Des retrouvailles cuisantes
Je sortais d’une longue réunion sur les nouvelles missions de notre entreprise naissante, fatiguée en cette fin de semaine, mais ce soir mon fiancé était de retour. Aussi, une fois à la maison, une nouvelle énergie se dégagea de moi et j’entrepris de prendre mon bain et de me faire belle : me recoiffer, me maquiller, choisir une jolie robe bleue. Une fois cette tâche accomplie, il était déjà l’heure, et il arrivait. Après un petit apéritif pour prendre des nouvelles avec mes parents, nous nous dirigeâmes vers un petit restaurant indien qui venait d’ouvrir, autour d’un plat épicé je buvais ses paroles, me retrouvant dans les immenses steppes glacée qu’il venait de traverser au cours de la semaine, sous son regard enjoué et amoureux. Le repas terminé, bien que le temps ait filé nous n’avions toujours pas fini notre conversation et nous décidâmes de la finir autour d’un verre dans un café. Quand enfin nous avions fini et nous apprêtions à regagner nos pénates, des amis à lui firent irruption ce qui eut la conséquence de nous retarder. Dépitée, mon impatience se fît sentir, adoptant un air bougon je commençais à me permettre des remarques insolentes et hautaines, pour manifester mon désagrément. Aussi, au bout d’un moment, il se détourna de sa conversation et me rappela à l’ordre et m’envoya me calmer dans la voiture, à défaut de pouvoir m’envoyer au coin sur place. Isolée dans le voiture, je boudais tout en réfléchissant à la portée de mes actes, il n’était pas du genre à laisser passer ce genre d’actes puérils.
Quand il finit enfin par arriver, il avait pris son air sévère. « Mademoiselle a eu le temps de réfléchir à son comportement ?» commença-t-il. Rougissant je lui bredouillais que oui. « Je n’en espérais pas moins » poursuit-il, « mais tu es consciente que je peux laisser passer ce genre d’attitude, je serai obligé de te donner une fessée quand nous serons de retour ! ». Je tentais de me défendre les yeux baissés, mais il se montra inflexible me rappelant que c’était le seul moyen approprié pour punir ces insolences. Le reste du court trajet se fît dans le silence et je l’accompagnai docile dans son appartement. Il me laissa le temps de me rafraichir avant de le rejoindre au salon pour reparler de tout ça. Avec une certaine anxiété je finis par me rendre au salon, il s’installa sur le canapé, me fît venir auprès de lui et entama une leçon de morale sur le comportement en société, l’impatience et l’insolence. En me sentant rougir, je dus reconnaitre mettre mal comportée et m’excuser en le regardant dans les yeux. « Heureux de te l’entendre dire » me dit-il, « mais ce comportement digne d’une gamine capricieuse, mérite la punition lui correspondant : une bonne fessée ! ». Sans me laisser répliquer il me bascula sur ses genoux, remonta sa manche et m’administra quelques claques sèches sur ma robe, m’arrachant quelques cris indignés. Puis il fit une pause et me rappela qu’une fessée s’appliquait sur les fesses nues quand on faisait des caprices surtout en public et remonta ma robe sur mes reins, découvrant une jolie culotte en dentelles bleue. Déstabilisée par la tournure des événements, je tentais de lui dire j’avais bien compris et que ça ne se reproduirait plus. Mais sans prêter attention à mes suppliques, il descendit ma culotte en me disant « tu sais très bien que l’insolence mérite une fessée déculottée, tu l’as déjà appris à tes dépends, et comme tu le vois cela peut encore t’arriver ! ». J’admis qu’il avait raison et que j’étais désolée de m’être laissée emportée. Sa main caressa tendrement ma croupe offerte, puis il reprit son office en distribuant des claques régulières d’une fesse à l’autre. La morsure particulière des claques peau sur peau me crispa faisant directement monter la chaleur sur mon derrière. Son autre main me maintint ferment pour que je ne gigote pas trop, tandis que l’autre battait la cadence. Focaliser sur mes fesses, le souffle court je sentais une brûlure croitre et irradier mes fesses et mon esprit, je serais les dents essayant de retenir mes cris. Au bout de quelques minutes l’orage s’interrompit et je pus reprendre mon souffle, une larme roulant sur ma joue avec le relâchement. Il m’attrapa le menton et me dit : « Mademoiselle a compris ? Elle sera sage ce weekend ? ». Je lui assurai, il me fit un bisou sur le front et m’envoya au coin en pénitence. Pendant que j’attendais immobile, face au mur, les fesses toujours dénudées, je sentais l’intense chaleur de mes fesses se répandre au fond de moi et griser mon esprit. Quand je fus enfin autorisée à me retourner il me prît dans ses bras et me câlina et me pardonna, puis m’invita à le rejoindre pour découvrir les cadeaux qu’il m’avait rapportés.
Quand il finit enfin par arriver, il avait pris son air sévère. « Mademoiselle a eu le temps de réfléchir à son comportement ?» commença-t-il. Rougissant je lui bredouillais que oui. « Je n’en espérais pas moins » poursuit-il, « mais tu es consciente que je peux laisser passer ce genre d’attitude, je serai obligé de te donner une fessée quand nous serons de retour ! ». Je tentais de me défendre les yeux baissés, mais il se montra inflexible me rappelant que c’était le seul moyen approprié pour punir ces insolences. Le reste du court trajet se fît dans le silence et je l’accompagnai docile dans son appartement. Il me laissa le temps de me rafraichir avant de le rejoindre au salon pour reparler de tout ça. Avec une certaine anxiété je finis par me rendre au salon, il s’installa sur le canapé, me fît venir auprès de lui et entama une leçon de morale sur le comportement en société, l’impatience et l’insolence. En me sentant rougir, je dus reconnaitre mettre mal comportée et m’excuser en le regardant dans les yeux. « Heureux de te l’entendre dire » me dit-il, « mais ce comportement digne d’une gamine capricieuse, mérite la punition lui correspondant : une bonne fessée ! ». Sans me laisser répliquer il me bascula sur ses genoux, remonta sa manche et m’administra quelques claques sèches sur ma robe, m’arrachant quelques cris indignés. Puis il fit une pause et me rappela qu’une fessée s’appliquait sur les fesses nues quand on faisait des caprices surtout en public et remonta ma robe sur mes reins, découvrant une jolie culotte en dentelles bleue. Déstabilisée par la tournure des événements, je tentais de lui dire j’avais bien compris et que ça ne se reproduirait plus. Mais sans prêter attention à mes suppliques, il descendit ma culotte en me disant « tu sais très bien que l’insolence mérite une fessée déculottée, tu l’as déjà appris à tes dépends, et comme tu le vois cela peut encore t’arriver ! ». J’admis qu’il avait raison et que j’étais désolée de m’être laissée emportée. Sa main caressa tendrement ma croupe offerte, puis il reprit son office en distribuant des claques régulières d’une fesse à l’autre. La morsure particulière des claques peau sur peau me crispa faisant directement monter la chaleur sur mon derrière. Son autre main me maintint ferment pour que je ne gigote pas trop, tandis que l’autre battait la cadence. Focaliser sur mes fesses, le souffle court je sentais une brûlure croitre et irradier mes fesses et mon esprit, je serais les dents essayant de retenir mes cris. Au bout de quelques minutes l’orage s’interrompit et je pus reprendre mon souffle, une larme roulant sur ma joue avec le relâchement. Il m’attrapa le menton et me dit : « Mademoiselle a compris ? Elle sera sage ce weekend ? ». Je lui assurai, il me fit un bisou sur le front et m’envoya au coin en pénitence. Pendant que j’attendais immobile, face au mur, les fesses toujours dénudées, je sentais l’intense chaleur de mes fesses se répandre au fond de moi et griser mon esprit. Quand je fus enfin autorisée à me retourner il me prît dans ses bras et me câlina et me pardonna, puis m’invita à le rejoindre pour découvrir les cadeaux qu’il m’avait rapportés.