- Oui bien sûr.
M. Durand s'était maintenant levé et était passé de son côté du bureau pour la regarder fixement.
- Vous savez que notre école est stricte. Eh bien pour corriger ce genre d'imperfection nous utilisons les méthodes à l'ancienne. Ce sont celles qui ont fait leur meilleure preuve. Ici les manquements au règlement sont corrigés par moi-même, avec une vraie fessée.

Laure n'en croyait pas ses oreilles, les rumeurs qui couraient sur cet établissement étaient donc fondées !
- J'utilise le plus souvent le martinet, même si je peux varier d'instrument précisa-t-il. 
Il l'a regarda dans les yeux pour voir si elle comprenait l'implication des informations qu'il était en train de lui fournir.
- Soit vous acceptez votre punition, soit vous pouvez refaire votre valise pour partir, est-ce bien clair ?
Une fessée au martinet ! se dit-elle
Comme elle ne répondait pas, M. Durand poursuivit :
- J'ai lu votre dossier, vous avez raté le concours d'entrée à l'opéra de peu, mais ce sont vos manques d'attention qui vous ont fait rater cette opportunité. Vous avez une bonne technique mais vous manquez de régularité. Or un employeur ne peut se permettre de prendre une danseuse peu fiable. Il préférera prendre une autre personne, constante, même si elle est moins douée que vous.

Laure n'en revenait pas d'une telle connaissance de son parcours ! Elle était à la fois flattée d'une telle attention et qu'on reconnaisse d'une certaine façon qu'elle était douée mais elle était aussi vexée qu'on lui rappelle cet échec et que le directeur estime mieux qu'elle les raisons de cette infructuosité.

Elle ne disait toujours mot, pendant que le directeur poursuivait.
- À nos élèves les plus prometteurs mais à qui comme vous, il manque un élément important de compétence, nous proposons des tutorats personnalisés. M. Bill notre professeur de danse classique assure des compléments techniques, Mme Fudges fait également des cours supplémentaires de maintien et de culture générale. Nous avons d'autres professeurs, au cas par cas, en fonction des besoins particuliers de l'élève. Mais dans votre cas un tutorat avec moi-même conviendrait le mieux.
Il expliqua :
- Il vous manque de la rigueur envers vous-même. Lors de ce tutorat nous fixerions un rendez-vous hebdomadaire, le vendredi soir dans l'idéal, pendant lequel vous me rapporterez les fautes que vous avez commises.  En effet qui mieux que vous-même peut connaître vos manquements et ce que vous souhaitez améliorer ? Mme Fudges ne sera pas toujours sur votre dos. Il faut que vous vous impliquiez pour que vous réussissiez. 

Elle n'en revenait pas, il lui proposait un tutorat pour recevoir plus de fessées !

Elle qui avait déjà du mal à admettre qu'elle allait devoir en recevoir une...
Elle hésitait à quitter ce bureau, faire sa valise et ne plus revenir. Mais la voix du directeur avait quelque chose d'envoûtante et elle savait au fond qu'il avait raison. Elle avait besoin d'être reprise en main... Et elle ne pouvait pas laisser sa seule chance d'entrer à l'opéra de Paris.
- Que décidez-vous ?
Elle eut du mal à articuler.
- Et les semaines où je ne ferai pas de faute ?
- Évidemment s'il n'y a pas de faute pour lesquelles vous estimez mériter une punition, il n'y aura pas de fessée. Mais dit-il d'une voix contrite, vu votre comportement d'aujourd'hui je crains que cela ne prenne quelques mois avant que vous n'ayez un comportement adapté certaines semaines.
- Et est-ce que je peux décider pour le tutorat après avoir reçu ma punition d'aujourd'hui ?
- Il est normal de savoir à quoi vous vous engagez, c'est une sage décision. Pour aujourd'hui comme vous avez désobéi pendant le cours de Mme Fudges celle-ci assistera à votre punition. Pendant le tutorat, j'administrerai seul les corrections.
- Si vous acceptez votre punition vous devez la demander et puis vous mettre en position devant le bureau, votre buste courbé dessus et votre jupe relevée. Sinon vous pouvez vous retirer pour récupérer vos affaires.
Elle s'exécuta péniblement :
- Je vous prie de me donner la fessée que j'ai méritée pour mon mauvais comportement dit-elle rouge comme une pivoine.
Et elle s'installa comme demandé, offrant son derrière à la future fessée.

M. Durand récupéra le martinet rangé dans un tiroir et s'approcha de Laure.
Il commença par lui baisser sa culotte bien en dessous des fesses.
- Une bonne fessée est toujours déculottée commenta-t-il.
Elle ne s'attendait pas à çà mais n'eut pas le temps de protester que la fessée débuta. Le martinet s'abattit sur ses fesses. Elle reçut une quinzaine de fois ces lanières qu'elle ressentait de plus en plus fort. Le martinet lui chauffait bien le derrière, et lui cinglait également le haut des cuisses.
Les derniers coups la firent trépigner sur place. Puis les coups s'arrêtèrent, lui laissant le derrière brûlant.
- Vous venez donc de découvrir la danse du martinet déclara M. Durand d'une voix satisfaite. Maintenant relevez-vous, enlever culotte, chaussettes et chaussures et mettez vous devant la barre.

Une barre de danse se trouvait sur le côté de la pièce avec un miroir et un tapis devant.
- Mais je n'ai pas mon tutu !
C'était une remarque un peu bête, mais ce fut la seule chose qui lui vient, l'esprit encore embrumé par sa correction et ne sachant pas ce qui l'attendait encore.
- Je ne vais rien vous demander de bien compliqué, votre jupe courte fera tout à fait l'affaire.

Elle fit ce qui lui avait demandé, et la jupe de l'uniforme rabaissée sur ces fesses nues rougies, vint se présenter devant la barre.

Il se mit dans son dos et continua ses instructions :
- Vous aller me faire 5 extensions de jambes sur la barre avec étirement du buste et des bras au niveau des pieds sur la barre. La même chose de chaque côté en prenant votre temps.

Et pendant qu'elle se mettait en place, il commença son sermon.
- Les rêveries que vous avez dans la tête doivent transparaître uniquement lorsque vous dansez, tout en restant concentrée. Tous ce que vous vivez doit vous inspirer et se ressentir dans vos mouvements, de manière à faire vibrer vos spectateurs....

La position prise faisait relever sa jupe dévoilant le bas de ses fesses nues et ses cuisses encore marquées et sur lesquelles il appliqua un petit coup de baguette, sortie d'on ne sait où, et qu'il avait bien en main.
Elle émit un petit sursaut de surprise sous l'impact mais resta en place.
Et il continua d'alterner petites cinglades et sermon au fur et à mesure qu'elle poursuivait sa série d'étirement. Elle se sentait à la fois très vulnérable et extrêmement désirable dans cette position. Elle sentait le tissu de sa jupe remonter selon ses mouvements, dévoilant plus ou moins son derrière. Le directeur profitait des remontées pour la cingler. Les cinglades n'étaient pas très fortes mais après sa fessée au martinet, elle les sentait suffisamment ! Et surtout elle trouvait cela très humiliant.
 
-  Vous avez une bonne technique mais maintenant il faut donner plus à vos spectateurs, on attend de vous une véritable mise à nue de vous-même lorsque vous dansez. 
Sur ces conseils, il lui cingla une nouvelle fois la peau de ses fesses.
Et elle termina sa série d'étirements, toute troublée.

- Pour finir mettez vos mains à terre devant vous.
Ainsi pliée en deux, sa jupe remontait au maximum laissant ses fesses nues et son intimité bien visible. Il lui assena deux derniers coups un peu plus forts.

- C'est finit, maintenant vous allez au coin, là en face que l'on vous voit bien!
Elle s'installa mais il repassa rapidement derrière elle, il lui remonta de nouveau sa jupe qu'il bloqua dans l'élastique et lui asséna deux claques sur ses fesses de nouveau nues.

- Le coin c'est toujours déculottée, en tant que jeune fille aussi peu sage vous devriez le savoir !
Elle rougit de plus belle.
Et pendant qu'elle était au coin, elle entendit la voix de Mme Fudges dont elle avait complètement oublié la présence.
- C'était une bonne correction je pense qu'elle aura retenu la leçon pour un moment.
- Jusqu'à la prochaine fois... car je crains qu'une seule fessée ne suffise pas.
- En tout cas son derrière est bien rougi et elle s'est bien trémoussée. C'est déjà la preuve qu'elle l'a sentie passer. Elle sera plus attentive à mon prochain cours je vous l'assure !

Elle avait honte que l'on parle ainsi de sa fessée derrière elle, comme si elle n'était pas là ! mais à la fois elle avait apprécié être au centre de l'attention du jeune directeur, que sa réussite ne compte pas que pour elle mais que ses progrès intéressent également une autre personne qui soit capable de la reprendre en main si nécessaire.

C'est ainsi qu'à la fin du coin, lorsqu'il lui fut permis de se relever, elle conclut à la question de M. Durand.
- J'accepte le tutorat.



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