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Soumise à nos désirs

Soumise à nos désirs

Le temps de ma soumission est arrivé. De me plier à sa volonté. Il me lie les mains derrière mon dos. Me bande les yeux. M’attache mes jambes. Je suis allongée sur le dos. Les cuisses écartées dans une position obscène. Il m’a remonté ma jupe et dévoilé mes dessous. Mon pull est abaissé. Mon soutien-gorge est sous mes seins. Je m’offre à lui. J’aime à m’imaginer offerte. Autant par le cœur que par le cul.
Il ne me donne pas d’ordre : il joue avec mon corps. Me triture mes seins, les pince et finit par y laisser deux pinces à linge. J’ai envie de sentir ses lèvres m’embrasser, son sexe me pénétrer mais il continue de me torturer, à ne m’effleurer que pour attiser mon excitation.
Je suis en attente du moindre de ses mots, du moindre de ses gestes. Je suis son jouet, sa chose.

Il joue à présent avec mon sexe, le caresse de ses doigts, mordille mon clito, insère sa langue,
alors que je suis allongée au sol, sans pouvoir le toucher, sans pouvoir rien faire d’autre que gémir. Des pinces sont à présent accrochées à mes lèvres. Il joue avec celles-ci, tirant mes seins, me pénétrant de ses doigts.

Me laissant quelques minutes de répit, il en profite pour me prendre en photo. Ne pouvant supporter la douleur des pinces, il me les retire enfin. Pour autant il a encore envie de me soumettre. De faire vivre nos envies.

Je l’entends fouiller dans son sac à malice et je me crispe. J’ai soudain peur de mes envies et lui m'assure que la suite en fait partie. Il me laisse imaginer la suite des supplices…

Il m’abandonne un instant. Un instant qui dure et qui dure. Je déteste me sentir abandonnée, le sentir loin de moi. Je ne peux rien faire sinon attendre qu’il revienne. Je suis toujours dans le noir. Mon sexe ayant pour vis-à-vis les montagnes tandis que je commence à trembler, à espérer sa présence. J’entends des bruits lointains. Pourquoi ne s’occupe-t-il plus de moi ? Que cherche-t-il ? Ne pouvant tenir plus longtemps, je l’appelle, le supplie de venir me rejoindre. Il fait semblant de ne pas m’entendre. Ce n’est pas à moi de décider de sa présence. Aussi me fait-il patienter encore quelques minutes.

Je me sens minuscule, réconfortée par sa présence. J’ai envie de me fondre dans ses bras, de me fondre en lui.

Il me demande s’il m’a manqué, que je devais apprendre à accepter ses absences, à me plier à ses ordres, à lui obéir sans rechigner.

Tendrement, il me caresse le corps, m’embrasse dans le cou, lèche mes seins encore douloureux. Il descend de plus en plus bas pour insérer de nouveau sa langue dans mon vagin.
Je me tends vers lui, mon cœur se serre, s’émeut. Je frissonne par ses attouchements et je le désire encore et encore.

Il s’écarte de moi. Je sens quelque chose de froid sur mon vagin, du lubrifiant. Puis il insère un doigt. Je sens une texture particulière. Puis un second. Il entre et ressort à volonté. Tournant ses doigts et jouant de mon plaisir. Un troisième et un quatrième doigts sont maintenant en moi. Ils tournent et m'entraînent dans leur tourbillon, leur va et vient me fait sombrer dans un plaisir particulier. Je ne pourrais en supporter un cinquième et il le sait. Il fait monter mon plaisir pour s'arrêter trop tôt à mon goût.

Il me réajuste à présent, m’aide à me mettre à genoux. M’enlève le bandeau de mes yeux, mais me laisse liée. Je suis toujours à lui et offerte à ses envies. Et son envie est de m'offrir son sexe en récompense à ma docilité.

Il dégrafe alors son pantalon et sort son sexe face à mon regard avide de la friandise. Il s'assoit sur le canapé et vient me placer entre ses jambes pour m’ordonner de le sucer.

Je m’en délecte d’avance devant ce sexe déjà bien droit. Je le prends en bouche, mes dents l’effleurent…avant que ma langue glisse de haut en bas, que mes lèvres l’enserrent, glissent, de plus en plus bas, de plus en plus fort. J’aime le sentir gonfler de désir. J’aime sa dureté, sa saveur, sa douceur. J’aime l’astiquer de ma langue, J’aime le sentir frémir, essayer de se contenir le plus longtemps possible. J’aime l’enserrer puis lui rendre sa liberté, le regarder s’élever toujours plus haut. Sentir sa main dans mes cheveux, guider ma tête, mes succions.

Je me sens soudain soulevée, la tête abaissée au sol et le cul relevé. Une position parfaite pour une soumise, parfaite pour se faire corriger, parfaite pour se faire prendre. J’ai envie qu’il soit en moi, qu’il me brutalise, qu’il me prenne de toutes ses forces, que sa vigueur s’enfonce en moi. Il s’empresse de se protéger avant de m’enfiler. Ses mains contre mon bassin qui me maintiennent dans un vas et viens fulgurant et notre plaisir qui enfin sera au rendez-vous.
La revanche de Coralie

La revanche de Coralie

Je m’appelle Coralie. J’ai 20 ans et je travaille comme vendeuse au rayon parfumerie des Grandes Galeries du Midi. L’autre jour, j’aperçois une cliente qui, après avoir jeté quelques regards furtifs autour d’elle, s’empare d’un flacon de chez Dior, l’extrait de son carton, et le glisse sous ses vêtements. Ce n’est pas la première fois que cela arrive et je sais ce que je dois faire dans ces cas-là. Je ne dois pas intervenir moi-même, mais appeler aussitôt Marco. Marco, c’est le vigile. C’est un colosse de 1,92 m et 110 kilos. Autant dire qu’avec lui, ça ne rigole pas. Je veux dire pour les voleurs parce qu’avec moi, il est très sympa, on rigole bien ensemble au contraire. Donc je préviens Marco qui arrive aussitôt et se plante devant la dame. Je ne l’avais vue que de dos. C’était apparemment une belle femme, de 45 ans environ, grande, avec des formes épanouies, une bourgeoise assurément, élégamment vêtue. Je m’approche et, stupeur, je la reconnais : c’était Madame Laubier. Madame Laubier, c’était ma prof de français au lycée. Je l’ai eue deux ans de suite en terminale (parce que j’ai redoublé ma terminale). Une vraie peau de vache, qui ne pouvait pas me sentir et je crois bien que c’est à cause d’elle que je n’ai jamais eu mon bac. Elle m’avait mis une appréciation dégueulasse sur mon livret scolaire de sorte que quand je suis allé à la repêche, je n’ai pas été repêchée alors qu’il me manquait seulement quatre points. C’est comme ça que je suis devenue vendeuse aux Grandes Galeries il y a un an. Donc je m’approche d’elle, elle se retourne et elle ouvre de grands yeux : « Ça alors, vous Coralie ! ». Je la regarde droit dans les yeux et je lui dis : « Vous avez volé un flacon de parfum ». Elle accuse le coup, puis prend un air scandalisé : « Comment osez-vous ? Sale petite menteuse ! ». Marco intervient : « N’insultez pas cette jeune fille, je vous prie. Veuillez me suivre chez le directeur. ». Là-dessus Marco la prend par le bras et l’entraîne au 3ème étage dans le bureau de M. Simon, le directeur du personnel. Une fois la porte fermée, je raconte ce que j’ai vu et M. Simon lui demande le flacon. Comme elle pousse de grands cris indignés, M. Simon lui dit : « Ce n’est pas grave. J’appelle la police et vous serez fouillée au commissariat ». Là, Madame Laubier devient blême : « Non, je vous en prie, n’appelez pas la police. Je … Je vais vous le rendre. C’était une erreur … Je ne voulais pas … ». Elle sort le flacon de son corsage et le tend à M. Simon. Celui-ci lui dit : « Bien, il ne sera pas nécessaire de vous fouiller, mais je dois néanmoins appeler la police ». Le visage décomposé, Madame Laubier lui répond : « Non, je vous en supplie, n’appelez pas la police, c’est la première fois que … Je ne le ferai plus … Je vous dédommagerai … ». M. Simon sourit : « Nous n’avons pas besoin d’être dédommagés, mais vous en revanche vous avez besoin d’être punie. Alors, c’est bien simple : ou bien vous serez punie par les tribunaux, ou bien vous le serez par nous-mêmes. Nous avons mis au point un petit système pour les voleurs et les voleuses. Nous acceptons, lorsque c’est la première fois qu’ils volent, de ne pas alerter les autorités s’ils acceptent, eux, de recevoir une fessée administrée ici-même, par nos soins, dans nos locaux. Alors vous avez le choix, mais il faut vous décider vite : vous avez trente secondes, pas une de plus ». Et M.Simon regarde sa montre. Madame Laubier écarquille les yeux, incrédule, elle se tourne vers moi d’un air suppliant et je ne peux pas m’empêcher de lui adresser un sourire ironique. Je suis tellement contente de la voir dans cet état, la garce ! Elle comprend qu’elle ne peut rien espérer de mon côté, se retourne vers M. Simon et lui dit en baissant la tête : « C’est d’accord ». M. Simon lui tend alors une feuille et un stylo : « Vous allez nous signer une autorisation qui aura pour nous la valeur d’une décharge. Écrivez, je vous prie. Je soussigné Marie-Laure Laubier reconnais avoir volé un flacon de parfum aux Grandes Galeries du Midi. Je reconnais avoir mérité pour cela une sévère fessée déculottée et j’ai demandé à la direction du magasin de bien vouloir me l’administrer. Fait à … le … Et vous signez ». Madame Laubier s’exécute et une fois qu’elle a signé et rendu la feuille à M. Simon, celui-ci me dit : « Coralie, vous allez aider Madame Laubier à se mettre dans la tenue requise pour la punition ». En entendant cela, j’exulte. Je lui fais signe d’approcher et je lui dis en la regardant droit dans les yeux : « Avant votre fessée, nous avons un compte à régler. L’année dernière, au lycée, vous m’avez accusée d’avoir triché et vous m’avez donné une gifle. Eh bien, je n’avais pas triché, alors cette gifle, je vais te la rendre. » Volontairement, je la tutoie pour bien lui faire sentir que maintenant les rapports de force ont changé. Et je la gifle sous le regard approbateur de Marco et de M. Simon. Elle rougit et les larmes lui montent aux yeux. Là-dessus je lui ordonne de remonter sa robe autour de sa taille et de l’y fixer. Elle m’obéit. Alors je lui baisse sa petite culotte. Je regarde son sexe, sa touffe, puis je lui ordonne de se retourner, c’est-à-dire de faire face à Marco et à M. Simon. Elle a des fesses larges et pleines. Je la saisis par l’oreille et je la conduis jusqu’à Marco. Elle marche à petits pas, les jambes entravées par la culotte, elle est ridicule. Marco l’empoigne et la couche en travers de ses cuisses puissantes. Il l’immobilise fortement. Elle est dans un inconfortable déséquilibre, elle s’accroche d’une main à un barreau de la chaise, de l’autre à la jambe de Marco, ses pieds battent l’air. Marco passe sa main sur ses fesses nues, il les explore. Il fait toujours cela avant de commencer une fessée, c’est une manière de s’approprier le corps de la personne qu’il va corriger, de lui montrer que pour le temps de la fessée, il lui appartient totalement. Il lui écarte les fesses et nous pouvons tous voir sa vulve, son anus et les poils follets qui l’entourent. J’imagine sa honte ! Enfin la main de Marco s’abat pour la première fois sur son derrière dans un claquement de tonnerre. Je la sens suffoquée par la force de cette première claque. Elle ne va pas être déçue par la suite ! Marco a une force terrifiante. Les claques se succèdent à une cadence effrénée, et de plus en plus fort, elles résonnent dans la pièce, faisant un bruit d’enfer et couvrant presque les cris de Madame Laubier. En moins de dix secondes ses fesses sont toutes rouges, en moins de trente secondes elles sont cramoisies, mais Marco ne va pas en rester là. Elle a beau crier, supplier, se tortiller, sangloter, la correction continue, implacable. Je suis aux anges, je jouis de voir cette femme qui a l’âge de ma mère, qui était ma prof il y a tout juste un an se faire déculotter et fesser comme une sale gamine sous mes yeux. En tout elle aura reçu, je ne sais pas, soixante-dix claques, peut-être quatre-vingt. Quand Marco cesse la correction sur un signe de M. Simon, elle est chancelante, pantelante, secouée de sanglots, anéantie. Je commence à avoir pitié d’elle. Je l’aide à remonter sa culotte. M. Simon l’invite à remercier Marco pour la bonne fessée qu’il lui a administrée, ce qu’elle fait, puis ajoute : « J’ai cru comprendre que vous vous étiez mal conduite avec Coralie quand elle était votre élève. Vous devriez lui demander pardon aussi ». Elle est totalement matée, sans volonté et s’exécute aussitôt. La voix tremblante de sanglots, elle me demande pardon, très humblement. Cette fois je suis complètement vengée. Je lui caresse la joue pour lui faire comprendre qu’il n’y a plus de contentieux entre nous. Elle me tombe dans les bras. Nous nous faisons la bise avant qu’elle ne parte.
Rencontre avec mon bourreau (2ème partie)

Rencontre avec mon bourreau (2ème partie)

Rencontre avec mon bourreau (2ème partie)

Me voici donc dans cette tenue qui ne cache rien, honteuse devant toi mon mari, mais surtout devant mon bourreau. Je ne peux m’empêcher de baisser les yeux.

- « Oh… très belle robe » … En entendant ces mots sortir de la bouche de BC, ma gêne ne fait que s’accentuer. Je sais très bien ce qui se cache derrière ces mots, ce que mon bourreau a voulu dire… Malgré tout je sens mon puit d’amour s’humidifier. Mais que se passe-t-il ?

- « Bon c’est quoi la prochaine punition ? » Je m’entends dire ces mots sans même me rendre compte de les prononcer. Je crois que je préfère encore avoir mal aux fesses que de me retrouver ainsi dans cette tenue. Constatant ma réelle gêne, je pense que mon bourreau a pitié de moi et cède à ma requête en annonçant la punition suivante.

- « Pour avoir été intenable, impatiente, peste envers votre mari alors que vous attendiez une réponse à un mail, votre mari a décidé que vous serez couchée sur le lit, mains attachées et que vous méritez 50 claques à la main, 50 coups de martinet, 50 coups de nouvelle cravache et 25 coups de lacets ».

- « C’est beaucoup trop mon homme, tu exagères sur ce coup-là ». Mais mon bourreau ne te laisse pas le temps de répondre

- « C’est la punition que votre mari a estimé justifiée, donc il en sera ainsi, ce n’est pas à vous vilaine fille de juger le bienfondé d’une sentence, alors installez-vous et taisez-vous ! » Gloupsss, je m’exécute même si je trouve toujours la punition injuste. Lorsque tu m’attaches les mains, j’en profite pour te lancer un regard noir, que tu saches sans même dire un mot ce que je pense. Mais en retour, je n’ai pour réponse qu’un large sourire sadique me témoignant du malin plaisir que tu prends. Grrr, tu me le paieras, je te jure !!!

Me voici donc couchée sur le lit, mains attachées. Je m’attends à recevoir le premier coup, mais c’est la main de mon bourreau qui vient caresser mes fesses… puis descendre cette culotte que j’avais pris soin de remettre en même temps que j’avais changé de tenue. Zut alors, ça n’a pas marché !

Clac, clac, clac… Voilà, la punition fait son entrée. La main pour commencer… mince alors il ne faiblit jamais ce bourreau ? Il n’a pas mal à la main à force ?… Bah faut croire que non vu l’intensité des claques. Mes fesses, qui s’étaient refroidies durant cette petite pause, se réchauffent immédiatement. Puis le martinet prend le relais… Oups, il est toujours aussi mordant ce martinet. Chaque coup fait se raidir mes fesses, je me pince les lèvres pour m’empêcher de lâcher des gémissements. Vous ne pensez quand même pas que je vais vous donner la satisfaction de me voir gesticuler dans tous les sens et gémir de douleur ? Non mais oh, vous m’avez pris pour qui tous les deux ?... Ouf, terminé. C’est alors que je sens mes jambes s’écarter, c’est toi mon amour qui en profite pour bien avoir vu sur mon sexe et pour y glisser un doigt… Humm c’est bon, mais je ne peux m’empêcher d’imaginer mon bourreau regardant la scène, du coup, j’ai pour réflexe de resserrer les jambes, mais ta main est ferme et tu m’en empêches… Pendant que toi tu me caresses le sexe, BC lui, caresse mes fesses… Tout en éprouvant une certaine gêne, je ne peux m’empêcher d’éprouver du plaisir. Mais cela ne dure pas longtemps, le premier coup de nouvelle cravache vient violemment percuter mes fesses.

- « Aïeeeeeeee, mais ça ne va pas la tête ! » Je ne peux m’empêcher de lâcher ce gémissement tellement je suis surprise par cette douleur aiguë. Mais c’est qu’elle fait mal cette nouvelle cravache. Il faut dire que je l’ai peu reçue jusqu’à présent, puisque mon homme, tu l’as acheté spécialement pour la venue de mon bourreau. Mais comment vais-je faire pour recevoir les 49 coups restants ?… Pas le temps de me poser la question, les coups se suivent très rapidement, et sans faiblir. Mes fesses cuisent comme jamais et je ne peux désormais plus feindre et cacher mes réactions… Je gesticule de plus en plus sur le lit, mais tes mains fermes, mon homme, m’empêchent bien des mouvements et c’est alors que le 50ème coup vient enfin s’abattre sur mon fessier… Oh la vache… J’ai mal. Cette cravache va finir cachée au-dessus de l’armoire, j’te l’dis moi, je ne veux plus la voir mais surtout la sentir sur mes fesses…. Mais j’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que les lacets viennent prendre le relais de la cravache… Bon, sincèrement, après la cravache, les lacets me semblent bien gentils… Ou alors c’est que mon bourreau ne sait pas les utiliser, hihi. Oufff, la punition est enfin terminée. Je sens à nouveau des doigts s’immiscer dans mon intimité et des mains caresser mes fesses… Et comme tout à l’heure c’est un mélange ambigu de sensation qui me traverse.

Mais pas le temps de s’éterniser, BC m’annonce la punition suivante : 30 martinet, 20 ceinture et ce pour t’avoir titiller mon mari en te pinçant les tétons. (Bah quoi, pourquoi serait-tu le seul à avoir le droit de pincer les tétons de l’autre… moi aussi j’aime ça…) Et me voilà de nouveau sur le bord de cette table, toi mon mari me tenant les mains… Mon regard fixe le tien et toujours ce sourire sur ton visage… grrr, arrête de sourire, moi j’ai mal !!!
Clac...clac…clac… Ce fichu martinet fait encore son ouvrage et mes fesses ont de plus en plus de mal à le supporter. Est-ce les coups qui sont plus fort ou est-ce mes fesses qui n’en peuvent plus ? Je ne sais pas, mais ces 30 coups m’en fiche un coup… Oups pardon pour le jeu de mot.
C’est au tour de la ceinture… et là j’avoue que j’appréhende beaucoup plus. Ce bourricot prend à malin plaisir à venir devant moi pour ôter cette satané ceinture de son pantalon… Grrr, si j’osais, si je n’avais pas peur pour mes fesses, croyez-moi, je lui sauterais dessus ! C’est un instrument que je n’aime déjà pas recevoir de ta part, car chaque fois cela me fait d’énormes bleus. Alors comment vais-je le vivre de la part de mon bourreau ? Clac, clac, clac… Ah bah je peux répondre… c’est pire… La douleur est intenable. Décidemment, je n’aime vraiment pas cet instrument de torture. Je sens mes fesses se contracter, s’endolorir… Mais comment est-ce possible de faire si mal ? J’avoue qu’il m’est très dur de recevoir les 20 coups. Là, je te maudis mon mari…. Ouf… terminé.

- « Au coin vilaine fille ». … Comment ça au coin ? Je ne vais jamais au coin… Je trouve ça complètement crétin, puéril, une perte de temps considérable… pas question que j’y aille ! Mais évidemment je n’ose pas le dire directement et reste sur place.

- « Dépêchez-vous, je n’aimerais pas rajouter une punition » … Mais euh… J’aimerais rétorquer, j’aimerais protester… mais la douleur de mes fesses se rappelle à moi et je finis par obéir malgré moi.

- «Mains sur la tête et pas d’appui sur le mur, c’est compris ? »

- « oui, oui ».

- « Pardon, vous avez dit quoi ? »

- « Oui c’est compris Monsieur » Grrr, que je le déteste ce bourreau inflexible. Je me sens idiote à fixer ce mur…. Quoi, vous buvez une bière tous les deux ?… Non mais franchement, vous vous moquez de moi ?.… Allez-y rajoutez-en. La honte !!! Ah si seulement j’osais leur dire tout ça, mais je préfère me taire, de peur que mes fesses ne prennent encore plus.

De temps en temps, tu viens contempler mes fesses, constater la rougeur de celles-ci, toucher mon intimité…. Quoi mouillée ? Mais non ce n’est pas possible, comment ça le serait après tout ce que j’ai reçu, après le mal de fesses que j’ai et avec cette humiliation suprême de me retrouver au coin ? Non, non je ne suis pas mouillée… pourtant en pensant ces mots, je sens très bien que ce que tu me dis est vrai… Gloupsss.

- « Pour avoir frappé votre mari sur le sexe, Il a décidé de vous punir par 25 coups de martinet, 25 de strappe, 35 coups de lacets et pour finir, 25 coups de badine. Le tout attachée sur le lit »… Oh non pas la badine, surtout pas la badine, je déteste la badine et avec ce bourrin de bourreau qui assène les coups avec une telle intensité, mes fesses vont être zébrées comme jamais et la douleur va être intenable.

- « Non je ne veux pas, stp mon amour, pas la badine » … Je te regarde, l’air suppliant, je me dis que tu vas craquer, que tu vas retirer la punition à la badine, mais tu n’as pas le temps de dire quoique ce soit , c’est BC qui s’interpose.

- « Vous prendrez la punition dans son intégralité, votre mari n’a plus son mot à dire c’est ce qu’il a été convenu avant de commencer, pour que justement il ne puisse pas se laisser amoindrir par vos supplications. Je suis votre bourreau, je suis ici pour vous punir, c’est mon travail et croyez-moi, j’irai au bout, alors installez-vous de suite ! »

… Je n’aime pas les mots que j’entends, je déteste ce bourreau… mais contradictoirement, j’aime cette perte de contrôle, j’aime ne rien décider, j’aime cette sévérité, même si je sais que mes fesses vont beaucoup moins l’aimer… Je jette un coup d’œil furtif vers toi et je comprends que tu es soulagé de la réaction vive de ce vilain bourreau. Tu n’as pas eu à décider, il t’a enlevé une sacrée épine du pied. Et je vois également que tu es content de ce qui arrive. Tu voulais que je comprenne et retienne la leçon et tu sais que c’est ce qui va advenir… Tu te charges de m’attacher afin que je ne tente pas de me soustraire à ce qui va arriver. Et je sens mon cœur battre à toute allure, j’ai peur et pourtant je sens une sensation de bien être me parcourir. Comment est-ce possible ?

Clac, clac, clac, la punition commence. Le début est comme le reste, douloureux pour mes fesses qui sont déjà bien sensibles par tout ce qu’elles ont pris, mais bon, ça reste supportable, et à vrai dire, j’angoisse tellement à l’idée de la badine, que vous pourriez m’infliger 500 coups de tout ce que vous voudriez, que ça ne serait rien. Clac, clac, clac… On dirait une danse sensuelle qui se joue entre mes fesses et les différents instruments… Clac… Oups, là le tempo a changé et on est plutôt dans une danse tonique… la badine a enfin fait son entrée, et en fanfare…

- « Aïeeeeeeee, doucement svp » mais c’est comme si je parlais à un sourd, mon bourreau continue la danse à un rythme tantôt rapide, tantôt lent, mais toujours avec une intensité soutenue jusqu’au coup final… Pendant tout ce temps je me tortille, je laisse échapper des cris plaintifs, j’ai mal quoi ! Mais comment pourrait-il en être autrement ? Il ne se rend pas compte ce bourrin que c’est atroce, que c’est intenable ? Il faut croire que non. Là, je ne peux m’empêcher de penser que ce n’est que la première punition à la badine et que je sais pertinemment que tu en as prévu plusieurs ? Comment vais-je tenir ? C’est impensable… J’ai l’impression de sentir la peau de mes fesses se craquer tellement la douleur est effroyable.

- « pitié, stop »… Tiens, ça s’arrête, mon bourreau serait-il enfin à mon écoute ?... Ah bah non, c’est simplement que le 25ème coup est enfin venu percuter mes fesses et ainsi terminer la punition… ENFIN !!!

- « Au coin jeune fille »… Encore ?! Euh, à vrai dire, je crois que j’en suis presque soulagée, au moins, mes fesses se reposent et ne chauffent plus. Je ne suis pas pressée de recevoir la suite… Mais bon, j’ai toujours l’impression d’être cruche à regarder ce mur… Un frisson me parcourt tout le corps, j’ai la chair de poule, je tremble. Je demande la permission de mettre un gilet… demande acceptée, comme quoi mon bourreau sait se montrer compréhensible quand il le veut… (mais ne lui dis pas, je ne voudrais pas qu’il prenne cela quand une marque de faiblesse ou qu’il sache que je lui trouve une qualité.) … Là encore tu viens me voir de temps en temps, me touches les fesses pour sentir la peau, les marques laissées par la badine, contempler l’ouvrage de ce bourreau sans cœur… Un doigt se glisse de temps à autre jusqu’à mon point plaisir, tu le titilles mais sans insister, pas question de me faire jouir… Et puis tant mieux ! Je ne le voudrais surtout pas, pas devant lui, pas devant un inconnu !!! Mais en même temps qu’est-ce que j’aimerais que la punition se termine définitivement et que tu me prennes, là dans la foulée…

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Petite vengeance

Petite vengeance

- Salut Hugo, ça va ?

- Oui et toi Chloé, tu fais quoi ?

- Rien de spécial

- Si tu veux, passe chez mes parents, ils sont partis quelques jours et en plus je pourrais te présenter ma nouvelle copine

- D’ac, j'arrive dans 30 minutes


Hugo, une nouvelle copine, ça me fait bien plaisir pour lui, c'est ce que je me dis sur le chemin. En général, il n'a pas trop eu de chance avec ces exs donc j'espère qu'elle sera sympa. Je me demande où ils se sont rencontrés.


Toc toc

- Vas y rentre Chloé, on est dans le salon !

- Salut Hugo, salut euh...

- Maud, mais je crois qu'on se connait plutôt bien, non ?


Je me sens rougir, mais pourquoi je suis venue ici. Bien sur que je connais Maud, elle était à la danse avec moi quand j'étais petite et elle était la risée du groupe. On se moquait beaucoup d'elle car la pauvre a été pubère bien avant moi et tout le groupe de copine et on a commencé à se moquer parce que des poils dépassaient de son juste au corps. La pauvre est devenue notre souffre-douleur, surtout dans les vestiaires. On se moquait tellement d'elle que parfois elle en pleurait. Ça se passait vers mes 10-12 ans, qu'est ce qu'on peut être conne à cet âge là. En plus maintenant que je la regarde, elle est vraiment devenue jolie, mais vus le regard qu'elle me lance, je pense qu'elle n'a rien oublié, je pourrais voir des éclairs dans ses yeux.


- Bonjour Maud, ça va ? On se fait la bise ?

- Non je ne crois pas

- Mais qu'est que vous avez les filles ? vous vous connaissez ?


Les larmes aux yeux et de façon assez théâtrale, Maud quitte la pièce devant un Hugo complètement décontenance.

- Bon excuse Chloé, attend moi là, je vais lui parlé

- Oui (j'ai la gorge toute serrée)... Hugo, dis lui que je m'excuse

Il me lance un regard interrogatif puis part aussi. J'ai attendu au moins 15 minutes.


Ils reviennes main dans la main, je suis assise dans le canapé, Maud arbore un sourire aux lèvres tandis qu'Hugo à le visage fermé.

- Franchement Chloé, Maud m'a tout raconté, je suis vraiment déçu de toi, je ne te croyais pas comme ça

- Je suis vraiment désolée, j'étais jeune, j'étais conne

- C'est facile d'être désolée après mais t'as vraiment été dégueulasse pour Maud

- Pardon

- C'est pas à moi qu'il faut le dire

- Maud, je suis désolée, je te présente mes excuses

- Je m'en fous de tes excuses, tu n'es qu'une sale pimbêche. Tiens on va voir comment il est ton maillot à toi, hein Hugo

- Quoi ?

- Oui Chloé, c'est de ça qu'on a parlé avec Maud, on pense que tu mérites une bonne leçon, alors baisse ton pantalon qu'on te voit en culotte

- Mais ça va pas

- Chloé, si c'est pas toi qui baisse ton jean, c'est moi qui le fait et en plus après ce ne sera même plus la peine de me parler. Je te laisse 15 secondes pour réfléchir !

- (Maud me regarde avec un grand sourire) 15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3

Je me sens sens complètement gênée, tout se mélange dans ma tête, mais j'aime trop Hugo, je ferme les yeux et je déboutonne mon jean et je le laisse glisser sur mes cuisses. Maud rit, un rire cristallin qui résonne dans ma tête, Hugo lui me regarde, ou plus exactement ma culotte d'un air sévère.

- Tu crois pas qu'une culotte rose à ton âge, tu as passé l'âge ?

Je me sens complètement conne devant eux comme ça, Maud s'allonge sur le canapé en posant sa tête sur les cuisses d'Hugo

- Au moins, elle n'a pas de poils sur le maillot, mais tu crois qu'elle s'épile correctement ?

- Tu veux voir ?

- Oui et j'attends toujours ses excuses sincères, ça ne m'a pas du tout convaincue

- Allez Chloé tu sais ce qu'il te reste à faire !

- Mais non... non

Hugo me prend par la taille et me fait m'approcher de lui et glisse ses doigts dans l'élastique de ma culotte. En moins de deux secondes, elle est sur mes cuisses et je sens la honte complètement m'envahir. Les deux toisent mon intimité et je me sens complètement démunie

- Qu'est ce que tu veux maintenant Maud ?

- Tu devrais lui mettre une bonne fessée qu'elle s'en souvienne, ça lui apprendra

- Ok

Maud se rassoit dans le canapé et Hugo attrape mon poignet et me contraint à l'allonger sur ses genoux, la poitrine plaquée sur ceux de Maud et ni une ni deux il se met à me fesser

clac clac cla

- Mais non !

-Tais toi Chloé, tu l'as bien mérité celle là. Tiens lui les bras Maud.

clac clac clac

- Tu as vu, ses fesses prennent de la couleur

-Tant mieux continue mon chéri, je voudrais la voir pleurer

clac clac clac

- Hugo arrête on est ami

clac clac clac

- Justement, je fais ça pour ton bien pour que tu sois quitte avec moi et avec Maud

clac clac clac

clac clac clac

clac clac clac

La honte fait de plus en plus place à la douleur, Maud me tient fermement et Hugo est de plus en plus sévère, je sens ses mains rebondir sur chacune de mes fesses, alternativement. Je sens les larmes qui commencent à monter en moi et je me crispe à chaque nouvelle claque mais je sais au fond de moi que je n'ai aucune chance.

clac clac clac

clac clac clac

clac clac clac
- Pitié, pardon Maud, je te jure je regrette

- Je crois qu'elle a compris là, non ?

- Non continue encore

clac clac clac

clac clac clac

clac clac clac
Mes larmes recouvrent mon visage et je ne peux m'empêcher de lâcher des petits cris chaque fois que la main vient frapper mon fessier.

- Bon j'arrête ?

- Oui tu peux arrêter, mais j'ai une idée. On va lui interdire de s'épiler jusqu'à nouvel ordre et on vérifiera régulièrement que moi aussi je puisse me foutre de sa gueule. Et si elle ne le fait pas, tu recommenceras à la fessée comme ça.

- C'est compris Chloé ?

- Oui Hugo

- Excuse toi encore auprès de Maud

- Oui et à genoux

Je me laisse tomber à genoux

- Pardon Maud

- Allez c'est bon rhabille toi et dégage, j'en ai marre de te voir chialer. Je la tiens ma petite vengeance.


A partir de ce moment là, ma relation avec Hugo n'a plus jamais été la même
Il ne fallait pas désobéir

Il ne fallait pas désobéir

Hier soir, j'étais sur le tchat. Malgré l'interdiction d'utiliser mon téléphone par mon homme...

Ça a commencé alors qu'on était au salon tous les deux, en train de regarder un film. Or ce film, je l'avais déjà vu, et il ne m'intéressait pas. Du coup, l'envie de prendre mon téléphone me démangea, et je ne pus m'empêcher de le prendre par moments, quand il ne regardait pas.

Le film fini, il est parti se coucher. Moi toujours sur mon téléphone au salon, je décide de le rejoindre au lit. Il était couché avec son téléphone. Quelques minutes ont passé, je me suis déconnectée du site, afin de faire un câlin à mon homme.

Et c'est là que cela s’est gâté pour moi...
Il me repoussa et me réprimanda.

Moi : Mais je veux un câlin, pourquoi tu me repousses ?!!
Lui : Parce que tu as préféré passer ta soirée sur ton téléphone plutôt qu'avec moi.
Moi : mais c'est toi qui as dit que je pouvais le prendre, donc tu ne peux t'en prendre qu'à toi même....
Lui : Pardon ! Je t'ai dit de le prendre car cela te démangeait trop apparemment... Tu me prenais pour con!!! Dès que je ne regardais pas, hop tu prenais ton téléphone!!!
Moi : Bin t'avais qu'à pas me dire que je pouvais alors... De plus ton film était nul et je l'avais déjà vu !

Je me battais toujours à essayer de lui grimper dessus afin d'avoir mon câlin. Mais en vain, il me rejetait à chaque fois. Ce qui m'énerva...

Moi : Allez !! Je veux mon câlin!! Et c'est toi qui n’as pas arrêté de m’en parler la journée par messages !!

Il s'énerva et haussa la voix.

Lui : Alors là ça suffit ! Si tu voulais un câlin tu n'avais qu'à lâcher ton téléphone!!

Je râlais, mécontente de mon sort, et le repoussais. C'était la goutte d'eau qui fait déborder le vase... Il m'attrapa à la taille et me fit glisser sur ses jambes. Je reçu une bonne série de claques sur les fesses. Par-dessus ma culotte.

Habituellement je dors entièrement nue. Je n'aime pas les pyjamas mais approchant de mes périodes, je ne pouvais pas dormir sans protection et de prendre le risque de tâcher mes draps.

Je dois avouer que même si le tissu d'une culotte est fin, cela protège plutôt bien des coups. Et j'ai même eu la drôle d'idée de faire la remarque, que je devrais en porter plus souvent le soir, une fois qu’il m'avait lâchée.

J'avais les fesses qui me chauffaient. Et j'étais vexée... Non seulement je n'ai pas eu mon câlin, mais en plus j'ai reçu une fessée! C'était trop pour moi. Hors de question de rester bien tranquille à ma place. Malgré son ordre de d'arrêter mes bêtises et de dormir.

Je le bousculais, et faillis le faire tomber du lit. Ce qui l'énerva encore plus.

Lui : Tout en me basculant sur ses genoux) Très bien tu l'auras cherché !
Moi : Mais!! Lâche-moi!! J'ai rien fait!!

Il recommença à me fesser sur ma culotte. Jusqu'au moment où il comprit qu'elle me protégeait trop, vu que je continuais de faire la maline.

Il me fit mettre à 4 pattes et attrapa l'élastique de ma culotte pour la faire descendre. Je m’y opposais en essayant de la retenir et en le suppliant de ne pas le faire.

Moi : s'il te plaît non, non mon amour. Je serais sage promis !
Lui : ça suffit! Lâche tout de suite, tu aggraves ton cas !!

Au bord des larmes, j'acceptais d'obéir et de me laisser faire. Me voilà à 4 pattes, prête à recevoir ma fessée, culotte baissée à mi-cuisses.

Il frappa mes fesses, de plus en plus fort. Il passait d'une fesse à l'autre et à un moment il s'arrêta. Mais ce n'était malheureusement pas fini pour moi. Il m'agrippa plus fort et s'acharna sur une fesse. J'avais mal, ma fesse me brûlait et me faisait mal. Je râlais et me plaignais de la douleur.
Or monsieur n'aime pas quand je fais cela, ce qui me coûta un beau rappel à l'ordre et une claque très sèche sur chacune de mes fesses. Il termina par mon autre fesse afin de lui faire subir le même traitement que la première.

Une fois fini je lui fis mes excuses. Et il me fit promettre de rester sage.
J'ai eu le droit à un câlin avant de dormir, malgré tout. Mais en restant bien sagement à ma place.
Que de sensations

Que de sensations

Que de sensations!

Il arrive que parfois elle soit donnée à l’imprévue
Mais c’est encore mieux quand elle est prévenue
Car ainsi l’angoisse et l’envie font un mélange très bon
Pour apporter tout le temps de l’attente, une très bonne excitation

Devant mon fesseur tant adoré mais aussi redouté
Son regard je n’ose pas vraiment le croiser
Je sais que tout en étant tendre il va être rigoureux
Mais je l’ai bien cherchée par mon comportement malicieux

Et voilà que les reproches commencent à tomber
Mes joues se colorent au fur et à mesure que je sens la honte monter
Je me sens à la fois confuse et troublée
Car je sais que j’adore ce qui est en train d’arriver.

Que se soit sur les genoux ou autrement positionnée
Cela peut varier selon sa bonne volonté
Ça ne change rien à ce qui va se passer
Les claques sur mes globes vont d’un coup raisonner

Généralement elle commence sur les vêtements
Histoire de faire un petit échauffement
Puis petit à petit, délicatement le tout descend
Pour que le plaisir, l’ humiliation et l’excitation aillent en augmentant

Une fois les fesses dénudées bien à sa portée
Il y aura les claques, qui tour à tour vont tomber
Afin que mes fesses finissent pas rougir
Mais aussi quelques caresses pour varier les plaisirs

Il fera ou non une pause au coin, mains sur le visage
Profitera de ce moment pour observer son ouvrage
Cela accentuera au plus haut point mon embarras
Mais il faut bien que je réfléchisse à ce qu’il faut faire ou pas

Elle peut-être à la main, au paddle ou bien au martinet
Ou encore bien d’autres possibilités
Cela permet de varier les sensations
Pour éprouver encore plus de jouissances et d’exaltation

Peut importe le temps que ça peut durer
Ni même si je vais crier, pleurer ou supplier
Car la principale raison et le but recherché dans tout ça
Est bien le plaisir mutuel que l’on prendra

J’adore lorsque l’envie et la honte se mélangent
Tout comme percevoir la chaleur qui en moi se propage
Sentir mon puit d’amour s’humidifier
Et apercevoir ensuite mes fesses qui se sont colorées.

Lorsque la fessée est finalement finie
Tout un tourbillon de sentiments m’envahit
Je finis toujours pour mes fautes par m’excuser
Et dans ses bras je me blottis afin d’être consolée

Pestange
Tchatter ou conduire, faut choisir!

Tchatter ou conduire, faut choisir!

J’étais sur le tchat à discuter, mais je devais prendre le volant. J’ai donc posé mon téléphone sur le siège passager avant. J'étais en train de conduire, mais la tentation étais trop forte… Il fallait que je regarde et que je réponde ! Tout le long du trajet je ne pus m’empêcher de jeter un œil à mon téléphone… Ce qui me causa plusieurs frayeurs une fois les yeux de nouveau sur la route.

Une fois rentrer un sentiment de culpabilité m’envahit… Car oui, j’ai fait une très grosse bêtise! J’hésiter que devais je faire. Je dois l’avouer à mon homme, mais si il le sait… Je risque de recevoir une sacrée fessée… De plus ce n’est pas la première fois. La première fois il m’avait déjà donné une sacrée correction pour sa, tout en me disant que si je recommencer, sa serait clairement pire. Bon allé courage, je lui dis… étant donné qu’il était au travail je lui dis par SMS.

Un premier message disant «  mon chéri, j’ai fait une grosse bêtise ». Sa réponse se fut assez direct il me demanda qu'est ce que j’ai fait. Je lui répondis « j’ai récidivé… J’ai repris mon téléphone au volant je suis désolé… Je sais ce que je mérite et du coup, je t’attendrais se soir au coin la culotte baissé! ». J’espérais que mon message montrant ma culpabilité allait le toucher et de ce fait êtres plus doux… Mais à sa réponse je compris qu’il était très fâché… Il m’a juste dit que oui, je l’attendrais au coin, rien de plus… Pour moi, ça voulait tout dire…


Une fois rentrer à la maison, il prit place sur le canapé. Moi j’étais toujours au coin les fesses nues. Il m’appela et me demanda de venir. Il commença à me gronder et à me rappeler ma faute et ce qui allait m’arriver. Je ne broncher pas car après tout, moi-même je savais que je méritais une très sévère fessée.

Il me fit signe de prendre place sur ses genoux. Une fois en place la fessée commença. Il me fessa à la main sèchement, en faisant bien attention de bien fessée toute la superficie de mes fesses. Ça me chauffait, ça me brûlait, il n’y allait pas de main morte. Puis la fessée pris fin. Toujours allonger sur ses genoux, il me dit que ça sera tout pour aujourd’hui. Car après tout je travaillais de nuit et le temps nous était limité. Mais il me dit que demain il s’occuperait de mon cas et que là je ne devrait pas m’attendre à une simple fessée à la main.

Il me releva et m’envoya au coin une bonne dizaine de minute avant de me laisser le droit de me rhabiller.

Le lendemain

J’ai eu la boule au ventre toute la journée ! Pour sur moi j'étais en week-end vu que c’était samedi, mais lui travailler donc j’ai dû attendre 18H30 qu’il rentre pour savoir ce qui aller m’arriver exactement…
Je reçus un message de sa part à 18H00 me disant qu’il quitter le boulot et que quand il rentrera il s’attend à me retrouver au coin bien sage à l’attendre.

Il rentra à la maison j’étais là ou il me l’avait demandé, au coin, bien sage, à l’attendre. Quand il me demanda de venir à lui, j'ai pu voir sur la table base, bien exposer la brosse et le martinet. Mon cœur battait à toute allure… J'allais recevoir une sévère fessée. Mais au fond de moi je savais que je devais la recevoir, je l’avais mérité.

Il me rappela mon erreur tout en me disant le menu. Ce n’est pas la première fois et je sais que ça c’est une bêtise qui le met hors de lui. Il m’avait promis une très sévère correction en cas de récidive et il compter bien tenir sa promesse! Il m’expliqua que j’allais recevoir une fessée comme je n’en avais jamais reçue au part avant, et que peut importe mes supplication il ne s’arrêtera pas!
Il me demanda d’ôter ma jupe et ma culotte avant de venir m’installer sur ses genoux. J’obéis de suite et sans broncher.

La fessée commença à la main et dès le début très sévère. Mes fesses étaient encore un peu sensible de la fessée de la veille et la chaleur se fit vite ressentir. Après plusieurs minutes de fessée à la main, je pouvais déjà imaginer la couleur de mes fesses. Il fit une courte pause afin de me rappeler pourquoi j’étais punie et que ceci n’étais qu’un échauffement. Il prit la brosse sur la table et reprit la fessée de plus belle. Il me fessait avec fermeté. Je ne pus m’empêcher de gigoter et de sangloter tellement que j’avais mal, mais je rester bien en place. Je voulais montrer à mon homme que je reconnaissais mes torts et que j'acceptais parfaitement cette fessée qui étais plus que mérité.

Il s’arrêta et posa la brosse, mes fesses étaient en feu je voulais que sa se termine. Mais cela seul Monsieur pouvait en décider. Il me fit signe de me lever et d’aller au coin, je me suis dit, enfin c’est fini. Mais non, il fessait juste une pause. Il me demanda de revenir et me fit me placer sur l’accoudoir du canapé. Une fois bien en place il reprit la fessée, mais avec le martinet je reçu une vingtaine de coup que je dus compter. Puis il posa le martinet et fit pareil avec la brosse, une série de vingt coups, avant de reprendre le martinet. Les séries de coups se multiplier, ça durait je n’en pouvais plus, j’étais en larmes, j’avais de plus en plus de difficulté à compter… Il m’a poussé à ma limite. J’ai même crus que j’allais utiliser le safe word.

Quand il vit que je ne tenais plus il s’arrêta. Et m’envoya au coin. Mes fesses me brûler et me fessais vraiment très mal. Au bout de plusieurs minutes au coin il mit fin à la punition, et me pris dans ses bras pour me faire un gros câlin. Il me dit qu’il ne voulait pas que je recommence car c’est dangereux et qu'il tien à moi. Je lui promis de ne plus jamais recommencer et il m’appliqua de la pommade sur les fesses afin d’éviter les bleus. (même si le lendemain mes fesses étais recouverte de bleu quand même et le son rester pendant une bonne semaine...)

J’ai eu très mal, car la fessée était très sévère, mais je n’en attendais pas moins de monsieur. J’avais mérité une sévère correction et j’aurais étais déçut si il ne me l’avait pas donnée, car cela voudrait dire qu’il s’en fou de moi. Mais ce n'est pas le cas, mon cher et tendre tien à moi, et cela plus que tout.
À l'école

À l'école

Mon épouse et moi participions à une réunion d’information à l’école de notre fils, alors en CP. L’enseignante se présentait, c’était en début d’année scolaire, présentait les activités qu’elle comptait mener en classe, expliquait sa démarche pédagogique, sa façon de faire, ses principes, ce qu’elle attendait des parents.
Nous nous étions arrangés pour venir en ce début de soirée sans nos enfants ; une baby sitter s’occupait du nôtre et de celui de la voisine. Cette dame affichait un certain sans gêne, était limite vulgaire, n’était pas toujours appréciée dans le village, d’autant plus que son gamin, qu’elle élevait seule, se livrait à quelques bêtises.
Or le problème de la discipline à l’école en classe fut abordé par des parents et certains se plaignirent justement du sien.
La prof reconnut qu’elle avait un peu de mal avec lui, mais assura qu’elle gérait la situation, qu’elle ne le laissait pas ne perturber pas la bonne marche de la classe.
Mais notre voisine, se sentant remise en cause, crut bon, à sa façon, de conseiller la prof :
« Si y vous embête trop, z’avez qu’ à lui mettre une bonne fessée !
-Mais Madame…
- Ne vous gênez pas ! Cul nu devant les copains et copines, ça lui f’ra les pieds, vous avez mon autorisation.
-Invraisemblable », s’indigna une autre mère.
La prof expliqua qu’il n’en était pas question et rappela la réglementation.
« Interdit ? Mais c’est nouveau !
-Pas du tout, interdit depuis très longtemps, et si cela a pu se faire, c’est que la Loi n’était pas respectée, qu’on fermait les yeux.
- Ah, je vois, vous avez peur, vous êtes une dégonflée, et même pas capable de mettre une fessée !
-C’est ce que nous allons voir ! »
La prof, de grande taille, élancée mais un peu carrée, lunettes noires, se leva et solidement campée, les mains sur les hanches.
« Je m’occuperai de vous quand cette réunion sera terminée. »
Il fut question du travail à faire à la maison, puis la prof nous demanda si nous souhaitions aborder d’autres points, revenir sur ce qui n’aurait pas été clair. Mais les esprits étaient ailleurs ; celui de la voisine, certainement, aussi, elle devait se demander si elle n’aurait pas mieux fait de se taire ; mais avec son côté bravache et peur de rien, on pouvait se douter qu’ après avoir lancé « dégonflée » à la prof qu’elle n’allait pas, elle, se dégonfler.
Et elle fut même provocatrice !
« Alors, vous savez ou non ? mettre la fessée ?
-Je viens vous chercher ? ou vous montez au bureau ?
Notre voisine se leva et se dirigea, l’air crâne, vers l’estrade. Personne sans trop d’élégance, elle ne s’était pas habillée plus particulièrement pour cette réunion et était restée en jogging.
Un couple, la dame étant celle qui s’était indignée, demanda à partir.
« Nous vous souhaitons une bonne fin de soirée, et bien sûr ce qui va suivre ne fait pas partie de cette réunion. Si d’autres personnes veulent se retirer…
Eh bien, maintenant, je retire…le pantalon de Madame ! «
Elle prit notre voisine par la main, la fit monter sur l’estrade, et tranquillement défit le lacet qui tenait le pantalon et fit glisser celui-ci le long des cuisses. Puis, plus grande qu’elle, elle la plia sous un bras et un frémissement parcourut l’assistance quand elle acheva de la déculotter.
Notre voisine, restée silencieuse pendant ce préparatif vestimentaire, retrouva vite son manque de discrétion, se mit à chaque impact à pousser des exclamations se voulant amusées, mais qui témoignait tout de même de la vivacité et de l’ardeur que mettait la prof à corriger cette insolente mère d’élève.
Les autres mères retenaient leurs rires, craignant peut-être de se faire remarquer et d’y passer à leur tour. Les pères n’avaient pas d’yeux assez grands pour contempler ce postérieur dénudé, bien rond et bien galbé, et rougissant sous cette énergique fessée.
Ma femme avait commencé à me prendre discrètement la main sous le bureau d’écolier où nous étions assis quand cette mise au point du savoir-faire de la prof prit fin.
« Vous êtes une grande fille, je vous laisse vous rhabiller ».
La voisine procéda comme si de rien n’était, prit son temps, puis fit une petite moue combinée à un hochement de tête qui semblait dire à la prof qu’elle reconnaissait s’être trompée.
Nous la ramenions chez elle, et nous sortîmes tous les trois en premier, saluant globalement l’assistance, elle, tout de même l’air moins fier qu’en entrant.
Le retour se fit en silence. Elle récupéra son enfant, les deux avaient avait selon la baby sitter été plutôt sages ; puis avant de prendre congé nous dit que l’on pourrait se revoir pour « parler un peu de cette réunion ».
Notre fils alla se coucher sans qu’on le lui demande et mon épouse me proposa de "boire un dernier verre"  : vu que nous n'avions encore rien pris je compris que c'était une incitation à un rapprochement plutôt que de songer à dormir tout de suite.
Sacré week end partie 1

Sacré week end partie 1

Ce week-end là , était un week end de fête. en effet Mademoiselle MissCécé etait invitée à la maison. Et il ne fallut pas plus d'une heure avant que mademoiselle MissCheeky finisse au coin avec les fesses rouges, quelle injustice ! Elle s'etait bien faite sermonée et MissCécé bien avertie. Ce week end monsieur Coachthomas voulait des chipies exemplaires, il serait intransigeant sinon la fessée tomberait sans ménagement.
Le gros soucis, c'est que MissCheeky était vexée de la fessée qu'elle venait de recevoir. Elle ne pensait qu'à une chose, se venger et attirer des problémes à MissCécé.
La chipie multupliait ses plaintes au sujet de sa copine ce qui exaspera Coachthomas qui chopa les deux chipies et exigea qu'elles se calment de suite. il les envoya en courses pour avoir un peu la paix.
Alors que les deux copines étaient sagement parties faire les courses et s'apprêtaient à rejoindre leur voiture le vigile du magasin les stoppa et demanda à MissCécé d'ouvrir son sac et de lui montrer son ticket de caisse.
MissCécé ne savait plus où se mettre et ne comprenait pas ce qu'il se passait mais le vigile ne cru pas un mot à son histoire. Comme demandé par son superieur qui n'etait autre que Coachthomas mais cela les deux chipies l'ignoraient (MissCheeky s'avait qu'il changait de travail mais ignorait que cela était dejà fait ). Il alerta donc son chef sur son bipeur comme chaque cas de demoiselles prisent à voler. De son coté MissCheeky jubilait.
Et quelle ne fut pas la surprise des deux chipies de voir debarquer Coachthomas.
- Bah qu'est-ce que tu fais la l'interpellla MissCheeky
- je travaille ici ! non mais que se passe t-il ici ???!
MissCheeky jubilait un peu moins en effet la jeune fille etait inquiète qu'il découvre le pot aux roses
Le vigile qui avait dirigé tout le monde dans le bureau montra le sac à main de la vilaine MissCécé
furieux Coachthomas chopa manu militari MissCécé et la courba contre le bureau il lui baissa immédiatement pantalon et culotte et lui flanqua une sacrée volée .
la demoiselle gigotait dans tous les sens et avait les fesses écarlates, mais le monsieur n'en avait pas fini .
il degraffa sa ceinture et flanqua à la jeune fille une bonne série qu'elle dû compter . ce qu'elle fit sans broncher .
la correction terminée @cachthomas salua le vigil et entraina les deux chipies dans la voiture .
MissCheeky se mit a l'arrière et se fit discrete pendant que à l'avant MissCécé se prit un sacré savon tout le long du chemin du retour.
En rentrant la jeune fille fila au coin pendant que misscheeky prépara un bon petit plat .
Puis tout ce petit monde passa à table dans la joie et la bonne humeur, misscheeky qui voulu passer une bonne soiree proposa une soirée bowling.
- Non mais tu plaisantes !! ta copine elle va filer au lit avec une bonne fessee quant à toi je te conseille de te tenir a carreau !
MissCheeky se senti très mal pour sa copine mais n'osa pas répliquer. Malgres sa culpabilité.

..récit à suivre qui sera écrit parMissCécé
Quand le coin et les lignes ne suffisent plus

Quand le coin et les lignes ne suffisent plus

Mon principal problème de comportement, c'est l'insolence. Pas avec mon homme mais sur la route et au travail. Et puis il y à mon amour pour l'accélérateur, au moins j'évite à la voiture de s'encrasser.

C'est la réponse que j'ai sorti quand on à reçu l'amende pour excès de vitesse. Comme je vous le disais, l'insolence...

J'ai donc été puni.
"115 sur une route à route à 90 je te le dis ça mérite une bonne correction !"
Mais ce soir la, on avait pas le temps alors j'ai du attendre jusqu'au lendemain pour recevoir ma fessée.

- En attendant, pour demain soir tu me copiera 100 fois "Je ne dois pas rouler aussi vite". Simple et je l'espère efficace.
- Impossible ! Je commence tôt et finis tard demain, ma dernière réunion est à 18h !
- Débrouilles-toi, il me semble que tu prends des pauses au bureau, tu copieras au lieu de discuter ça rentrera peut-être mieux.

Je me suis donc retrouvé le lendemain avec 3 feuilles blanche et un stylo, enfermée dans mon bureau en entendant mes collègues rirent à côté. La honte de faire sa punition au boulot.
C'est pas la première fois et surement pas la dernière, mais bon.

Après 2 pauses et la moitié du midi à gratter, j'ai fini mes lignes. Plus ou moins correctement.

Je rentre avant lui ce soir, je m'installe après avoir grignoter dans le canapé.
19h30, j'entends le portail. Puisqu'il ne claque pas il ne doit pas être trop remonté et à peut-être même oublié. (Non je n'y crois pas du tout à ça !)

- On s'y met, j'ai pas que ça à faire ce soir. Je crois que t'as quelque chose à me donner. Va attendre au coin.

Je fais glisser les feuilles sur la table et me dirige vers le coin.
Quelques minutes se passe avant d'entendre :
"C'est moyen, devant moi maintenant"

Assi dans le canapé, il me déboutonne le pantalon et le baisse en dessous des fesses.

- A nous, sur mes genoux !
J'espère que ton poignet à imprimer aujourd'hui ! Je vais bientôt devoir te la coller tous les mois rien que pour la vitesse ! T'as quel âge pour conduire comme ça ? On dirait une ado irresponsable !

CLAC
CLAC
CLAC

- Je te préviens je vais pas être tendre, la vitesse c'est impardonnable, on rigole pas avec le danger !

CLAC
CLAC
CLAC

Je sens mes fesses chauffer, je sais que ma culotte ne va pas tarder à tomber alors je tiens bon au moins jusque là.
Droite, gauche, droite, gauche, ça picote.
Puis au bout d'une dizaine de minutes...

- Lève toi et attends à côté de la table basse.

A peine le temps de me déplacer qu'il revient déjà. Moi qui espérais avoir le temps de souffler.

- Alors, 115 au lieu de 90 ça nous fait donc 25.
15 coups de ceinture sur chaque fesses et t'aura eu ton compte.

Je l'entend déboucler sa ceinture. Ce bruit qui fait peur. Puis baisser ma culotte aux chevilles.

- Penche toi en avant ! Tu comptes et on commence par la droite.
SCLAP
SCLAP
SCLAP

23
SCLAP
24
SCLAP
25

Il me tire par le bras pour me relever. Remonte culotte et pantalon jusqu'en dessous mes fesses.

- Bien jeune fille, on en à fini pour la fessée.
Au coin 10 minutes, profites en pour réfléchir.

Je m'exécute sagement, les 4 joues bien rouges.
Mais à peine arrivé CLAP je reprend une claque en plein milieu
"Au coin c'est les mains sur la tête ! Et j'ai rien entendu !"

"Merci pour cette punition."
Début difficile pour la premiere fessée-1

Début difficile pour la premiere fessée-1

-Baisse ton jean.
Tranquille mais assuré, le ton n'admet aucune discussion.
Dans ma tête, les emotions se bousculent, les fantasmes se transformant brusquement en realité.

Comment j'en suis arrivée la

Les idées totalement farfelues qui passent par la tête de deux filles, collocataires devenues copines, sont faites plutôt pour voir qui des deux est la plus témeraire tout en sachant bien que certains défis ne seront jamais vraiment mis en pratique.
Mais voilà, en nous confiant l'une a l'autre nos fantasmes plus absurdes, une des deux ( moi ou elle, je ne sais plus) à evoqué la fessée.
Comme je passe plus de temps sur les tchat et autres sites du genre qu'a préparer les examens d'architecture, j'ai eu l'idée de faire une brève recherche.
En deux clic j'ai trouvé plusieurs forums aux titres plus ou moins bizarres. "Discipline domestique" ( cela fait un peu trop couple de vieux) ,"Fesses rouges" (un peu inquiétant..) et d'autres qui me font rire. Et puis, deux lignes en dessous sur le moteur de recherche, je tombe sur..."Deculottées". D'un coup, ce simple mot me remet à ma place, mon sourire se fige.
Les jours suivants, j'ai dialogué sur plusieurs sites avec des personnes qui se disaient prêtes a me faire découvrir cette pratique, j'en ai profité pour essayer de comprendre mieux comment cela se passe. J'en ai parlé a Fanny et je lui ai montré quelques recits sur la fessée. J'ai vu sa perplexité sur cette idée , et mes arguments (genre toute experience nouvelle aide a comprendre qui tu est, si on essaye pas on ne saura jamais, etc.) n'ont fait que renforcer ses doutes sur ma santé mentale.

Pourquoi alors se trouve t-elle maintenant ici, embarquée dans cette etrange experience elle aussi? Tout simplement parce qu'elle n'a pas voulu me laisser aller seule a cette rencontre avec un inconnu.
Ce qui ne veut pas dire accepter de participer, elle est determinée à avoir uniquement un rôle d'ange gardien. De mon côté, le fait qu'elle m'accompagne a cette rencontre incongrue est certainement rassurant. A ce moment, je ne mesure pas encore combien cela sera embarassant qu'elle soit temoin de cette experience.

-Baisse ton pantalon.
La phrase est repetée, sans impatience, comme avec la certitude que ses indications vont être executées.

Nous sommes toutes les deux debout devant l'inconnu, plus vieux (a nous deux nous ne faisons pas son age) et absolument imperturbable dans son rôle. Même le fait que nous sommes venues a deux n'a provoqué aucune réaction apparente.
Pendant la discussion en chat, MisterX ( c'était son pseudo) a donné quelques indications sur le déroulement, mais sans s'attarder sur la tenue ni sur d'autres détails. J'ai donc pensé mettre ce que je porte habituellement. Un jeans, un pull, comme si c'etait pour aller à l'uni ou sortir bavarder avec les copines...sauf que là je me suis embarquée dans une experience très differente.
En montant les 3 étages de l'immeuble ou se trouve le bureau de MisterX ( oui, c'est bien un bureau, ou pour mieux dire un cabinet ) mes jambes sont molles, le souffle me manque, le dernier moment pour revenir en arrière.... Pas un mot avec ma copine qui suit deux marches plus bas, de toute manière elle a déjà amplement exprimé ses doutes pendant le court voyage en autobus.
Tout se passe comme dans une espèce de rêve, sonner, entrer se retrouver devant un inconnu. Du moins inconnu pour moi....
Dés que je suis en sa présence, le souvenir de ce que j'ai du faire pendant la discussion préparatoire me reviens brusquement.
Je viens de dire qu'il s'est limité a donner quelques indications sur le déroulement de la "rencontre" mais j'ai omis quelques autres choses.

La preparation
Plusieurs conversations en tchat ont eu lieu. La premiere presque trop facile, une discussion aimable et désinvolte, quelques questions sur mes passions et activités dans la vie, MisterX se montrant agréable et plutôt à jour sur les thèmes genre musique, series TV pour quelqu'un qui à plus du double de mon age.
La deuxieme, plus de questions sur mon attitude, mon caractère, je pense il sondait plus en profondeur ma personalité et mes motivations. Les choses on brusquement changé après une heure de conversation: une requête très directe m'est tombée dessus comme un coup de vent glacial. Les lignes apparaissent rapidement sur la fenêtre du chat, une question sur mon habillement actuel, la suivante si je suis seule dans mon appart, et quelques secondes aprés une requête brève et directe.
-Déculotte-toi et fait une photo en montrant tes fesses.
Prise de panique je fait semblant de ne pas avoir lu. Aprés quelques instants, la requête se fait impérative
-Pantalon et culotte aux chevilles, ce n'est pas difficile à comprendre.
Je commence a comprendre je n'ai pas d'autre choix que m'executer, même si le geste est gênant. Aucune manière de tricher ( ce qui est pourtant ma specialité) mes mains vont machinalement deboutonner mon pantalon qui tombe d'un seul coup à mes pieds.
MisterX n'écrit plus rien, comme si il attendait avec la certitude que je me plie à sa volonté.
La culotte suit le même chemin, en m'exposant a l'embarras de cette situation, debout déculottée devant mon ordinateur. J'arrive tant bien que mal a me faire ce selfie requis. Il ne me reste que le transférer sur l'ordinateur, et faire un clic pour le telecharger sur le chat. Hésitation. Je suis sur le point de me montrer culotte baissée devant un inconnu. C'est mille fois plus compromettant que se montrer en chat plus ou moins nue dans une pose savamment choisie.
Clic.
Une longue minute d'attente plus tard, MisterX se contente de dire que cela peut suffire pour le moment, sans daigner faire d'autres commentaires.

Affronter la realité

MisterX n'est plus un interlocuteur virtuel. J'entend sa voix, je suis devant lui.
Quelque part derrière moi dans la pièce, ma copine se tient en retrait, impossible de chercher un réconfort dans son regard . Hésiter encore devient difficile.
En quelques secondes, j'élabore toutes les possibilités de me soumettre a la demande de MisterX sans trop perdre ma dignité . Baisser d'un geste et mettre fin a l'humiliation? Ouvrir juste le premier bouton et le zip en espèrant m'en sortir comme cela?
Demander que Fanny sorte et attende dans l'entrée, ne pas devoir subir mon déshabillage devant elle?
Les minutes et heures qui suivront me feront comprendre combien cette experience peut être intense.
Une embarrassante punition

Une embarrassante punition

Cette histoire est une fiction totale (et heureusement !  )

Une embarrassante punition

Ce soir là, mon homme avait invité un couple d'amis à lui à dîner à la maison. Il m’a prévenu qu’ils étaient « à cheval sur les bonnes manières », « d’une autre génération », et que j’avais « intérêt à bien me comporter ».
Il s'était occupé de tout, et je n'avais eu qu'à jouer l'inspectrice des travaux finis - « Non la nappe bleue ça ne va pas du tout, oh non pas encore de la viande rouge, beurk ! » - Mes remarques ne lui ont pas plu, et j'ai été punie.
Quand nos invités sonnèrent à la porte, je me tenais debout face à un coin de l'entrée, la culotte baissée juste au dessous des fesses.
Je n’avais pas eu l’autorisation de me reculotter, et je devais m’estimer heureuse de ne pas avoir reçue de fessée étant donné mon comportement inadmissible. Ainsi mes fesses d'une blancheur immaculée étaient exposées à la vue des visiteurs, et j’étais extrêmement gênée à cette idée. Qu’allaient ils penser de moi, surtout pour une première impression ? Je n'en menais pas large, et tentais de me faire toute petite, alors qu’ils échangeaient des amabilités.
— Quel charmante maison ! Oh tiens, quelqu’un n’a pas été sage ?
— Entrez, entrez... Je suis désolé, j'ai dû punir Manon...
— Ah bah ça alors...
— Quelques mots de travers seulement, mais je ne veux rien laisser passer.
— Tu as très bien fait ! Nous cautionnons tout à fait ce genre de discipline.
J’essayais de cacher mes fesses avec une main.
Mon homme est venu m’attraper la main, l’a calé dans mon dos, et m’a donnée une claque sur les fesses qui a résonné dans toute la pièce.
— Ouille !
— Oh ça ne sert à rien de te cacher, assume tes bêtises.
Cela m’a vexée encore davantage. Il a aussi baissé un peu plus ma culotte au passage, en maugréant que je l’avais remontée en douce.
Heureusement la punition a été levée au bout de quelques minutes. J’ai rejoint nos convives, la tête baissée, le rouge aux joues.
Ils m'ont alors posé des tas de questions et fait des remarques désobligeantes :
« Alors, comme ça on a été punie ? » « voilà ce qui arrive aux vilaines filles» «j’imagine qu’après notre départ, elle va recevoir une bonne fessée » «il te punit pour ton bien, tu sais » etc
La Madame a dit à un moment donné "mais vous ne voyez pas que vous l'embarrassez, elle est toute rouge" mais les Messieurs ont continué à parler entre eux de discipline domestique sur un mode très sérieux.
— Quand Manon est désobéissante ou insolente elle reçoit habituellement une bonne fessée.
— Et c’est efficace ?
— Oh que oui ! Il n’y a que ça de vrai pour la remettre à sa place. Elle devient alors toute sage et obéissante. Vous la verriez me demander pardon la culotte encore baissée, ses fesses aussi rouges que ses joues. Si seulement elle pouvait être tout le temps comme ça !
Ils se mirent à rire tous ensemble.
A l’écoute de ses insanités, je me suis mise à bouder, ce qui m'a valu un avertissement et une menace d’aller refaire un tour au coin.
Nous avons mangé, puis nous nous somme levés pour aller dans le petit salon.
Mon homme a alors annoncé que je devais aller au lit un peu avant leur départ, car j'avais une heure de coucher en semaine.
J’ai osé répondre que c'était « injuste ». Je sais bien que je n’aurais pas dû dire ça, mais c'était plus fort que moi.
— Tu veux vraiment une fessée, c'est ça que tu veux ?
— Mais…
— Excusez-la, je ne sais pas ce qu’elle a ce soir…
Et là je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai jeté de rage mon verre de champagne par terre, qui s’est cassé sur le parquet.
Mon homme s’est alors dirigé, d’un pas rapide, vers le mur à côté de la porte. Il a décroché le martinet de son clou, et il est revenu avec cet instrument de malheur, en poussant un soupir de désolation.
— Et dire que je suis obligé d’en arriver là…
Son regard était grave, sévère, déterminé. J'ai balbutié des excuses, mais c'était trop tard. Nos invités ne souriaient plus et semblaient montrer enfin un peu de compassion.
— Je m'excuse mais je vais devoir la corriger, ici et tout de suite. Ça lui apprendra.
— Nous comprenons.
Il m'a prise par le bras et m'a positionnée penchée sur le dos du canapé. J'ai senti le bas de ma robe se soulever, puis ma culotte descendre brusquement jusqu’aux genoux. Je me suis sentie si vulnérable, les fesses à l’air aux yeux de tous.
— Non… s’il te plaît…
Puis il m'a fouettée impitoyablement. Ma culotte a commencé à prendre la direction de mes chevilles, à force de me dandiner sous les coups.
Shlack Shlack Shlack !
— Une fessée devant tout le monde, voilà ! Que je t’y reprenne à te comporter de cette manière !
Shlack Shlack Shlack !
J'ai beaucoup supplié, "pas devant eux" "pardon, je serai sage maintenant promis" , mais rien à faire. Qu'est-ce que j'ai eu honte !
C'est en larmes et le fessier rougi, toujours placée dans cette humiliante position, la main de mon homme posée sur mon dos que j'ai dû présenter mes excuses à nos invités.
— Je vous demande pard... SNIF pour mon comport.. SNIF
— Plus fort, nous n'avons pas bien entendu.
— Je vous demande pardon pour mon comportement ! SNIF SNIF
— Bien. Tu peux te rhabiller.
J’ai maladroitement remonté ma culotte, à toute une vitesse et sous leurs regards condescendants et réprobateurs.
J’ai dû aller remettre le martinet sur son clou avant de pouvoir frotter mes fesses et aller m’asseoir, un peu à l’écart.
La dame est venue vers moi et tenté de me consoler, mais elle ne m’a dit que des banalités. Que c’était finiiii, que je devais me sentir mieux après ma fessée. Que ouiiiii, ils avaient vu mes fesses, que ouiiii, ils m’avaient vu être fessée, mais ça me serait salutaire car je réfléchirai deux fois à présent avant de désobéir effrontément devant des gens. L’important, c’était que j’avais bien appris ma leçon grâce au martinet. Non, on ne doit désobéir, être insolente ou faire des bêtises.
— Allez, entre nous, cette fessée déculottée n’était elle pas bien méritée ?
J’ai baissé les yeux et pris une petite voix.
— Si.
— Très bien.
Ils ont tous pris un air satisfait.
Après ça nos invités décidèrent de prendre congé.
Avec mon homme nous sommes revenus au salon, il m’a installée à plat ventre sur ses genoux pour me mettre de la crème hydratante sur les fesses. Il a en étalé partout, et a bien insisté sur l’intérieur des cuisses.
— Ça t’as beaucoup plu à ce que je vois…
— Mais pas du tout, j’avais le safeword sur le bout de la langue mais impossible de m’en rappeler…
— C’est cela, oui.
Il s’est mis à rire.
— Mais si… franchement ils sont graves, ces gens. Ils en ont fait beaucoup trop…
— Bon allez ça suffit. File dans la chambre, mets-toi toute nue, et attends moi bien sagement. J’arrive dans deux minutes.
Suite censurée xxx

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