C'est le bazar ici !

C'est le bazar ici !

C
e matin je suis pressée, j’ai révisé toute la nuit pour mes examens et ce soir, enfin, je suis en week-end. Je passe donc en coup de vent dans la salle de bain pour avoir une allure présentable, même si sur ma copie personne ne saura jamais que j’ai n’ai pas coiffé mes cheveux depuis deux jours car je n’arrive pas à retrouver ma brosse.

Finalement je sors de mon appartement rapidement en laissant trainer ma tasse de café que je n’ai pas eu le temps de finir et je n’ose même pas repenser à l’état dans lequel j’ai laissé ma chambre. Ce n’est pas très grave, j’aurai largement le temps de ranger mon appartement ce soir ou demain matin, avant l’arrivée de Monsieur.

Un peu plus tard, après avoir passée 4 heures à plancher sur ma copie, je m’offre enfin un petit moment de calme avec mes camarades devant une bière bien méritée. Une anecdote de révision en entrainant une autre, nous avons décidé de reprendre plusieurs verres et de finir en boite de nuit.

C’est aux environs de 6 heures du matin que je retourne chez moi avec une sacrée gueule de bois. Devant mon immeuble je ressens une étrange impression de panique mais n’arrive pas à comprendre pourquoi, je décide de ne pas y prêter attention et me dépêche de rentrer me reposer un peu pour être présentable devant Monsieur que je dois accueillir à la gare en début d’après-midi. C’est au moment d’arriver au niveau de ma porte d’entrée que l’angoisse me reprend en constatant que celle-ci n’est pas fermée à clé. Je regarde rapidement à l’intérieur et pénètre dans mon salon sans un bruit avant de trébucher sur une paire de bottine qui trainait là depuis quelques jours.

- Merde, qu’est-ce qu’elles font ici celles-là.

Mon sang ne fit qu’un tour en entendant un rire grave provenant de ma chambre.

- C’est très amusant, je me suis fait exactement la même réflexion.

Mais qu’est-ce qu’il fait ici ? Comment est-il entré ?

- Mons… Monsieur ? Qu’est ce que … Enfin comment ?
- C’est vraiment la première chose que tu as envie de me dire ?

Je suis vraiment mal, je peux voir dans son regard qu’il est furieux et il y a largement de quoi, il m’avait demandé de ranger mon appartement pour être dans de bonnes conditions pour mes révisions. En plus de ça mon état d’ébriété est flagrant, il va enrager.

- Bonjour Monsieur. Je suis surprise de vous voir si tôt.
- Bonjour jeune fille.

Il m’aide à me relever et prend quelques instants pour plonger ses grands yeux bleus dans les miens. Je peux sentir à sa poigne que la suite de cette journée ne va pas être plaisante pour moi.

- Alors comme ça tu es surprise de me voir. Ça fait toujours plaisir, je devrai peut-être te laisser alors.
- Non Monsieur, je suis désolée. Bien sur je suis heureuse de vous voir.

Je lui fais mon plus sincère sourire mais je sens que la pièce qui m’entoure tangue et manque de tomber avant de sentir ses bras protecteurs me retenir.

- Viens. Tu n’es pas en état d’être punie. Tu vas dormir un peu et nous en parlerons plus tard.
- Je suis désolée Monsieur, je ne voulais vraiment pas vous accueillir dans ces conditions je ..
- Chut, va te coucher. Je t’apporte une aspirine.

Je me sens mal, il a l’air furieux et en même temps très calme, ce qui n’augure rien de bon pour moi.
Je me dirige donc vers mon lit et me couche tout habillée, quelques minutes plus tard, mes paupières commencent à se fermer et je sens la présence de Monsieur à mes côtés puis me rendors profondément.

- Allez jeune fille, il est temps de se réveiller.

J’ouvre difficilement les yeux et aperçoit Monsieur au-dessus de moi, il me caresse les cheveux et un léger sourire apparaît sur son visage.

- Bonjour Monsieur.
- Ahah, je dirai bonsoir plutôt, il est bientôt 17H jeune fille.
- J’ai dormi tout ce temps ?
- Tu avais du sommeil à rattraper à ce que je vois.

Cette réflexion me fait baisser les yeux. Je me relève pour m’assoir sur mon lit et Monsieur me tend un verre d’eau et une aspirine, que j’avale immédiatement.

- Comment tu te sens ?
- Plutôt bien vu les circonstances Monsieur.
- Bien. Tu te doutes que ta petite sieste ne m’a pas fait oublier l’état dans lequel j’ai trouvé ton appartement en arrivant et tes petits débordements qui t’ont conduit à avoir cette gueule de bois.
- Oui Monsieur.
- Parfait. Avant tout tu vas me ranger tout l’appartement, je te laisse une heure. Pendant ce temps je vais nous trouver de quoi diner car tu n’as rien dans ton frigo. Et saches qu’à mon retour nous aurons une conversation un peu moins plaisante pour toi.
- D’accord Monsieur. Je suis dés..
- Je t’arrête tout de suite, je n’accepterai tes excuses qu’après la sévère fessée que tu mérites.
- Oui Monsieur.
- Une heure. A tout de suite jeune fille.

Je ne perds pas une seconde et m’active au rangement de mon appartement. Je commence par ma chambre qui est vraiment dans un sale état, puis la salle de bain et enfin le salon. Il me reste encore une dizaine de minutes, alors j’en profite pour nettoyer la cuisine.

Quelques minutes avant le retour de Monsieur je décide de passer sous la douche et de m’habiller avec seulement un tee-shirt et une culotte. En l’entendant monter les marches je m’installai à genou, dans le coin de mon salon qui lui permettait de me voir dès son entrée dans l’appartement.
Maintenant je dois respirer et attendre ma punition.

- Bien. A ce que je peux voir tu as rattrapé ta négligence, tu vois que tu peux le faire quand tu y mets de la bonne volonté. Maintenant, viens me rejoindre, nous avons des choses à régler.
Je prends une grande inspiration et me lève, je m’avance vers lui avec appréhension et je peux voir dans son regard qu’il sera intransigeant.
- Je vois que tu as fais l’effort de te changer pour ta punition. Maintenant viens de positionner sur mes genoux jeune fille.

Cette dernière phrase n’attendait aucune réponse, je me positionne donc comme il me l’a demandé. Je le sens caresser mes fesses quelques instants avant de sentir la première claque sur ma petite culotte, s’en suivent une bonne vingtaine de claques qui augmentent en intensité.

- Tu te doutes que ce n’est que le début de ta punition.
- Oui Monsieur.
- Lève-toi s’il te plait.

Je me relève doucement, mes fesses commencent à chauffer. Je le vois me regarder déterminé, il passe ses doigts sous l’élastique de ma culotte et prend le temps de la baisser jusqu’à mes pieds. Il tapote ses genoux pour m’indiquer de me remettre en position. Je prends une grande inspiration avant de l’entendre continuer ma fessée.

- Alors comme ça, tu ne m’écoutes pas quand JE. Clac. TE. Clac. DEMANDE. Clac. DE. Clac. RANGER. Clac, clac, clac.
- Je suis désolée Monsieur. Je ferai attention.
- Je n’en doute pas jeune fille. Après cette fessée je suis sûr que tu auras retenu la leçon. Clac, clac, clac.

Mes fesses me chauffent de plus en plus, je sens sa prise sur moi se resserrer sur mes mouvements involontaires. Je commence à verser quelques larmes. Il continue de me fesser encore et encore, je lui demande pardon mais rien n’arrête sa main qui claque mes fesses.

- COMBIEN. Clac. DE. Clac. FOIS. Clac. JE. Clac. DOIS. Clac. TE. Clac. LE. Clac. REPETER. Clac, clac, clac.

J’éclate en sanglots sur ses genoux et je l’entends reprendre son souffle.

- Bon, je pense que tu as compris qu’il est important de travailler dans un environnement sain. Maintenant tu vas retourner au coin et je viendrai te chercher pour la suite.
- Oui Monsieur.

Il m’aide doucement à me relever de ses genoux et me guide jusqu’au coin. Pendant une dizaine de minutes je n’entends que ma respiration, je ne sais même pas s’il se trouve encore dans la pièce.
Je sens que le feu de mes fesses s’estompe lentement, je me demande depuis combien de temps je suis au coin et ce que Monsieur me réserve pour la suite. Car oui, il y aura une suite, il a été clair là-dessus.

- Bien jeune fille, maintenant tu vas me suivre, nous avons encore des choses à régler.

Il me tient par le bras et je m’aperçois qu’il me conduit jusqu’à ma chambre. Arrivée devant mon lit, il me guide les mains pour les poser à plat devant moi et me demande de réfléchir à ce qui m’a conduit dans cette position. Je commence à trembler en imaginant ce qu’il a préparé puis me retourne pour le voir retirer sa ceinture.

- Non Monsieur, s’il vous plait, pas la ceinture, je serai sage.
- Oh je n’en doute pas jeune fille. Après la punition que je vais te donner j’espère que tu y réfléchiras deux fois avant de refaire des excès. Remets-toi en position immédiatement si tu ne veux pas que je t’en rajoute.

Résignée je me replace dans la position imposée et hoche la tête quand il me demande de compter les coups de ceinture.

- 1. 2. 3 …

Les premiers coups résonnent dans la chambre et me font gémir de douleur, Monsieur n’a pas ménagé sa force, il veut me faire comprendre son mécontentement.

- 4 […] 17. 18. 19. 20.

Je m’effondre sur mon lit en pleurant, j’ai réussi à ne pas bouger pendant les coups mais maintenant j’ai un peu de mal à reprendre mon souffle. Pendant que mes larmes coulent sur mon lit, je sens la présence de Monsieur derrière moi, il me caresse le dos et me demande de me retourner pour lui faire face.

Après cette sévère punition, Monsieur me prend doucement dans ses bras le temps de calmer mes pleurs, il me chuchote qu’il est fier de moi et que ma punition est terminée.

C’est ainsi que, les fesses brulantes, la ceinture au sol, dans les bras de mon fesseur, je m’assoupis apaisée, avec le sentiment d’être tendrement prise en main.



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