
Soumise à nos désirs
Le temps de ma soumission est arrivé. De me plier à sa volonté. Il me lie les mains derrière mon dos. Me bande les yeux. M’attache mes jambes. Je suis allongée sur le dos. Les cuisses écartées dans une position obscène. Il m’a remonté ma jupe et dévoilé mes dessous. Mon pull est abaissé. Mon soutien-gorge est sous mes seins. Je m’offre à lui. J’aime à m’imaginer offerte. Autant par le cœur que par le cul.
Il ne me donne pas d’ordre : il joue avec mon corps. Me triture mes seins, les pince et finit par y laisser deux pinces à linge. J’ai envie de sentir ses lèvres m’embrasser, son sexe me pénétrer mais il continue de me torturer, à ne m’effleurer que pour attiser mon excitation.
Je suis en attente du moindre de ses mots, du moindre de ses gestes. Je suis son jouet, sa chose.
Il joue à présent avec mon sexe, le caresse de ses doigts, mordille mon clito, insère sa langue,
alors que je suis allongée au sol, sans pouvoir le toucher, sans pouvoir rien faire d’autre que gémir. Des pinces sont à présent accrochées à mes lèvres. Il joue avec celles-ci, tirant mes seins, me pénétrant de ses doigts.
Me laissant quelques minutes de répit, il en profite pour me prendre en photo. Ne pouvant supporter la douleur des pinces, il me les retire enfin. Pour autant il a encore envie de me soumettre. De faire vivre nos envies.
Je l’entends fouiller dans son sac à malice et je me crispe. J’ai soudain peur de mes envies et lui m'assure que la suite en fait partie. Il me laisse imaginer la suite des supplices…
Il m’abandonne un instant. Un instant qui dure et qui dure. Je déteste me sentir abandonnée, le sentir loin de moi. Je ne peux rien faire sinon attendre qu’il revienne. Je suis toujours dans le noir. Mon sexe ayant pour vis-à-vis les montagnes tandis que je commence à trembler, à espérer sa présence. J’entends des bruits lointains. Pourquoi ne s’occupe-t-il plus de moi ? Que cherche-t-il ? Ne pouvant tenir plus longtemps, je l’appelle, le supplie de venir me rejoindre. Il fait semblant de ne pas m’entendre. Ce n’est pas à moi de décider de sa présence. Aussi me fait-il patienter encore quelques minutes.
Je me sens minuscule, réconfortée par sa présence. J’ai envie de me fondre dans ses bras, de me fondre en lui.
Il me demande s’il m’a manqué, que je devais apprendre à accepter ses absences, à me plier à ses ordres, à lui obéir sans rechigner.
Tendrement, il me caresse le corps, m’embrasse dans le cou, lèche mes seins encore douloureux. Il descend de plus en plus bas pour insérer de nouveau sa langue dans mon vagin.
Je me tends vers lui, mon cœur se serre, s’émeut. Je frissonne par ses attouchements et je le désire encore et encore.
Il s’écarte de moi. Je sens quelque chose de froid sur mon vagin, du lubrifiant. Puis il insère un doigt. Je sens une texture particulière. Puis un second. Il entre et ressort à volonté. Tournant ses doigts et jouant de mon plaisir. Un troisième et un quatrième doigts sont maintenant en moi. Ils tournent et m'entraînent dans leur tourbillon, leur va et vient me fait sombrer dans un plaisir particulier. Je ne pourrais en supporter un cinquième et il le sait. Il fait monter mon plaisir pour s'arrêter trop tôt à mon goût.
Il me réajuste à présent, m’aide à me mettre à genoux. M’enlève le bandeau de mes yeux, mais me laisse liée. Je suis toujours à lui et offerte à ses envies. Et son envie est de m'offrir son sexe en récompense à ma docilité.
Il dégrafe alors son pantalon et sort son sexe face à mon regard avide de la friandise. Il s'assoit sur le canapé et vient me placer entre ses jambes pour m’ordonner de le sucer.
Je m’en délecte d’avance devant ce sexe déjà bien droit. Je le prends en bouche, mes dents l’effleurent…avant que ma langue glisse de haut en bas, que mes lèvres l’enserrent, glissent, de plus en plus bas, de plus en plus fort. J’aime le sentir gonfler de désir. J’aime sa dureté, sa saveur, sa douceur. J’aime l’astiquer de ma langue, J’aime le sentir frémir, essayer de se contenir le plus longtemps possible. J’aime l’enserrer puis lui rendre sa liberté, le regarder s’élever toujours plus haut. Sentir sa main dans mes cheveux, guider ma tête, mes succions.
Je me sens soudain soulevée, la tête abaissée au sol et le cul relevé. Une position parfaite pour une soumise, parfaite pour se faire corriger, parfaite pour se faire prendre. J’ai envie qu’il soit en moi, qu’il me brutalise, qu’il me prenne de toutes ses forces, que sa vigueur s’enfonce en moi. Il s’empresse de se protéger avant de m’enfiler. Ses mains contre mon bassin qui me maintiennent dans un vas et viens fulgurant et notre plaisir qui enfin sera au rendez-vous.
Il ne me donne pas d’ordre : il joue avec mon corps. Me triture mes seins, les pince et finit par y laisser deux pinces à linge. J’ai envie de sentir ses lèvres m’embrasser, son sexe me pénétrer mais il continue de me torturer, à ne m’effleurer que pour attiser mon excitation.
Je suis en attente du moindre de ses mots, du moindre de ses gestes. Je suis son jouet, sa chose.
Il joue à présent avec mon sexe, le caresse de ses doigts, mordille mon clito, insère sa langue,
alors que je suis allongée au sol, sans pouvoir le toucher, sans pouvoir rien faire d’autre que gémir. Des pinces sont à présent accrochées à mes lèvres. Il joue avec celles-ci, tirant mes seins, me pénétrant de ses doigts.
Me laissant quelques minutes de répit, il en profite pour me prendre en photo. Ne pouvant supporter la douleur des pinces, il me les retire enfin. Pour autant il a encore envie de me soumettre. De faire vivre nos envies.
Je l’entends fouiller dans son sac à malice et je me crispe. J’ai soudain peur de mes envies et lui m'assure que la suite en fait partie. Il me laisse imaginer la suite des supplices…
Il m’abandonne un instant. Un instant qui dure et qui dure. Je déteste me sentir abandonnée, le sentir loin de moi. Je ne peux rien faire sinon attendre qu’il revienne. Je suis toujours dans le noir. Mon sexe ayant pour vis-à-vis les montagnes tandis que je commence à trembler, à espérer sa présence. J’entends des bruits lointains. Pourquoi ne s’occupe-t-il plus de moi ? Que cherche-t-il ? Ne pouvant tenir plus longtemps, je l’appelle, le supplie de venir me rejoindre. Il fait semblant de ne pas m’entendre. Ce n’est pas à moi de décider de sa présence. Aussi me fait-il patienter encore quelques minutes.
Je me sens minuscule, réconfortée par sa présence. J’ai envie de me fondre dans ses bras, de me fondre en lui.
Il me demande s’il m’a manqué, que je devais apprendre à accepter ses absences, à me plier à ses ordres, à lui obéir sans rechigner.
Tendrement, il me caresse le corps, m’embrasse dans le cou, lèche mes seins encore douloureux. Il descend de plus en plus bas pour insérer de nouveau sa langue dans mon vagin.
Je me tends vers lui, mon cœur se serre, s’émeut. Je frissonne par ses attouchements et je le désire encore et encore.
Il s’écarte de moi. Je sens quelque chose de froid sur mon vagin, du lubrifiant. Puis il insère un doigt. Je sens une texture particulière. Puis un second. Il entre et ressort à volonté. Tournant ses doigts et jouant de mon plaisir. Un troisième et un quatrième doigts sont maintenant en moi. Ils tournent et m'entraînent dans leur tourbillon, leur va et vient me fait sombrer dans un plaisir particulier. Je ne pourrais en supporter un cinquième et il le sait. Il fait monter mon plaisir pour s'arrêter trop tôt à mon goût.
Il me réajuste à présent, m’aide à me mettre à genoux. M’enlève le bandeau de mes yeux, mais me laisse liée. Je suis toujours à lui et offerte à ses envies. Et son envie est de m'offrir son sexe en récompense à ma docilité.
Il dégrafe alors son pantalon et sort son sexe face à mon regard avide de la friandise. Il s'assoit sur le canapé et vient me placer entre ses jambes pour m’ordonner de le sucer.
Je m’en délecte d’avance devant ce sexe déjà bien droit. Je le prends en bouche, mes dents l’effleurent…avant que ma langue glisse de haut en bas, que mes lèvres l’enserrent, glissent, de plus en plus bas, de plus en plus fort. J’aime le sentir gonfler de désir. J’aime sa dureté, sa saveur, sa douceur. J’aime l’astiquer de ma langue, J’aime le sentir frémir, essayer de se contenir le plus longtemps possible. J’aime l’enserrer puis lui rendre sa liberté, le regarder s’élever toujours plus haut. Sentir sa main dans mes cheveux, guider ma tête, mes succions.
Je me sens soudain soulevée, la tête abaissée au sol et le cul relevé. Une position parfaite pour une soumise, parfaite pour se faire corriger, parfaite pour se faire prendre. J’ai envie qu’il soit en moi, qu’il me brutalise, qu’il me prenne de toutes ses forces, que sa vigueur s’enfonce en moi. Il s’empresse de se protéger avant de m’enfiler. Ses mains contre mon bassin qui me maintiennent dans un vas et viens fulgurant et notre plaisir qui enfin sera au rendez-vous.