
Rencontre avec mon bourreau (2ème partie)
Rencontre avec mon bourreau (2ème partie)
Me voici donc dans cette tenue qui ne cache rien, honteuse devant toi mon mari, mais surtout devant mon bourreau. Je ne peux m’empêcher de baisser les yeux.
- « Oh… très belle robe » … En entendant ces mots sortir de la bouche de BC, ma gêne ne fait que s’accentuer. Je sais très bien ce qui se cache derrière ces mots, ce que mon bourreau a voulu dire… Malgré tout je sens mon puit d’amour s’humidifier. Mais que se passe-t-il ?
- « Bon c’est quoi la prochaine punition ? » Je m’entends dire ces mots sans même me rendre compte de les prononcer. Je crois que je préfère encore avoir mal aux fesses que de me retrouver ainsi dans cette tenue. Constatant ma réelle gêne, je pense que mon bourreau a pitié de moi et cède à ma requête en annonçant la punition suivante.
- « Pour avoir été intenable, impatiente, peste envers votre mari alors que vous attendiez une réponse à un mail, votre mari a décidé que vous serez couchée sur le lit, mains attachées et que vous méritez 50 claques à la main, 50 coups de martinet, 50 coups de nouvelle cravache et 25 coups de lacets ».
- « C’est beaucoup trop mon homme, tu exagères sur ce coup-là ». Mais mon bourreau ne te laisse pas le temps de répondre
- « C’est la punition que votre mari a estimé justifiée, donc il en sera ainsi, ce n’est pas à vous vilaine fille de juger le bienfondé d’une sentence, alors installez-vous et taisez-vous ! » Gloupsss, je m’exécute même si je trouve toujours la punition injuste. Lorsque tu m’attaches les mains, j’en profite pour te lancer un regard noir, que tu saches sans même dire un mot ce que je pense. Mais en retour, je n’ai pour réponse qu’un large sourire sadique me témoignant du malin plaisir que tu prends. Grrr, tu me le paieras, je te jure !!!
Me voici donc couchée sur le lit, mains attachées. Je m’attends à recevoir le premier coup, mais c’est la main de mon bourreau qui vient caresser mes fesses… puis descendre cette culotte que j’avais pris soin de remettre en même temps que j’avais changé de tenue. Zut alors, ça n’a pas marché !
Clac, clac, clac… Voilà, la punition fait son entrée. La main pour commencer… mince alors il ne faiblit jamais ce bourreau ? Il n’a pas mal à la main à force ?… Bah faut croire que non vu l’intensité des claques. Mes fesses, qui s’étaient refroidies durant cette petite pause, se réchauffent immédiatement. Puis le martinet prend le relais… Oups, il est toujours aussi mordant ce martinet. Chaque coup fait se raidir mes fesses, je me pince les lèvres pour m’empêcher de lâcher des gémissements. Vous ne pensez quand même pas que je vais vous donner la satisfaction de me voir gesticuler dans tous les sens et gémir de douleur ? Non mais oh, vous m’avez pris pour qui tous les deux ?... Ouf, terminé. C’est alors que je sens mes jambes s’écarter, c’est toi mon amour qui en profite pour bien avoir vu sur mon sexe et pour y glisser un doigt… Humm c’est bon, mais je ne peux m’empêcher d’imaginer mon bourreau regardant la scène, du coup, j’ai pour réflexe de resserrer les jambes, mais ta main est ferme et tu m’en empêches… Pendant que toi tu me caresses le sexe, BC lui, caresse mes fesses… Tout en éprouvant une certaine gêne, je ne peux m’empêcher d’éprouver du plaisir. Mais cela ne dure pas longtemps, le premier coup de nouvelle cravache vient violemment percuter mes fesses.
- « Aïeeeeeeee, mais ça ne va pas la tête ! » Je ne peux m’empêcher de lâcher ce gémissement tellement je suis surprise par cette douleur aiguë. Mais c’est qu’elle fait mal cette nouvelle cravache. Il faut dire que je l’ai peu reçue jusqu’à présent, puisque mon homme, tu l’as acheté spécialement pour la venue de mon bourreau. Mais comment vais-je faire pour recevoir les 49 coups restants ?… Pas le temps de me poser la question, les coups se suivent très rapidement, et sans faiblir. Mes fesses cuisent comme jamais et je ne peux désormais plus feindre et cacher mes réactions… Je gesticule de plus en plus sur le lit, mais tes mains fermes, mon homme, m’empêchent bien des mouvements et c’est alors que le 50ème coup vient enfin s’abattre sur mon fessier… Oh la vache… J’ai mal. Cette cravache va finir cachée au-dessus de l’armoire, j’te l’dis moi, je ne veux plus la voir mais surtout la sentir sur mes fesses…. Mais j’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que les lacets viennent prendre le relais de la cravache… Bon, sincèrement, après la cravache, les lacets me semblent bien gentils… Ou alors c’est que mon bourreau ne sait pas les utiliser, hihi. Oufff, la punition est enfin terminée. Je sens à nouveau des doigts s’immiscer dans mon intimité et des mains caresser mes fesses… Et comme tout à l’heure c’est un mélange ambigu de sensation qui me traverse.
Mais pas le temps de s’éterniser, BC m’annonce la punition suivante : 30 martinet, 20 ceinture et ce pour t’avoir titiller mon mari en te pinçant les tétons. (Bah quoi, pourquoi serait-tu le seul à avoir le droit de pincer les tétons de l’autre… moi aussi j’aime ça…) Et me voilà de nouveau sur le bord de cette table, toi mon mari me tenant les mains… Mon regard fixe le tien et toujours ce sourire sur ton visage… grrr, arrête de sourire, moi j’ai mal !!!
Clac...clac…clac… Ce fichu martinet fait encore son ouvrage et mes fesses ont de plus en plus de mal à le supporter. Est-ce les coups qui sont plus fort ou est-ce mes fesses qui n’en peuvent plus ? Je ne sais pas, mais ces 30 coups m’en fiche un coup… Oups pardon pour le jeu de mot.
C’est au tour de la ceinture… et là j’avoue que j’appréhende beaucoup plus. Ce bourricot prend à malin plaisir à venir devant moi pour ôter cette satané ceinture de son pantalon… Grrr, si j’osais, si je n’avais pas peur pour mes fesses, croyez-moi, je lui sauterais dessus ! C’est un instrument que je n’aime déjà pas recevoir de ta part, car chaque fois cela me fait d’énormes bleus. Alors comment vais-je le vivre de la part de mon bourreau ? Clac, clac, clac… Ah bah je peux répondre… c’est pire… La douleur est intenable. Décidemment, je n’aime vraiment pas cet instrument de torture. Je sens mes fesses se contracter, s’endolorir… Mais comment est-ce possible de faire si mal ? J’avoue qu’il m’est très dur de recevoir les 20 coups. Là, je te maudis mon mari…. Ouf… terminé.
- « Au coin vilaine fille ». … Comment ça au coin ? Je ne vais jamais au coin… Je trouve ça complètement crétin, puéril, une perte de temps considérable… pas question que j’y aille ! Mais évidemment je n’ose pas le dire directement et reste sur place.
- « Dépêchez-vous, je n’aimerais pas rajouter une punition » … Mais euh… J’aimerais rétorquer, j’aimerais protester… mais la douleur de mes fesses se rappelle à moi et je finis par obéir malgré moi.
- «Mains sur la tête et pas d’appui sur le mur, c’est compris ? »
- « oui, oui ».
- « Pardon, vous avez dit quoi ? »
- « Oui c’est compris Monsieur » Grrr, que je le déteste ce bourreau inflexible. Je me sens idiote à fixer ce mur…. Quoi, vous buvez une bière tous les deux ?… Non mais franchement, vous vous moquez de moi ?.… Allez-y rajoutez-en. La honte !!! Ah si seulement j’osais leur dire tout ça, mais je préfère me taire, de peur que mes fesses ne prennent encore plus.
De temps en temps, tu viens contempler mes fesses, constater la rougeur de celles-ci, toucher mon intimité…. Quoi mouillée ? Mais non ce n’est pas possible, comment ça le serait après tout ce que j’ai reçu, après le mal de fesses que j’ai et avec cette humiliation suprême de me retrouver au coin ? Non, non je ne suis pas mouillée… pourtant en pensant ces mots, je sens très bien que ce que tu me dis est vrai… Gloupsss.
- « Pour avoir frappé votre mari sur le sexe, Il a décidé de vous punir par 25 coups de martinet, 25 de strappe, 35 coups de lacets et pour finir, 25 coups de badine. Le tout attachée sur le lit »… Oh non pas la badine, surtout pas la badine, je déteste la badine et avec ce bourrin de bourreau qui assène les coups avec une telle intensité, mes fesses vont être zébrées comme jamais et la douleur va être intenable.
- « Non je ne veux pas, stp mon amour, pas la badine » … Je te regarde, l’air suppliant, je me dis que tu vas craquer, que tu vas retirer la punition à la badine, mais tu n’as pas le temps de dire quoique ce soit , c’est BC qui s’interpose.
- « Vous prendrez la punition dans son intégralité, votre mari n’a plus son mot à dire c’est ce qu’il a été convenu avant de commencer, pour que justement il ne puisse pas se laisser amoindrir par vos supplications. Je suis votre bourreau, je suis ici pour vous punir, c’est mon travail et croyez-moi, j’irai au bout, alors installez-vous de suite ! »
… Je n’aime pas les mots que j’entends, je déteste ce bourreau… mais contradictoirement, j’aime cette perte de contrôle, j’aime ne rien décider, j’aime cette sévérité, même si je sais que mes fesses vont beaucoup moins l’aimer… Je jette un coup d’œil furtif vers toi et je comprends que tu es soulagé de la réaction vive de ce vilain bourreau. Tu n’as pas eu à décider, il t’a enlevé une sacrée épine du pied. Et je vois également que tu es content de ce qui arrive. Tu voulais que je comprenne et retienne la leçon et tu sais que c’est ce qui va advenir… Tu te charges de m’attacher afin que je ne tente pas de me soustraire à ce qui va arriver. Et je sens mon cœur battre à toute allure, j’ai peur et pourtant je sens une sensation de bien être me parcourir. Comment est-ce possible ?
Clac, clac, clac, la punition commence. Le début est comme le reste, douloureux pour mes fesses qui sont déjà bien sensibles par tout ce qu’elles ont pris, mais bon, ça reste supportable, et à vrai dire, j’angoisse tellement à l’idée de la badine, que vous pourriez m’infliger 500 coups de tout ce que vous voudriez, que ça ne serait rien. Clac, clac, clac… On dirait une danse sensuelle qui se joue entre mes fesses et les différents instruments… Clac… Oups, là le tempo a changé et on est plutôt dans une danse tonique… la badine a enfin fait son entrée, et en fanfare…
- « Aïeeeeeeee, doucement svp » mais c’est comme si je parlais à un sourd, mon bourreau continue la danse à un rythme tantôt rapide, tantôt lent, mais toujours avec une intensité soutenue jusqu’au coup final… Pendant tout ce temps je me tortille, je laisse échapper des cris plaintifs, j’ai mal quoi ! Mais comment pourrait-il en être autrement ? Il ne se rend pas compte ce bourrin que c’est atroce, que c’est intenable ? Il faut croire que non. Là, je ne peux m’empêcher de penser que ce n’est que la première punition à la badine et que je sais pertinemment que tu en as prévu plusieurs ? Comment vais-je tenir ? C’est impensable… J’ai l’impression de sentir la peau de mes fesses se craquer tellement la douleur est effroyable.
- « pitié, stop »… Tiens, ça s’arrête, mon bourreau serait-il enfin à mon écoute ?... Ah bah non, c’est simplement que le 25ème coup est enfin venu percuter mes fesses et ainsi terminer la punition… ENFIN !!!
- « Au coin jeune fille »… Encore ?! Euh, à vrai dire, je crois que j’en suis presque soulagée, au moins, mes fesses se reposent et ne chauffent plus. Je ne suis pas pressée de recevoir la suite… Mais bon, j’ai toujours l’impression d’être cruche à regarder ce mur… Un frisson me parcourt tout le corps, j’ai la chair de poule, je tremble. Je demande la permission de mettre un gilet… demande acceptée, comme quoi mon bourreau sait se montrer compréhensible quand il le veut… (mais ne lui dis pas, je ne voudrais pas qu’il prenne cela quand une marque de faiblesse ou qu’il sache que je lui trouve une qualité.) … Là encore tu viens me voir de temps en temps, me touches les fesses pour sentir la peau, les marques laissées par la badine, contempler l’ouvrage de ce bourreau sans cœur… Un doigt se glisse de temps à autre jusqu’à mon point plaisir, tu le titilles mais sans insister, pas question de me faire jouir… Et puis tant mieux ! Je ne le voudrais surtout pas, pas devant lui, pas devant un inconnu !!! Mais en même temps qu’est-ce que j’aimerais que la punition se termine définitivement et que tu me prennes, là dans la foulée…
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Me voici donc dans cette tenue qui ne cache rien, honteuse devant toi mon mari, mais surtout devant mon bourreau. Je ne peux m’empêcher de baisser les yeux.
- « Oh… très belle robe » … En entendant ces mots sortir de la bouche de BC, ma gêne ne fait que s’accentuer. Je sais très bien ce qui se cache derrière ces mots, ce que mon bourreau a voulu dire… Malgré tout je sens mon puit d’amour s’humidifier. Mais que se passe-t-il ?
- « Bon c’est quoi la prochaine punition ? » Je m’entends dire ces mots sans même me rendre compte de les prononcer. Je crois que je préfère encore avoir mal aux fesses que de me retrouver ainsi dans cette tenue. Constatant ma réelle gêne, je pense que mon bourreau a pitié de moi et cède à ma requête en annonçant la punition suivante.
- « Pour avoir été intenable, impatiente, peste envers votre mari alors que vous attendiez une réponse à un mail, votre mari a décidé que vous serez couchée sur le lit, mains attachées et que vous méritez 50 claques à la main, 50 coups de martinet, 50 coups de nouvelle cravache et 25 coups de lacets ».
- « C’est beaucoup trop mon homme, tu exagères sur ce coup-là ». Mais mon bourreau ne te laisse pas le temps de répondre
- « C’est la punition que votre mari a estimé justifiée, donc il en sera ainsi, ce n’est pas à vous vilaine fille de juger le bienfondé d’une sentence, alors installez-vous et taisez-vous ! » Gloupsss, je m’exécute même si je trouve toujours la punition injuste. Lorsque tu m’attaches les mains, j’en profite pour te lancer un regard noir, que tu saches sans même dire un mot ce que je pense. Mais en retour, je n’ai pour réponse qu’un large sourire sadique me témoignant du malin plaisir que tu prends. Grrr, tu me le paieras, je te jure !!!
Me voici donc couchée sur le lit, mains attachées. Je m’attends à recevoir le premier coup, mais c’est la main de mon bourreau qui vient caresser mes fesses… puis descendre cette culotte que j’avais pris soin de remettre en même temps que j’avais changé de tenue. Zut alors, ça n’a pas marché !
Clac, clac, clac… Voilà, la punition fait son entrée. La main pour commencer… mince alors il ne faiblit jamais ce bourreau ? Il n’a pas mal à la main à force ?… Bah faut croire que non vu l’intensité des claques. Mes fesses, qui s’étaient refroidies durant cette petite pause, se réchauffent immédiatement. Puis le martinet prend le relais… Oups, il est toujours aussi mordant ce martinet. Chaque coup fait se raidir mes fesses, je me pince les lèvres pour m’empêcher de lâcher des gémissements. Vous ne pensez quand même pas que je vais vous donner la satisfaction de me voir gesticuler dans tous les sens et gémir de douleur ? Non mais oh, vous m’avez pris pour qui tous les deux ?... Ouf, terminé. C’est alors que je sens mes jambes s’écarter, c’est toi mon amour qui en profite pour bien avoir vu sur mon sexe et pour y glisser un doigt… Humm c’est bon, mais je ne peux m’empêcher d’imaginer mon bourreau regardant la scène, du coup, j’ai pour réflexe de resserrer les jambes, mais ta main est ferme et tu m’en empêches… Pendant que toi tu me caresses le sexe, BC lui, caresse mes fesses… Tout en éprouvant une certaine gêne, je ne peux m’empêcher d’éprouver du plaisir. Mais cela ne dure pas longtemps, le premier coup de nouvelle cravache vient violemment percuter mes fesses.
- « Aïeeeeeeee, mais ça ne va pas la tête ! » Je ne peux m’empêcher de lâcher ce gémissement tellement je suis surprise par cette douleur aiguë. Mais c’est qu’elle fait mal cette nouvelle cravache. Il faut dire que je l’ai peu reçue jusqu’à présent, puisque mon homme, tu l’as acheté spécialement pour la venue de mon bourreau. Mais comment vais-je faire pour recevoir les 49 coups restants ?… Pas le temps de me poser la question, les coups se suivent très rapidement, et sans faiblir. Mes fesses cuisent comme jamais et je ne peux désormais plus feindre et cacher mes réactions… Je gesticule de plus en plus sur le lit, mais tes mains fermes, mon homme, m’empêchent bien des mouvements et c’est alors que le 50ème coup vient enfin s’abattre sur mon fessier… Oh la vache… J’ai mal. Cette cravache va finir cachée au-dessus de l’armoire, j’te l’dis moi, je ne veux plus la voir mais surtout la sentir sur mes fesses…. Mais j’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que les lacets viennent prendre le relais de la cravache… Bon, sincèrement, après la cravache, les lacets me semblent bien gentils… Ou alors c’est que mon bourreau ne sait pas les utiliser, hihi. Oufff, la punition est enfin terminée. Je sens à nouveau des doigts s’immiscer dans mon intimité et des mains caresser mes fesses… Et comme tout à l’heure c’est un mélange ambigu de sensation qui me traverse.
Mais pas le temps de s’éterniser, BC m’annonce la punition suivante : 30 martinet, 20 ceinture et ce pour t’avoir titiller mon mari en te pinçant les tétons. (Bah quoi, pourquoi serait-tu le seul à avoir le droit de pincer les tétons de l’autre… moi aussi j’aime ça…) Et me voilà de nouveau sur le bord de cette table, toi mon mari me tenant les mains… Mon regard fixe le tien et toujours ce sourire sur ton visage… grrr, arrête de sourire, moi j’ai mal !!!
Clac...clac…clac… Ce fichu martinet fait encore son ouvrage et mes fesses ont de plus en plus de mal à le supporter. Est-ce les coups qui sont plus fort ou est-ce mes fesses qui n’en peuvent plus ? Je ne sais pas, mais ces 30 coups m’en fiche un coup… Oups pardon pour le jeu de mot.
C’est au tour de la ceinture… et là j’avoue que j’appréhende beaucoup plus. Ce bourricot prend à malin plaisir à venir devant moi pour ôter cette satané ceinture de son pantalon… Grrr, si j’osais, si je n’avais pas peur pour mes fesses, croyez-moi, je lui sauterais dessus ! C’est un instrument que je n’aime déjà pas recevoir de ta part, car chaque fois cela me fait d’énormes bleus. Alors comment vais-je le vivre de la part de mon bourreau ? Clac, clac, clac… Ah bah je peux répondre… c’est pire… La douleur est intenable. Décidemment, je n’aime vraiment pas cet instrument de torture. Je sens mes fesses se contracter, s’endolorir… Mais comment est-ce possible de faire si mal ? J’avoue qu’il m’est très dur de recevoir les 20 coups. Là, je te maudis mon mari…. Ouf… terminé.
- « Au coin vilaine fille ». … Comment ça au coin ? Je ne vais jamais au coin… Je trouve ça complètement crétin, puéril, une perte de temps considérable… pas question que j’y aille ! Mais évidemment je n’ose pas le dire directement et reste sur place.
- « Dépêchez-vous, je n’aimerais pas rajouter une punition » … Mais euh… J’aimerais rétorquer, j’aimerais protester… mais la douleur de mes fesses se rappelle à moi et je finis par obéir malgré moi.
- «Mains sur la tête et pas d’appui sur le mur, c’est compris ? »
- « oui, oui ».
- « Pardon, vous avez dit quoi ? »
- « Oui c’est compris Monsieur » Grrr, que je le déteste ce bourreau inflexible. Je me sens idiote à fixer ce mur…. Quoi, vous buvez une bière tous les deux ?… Non mais franchement, vous vous moquez de moi ?.… Allez-y rajoutez-en. La honte !!! Ah si seulement j’osais leur dire tout ça, mais je préfère me taire, de peur que mes fesses ne prennent encore plus.
De temps en temps, tu viens contempler mes fesses, constater la rougeur de celles-ci, toucher mon intimité…. Quoi mouillée ? Mais non ce n’est pas possible, comment ça le serait après tout ce que j’ai reçu, après le mal de fesses que j’ai et avec cette humiliation suprême de me retrouver au coin ? Non, non je ne suis pas mouillée… pourtant en pensant ces mots, je sens très bien que ce que tu me dis est vrai… Gloupsss.
- « Pour avoir frappé votre mari sur le sexe, Il a décidé de vous punir par 25 coups de martinet, 25 de strappe, 35 coups de lacets et pour finir, 25 coups de badine. Le tout attachée sur le lit »… Oh non pas la badine, surtout pas la badine, je déteste la badine et avec ce bourrin de bourreau qui assène les coups avec une telle intensité, mes fesses vont être zébrées comme jamais et la douleur va être intenable.
- « Non je ne veux pas, stp mon amour, pas la badine » … Je te regarde, l’air suppliant, je me dis que tu vas craquer, que tu vas retirer la punition à la badine, mais tu n’as pas le temps de dire quoique ce soit , c’est BC qui s’interpose.
- « Vous prendrez la punition dans son intégralité, votre mari n’a plus son mot à dire c’est ce qu’il a été convenu avant de commencer, pour que justement il ne puisse pas se laisser amoindrir par vos supplications. Je suis votre bourreau, je suis ici pour vous punir, c’est mon travail et croyez-moi, j’irai au bout, alors installez-vous de suite ! »
… Je n’aime pas les mots que j’entends, je déteste ce bourreau… mais contradictoirement, j’aime cette perte de contrôle, j’aime ne rien décider, j’aime cette sévérité, même si je sais que mes fesses vont beaucoup moins l’aimer… Je jette un coup d’œil furtif vers toi et je comprends que tu es soulagé de la réaction vive de ce vilain bourreau. Tu n’as pas eu à décider, il t’a enlevé une sacrée épine du pied. Et je vois également que tu es content de ce qui arrive. Tu voulais que je comprenne et retienne la leçon et tu sais que c’est ce qui va advenir… Tu te charges de m’attacher afin que je ne tente pas de me soustraire à ce qui va arriver. Et je sens mon cœur battre à toute allure, j’ai peur et pourtant je sens une sensation de bien être me parcourir. Comment est-ce possible ?
Clac, clac, clac, la punition commence. Le début est comme le reste, douloureux pour mes fesses qui sont déjà bien sensibles par tout ce qu’elles ont pris, mais bon, ça reste supportable, et à vrai dire, j’angoisse tellement à l’idée de la badine, que vous pourriez m’infliger 500 coups de tout ce que vous voudriez, que ça ne serait rien. Clac, clac, clac… On dirait une danse sensuelle qui se joue entre mes fesses et les différents instruments… Clac… Oups, là le tempo a changé et on est plutôt dans une danse tonique… la badine a enfin fait son entrée, et en fanfare…
- « Aïeeeeeeee, doucement svp » mais c’est comme si je parlais à un sourd, mon bourreau continue la danse à un rythme tantôt rapide, tantôt lent, mais toujours avec une intensité soutenue jusqu’au coup final… Pendant tout ce temps je me tortille, je laisse échapper des cris plaintifs, j’ai mal quoi ! Mais comment pourrait-il en être autrement ? Il ne se rend pas compte ce bourrin que c’est atroce, que c’est intenable ? Il faut croire que non. Là, je ne peux m’empêcher de penser que ce n’est que la première punition à la badine et que je sais pertinemment que tu en as prévu plusieurs ? Comment vais-je tenir ? C’est impensable… J’ai l’impression de sentir la peau de mes fesses se craquer tellement la douleur est effroyable.
- « pitié, stop »… Tiens, ça s’arrête, mon bourreau serait-il enfin à mon écoute ?... Ah bah non, c’est simplement que le 25ème coup est enfin venu percuter mes fesses et ainsi terminer la punition… ENFIN !!!
- « Au coin jeune fille »… Encore ?! Euh, à vrai dire, je crois que j’en suis presque soulagée, au moins, mes fesses se reposent et ne chauffent plus. Je ne suis pas pressée de recevoir la suite… Mais bon, j’ai toujours l’impression d’être cruche à regarder ce mur… Un frisson me parcourt tout le corps, j’ai la chair de poule, je tremble. Je demande la permission de mettre un gilet… demande acceptée, comme quoi mon bourreau sait se montrer compréhensible quand il le veut… (mais ne lui dis pas, je ne voudrais pas qu’il prenne cela quand une marque de faiblesse ou qu’il sache que je lui trouve une qualité.) … Là encore tu viens me voir de temps en temps, me touches les fesses pour sentir la peau, les marques laissées par la badine, contempler l’ouvrage de ce bourreau sans cœur… Un doigt se glisse de temps à autre jusqu’à mon point plaisir, tu le titilles mais sans insister, pas question de me faire jouir… Et puis tant mieux ! Je ne le voudrais surtout pas, pas devant lui, pas devant un inconnu !!! Mais en même temps qu’est-ce que j’aimerais que la punition se termine définitivement et que tu me prennes, là dans la foulée…
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