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Rencontre avec mon bourreau (2ème partie)

Rencontre avec mon bourreau (2ème partie)

Rencontre avec mon bourreau (2ème partie)

Me voici donc dans cette tenue qui ne cache rien, honteuse devant toi mon mari, mais surtout devant mon bourreau. Je ne peux m’empêcher de baisser les yeux.

- « Oh… très belle robe » … En entendant ces mots sortir de la bouche de BC, ma gêne ne fait que s’accentuer. Je sais très bien ce qui se cache derrière ces mots, ce que mon bourreau a voulu dire… Malgré tout je sens mon puit d’amour s’humidifier. Mais que se passe-t-il ?

- « Bon c’est quoi la prochaine punition ? » Je m’entends dire ces mots sans même me rendre compte de les prononcer. Je crois que je préfère encore avoir mal aux fesses que de me retrouver ainsi dans cette tenue. Constatant ma réelle gêne, je pense que mon bourreau a pitié de moi et cède à ma requête en annonçant la punition suivante.

- « Pour avoir été intenable, impatiente, peste envers votre mari alors que vous attendiez une réponse à un mail, votre mari a décidé que vous serez couchée sur le lit, mains attachées et que vous méritez 50 claques à la main, 50 coups de martinet, 50 coups de nouvelle cravache et 25 coups de lacets ».

- « C’est beaucoup trop mon homme, tu exagères sur ce coup-là ». Mais mon bourreau ne te laisse pas le temps de répondre

- « C’est la punition que votre mari a estimé justifiée, donc il en sera ainsi, ce n’est pas à vous vilaine fille de juger le bienfondé d’une sentence, alors installez-vous et taisez-vous ! » Gloupsss, je m’exécute même si je trouve toujours la punition injuste. Lorsque tu m’attaches les mains, j’en profite pour te lancer un regard noir, que tu saches sans même dire un mot ce que je pense. Mais en retour, je n’ai pour réponse qu’un large sourire sadique me témoignant du malin plaisir que tu prends. Grrr, tu me le paieras, je te jure !!!

Me voici donc couchée sur le lit, mains attachées. Je m’attends à recevoir le premier coup, mais c’est la main de mon bourreau qui vient caresser mes fesses… puis descendre cette culotte que j’avais pris soin de remettre en même temps que j’avais changé de tenue. Zut alors, ça n’a pas marché !

Clac, clac, clac… Voilà, la punition fait son entrée. La main pour commencer… mince alors il ne faiblit jamais ce bourreau ? Il n’a pas mal à la main à force ?… Bah faut croire que non vu l’intensité des claques. Mes fesses, qui s’étaient refroidies durant cette petite pause, se réchauffent immédiatement. Puis le martinet prend le relais… Oups, il est toujours aussi mordant ce martinet. Chaque coup fait se raidir mes fesses, je me pince les lèvres pour m’empêcher de lâcher des gémissements. Vous ne pensez quand même pas que je vais vous donner la satisfaction de me voir gesticuler dans tous les sens et gémir de douleur ? Non mais oh, vous m’avez pris pour qui tous les deux ?... Ouf, terminé. C’est alors que je sens mes jambes s’écarter, c’est toi mon amour qui en profite pour bien avoir vu sur mon sexe et pour y glisser un doigt… Humm c’est bon, mais je ne peux m’empêcher d’imaginer mon bourreau regardant la scène, du coup, j’ai pour réflexe de resserrer les jambes, mais ta main est ferme et tu m’en empêches… Pendant que toi tu me caresses le sexe, BC lui, caresse mes fesses… Tout en éprouvant une certaine gêne, je ne peux m’empêcher d’éprouver du plaisir. Mais cela ne dure pas longtemps, le premier coup de nouvelle cravache vient violemment percuter mes fesses.

- « Aïeeeeeeee, mais ça ne va pas la tête ! » Je ne peux m’empêcher de lâcher ce gémissement tellement je suis surprise par cette douleur aiguë. Mais c’est qu’elle fait mal cette nouvelle cravache. Il faut dire que je l’ai peu reçue jusqu’à présent, puisque mon homme, tu l’as acheté spécialement pour la venue de mon bourreau. Mais comment vais-je faire pour recevoir les 49 coups restants ?… Pas le temps de me poser la question, les coups se suivent très rapidement, et sans faiblir. Mes fesses cuisent comme jamais et je ne peux désormais plus feindre et cacher mes réactions… Je gesticule de plus en plus sur le lit, mais tes mains fermes, mon homme, m’empêchent bien des mouvements et c’est alors que le 50ème coup vient enfin s’abattre sur mon fessier… Oh la vache… J’ai mal. Cette cravache va finir cachée au-dessus de l’armoire, j’te l’dis moi, je ne veux plus la voir mais surtout la sentir sur mes fesses…. Mais j’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que les lacets viennent prendre le relais de la cravache… Bon, sincèrement, après la cravache, les lacets me semblent bien gentils… Ou alors c’est que mon bourreau ne sait pas les utiliser, hihi. Oufff, la punition est enfin terminée. Je sens à nouveau des doigts s’immiscer dans mon intimité et des mains caresser mes fesses… Et comme tout à l’heure c’est un mélange ambigu de sensation qui me traverse.

Mais pas le temps de s’éterniser, BC m’annonce la punition suivante : 30 martinet, 20 ceinture et ce pour t’avoir titiller mon mari en te pinçant les tétons. (Bah quoi, pourquoi serait-tu le seul à avoir le droit de pincer les tétons de l’autre… moi aussi j’aime ça…) Et me voilà de nouveau sur le bord de cette table, toi mon mari me tenant les mains… Mon regard fixe le tien et toujours ce sourire sur ton visage… grrr, arrête de sourire, moi j’ai mal !!!
Clac...clac…clac… Ce fichu martinet fait encore son ouvrage et mes fesses ont de plus en plus de mal à le supporter. Est-ce les coups qui sont plus fort ou est-ce mes fesses qui n’en peuvent plus ? Je ne sais pas, mais ces 30 coups m’en fiche un coup… Oups pardon pour le jeu de mot.
C’est au tour de la ceinture… et là j’avoue que j’appréhende beaucoup plus. Ce bourricot prend à malin plaisir à venir devant moi pour ôter cette satané ceinture de son pantalon… Grrr, si j’osais, si je n’avais pas peur pour mes fesses, croyez-moi, je lui sauterais dessus ! C’est un instrument que je n’aime déjà pas recevoir de ta part, car chaque fois cela me fait d’énormes bleus. Alors comment vais-je le vivre de la part de mon bourreau ? Clac, clac, clac… Ah bah je peux répondre… c’est pire… La douleur est intenable. Décidemment, je n’aime vraiment pas cet instrument de torture. Je sens mes fesses se contracter, s’endolorir… Mais comment est-ce possible de faire si mal ? J’avoue qu’il m’est très dur de recevoir les 20 coups. Là, je te maudis mon mari…. Ouf… terminé.

- « Au coin vilaine fille ». … Comment ça au coin ? Je ne vais jamais au coin… Je trouve ça complètement crétin, puéril, une perte de temps considérable… pas question que j’y aille ! Mais évidemment je n’ose pas le dire directement et reste sur place.

- « Dépêchez-vous, je n’aimerais pas rajouter une punition » … Mais euh… J’aimerais rétorquer, j’aimerais protester… mais la douleur de mes fesses se rappelle à moi et je finis par obéir malgré moi.

- «Mains sur la tête et pas d’appui sur le mur, c’est compris ? »

- « oui, oui ».

- « Pardon, vous avez dit quoi ? »

- « Oui c’est compris Monsieur » Grrr, que je le déteste ce bourreau inflexible. Je me sens idiote à fixer ce mur…. Quoi, vous buvez une bière tous les deux ?… Non mais franchement, vous vous moquez de moi ?.… Allez-y rajoutez-en. La honte !!! Ah si seulement j’osais leur dire tout ça, mais je préfère me taire, de peur que mes fesses ne prennent encore plus.

De temps en temps, tu viens contempler mes fesses, constater la rougeur de celles-ci, toucher mon intimité…. Quoi mouillée ? Mais non ce n’est pas possible, comment ça le serait après tout ce que j’ai reçu, après le mal de fesses que j’ai et avec cette humiliation suprême de me retrouver au coin ? Non, non je ne suis pas mouillée… pourtant en pensant ces mots, je sens très bien que ce que tu me dis est vrai… Gloupsss.

- « Pour avoir frappé votre mari sur le sexe, Il a décidé de vous punir par 25 coups de martinet, 25 de strappe, 35 coups de lacets et pour finir, 25 coups de badine. Le tout attachée sur le lit »… Oh non pas la badine, surtout pas la badine, je déteste la badine et avec ce bourrin de bourreau qui assène les coups avec une telle intensité, mes fesses vont être zébrées comme jamais et la douleur va être intenable.

- « Non je ne veux pas, stp mon amour, pas la badine » … Je te regarde, l’air suppliant, je me dis que tu vas craquer, que tu vas retirer la punition à la badine, mais tu n’as pas le temps de dire quoique ce soit , c’est BC qui s’interpose.

- « Vous prendrez la punition dans son intégralité, votre mari n’a plus son mot à dire c’est ce qu’il a été convenu avant de commencer, pour que justement il ne puisse pas se laisser amoindrir par vos supplications. Je suis votre bourreau, je suis ici pour vous punir, c’est mon travail et croyez-moi, j’irai au bout, alors installez-vous de suite ! »

… Je n’aime pas les mots que j’entends, je déteste ce bourreau… mais contradictoirement, j’aime cette perte de contrôle, j’aime ne rien décider, j’aime cette sévérité, même si je sais que mes fesses vont beaucoup moins l’aimer… Je jette un coup d’œil furtif vers toi et je comprends que tu es soulagé de la réaction vive de ce vilain bourreau. Tu n’as pas eu à décider, il t’a enlevé une sacrée épine du pied. Et je vois également que tu es content de ce qui arrive. Tu voulais que je comprenne et retienne la leçon et tu sais que c’est ce qui va advenir… Tu te charges de m’attacher afin que je ne tente pas de me soustraire à ce qui va arriver. Et je sens mon cœur battre à toute allure, j’ai peur et pourtant je sens une sensation de bien être me parcourir. Comment est-ce possible ?

Clac, clac, clac, la punition commence. Le début est comme le reste, douloureux pour mes fesses qui sont déjà bien sensibles par tout ce qu’elles ont pris, mais bon, ça reste supportable, et à vrai dire, j’angoisse tellement à l’idée de la badine, que vous pourriez m’infliger 500 coups de tout ce que vous voudriez, que ça ne serait rien. Clac, clac, clac… On dirait une danse sensuelle qui se joue entre mes fesses et les différents instruments… Clac… Oups, là le tempo a changé et on est plutôt dans une danse tonique… la badine a enfin fait son entrée, et en fanfare…

- « Aïeeeeeeee, doucement svp » mais c’est comme si je parlais à un sourd, mon bourreau continue la danse à un rythme tantôt rapide, tantôt lent, mais toujours avec une intensité soutenue jusqu’au coup final… Pendant tout ce temps je me tortille, je laisse échapper des cris plaintifs, j’ai mal quoi ! Mais comment pourrait-il en être autrement ? Il ne se rend pas compte ce bourrin que c’est atroce, que c’est intenable ? Il faut croire que non. Là, je ne peux m’empêcher de penser que ce n’est que la première punition à la badine et que je sais pertinemment que tu en as prévu plusieurs ? Comment vais-je tenir ? C’est impensable… J’ai l’impression de sentir la peau de mes fesses se craquer tellement la douleur est effroyable.

- « pitié, stop »… Tiens, ça s’arrête, mon bourreau serait-il enfin à mon écoute ?... Ah bah non, c’est simplement que le 25ème coup est enfin venu percuter mes fesses et ainsi terminer la punition… ENFIN !!!

- « Au coin jeune fille »… Encore ?! Euh, à vrai dire, je crois que j’en suis presque soulagée, au moins, mes fesses se reposent et ne chauffent plus. Je ne suis pas pressée de recevoir la suite… Mais bon, j’ai toujours l’impression d’être cruche à regarder ce mur… Un frisson me parcourt tout le corps, j’ai la chair de poule, je tremble. Je demande la permission de mettre un gilet… demande acceptée, comme quoi mon bourreau sait se montrer compréhensible quand il le veut… (mais ne lui dis pas, je ne voudrais pas qu’il prenne cela quand une marque de faiblesse ou qu’il sache que je lui trouve une qualité.) … Là encore tu viens me voir de temps en temps, me touches les fesses pour sentir la peau, les marques laissées par la badine, contempler l’ouvrage de ce bourreau sans cœur… Un doigt se glisse de temps à autre jusqu’à mon point plaisir, tu le titilles mais sans insister, pas question de me faire jouir… Et puis tant mieux ! Je ne le voudrais surtout pas, pas devant lui, pas devant un inconnu !!! Mais en même temps qu’est-ce que j’aimerais que la punition se termine définitivement et que tu me prennes, là dans la foulée…

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Une embarrassante punition

Une embarrassante punition

Ce soir là, mon homme avait invité un couple d'amis à lui à dîner à la maison. Il m’a prévenu qu’ils étaient « à cheval sur les bonnes manières », « d’une autre génération », et que j’avais « intérêt à bien me comporter ».
Il s'était occupé de tout, et je n'avais eu qu'à jouer l'inspectrice des travaux finis - « Non la nappe bleue ça ne va pas du tout, oh non pas encore de la viande rouge, beurk ! » - Mes remarques ne lui ont pas plu, et j'ai été punie.
Quand nos invités sonnèrent à la porte, je me tenais debout face à un coin de l'entrée, la culotte baissée juste au dessous des fesses.
Je n’avais pas eu l’autorisation de me reculotter, et je devais m’estimer heureuse de ne pas avoir reçue de fessée étant donné mon comportement inadmissible. Ainsi mes fesses d'une blancheur immaculée étaient exposées à la vue des visiteurs, et j’étais extrêmement gênée à cette idée. Qu’allaient ils penser de moi, surtout pour une première impression ? Je n'en menais pas large, et tentais de me faire toute petite, alors qu’ils échangeaient des amabilités.
— Quel charmante maison ! Oh tiens, quelqu’un n’a pas été sage ?
— Entrez, entrez... Je suis désolé, j'ai dû punir Manon...
— Ah bah ça alors...
— Quelques mots de travers seulement, mais je ne veux rien laisser passer.
— Tu as très bien fait ! Nous cautionnons tout à fait ce genre de discipline.
J’essayais de cacher mes fesses avec une main.
Mon homme est venu m’attraper la main, l’a calé dans mon dos, et m’a donnée une claque sur les fesses qui a résonné dans toute la pièce.
— Ouille !
— Oh ça ne sert à rien de te cacher, assume tes bêtises.
Cela m’a vexée encore davantage. Il a aussi baissé un peu plus ma culotte au passage, en maugréant que je l’avais remontée en douce.
Heureusement la punition a été levée au bout de quelques minutes. J’ai rejoint nos convives, la tête baissée, le rouge aux joues.
Ils m'ont alors posé des tas de questions et fait des remarques désobligeantes :
« Alors, comme ça on a été punie ? » « voilà ce qui arrive aux vilaines filles» «j’imagine qu’après notre départ, elle va recevoir une bonne fessée » «il te punit pour ton bien, tu sais » etc
La Madame a dit à un moment donné "mais vous ne voyez pas que vous l'embarrassez, elle est toute rouge" mais les Messieurs ont continué à parler entre eux de discipline domestique sur un mode très sérieux.
— Quand Manon est désobéissante ou insolente elle reçoit habituellement une bonne fessée.
— Et c’est efficace ?
— Oh que oui ! Il n’y a que ça de vrai pour la remettre à sa place. Elle devient alors toute sage et obéissante. Vous la verriez me demander pardon la culotte encore baissée, ses fesses aussi rouges que ses joues. Si seulement elle pouvait être tout le temps comme ça !
Ils se mirent à rire tous ensemble.
A l’écoute de ses insanités, je me suis mise à bouder, ce qui m'a valu un avertissement et une menace d’aller refaire un tour au coin.
Nous avons mangé, puis nous nous somme levés pour aller dans le petit salon.
Mon homme a alors annoncé que je devais aller au lit un peu avant leur départ, car j'avais une heure de coucher en semaine.
J’ai osé répondre que c'était « injuste ». Je sais bien que je n’aurais pas dû dire ça, mais c'était plus fort que moi.
— Tu veux vraiment une fessée, c'est ça que tu veux ?
— Mais…
— Excusez-la, je ne sais pas ce qu’elle a ce soir…
Et là je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai jeté de rage mon verre de champagne par terre, qui s’est cassé sur le parquet.
Mon homme s’est alors dirigé, d’un pas rapide, vers le mur à côté de la porte. Il a décroché le martinet de son clou, et il est revenu avec cet instrument de malheur, en poussant un soupir de désolation.
— Et dire que je suis obligé d’en arriver là…
Son regard était grave, sévère, déterminé. J'ai balbutié des excuses, mais c'était trop tard. Nos invités ne souriaient plus et semblaient montrer enfin un peu de compassion.
— Je m'excuse mais je vais devoir la corriger, ici et tout de suite. Ça lui apprendra.
— Nous comprenons.
Il m'a prise par le bras et m'a positionnée penchée sur le dos du canapé. J'ai senti le bas de ma robe se soulever, puis ma culotte descendre brusquement jusqu’aux genoux. Je me suis sentie si vulnérable, les fesses à l’air aux yeux de tous.
— Non… s’il te plaît…
Puis il m'a fouettée impitoyablement. Ma culotte a commencé à prendre la direction de mes chevilles, à force de me dandiner sous les coups.
Shlack Shlack Shlack !
— Une fessée devant tout le monde, voilà ! Que je t’y reprenne à te comporter de cette manière !
Shlack Shlack Shlack !
J'ai beaucoup supplié, "pas devant eux" "pardon, je serai sage maintenant promis" , mais rien à faire. Qu'est-ce que j'ai eu honte !
C'est le fessier rougi, toujours placée dans cette humiliante position, la main de mon homme posée sur mon dos que j'ai dû présenter mes excuses à nos invités.
— Je vous demande pard... SNIF pour mon comport.. SNIF
— Plus fort, nous n'avons pas bien entendu.
— Je vous demande pardon pour mon comportement !
— Bien. Tu peux te rhabiller.
J’ai maladroitement remonté ma culotte, à toute une vitesse et sous leurs regards condescendants et réprobateurs.
J’ai dû aller remettre le martinet sur son clou avant de pouvoir frotter mes fesses et aller m’asseoir, un peu à l’écart.
La dame est venue vers moi et tenté de me consoler, mais elle ne m’a dit que des banalités. Que c’était finiiii, que je devais me sentir mieux après ma fessée. Que ouiiiii, ils avaient vu mes fesses, que ouiiii, ils m’avaient vu être fessée, mais ça me serait salutaire car je réfléchirai deux fois à présent avant de désobéir effrontément devant des gens. L’important, c’était que j’avais bien appris ma leçon grâce au martinet. Non, on ne doit désobéir, être insolente ou faire des bêtises.
— Allez, entre nous, cette fessée déculottée n’était elle pas bien méritée ?
J’ai baissé les yeux et pris une petite voix.
— Si.
— Très bien.
Ils ont tous pris un air satisfait.
Après ça nos invités décidèrent de prendre congé.
Avec mon homme nous sommes revenus au salon, il m’a installée à plat ventre sur ses genoux pour me mettre de la crème hydratante sur les fesses. Il a en étalé partout, et a bien insisté sur l’intérieur des cuisses.
— J’avais le safeword sur le bout de la langue mais impossible de m’en rappeler…
— C’est cela, oui.
— Franchement ils sont graves, ces gens. Ils en ont fait beaucoup trop…
— Bon allez ça suffit. File dans la chambre. J’arrive dans deux minutes.
C'est le bazar ici !

C'est le bazar ici !

C
e matin je suis pressée, j’ai révisé toute la nuit pour mes examens et ce soir, enfin, je suis en week-end. Je passe donc en coup de vent dans la salle de bain pour avoir une allure présentable, même si sur ma copie personne ne saura jamais que j’ai n’ai pas coiffé mes cheveux depuis deux jours car je n’arrive pas à retrouver ma brosse.

Finalement je sors de mon appartement rapidement en laissant trainer ma tasse de café que je n’ai pas eu le temps de finir et je n’ose même pas repenser à l’état dans lequel j’ai laissé ma chambre. Ce n’est pas très grave, j’aurai largement le temps de ranger mon appartement ce soir ou demain matin, avant l’arrivée de Monsieur.

Un peu plus tard, après avoir passée 4 heures à plancher sur ma copie, je m’offre enfin un petit moment de calme avec mes camarades devant une bière bien méritée. Une anecdote de révision en entrainant une autre, nous avons décidé de reprendre plusieurs verres et de finir en boite de nuit.

C’est aux environs de 6 heures du matin que je retourne chez moi avec une sacrée gueule de bois. Devant mon immeuble je ressens une étrange impression de panique mais n’arrive pas à comprendre pourquoi, je décide de ne pas y prêter attention et me dépêche de rentrer me reposer un peu pour être présentable devant Monsieur que je dois accueillir à la gare en début d’après-midi. C’est au moment d’arriver au niveau de ma porte d’entrée que l’angoisse me reprend en constatant que celle-ci n’est pas fermée à clé. Je regarde rapidement à l’intérieur et pénètre dans mon salon sans un bruit avant de trébucher sur une paire de bottine qui trainait là depuis quelques jours.

- Merde, qu’est-ce qu’elles font ici celles-là.

Mon sang ne fit qu’un tour en entendant un rire grave provenant de ma chambre.

- C’est très amusant, je me suis fait exactement la même réflexion.

Mais qu’est-ce qu’il fait ici ? Comment est-il entré ?

- Mons… Monsieur ? Qu’est ce que … Enfin comment ?
- C’est vraiment la première chose que tu as envie de me dire ?

Je suis vraiment mal, je peux voir dans son regard qu’il est furieux et il y a largement de quoi, il m’avait demandé de ranger mon appartement pour être dans de bonnes conditions pour mes révisions. En plus de ça mon état d’ébriété est flagrant, il va enrager.

- Bonjour Monsieur. Je suis surprise de vous voir si tôt.
- Bonjour jeune fille.

Il m’aide à me relever et prend quelques instants pour plonger ses grands yeux bleus dans les miens. Je peux sentir à sa poigne que la suite de cette journée ne va pas être plaisante pour moi.

- Alors comme ça tu es surprise de me voir. Ça fait toujours plaisir, je devrai peut-être te laisser alors.
- Non Monsieur, je suis désolée. Bien sur je suis heureuse de vous voir.

Je lui fais mon plus sincère sourire mais je sens que la pièce qui m’entoure tangue et manque de tomber avant de sentir ses bras protecteurs me retenir.

- Viens. Tu n’es pas en état d’être punie. Tu vas dormir un peu et nous en parlerons plus tard.
- Je suis désolée Monsieur, je ne voulais vraiment pas vous accueillir dans ces conditions je ..
- Chut, va te coucher. Je t’apporte une aspirine.

Je me sens mal, il a l’air furieux et en même temps très calme, ce qui n’augure rien de bon pour moi.
Je me dirige donc vers mon lit et me couche tout habillée, quelques minutes plus tard, mes paupières commencent à se fermer et je sens la présence de Monsieur à mes côtés puis me rendors profondément.

- Allez jeune fille, il est temps de se réveiller.

J’ouvre difficilement les yeux et aperçoit Monsieur au-dessus de moi, il me caresse les cheveux et un léger sourire apparaît sur son visage.

- Bonjour Monsieur.
- Ahah, je dirai bonsoir plutôt, il est bientôt 17H jeune fille.
- J’ai dormi tout ce temps ?
- Tu avais du sommeil à rattraper à ce que je vois.

Cette réflexion me fait baisser les yeux. Je me relève pour m’assoir sur mon lit et Monsieur me tend un verre d’eau et une aspirine, que j’avale immédiatement.

- Comment tu te sens ?
- Plutôt bien vu les circonstances Monsieur.
- Bien. Tu te doutes que ta petite sieste ne m’a pas fait oublier l’état dans lequel j’ai trouvé ton appartement en arrivant et tes petits débordements qui t’ont conduit à avoir cette gueule de bois.
- Oui Monsieur.
- Parfait. Avant tout tu vas me ranger tout l’appartement, je te laisse une heure. Pendant ce temps je vais nous trouver de quoi diner car tu n’as rien dans ton frigo. Et saches qu’à mon retour nous aurons une conversation un peu moins plaisante pour toi.
- D’accord Monsieur. Je suis dés..
- Je t’arrête tout de suite, je n’accepterai tes excuses qu’après la sévère fessée que tu mérites.
- Oui Monsieur.
- Une heure. A tout de suite jeune fille.

Je ne perds pas une seconde et m’active au rangement de mon appartement. Je commence par ma chambre qui est vraiment dans un sale état, puis la salle de bain et enfin le salon. Il me reste encore une dizaine de minutes, alors j’en profite pour nettoyer la cuisine.

Quelques minutes avant le retour de Monsieur je décide de passer sous la douche et de m’habiller avec seulement un tee-shirt et une culotte. En l’entendant monter les marches je m’installai à genou, dans le coin de mon salon qui lui permettait de me voir dès son entrée dans l’appartement.
Maintenant je dois respirer et attendre ma punition.

- Bien. A ce que je peux voir tu as rattrapé ta négligence, tu vois que tu peux le faire quand tu y mets de la bonne volonté. Maintenant, viens me rejoindre, nous avons des choses à régler.
Je prends une grande inspiration et me lève, je m’avance vers lui avec appréhension et je peux voir dans son regard qu’il sera intransigeant.
- Je vois que tu as fais l’effort de te changer pour ta punition. Maintenant viens de positionner sur mes genoux jeune fille.

Cette dernière phrase n’attendait aucune réponse, je me positionne donc comme il me l’a demandé. Je le sens caresser mes fesses quelques instants avant de sentir la première claque sur ma petite culotte, s’en suivent une bonne vingtaine de claques qui augmentent en intensité.

- Tu te doutes que ce n’est que le début de ta punition.
- Oui Monsieur.
- Lève-toi s’il te plait.

Je me relève doucement, mes fesses commencent à chauffer. Je le vois me regarder déterminé, il passe ses doigts sous l’élastique de ma culotte et prend le temps de la baisser jusqu’à mes pieds. Il tapote ses genoux pour m’indiquer de me remettre en position. Je prends une grande inspiration avant de l’entendre continuer ma fessée.

- Alors comme ça, tu ne m’écoutes pas quand JE. Clac. TE. Clac. DEMANDE. Clac. DE. Clac. RANGER. Clac, clac, clac.
- Je suis désolée Monsieur. Je ferai attention.
- Je n’en doute pas jeune fille. Après cette fessée je suis sûr que tu auras retenu la leçon. Clac, clac, clac.

Mes fesses me chauffent de plus en plus, je sens sa prise sur moi se resserrer sur mes mouvements involontaires. Je commence à verser quelques larmes. Il continue de me fesser encore et encore, je lui demande pardon mais rien n’arrête sa main qui claque mes fesses.

- COMBIEN. Clac. DE. Clac. FOIS. Clac. JE. Clac. DOIS. Clac. TE. Clac. LE. Clac. REPETER. Clac, clac, clac.

J’éclate en sanglots sur ses genoux et je l’entends reprendre son souffle.

- Bon, je pense que tu as compris qu’il est important de travailler dans un environnement sain. Maintenant tu vas retourner au coin et je viendrai te chercher pour la suite.
- Oui Monsieur.

Il m’aide doucement à me relever de ses genoux et me guide jusqu’au coin. Pendant une dizaine de minutes je n’entends que ma respiration, je ne sais même pas s’il se trouve encore dans la pièce.
Je sens que le feu de mes fesses s’estompe lentement, je me demande depuis combien de temps je suis au coin et ce que Monsieur me réserve pour la suite. Car oui, il y aura une suite, il a été clair là-dessus.

- Bien jeune fille, maintenant tu vas me suivre, nous avons encore des choses à régler.

Il me tient par le bras et je m’aperçois qu’il me conduit jusqu’à ma chambre. Arrivée devant mon lit, il me guide les mains pour les poser à plat devant moi et me demande de réfléchir à ce qui m’a conduit dans cette position. Je commence à trembler en imaginant ce qu’il a préparé puis me retourne pour le voir retirer sa ceinture.

- Non Monsieur, s’il vous plait, pas la ceinture, je serai sage.
- Oh je n’en doute pas jeune fille. Après la punition que je vais te donner j’espère que tu y réfléchiras deux fois avant de refaire des excès. Remets-toi en position immédiatement si tu ne veux pas que je t’en rajoute.

Résignée je me replace dans la position imposée et hoche la tête quand il me demande de compter les coups de ceinture.

- 1. 2. 3 …

Les premiers coups résonnent dans la chambre et me font gémir de douleur, Monsieur n’a pas ménagé sa force, il veut me faire comprendre son mécontentement.

- 4 […] 17. 18. 19. 20.

Je m’effondre sur mon lit en pleurant, j’ai réussi à ne pas bouger pendant les coups mais maintenant j’ai un peu de mal à reprendre mon souffle. Pendant que mes larmes coulent sur mon lit, je sens la présence de Monsieur derrière moi, il me caresse le dos et me demande de me retourner pour lui faire face.

Après cette sévère punition, Monsieur me prend doucement dans ses bras le temps de calmer mes pleurs, il me chuchote qu’il est fier de moi et que ma punition est terminée.

C’est ainsi que, les fesses brulantes, la ceinture au sol, dans les bras de mon fesseur, je m’assoupis apaisée, avec le sentiment d’être tendrement prise en main.
Quand le coin et les lignes ne suffisent plus

Quand le coin et les lignes ne suffisent plus

Mon principal problème de comportement, c'est l'insolence. Pas avec mon homme mais sur la route et au travail. Et puis il y à mon amour pour l'accélérateur, au moins j'évite à la voiture de s'encrasser.

C'est la réponse que j'ai sorti quand on à reçu l'amende pour excès de vitesse. Comme je vous le disais, l'insolence...

J'ai donc été puni.
"115 sur une route à route à 90 je te le dis ça mérite une bonne correction !"
Mais ce soir la, on avait pas le temps alors j'ai du attendre jusqu'au lendemain pour recevoir ma fessée.

- En attendant, pour demain soir tu me copiera 100 fois "Je ne dois pas rouler aussi vite". Simple et je l'espère efficace.
- Impossible ! Je commence tôt et finis tard demain, ma dernière réunion est à 18h !
- Débrouilles-toi, il me semble que tu prends des pauses au bureau, tu copieras au lieu de discuter ça rentrera peut-être mieux.

Je me suis donc retrouvé le lendemain avec 3 feuilles blanche et un stylo, enfermée dans mon bureau en entendant mes collègues rirent à côté. La honte de faire sa punition au boulot.
C'est pas la première fois et surement pas la dernière, mais bon.

Après 2 pauses et la moitié du midi à gratter, j'ai fini mes lignes. Plus ou moins correctement.

Je rentre avant lui ce soir, je m'installe après avoir grignoter dans le canapé.
19h30, j'entends le portail. Puisqu'il ne claque pas il ne doit pas être trop remonté et à peut-être même oublié. (Non je n'y crois pas du tout à ça !)

- On s'y met, j'ai pas que ça à faire ce soir. Je crois que t'as quelque chose à me donner. Va attendre au coin.

Je fais glisser les feuilles sur la table et me dirige vers le coin.
Quelques minutes se passe avant d'entendre :
"C'est moyen, devant moi maintenant"

Assi dans le canapé, il me déboutonne le pantalon et le baisse en dessous des fesses.

- A nous, sur mes genoux !
J'espère que ton poignet à imprimer aujourd'hui ! Je vais bientôt devoir te la coller tous les mois rien que pour la vitesse ! T'as quel âge pour conduire comme ça ? On dirait une ado irresponsable !

CLAC
CLAC
CLAC

- Je te préviens je vais pas être tendre, la vitesse c'est impardonnable, on rigole pas avec le danger !

CLAC
CLAC
CLAC

Je sens mes fesses chauffer, je sais que ma culotte ne va pas tarder à tomber alors je tiens bon au moins jusque là.
Droite, gauche, droite, gauche, ça picote.
Puis au bout d'une dizaine de minutes...

- Lève toi et attends à côté de la table basse.

A peine le temps de me déplacer qu'il revient déjà. Moi qui espérais avoir le temps de souffler.

- Alors, 115 au lieu de 90 ça nous fait donc 25.
15 coups de ceinture sur chaque fesses et t'aura eu ton compte.

Je l'entend déboucler sa ceinture. Ce bruit qui fait peur. Puis baisser ma culotte aux chevilles.

- Penche toi en avant ! Tu comptes et on commence par la droite.
SCLAP
SCLAP
SCLAP

23
SCLAP
24
SCLAP
25

Il me tire par le bras pour me relever. Remonte culotte et pantalon jusqu'en dessous mes fesses.

- Bien jeune fille, on en à fini pour la fessée.
Au coin 10 minutes, profites en pour réfléchir.

Je m'exécute sagement, les 4 joues bien rouges.
Mais à peine arrivé CLAP je reprend une claque en plein milieu
"Au coin c'est les mains sur la tête ! Et j'ai rien entendu !"

"Merci pour cette punition."
Que de sensations

Que de sensations

Que de sensations!

Il arrive que parfois elle soit donnée à l’imprévue
Mais c’est encore mieux quand elle est prévenue
Car ainsi l’angoisse et l’envie font un mélange très bon
Pour apporter tout le temps de l’attente, une très bonne excitation

Devant mon fesseur tant adoré mais aussi redouté
Son regard je n’ose pas vraiment le croiser
Je sais que tout en étant tendre il va être rigoureux
Mais je l’ai bien cherchée par mon comportement malicieux

Et voilà que les reproches commencent à tomber
Mes joues se colorent au fur et à mesure que je sens la honte monter
Je me sens à la fois confuse et troublée
Car je sais que j’adore ce qui est en train d’arriver.

Que se soit sur les genoux ou autrement positionnée
Cela peut varier selon sa bonne volonté
Ça ne change rien à ce qui va se passer
Les claques sur mes globes vont d’un coup raisonner

Généralement elle commence sur les vêtements
Histoire de faire un petit échauffement
Puis petit à petit, délicatement le tout descend
Pour que le plaisir, l’ humiliation et l’excitation aillent en augmentant

Une fois les fesses dénudées bien à sa portée
Il y aura les claques, qui tour à tour vont tomber
Afin que mes fesses finissent pas rougir
Mais aussi quelques caresses pour varier les plaisirs

Il fera ou non une pause au coin, mains sur le visage
Profitera de ce moment pour observer son ouvrage
Cela accentuera au plus haut point mon embarras
Mais il faut bien que je réfléchisse à ce qu’il faut faire ou pas

Elle peut-être à la main, au paddle ou bien au martinet
Ou encore bien d’autres possibilités
Cela permet de varier les sensations
Pour éprouver encore plus de jouissances et d’exaltation

Peut importe le temps que ça peut durer
Ni même si je vais crier, pleurer ou supplier
Car la principale raison et le but recherché dans tout ça
Est bien le plaisir mutuel que l’on prendra

J’adore lorsque l’envie et la honte se mélangent
Tout comme percevoir la chaleur qui en moi se propage
Sentir mon puit d’amour s’humidifier
Et apercevoir ensuite mes fesses qui se sont colorées.

Lorsque la fessée est finalement finie
Tout un tourbillon de sentiments m’envahit
Je finis toujours pour mes fautes par m’excuser
Et dans ses bras je me blottis afin d’être consolée

Pestange
Début difficile pour la premiere fessée-1

Début difficile pour la premiere fessée-1

-Baisse ton jean.
Tranquille mais assuré, le ton n'admet aucune discussion.
Dans ma tête, les emotions se bousculent, les fantasmes se transformant brusquement en realité.

Comment j'en suis arrivée la

Les idées totalement farfelues qui passent par la tête de deux filles, collocataires devenues copines, sont faites plutôt pour voir qui des deux est la plus témeraire tout en sachant bien que certains défis ne seront jamais vraiment mis en pratique.
Mais voilà, en nous confiant l'une a l'autre nos fantasmes plus absurdes, une des deux ( moi ou elle, je ne sais plus) à evoqué la fessée.
Comme je passe plus de temps sur les tchat et autres sites du genre qu'a préparer les examens d'architecture, j'ai eu l'idée de faire une brève recherche.
En deux clic j'ai trouvé plusieurs forums aux titres plus ou moins bizarres. "Discipline domestique" ( cela fait un peu trop couple de vieux) ,"Fesses rouges" (un peu inquiétant..) et d'autres qui me font rire. Et puis, deux lignes en dessous sur le moteur de recherche, je tombe sur..."Deculottées". D'un coup, ce simple mot me remet à ma place, mon sourire se fige.
Les jours suivants, j'ai dialogué sur plusieurs sites avec des personnes qui se disaient prêtes a me faire découvrir cette pratique, j'en ai profité pour essayer de comprendre mieux comment cela se passe. J'en ai parlé a Fanny et je lui ai montré quelques recits sur la fessée. J'ai vu sa perplexité sur cette idée , et mes arguments (genre toute experience nouvelle aide a comprendre qui tu est, si on essaye pas on ne saura jamais, etc.) n'ont fait que renforcer ses doutes sur ma santé mentale.

Pourquoi alors se trouve t-elle maintenant ici, embarquée dans cette etrange experience elle aussi? Tout simplement parce qu'elle n'a pas voulu me laisser aller seule a cette rencontre avec un inconnu.
Ce qui ne veut pas dire accepter de participer, elle est determinée à avoir uniquement un rôle d'ange gardien. De mon côté, le fait qu'elle m'accompagne a cette rencontre incongrue est certainement rassurant. A ce moment, je ne mesure pas encore combien cela sera embarassant qu'elle soit temoin de cette experience.

-Baisse ton pantalon.
La phrase est repetée, sans impatience, comme avec la certitude que ses indications vont être executées.

Nous sommes toutes les deux debout devant l'inconnu, plus vieux (a nous deux nous ne faisons pas son age) et absolument imperturbable dans son rôle. Même le fait que nous sommes venues a deux n'a provoqué aucune réaction apparente.
Pendant la discussion en chat, MisterX ( c'était son pseudo) a donné quelques indications sur le déroulement, mais sans s'attarder sur la tenue ni sur d'autres détails. J'ai donc pensé mettre ce que je porte habituellement. Un jeans, un pull, comme si c'etait pour aller à l'uni ou sortir bavarder avec les copines...sauf que là je me suis embarquée dans une experience très differente.
En montant les 3 étages de l'immeuble ou se trouve le bureau de MisterX ( oui, c'est bien un bureau, ou pour mieux dire un cabinet ) mes jambes sont molles, le souffle me manque, le dernier moment pour revenir en arrière.... Pas un mot avec ma copine qui suit deux marches plus bas, de toute manière elle a déjà amplement exprimé ses doutes pendant le court voyage en autobus.
Tout se passe comme dans une espèce de rêve, sonner, entrer se retrouver devant un inconnu. Du moins inconnu pour moi....
Dés que je suis en sa présence, le souvenir de ce que j'ai du faire pendant la discussion préparatoire me reviens brusquement.
Je viens de dire qu'il s'est limité a donner quelques indications sur le déroulement de la "rencontre" mais j'ai omis quelques autres choses.

La preparation
Plusieurs conversations en tchat ont eu lieu. La premiere presque trop facile, une discussion aimable et désinvolte, quelques questions sur mes passions et activités dans la vie, MisterX se montrant agréable et plutôt à jour sur les thèmes genre musique, series TV pour quelqu'un qui à plus du double de mon age.
La deuxieme, plus de questions sur mon attitude, mon caractère, je pense il sondait plus en profondeur ma personalité et mes motivations. Les choses on brusquement changé après une heure de conversation: une requête très directe m'est tombée dessus comme un coup de vent glacial. Les lignes apparaissent rapidement sur la fenêtre du chat, une question sur mon habillement actuel, la suivante si je suis seule dans mon appart, et quelques secondes aprés une requête brève et directe.
-Déculotte-toi et fait une photo en montrant tes fesses.
Prise de panique je fait semblant de ne pas avoir lu. Aprés quelques instants, la requête se fait impérative
-Pantalon et culotte aux chevilles, ce n'est pas difficile à comprendre.
Je commence a comprendre je n'ai pas d'autre choix que m'executer, même si le geste est gênant. Aucune manière de tricher ( ce qui est pourtant ma specialité) mes mains vont machinalement deboutonner mon pantalon qui tombe d'un seul coup à mes pieds.
MisterX n'écrit plus rien, comme si il attendait avec la certitude que je me plie à sa volonté.
La culotte suit le même chemin, en m'exposant a l'embarras de cette situation, debout déculottée devant mon ordinateur. J'arrive tant bien que mal a me faire ce selfie requis. Il ne me reste que le transférer sur l'ordinateur, et faire un clic pour le telecharger sur le chat. Hésitation. Je suis sur le point de me montrer culotte baissée devant un inconnu. C'est mille fois plus compromettant que se montrer en chat plus ou moins nue dans une pose savamment choisie.
Clic.
Une longue minute d'attente plus tard, MisterX se contente de dire que cela peut suffire pour le moment, sans daigner faire d'autres commentaires.

Affronter la realité

MisterX n'est plus un interlocuteur virtuel. J'entend sa voix, je suis devant lui.
Quelque part derrière moi dans la pièce, ma copine se tient en retrait, impossible de chercher un réconfort dans son regard . Hésiter encore devient difficile.
En quelques secondes, j'élabore toutes les possibilités de me soumettre a la demande de MisterX sans trop perdre ma dignité . Baisser d'un geste et mettre fin a l'humiliation? Ouvrir juste le premier bouton et le zip en espèrant m'en sortir comme cela?
Demander que Fanny sorte et attende dans l'entrée, ne pas devoir subir mon déshabillage devant elle?
Les minutes et heures qui suivront me feront comprendre combien cette experience peut être intense.
Et elle ne le fut plus

Et elle ne le fut plus

Elle était une jeune fille sage, c’est ce qu’on lui avait dit toute sa vie. De sa tendre et heureuse enfance à ses années sans histoires au lycée, on le lui avait toujours dit. Arrivée maintenant à la fac, elle le croyait encore. Une fille sage, respectueuse des règles et de ses aînés. Elle n’avait jamais ressenti le besoin de se rebeller contre ses parents, ses professeurs, ou la société en général. Ses cheveux étaient restés noirs, sa peau mate immaculée ; elle aimait ses yeux verts et ses lèvres fines. Elle était devenue une jeune femme grande et mince aux hanches amples et aux seins ronds qui s’habillait comme la plupart de ses amies, rien de trop osé : jeans, beaucoup, robes, parfois. Elle préférait les maillots une-pièce et écoutait ce qui passait à la radio. Elle avait joué un peu de piano, parce que ses parents l’avaient voulu. Elle avait toujours été en bonne santé et on s’était toujours bien occupé d’elle, aimée de sa famille et de ses amis.

Elle était une jeune fille sage, consciente de sa place dans le monde et reconnaissante de la chance qu’elle avait.

Comment se faisait-il, alors, qu’elle soit penchée sur les genoux de cet homme, les fesses hautes et sans défense contre les vagues sans fin de ses claques sévères ? Clac ! Clac ! Clac ! CLAC ! CLAC ! Il n’arrêtait pas, allant d’un côté à l’autre, couvrant ses fesses rondes d’une attention somme toute indésirée. CLAC ! Les claques étaient de plus en plus fortes – CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! – et elle rougissait. Ses fesses se serraient entre chaque dure claque, dans le vain espoir d’atténuer la douleur.

Ses lèvres s’entrouvrirent et elle gémit, rougissant de plus belle. Ses yeux s’étaient remplis de larmes, et certaines coulaient déjà sur ses joues, laissant derrières elles les traces sombres de son mascara bon marché.

CLAC !

Il continuait à la fesser, sans merci, alors qu’elle se tortillait sur ses genoux, n’osant pas essayer de s’échapper. Elle était… étrangement captivée. Honteuse, furieuse, mais captivée. La chaleur qu’elle ressentait – CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! – n’était pas seulement celle de son derrière brûlant ; elle la sentait se répandre à son ventre, son entrejambe… C’était… Agréable ? Est-ce que… CLAC !

Est-ce qu’elle aimait être punie comme une vilaine fille ?

Elle réalisa qu’il avait posé la question à voix haute. Elle marmonna une réponse inintelligible et reçut une volée de claques sur une seule de ses fesses en réponse. Elle cria et gémit de nouveau.

« Je… Je ne suis pas une… » CLAC !

« Tu n’es pas une quoi ? » demanda-t-il, la fessant de nouveau, plus fort.

« Je ne suis pas vilaine ; je… Je suis une fille s… »

Il ne la laissa jamais finir, dirigeant sa colère vers son autre fesse CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !

Elle hurla de douleur.

« AaaaaaaaaaAAhh… Je ne veux pas… Je… JE NE VEUX PAS ÊTRE SAGE ! »

Les larmes coulaient abondamment à présent, et elle éclata en sanglots.

« Je… Je ne veux pas… Je ne veux pas être ennuyeuse… »

Elle sentit la main se faire plus douce, caressant ses fesses en feu entre les claques.

« Ennuyeuse ? » dit-il, hésitant.

« J’ai toujours été une fille sage. La jeune fille sage. La bien élevée. Je… Je suis quoi ? Je… Je suis ennuyeuse, je suis comme les autres… Est-ce que tu me choisirais dans la foule ? Est-ce que quiconque le ferait ? »

Elle pleurait encore. Il continuait à caresser et à masser l’objet de sa récente attention. Il ne dit rien.

Elle renifla.

« Je veux… Je veux une vraie fessée… »

« Qu’est ce que tu veux dire ? »

« Je veux dire… » Elle se mordit la lèvre, « Cul nu… Comme celles que j’ai lues… »

Elle ne pensait pas avoir jamais rougi autant.

Il sourit.

« Oh, celles que tu as lues, hein ? »

Il agrippa le haut de son legging et le fit glisser lentement jusqu’aux genoux, révélant sa culotte blanche à pois et, en dessous, ses fesses roses mouchetées de rouge.

« Une jeune fille pas si sage, après tout… » dit-il avec un large sourire, levant la main.


Elle sourit à son tour. Celle-là allait vraiment faire mal.
Procrastination

Procrastination

Dessin de Kal

– Ah, c’est toi !
– C’est moi, oui. Ça te dérange ?
– Non. Bien sûr que non. Mais je suis un peu pressée, là.
– J’en ai pas pour longtemps. Je passe juste, comme convenu et comme tu me l’as toi-même demandé, faire ma petite visite de contrôle anti-procrastination. J’ai d’ailleurs pu constater, en arrivant, que ton jardin était dans un état pitoyable. Une véritable jungle.
– Je sais, oui. J’ai pas eu le temps.
– Pas eu le temps ? C’est sans doute que tu avais des choses beaucoup plus urgentes à faire ?
– Voilà, oui.
– Pas la vaisselle en tout cas. Qu’est là à traîner depuis trois jours – au moins – dans l’évier. C’est si compliqué de l’enfourner dans le lave-vaisselle ?
– Mais non, mais…
– Je suppose que c’est la même chose pour le repassage. Qu’il y en a des monceaux, non ? Ben, tiens ! Qu’est-ce que je disais !
– Je le ferai. Je vais le faire. Ce soir. Sans faute. C’est prévu.
– Ben, voyons ! Et ton courrier, t’es à jour ?
– Oh, oui, oui ! Ça, oui !
– Et ces lettres recommandées, là, sur le dessus, c’est quoi ? Des impayés, j’aurais dû m’en douter. Tu crois pas que t’exagères ? Tu fais quoi alors de tes soirées et de tes week-ends ?
– Mais rien.
– Rien, justement. C’est bien là le problème. Bon, mais tu sais ce qu’on avait dit. Que si tu ne t’amendais pas… Allez, viens ici !
– Non, José, attends !
– Attendre ? Attendre, quoi ?
– Demain…
– Demain, évidemment ! Comme tout le reste.
– Non, c’est pas ça ! C’est que, ce soir, je dois voir Julien. Et que je peux quand même pas m’amener chez lui les fesses en feu. Tu le connais. T’imagines ?
– Si tu t’y prends bien…
– Sauf que la baise, avec Julien, c’est à quatre pattes, le cul en l’air, et en pleine lumière… Alors, même avec la meilleure volonté du monde…
– Effectivement. Ah, tiens, à propos, je l’ai eu au téléphone ce matin, Julien. Il est à Naples. C’est là-bas que tu le rejoins ce soir ?
– Mais non, mais…
– Mais quoi ?
– Non, rien.
– C’était bien essayé, mais c’est raté. Allez, viens là !
– Ça peut pas attendre, t’es sûr ?
– Certain. Et toi aussi, d’ailleurs, tout au fond de toi-même, tu en es convaincue. Non ?
– Si !
– Tu vois bien… Allez, on met ce petit cul à l’air…
Agathe fessée

Agathe fessée

Voici une histoire tirée de mon imagination.

Je m’appelle Agathe. J’ai la trentaine. Je suis comptable dans une entreprise.

Pendant ma pause déjeuner ou le soir avant de partir, j'ai pris la (mauvaise) habitude de consulter des blogs un peu cochons. Pour tout avouer, des trucs BDSM où des nanas (ou des mecs) sont puni(e)s, humilié(e)s. Je sais que c'est mal, mais ca m'excite. Je m'imagine à la place de ces filles soumises et ca me trouble beaucoup.

Je pensais avoir pris mes précautions pour ne pas laisser de traces sur l'ordi du bureau ou sur le réseau (effacer l'historique, …). Comme je fais ca depuis un moment, j'ai fini par penser que ca passait inaperçu.

Mais hier, le directeur informatique (plutôt un beau mec) m'a demandé de rester dans son bureau après une réunion sur les factures restant à régler. Il m'a demander, sur un ton de reproche, assez sévère, si ca me plaisait de consulter tel et tel blog en donnant le nom précis. Je lui est répondu (pas très à l'aise, mais en cherchant à garder mon calme) que c'était une erreur, qu'il devait se tromper.

« Petite Menteuse ! » m'a-t-il répondu en me sortant un dossier complet avec des copies d’écrans, des heures de connexions … Il m'a laissé méditer quelques minutes devant les dossier qu'il avait réuni. Je baissais les yeux, je n'osais plus le regarder.

« Tu sais que tu va être punie ? » En entendant cette phrase j'ai eu un frisson. Je ne savais plus où me mettre. J'avais envie de pleurer.

Il m'a mis le marché entre les mains : soit il transmettait le dossier à la Direction et je serais licenciée, sachant qu'en plus, assez vite, tout le monde saurait pourquoi et qu'il ne se priverait pas pour donner de la publicité à la chose auprès de mes collègues
Soit j'acceptais de faire pénitence et de subir la punition qu'il voulait m'infliger. Et comme pour l'instant il n'en avait parlé à personne, ca resterait strictement entre nous.

Terrorisée, mais aussi un peu curieuse de savoir ce qu'il entendait par “punition” (ce mot raisonne toujours de manière particulière pour moi), j'ai bien sûr accepté la 2e proposition.

Il m'a fait signer un papier où je reconnaissais que j’étais fautive et j’acceptais de recevoir une punition. Je pensais un peu naïvement que je m'en sortirais avec une fessée ou, au pire, un petite fellation à lui faire.

Il m'a donné rendez-vous le soir même chez lui, en me donnant l'adresse et l'heure à laquelle je devais venir. Je suis arrivée un peu en avance, sans avoir eu le temps de repasser chez moi pour me changer (c'était bien calculé de sa part).

Il a commencé par m'offrir un apéritif tout en me détaillant des pied à la tête. Je n'y ai pas trop fait attention, mais ca aurait dû me mettre en alerte.
Puis il a exigé que j’enlève mes vêtements et que je me mette en soutien-gorge et petite culotte devant lui.

J'ai protesté “Quand même pas?” Mais il a été inflexible. J'ai enlevé mon chemisier, mon pantalon et mes chaussettes et je l'ai regardé. J'ai cherché à couvrir ma poitrine et mon entre-jambes avec mes mains, mais il ma ordonné de mettre mes mains derrière le dos. Il m'a longuement détaillé. J'avais terriblement honte !

Puis, il m'a fait tendre la paume de ma main bien à plat et m'a tapé dessus avec sa ceinture qu’il venait de retirer. J'ai ressenti un douleur terrible dans les doigts en même temps qu'une honte à m'exposer ainsi sans résistance. Il m’a frappé ainsi 3 autres fois. A chaque fois je devait tendre ma main bien à plat.

Bien sûr j'aurais pu m'enfuir. J'ai toujours bien fait mon travail. Consulter des sites sur son lieu de travail c'est mal. Mais pas forcément un motif de licenciement. Et au pire j'aurais pu retrouver un autre travail. Mais j'étais comme paralysée. Et au fond de moi j'avais le sentiment que je méritais ce qui m'arrivait.

Puis il m'a fait venir sur ses genoux.
Et il a commencé à me fesser à la main. D’abord par dessus la culotte. Pas très fort au début, puis plus durement, en me traitant de « sale vicieuse » et de« petite cochonne ». Ca faisait un peu mal. Et un peu honte.

Après une bonne trentaine de claques, humiliation suprême, il a commencé à me baisser la culotte. J’étais morte de honte. Il a continué à me fesser durement. Ca faisait vraiment mal. « Ca t'apprendra à consulter des sites de fessées ! ». J'ai hurlé, je l'ai supplié d'arrêter. « Tu préférerais que toute la boite soit au courant de tes perversions ? ». « Aie, pitié je vous en prie ! » « Ca fait trop mal, pitié ! ». je pleurais presque !

Mais il a continué à me claquer les fesses. « Aie pas ca ! » J'avais de plus en plus de mal à garder la position. Dans le même temps je ne pouvais pas m'empêcher de penser que je l'avais bien cherché et que la situation était proche de certain de mes fantasmes (même si je ne m'imaginais pas avoir aussi mal !).

Je ne sais pas combien j’ai reçu de claques sur les fesses nues. Au mois 40 ! Finalement il s’est arrêté. « Si tu promet de ne pas recommencer, on va pouvoir en rester là" m’a-t-il dit en caressant mes fesses rougies.
J’en avais fini avec la fessée, mais pas avec ma punition.

Il m’a encore ordonné d’aller au coin. Face au mur, la culotte baissée jusqu’aux chevilles. J'ai dû y rester un long moment, pendant qu’il avait tout le loisir de regarder mes fessées nues qui étaient bien rouges.

Il a finit pas me dire que je pouvais me retourner et que c'était fini, qu'on était quitte et que je pouvais partir. Il m'a regardé remonter ma culotte et remettre mes vêtements.

« Et ne t'avise plus te consulter ces sites, sinon tu sais ce qui t'attend ! »
« Mais c'est peut-être ca que tu cherches? » a-t-il ajouté avec un sourire. Rouge de honte et de confusion, je n'ai pas répondu et je suis partie en courant.
L'accrochage

L'accrochage

Je circule tranquillement à l'intérieur d'un rond-point quand une voiture vient me percuter sur le côté droit. Je vois surgir une jeune femme paniquée. Je descends aussitôt ma vitre, pour lui conseiller de remonter dans sa voiture et de me suivre jusqu’au prochain parking car il est trop dangereux de rester ici.
Une fois garé, je constate l'état de ma voiture. Pas de quoi en faire un drame. Au point d’impact, elle était déjà abimée et finalement cela ne fait pas une grosse différence avec les dégâts antérieurs, mais je prends garde de ne pas le signaler. La jeune femme se confond en excuses, j’essaye de la calmer, ce n’est après tout que de la tôle froissée, pas une catastrophe et lui fait remarquer que sa voiture s’en sort indemne.
Elle voit les dégâts sur la mienne et m'explique qu'elle a déjà eu deux accidents en tort et que la voiture appartient au compagnon de sa mère... Elle est jeune et jolie et ses yeux au bord des larmes me font pitié. Je tente encore de la rassurer, de lui répéter que ce n'est pas grave, qu'on va faire un constat et que tout ira bien.
Alors que je commence à remplir le constat, elle me dit qu'elle va se faire tuer par ses parents et qu'aucune assurance ne voudra plus l'assurer. Une nouvelle fois, je la réconforte en lui affirmant que son cas n’a rien d’exceptionnel pour un jeune conducteur. Elle devra sans doute reprendre quelques cours de conduite automobile et ce sera tout. Quant à ses parents, je lui sors en guise de boutade, que vu son âge, elle devrait échapper à la fessée. A mon grand étonnement, elle ne semble pas saisir la plaisanterie et me répond très sérieusement qu'elle préfèrerait encore recevoir une fessée que de devoir affronter la colère de son beau-père et les crises de larmes de sa mère.
Voilà qui est singulier ! J'hésite un instant, le stylo suspendu au-dessus du constat. J’ai peur de sa réaction mais la tentation est trop forte et je me lance :
- Ok, si vous voulez, on oublie le constat, mais je vous donne une fessée...
Elle reste bouche bée, ne sachant quoi répondre et finit par lâcher d’une voix étranglée :
- Ici ?
Décidemment je vais de surprise en surprise. Je me retiens d’éclater de rire et j'enchaîne aussitôt en repliant mes papiers :
- Non tout de même ! Mais on en reste là avec ces problèmes d’assurance. Je vous donne mon adresse, vous venez me rejoindre ce soir à neuf heures précise pour vous faire punir comme une gamine. Cul nu !
Voilà, c'est lâché, je n’ai plus qu’à attendre la gifle. Au lieu de ça, elle baisse les yeux et d'une petite voix, elle me dit qu’elle ne peut pas aller chez un inconnu, que c’est trop dangereux.
Je lui présente ma carte de magistrat.
- Pensez-vous que dans ma fonction, je prendrais le risque que vous déposiez plainte pour viol. Vous imaginez le scandale. Je perdrais mon honneur, ma réputation et mon emploi.
Visiblement l’argument l’ébranle. Ma rosette de la légion d’honneur qui garnit la boutonnière de mon veston et mon âge avancé achèvent de la rassurer. Je n’ai pas l’air d’un abuseur de jeune fille.
- Juste une fessée. Vous me promettez que ça n'ira pas plus loin. Vous ne me toucherez pas.
- Bien entendu. Vous avez ma parole d’honneur. Une simple fessée punitive dans les règles de l’art. Vous pouvez vous faire accompagner d’une amie si vous le désirez.
L’idée d’une fessée devant témoin ne lui plaît manifestement pas. Elle répond précipitamment :
- Non, non, ça ira.
Je lui demande de me confier sa carte d’identité à titre de garantie qu’elle tiendra son engagement et on se quitte sur ma recommandation de ne pas être ce soir en retard.
Julie Lamart. Je contemple en rêvant la petite photo qui figure sur sa carte, quand on sonne à ma porte. Neuf heures précise. Elle est ponctuelle. Je la fais entrer, elle apparaît encore moins assurée que lorsque je l'ai quittée. Elle est très jolie avec son minois d'étudiante, ses cheveux blonds coupés au carré plongeant, ses yeux bleus et son sourire timide et crispé. Je regrette qu'elle ait troqué la petite robe d'été qu'elle avait ce matin contre ce jeans et ce débardeur. C’est moins sexy mais je me console en visualisant le côté peu pratique d’un jean pour ce que nous avons à faire. Au fond, la séance en sera d’autant plus excitante. Elle me suit jusqu’au salon et s'assoit dans le canapé sans y être invitée. Je conçois que ce n'est pas de l'impolitesse, mais plutôt que sous le coup de l’émotion, elle a du mal à se tenir sur ses jambes. Je lui propose quelque chose à boire, mais elle refuse d'un signe de tête et me demande d’aller à l'essentiel :
- Plus vite ce sera fait, mieux ce sera. Mais avant de commencer, j’aimerais savoir ce que vous allez me faire ?
Je hausse les sourcils. Elle semble comprendre :
- . . . S’il vous plaît.
- On dit s’il vous plaît, Monsieur.
- Excusez-moi. J’aimerais savoir ce que vous allez me faire, s’il vous plaît, Monsieur.
- Vous n’avez donc jamais reçu de fessée ?
Julie baisse les yeux et murmure en rougissant que si.
- Alors vous savez ce qui va suivre. Pourquoi poser cette question ?
- Parce que c'est la première fois qu'un inconnu me punit, et puis ce n'est pas pareil... Monsieur.
- Je pense que ce ne sera pas différent, je vais tout simplement vous coucher en travers de mes genoux et vous claquer les fesses.
Elle enlève son sac de son épaule et le pose sur la table, puis dans un souffle me dit qu'elle est prête.
Entrant avec conviction dans mon rôle, je la saisis par le dessus du bras pour la lever mais au lieu de la basculer immédiatement sur mes genoux, je lui fais traverser la pièce jusqu'au coin opposé :
- Puisque vous avez l’expérience de la fessée, j'imagine que vous avez aussi connu le coin... A genoux, le nez collé contre le mur et les mains dans le dos.
J’ai adopté le ton sévère de circonstance.
Elle a l’air d’être impressionnée. Sa lèvre tremble un peu comme si elle allait pleurer et elle s'exécute sans rechigner. Je bois du petit lait. Visiblement cette jeune fille perd ses moyens quand elle est confrontée à une ferme autorité. Sans doute, le résultat des fameuses colères de son beau-père. De retour sur le canapé, j’admire ses fesses moulées dans son jeans serré et je trouve instructif la façon dont elle se triture nerveusement les doigts en attendant la suite.
- J'imagine que vous ne pensiez pas un jour vous retrouver dans une situation pareille... Votre dernière fessée doit remonter à plus de quinze ans.
- Heu . . . non, Monsieur.
- Ah bon ! Quand avez-vous donc été fessée la dernière fois ?
Sans cesser de fixer le coin, mais en se trémoussant de gêne, elle me répond timidement que c’était il y a trois ans.
Surpris, je ne peux pas m'empêcher de lui demander son âge. Elle a 22 ans, le calcul est vite fait : recevoir la fessée à dix-neuf ans, voilà qui n’est pas banal et qui pique ma curiosité.
Elle m'avoue que la discipline a toujours été très stricte depuis que sa mère s’est mise en ménage avec cet homme. Elle est enfant unique et il s’est mêlé de son éducation depuis qu’elle l’a connue à dix-sept ans. Elle a été punie physiquement jusqu’à ce qu’elle obtienne son bac après avoir redoublé. J’apprends aussi qu’elle est maintenant étudiante en droit. Faute de ressource, elle est contrainte de vivre sous le toit du concubin de sa mère, ce qui lui est particulièrement pénible car il est odieux et lui fait déjà sans cesse sentir qu’elle lui coûte cher.
Pauvre petit chou ! En voilà une qui aurait intérêt à se trouver un protecteur qui lui financerait ses études en échange de quelques menus services. Un rôle qui me conviendrait parfaitement !
En la faisant parler, je finis par deviner que les punitions qu’elle subissait n’avaient rien de symbolique et que son beau-père n’avait pas l’élégance de ménager sa pudeur. Pour lui, une fessée se donnait nécessairement sur les fesses nues quelques soient les circonstances. Un point commun avec moi mais ce « quelques soient les circonstances » m’intrigue grandement. Je veux en savoir plus.
Quand je lui demande si elle a déjà été punie devant du monde, Julie hésite et finit par me lâcher un tout petit « oui, la dernière fois » puis refuse de m’en dire plus.
Cela ne me convient pas. Ces aveux à petites doses m’intéressent de plus en plus. Mais je regrette de l’avoir placée dans cette position. J’aimerais qu’elle me raconte cette « punition devant témoins » qui lui fait tellement honte tout en captant son regard.
Je lui demande donc de se relever et de me rejoindre.
Je passe mon bras autour d’une de ses cuisses pour l'amener à se coller à mon genou et sans un mot je déboucle son ceinturon. Les bras ballants, elle se laisse faire et regarde droit devant elle.
Je déboutonne son jean, baisse la fermeture éclair et écarte les pans jusqu’à ce que sa petite culotte apparaisse dans l’ouverture.
Elle est merveilleusement érotique ainsi. J’ai décidé de prendre mon temps, de faire durer ces instants inoubliables. Tout en maintenant ma main posée à l’intérieur de sa cuisse, je poursuis mon interrogatoire.
- Alors, vous ne m’avez toujours pas raconté cette dernière fois. J’insiste pour connaître tous les détails, nous ne commencerons qu’après que vous m’aurez tout dit.
Je vois sa poitrine se soulever. Cela la gêne mais elle comprend qu’elle n’a pas le choix. Elle baisse les yeux vers moi, j’accentue ma pression autour de sa cuisse.
- C’était pendant les vacances avant que j’entre à la faculté. On était chez des amis à eux. Toute une bande. Beaucoup d’adultes mais des jeunes de mon âge aussi. Nous, on s’amusait dans la piscine pendant que les parents prenaient l’apéritif. Une de mes copines avait oublié son maillot et privée de baignade, elle plaisantait avec nous au bord de la piscine. Pour blaguer, elle a menacé de jeter dans la piscine les vêtements que j’avais laissés sur la pelouse. J’ai paniqué. Dieu sait ce que mon beau-père était capable d’inventer pour m’humilier si les vêtements avec lesquels j’étais venue se retrouvaient trempés. J’ai paniqué. En cherchant à récupérer mes fringues, il y a eu une bousculade et ma copine est tombée à l’eau toute habillée, en serrant contre elle mes vêtements. Ça a fait du raffut, elle était furieuse et vexée des rires que sa mésaventure provoquait. Et le pire, c’est qu’en trébuchant elle s’était entaillée la cheville à l’échelle du bassin. Les parents sont intervenus. La fille m’a accusée. Moi, je ne l’avais pas fait exprès mais mon beau-père ne m’a pas écouté. Il m’a dit de me préparer pour une fessée dont je me souviendrais. Je savais que si je discutais ce serait pire et j’ai ôté ma tenue de bain. Tout le monde me regardait, c’était horrible. Il m’a fait venir jusqu’à la table où les adultes achevaient leur repas et il a dégagé un espace entre les verres et les assiettes pour que je puisse m’accouder entre les gens. Je ne sais combien de temps a duré la fessée. Il n’y allait pas de main morte et s’interrompait souvent pour m’obliger à me redresser. Je devais alors présenter mes fesses de plus en plus colorées aux personnes attablées dont la plupart était pour moi de parfaits inconnus. J’entendais les commentaires approbateurs ou moqueurs, certains estimaient bien sûr que je n’en avais pas eu assez et je devais reprendre ma position pour me soumettre encore et encore à une nouvelle volée.
Après j’ai dû m’excuser. D’abord auprès de notre hôtesse et puis auprès de la fille que j’avais poussée. Comme elle avait ses vêtements trempés et que les miens étaient dans le même état, on m’a dit de lui prêter mon maillot pendant que l’on mettrait nos fringues à sécher au soleil. Je n’ai pu récupérer mon maillot que le soir avant de partir.
- Un maillot ? Vous voulez dire un maillot une pièce pas une culotte de bikini.
- Oui.
- Il vous a donc fait mettre toute nue devant ces gens pour vous fesser et c’est toute nue que vous êtes restée jusqu’au soir avec eux.
- Oui, Monsieur.
- Pas de serviette de bain pour protéger votre pudeur ?
- Non rien. Il voulait que je reste nue pour que cela me serve de leçon.
Elle est cramoisie. Le souvenir de son humiliation publique est toujours aussi vivace et il lui en a coûté de me la raconter. Je comprends mieux son refus de venir avec une amie qui aurait pourtant pu la rassurer sur mes intentions. Elle n’est pas prête de supporter à nouveau des témoins même compatissants.
- Et bien, ma petite, félicitez-vous que ce soir au moins personne d’autre que moi ne vous verra.
Je surprends son regard qui se porte sur ma fenêtre. Elle a raison, j’oubliais que seul un voilage protégeait de la vue des passants mon salon éclairé.
- Vous avez peur qu’on vous voit de la rue ?
- Oui, Monsieur.
- Vous n’avez pas mérité plus d’intimité. Après tout, mes voisins ont vu les dégâts que vous avez causés à ma voiture, il serait juste qu’ils puissent admirer ceux que je vais causer à votre petit postérieur ! Mais je serai pour cette fois bon prince, vous pouvez fermer les tentures.
Satisfait de ma plaisanterie, j’attends qu’elle ait soigneusement fermé les tentures avant de poursuivre lentement son déshabillage.
Son jean étroit est difficile à baisser. Elle a bien mal choisi sa tenue. Ce lent strip-tease est très agréable pour moi qui ai les yeux à hauteur idéale. Elle a le réflexe de retenir sa culotte. Après quelques efforts de chaque côté, son jean parvient en bas des cuisses. Je découvre une culotte en coton très sage, ornée d'une petite bande de dentelle au-dessus de l'élastique, seule fantaisie de son dessous. Je ne peux m'empêcher d'imaginer qu'elle a choisi cette culotte exprès pour la circonstance.
Je la bascule sur mes genoux, ses fesses sont magnifiques. Je la hisse plus avant, pour ses pieds ne touchent plus le sol. Ses mains sont à plat sur la moquette. Je peux commencer la fessée. Doucement, une fesse après l'autre, dans un rythme régulier. Ses fesses sont intégralement couvertes, je ne peux pas voir si elles rougissent, mais j'attends encore un peu pour la déculotter. Elle commence à gémir lorsque j'intensifie mes claques.
Je profite qu'elle veuille se protéger les fesses après une claque plus appuyée, pour lui attraper le poignet et baisser sa culotte avec ma main libre.
Ces deux globes sont bien rouges, je suis satisfait de la couleur et je contemple ce petit cul avec délectation. Je remarque qu'elle serre les fesses pour en faire voir le moins possible et croise ses chevilles l'une sur l'autre. Sans lui lâcher le bras, je recommence la fessée. Le bruit sec des claques sur la peau nue m'enivre et j'accélère le rythme pour qu'elle gigote, je suis obligé de resserrer mon emprise et je continue jusqu'à ce qu'elle pousse des petits cris à chaque claque. Je n'arrête qu’au moment où je sens qu'elle va se mettre à pleurer.
Elle ravale un sanglot et reprend son souffle, j'en profite sous prétexte d’expertise pour lui caresser délicatement ses fesses encore chaudes. Gênée de cet attouchement, Julie tente de se relever, je l'aide en la tenant par le bras. L'avant de sa culotte est légèrement descendu, mais cache encore l'essentiel de sa féminité. Je me dis qu’il est hors de question de la laisser repartir sans en voir plus. Ce serait trop frustrant !
Elle remonte sa culotte correctement et je lui dis de retourner au coin. Elle y va sans discuter, en remontant son jean sur le trajet. Elle s'apprête à se mettre à genoux, mais je l'en empêche et la rejoint.
- Vous allez cette fois rester debout, pour que j'admire le résultat de mon travail. Je passe mes mains devant elle. Elle n'a pas eu le temps de reboutonner son jean, je le descends doucement jusqu'aux chevilles. Pressentant la suite, elle saisit l'élastique de sa culotte de chaque côté de ses hanches. Une claque au milieu des fesses suffit à la libérer.
- Mettez plutôt vos mains au-dessus de votre tête !
Je baisse sa culotte qui tombe sur ses jambes, puis dans l'élan attrape le bas de son débardeur et lui retire. Elle n'ose pas réagir et replace ses mains comme indiqué. Je la laisse ainsi, en soutien-gorge, jean et culotte baissés, puis je m’empare de mon téléphone pour quelques photos discrètes. Cela me fera de jolis souvenirs. Au bout de dix minutes, je la vois passer sa main sur ses fesses, mais elle la remet sur sa tête. Je décide d'attendre en vacant à mes occupations, pour voir ce que seront ses réactions. Pendant plus d'une demi-heure, elle reste sans bouger et ne dit rien.
Elle finit par me demander si sa punition est finie et si elle peut se rhabiller. Je n'en demandais pas tant. Je m'approche d'elle et passe ma main sur ses fesses, j'en profite pour les écarter légèrement et sent un frisson lui parcourir le corps, ses bras en tombent de sa tête.
- Non votre punition n'est pas finie ! Vos fesses ont retrouvé leur couleur, vous êtes prête pour la suite de votre fessée... Venez me rejoindre !
Je pars m'installer sur le canapé et elle a déjà remonté sa culotte et commence à remonter son jean.
- NON, NON, NON... que faites-vous ? On va continuer fesses nues... Approchez !
Elle lâche son jean, puis se retourne et commence à venir vers moi enchevêtrée dans le vêtement.
- Ne soyez pas ridicule ! Enlevez ce jean !
Quand elle se penche en avant pour se défaire de ses chaussures et de son jean, j'admire son joli décolleté, puis elle vient timidement vers moi, les yeux baissés en slip et soutien-gorge. Ils ne sont pas du tout assortis et cela lui donne encore plus de charme. Son soutien en dentelle noire dénote de sa sage culotte blanche en coton, mais elle n'avait surement pas prévu de se retrouver en soutien-gorge devant moi.
Quand elle arrive face à moi, je passe mes pouces sous l'élastique de sa culotte, elle me retient aussitôt par les poignets. Je lève les yeux pour lui adresser un regard sévère, elle lâche mes poignets et m'implore du regard :
- Pas comme ça, s'il vous plait...
Sans la quitter des yeux, j'abaisse sèchement sa culotte. Celle-ci tombe à ses pieds, elle serre les poings et lève la tête vers le plafond. J'en profite pour lui retirer sa culotte de ses pieds, elle lève docilement un pied puis l'autre. Avant qu'elle ne cache sa toison de ses deux mains, j'ai le temps de constater que ses lèvres sont bien visibles et sont surmontées d'une fine bande de poils châtains épilé court.
Je la bascule sur mes genoux et reprends la fessée sur le même rythme que la fois précédente. Ses fesses rosissent aussitôt. Au bout de quelques claques, elle se débat et me supplie d'arrêter. Je ne vais pas plus loin, faire mal ne m’intéresse pas, je sais que la fessée est déjà largement suffisante. Je la relâche et elle se lève aussitôt en frottant ses fesses. Je profite de son corps uniquement vêtu de son soutien et de son visage grimaçant.
Je lui fais faire demi-tour pour vérifier l'état de ses fesses. Elles sont bien rouges, mais d'ici quelques minutes, elles retrouveront leur couleur initiale.
- Vous allez retourner un moment au coin, et après ce sera fini, vous serez pardonnée...
Après un gros soupir, elle s'écarte, mais je la retiens par la main :
- Ne soyez pas si pressée, vous allez aller au coin, mais vous allez y aller toute nue...
Joignant le geste à la parole, je dégrafe l'attache de son soutien. Encore plus exaspérée, elle se défait de mon emprise et se rend au coin sans que je lui redise. Elle termine d'enlever son soutien et le jette à terre, puis pose ses mains au-dessus de sa tête. Elle est magnifique vue de dos, je sais que je ne vais pas me lasser de la regarder ainsi, même si l'envie de la découvrir de face entièrement nue est grandissante.
Je ramasse ses vêtements éparpillés dans le salon et les pose sur le canapé.
Je la laisse ainsi, en ayant l’air de ne plus m’occuper d’elle mais je circule dans la pièce pour profiter de différents angles de vue. Au bout de dix minutes, je vais m'assoir dans le canapé pour profiter du spectacle qu'elle va m'offrir et surtout cacher mon érection.
- C'est bon, vous pouvez vous rhabiller !
Elle se retourne, les coudes cachant ses seins, et les mains sous le menton, cherchant du regard ses vêtements.
- C’est ceci que vous cherchez ?
Je lui ai montré son soutien entreposé avec ses autres vêtements à ma gauche.
Sans répondre, elle revient à tout petit pas vers moi. Je lui rends un à un ses fringues dans l’ordre où je souhaite qu’elle se rhabille : soutien, débardeur, culotte, jean et chaussures. Elle doit à chaque fois se baisser vers moi car je ne fais pas l’effort de lui tendre ceux-ci. J’adore sa menue poitrine aux tétons si agressifs !
En la reconduisant à ma porte, je lui demande de faire plus attention sur la route à l'avenir. Bizarrement, elle me remercie et me jure d’être plus prudente, puis ajoute qu’elle a retenu la leçon.
A ce moment une brillante inspiration me vient. J’ai lu récemment un article sur les sugar baby qui financent ainsi leurs études. Je me verrais bien en sugar daddy de cette étudiante :
- Au fait, Julie. Si vous en avez assez de la tyrannie de votre beau-père, je pense que je pourrais vous aider. Vous savez à présent que je n’ai rien d’un abuseur. Je vous avais promis de ne pas vous toucher et de me limiter à une fessée disciplinaire. J’ai tenu mes engagements.
Le second étage de ma maison est aménagé en un petit appartement et il est libre. Je pourrais le mettre à votre disposition en échange de quelques menus services. Je vis seul et mes fonctions me laissent peu de temps pour m’occuper de la maison, faire les courses et préparer les repas. Et puis ma formation de magistrat pourrait vous être utile si vous aviez besoin d’un tuteur.
Elle ouvre de grands yeux étonnés, veut parler mais je l’en empêche :
- Ne me répondez pas maintenant mais songez à cette proposition. On en reparle quand vous voulez.
Avant qu'elle ne quitte la maison, j'ai enfin droit à un petit sourire de sa part. Je crois que c’est gagné !
Les randonneurs

Les randonneurs

Une belle boucle de dix-huit kilomètres, balisée, donc connue, balade à la journée avec pique-nique, forêt et plaine.
Nous sortons justement du bois, et à la lisière se trouve un rocher, longé par une petite route ; au loin quelques maisons.
Une pause s'impose ! Je m’assieds sur ce rocher et sans que je ne lui ai rien demandé elle se place à genou, buste tourné vers moi comme pour recevoir une fessée : et elle y a droit !
Je commence par-dessus le pantalon puis je la déculotte, "en bloc", baissant tout en même temps. Il doit passer une voiture par heure sur cette petite route, mais ça aurait pu, et au loin, depuis les maisons, quelqu’un a pu remarquer quelque chose et alors prendre des jumelles pour mieux voir.
C’était ma compagne d’une belle relation de quelques années.
Bien excitée par la fessée avec risque d’être vue !
Puis elle a remonté sa culotte et son pantalon, sans refermer celui-ci, et nous avons fait quelques pas pour regagner le bois,et elle s’est allongée.
Ses pieds en s’agitant de plaisir remuaient et brassaient les feuilles mortes.
Nous avons repris le circuit et sagement pique- niqué un peu plus loin. Une famille avec enfants, c’était un dimanche, est passée : petite causette entre promeneurs, considérations sur la nature, tout ça …sérieux comme tout !
On imagine la même rencontre quelques kilomètres avant ! 
Entre femmes

Entre femmes

D'après des carnets de souvenirs retrouvés lors d'un déménagement

Après mon bac, l'université la plus proche se trouvant à cinquante kilomètres, je me suis retrouvée chez une logeuse bourge et rétro qui avait deux chambres pour « jeunes filles de bonne famille ». Ma mère avait dû la rassurer sur ma bonne éducation : peut-être même en précisant certaines de ce qui furent parfois ses méthodes ? punitives ? C'est que d'origine anglaise elle avait longtemps persisté dans ce qui était presque une tradition outre-Manche.
Très vite avec ma « coloc », pour sa part en troisième année, grande et musclée, nous avons été en phase et avons entre autres parlé de notre éducation  ; or un jour où Danielle est entrée à l’improviste dans ma chambre, voyant le désordre, elle s’est exclamée :
« Dis donc, si ta mère voyait ça ! »
Et moi, penaude, de répondre : « Oui elle se fâcherait...je me prenais encore des fessées pour cette raison il n ' y pas si longtemps 
- Eh bien c’est ce que je vais faire ! »
Et je me suis retrouvée, moi petite jeune femme d'à peine dix- neuf ans courbée sous son bras et jupe retroussée pour recevoir une fessée comme une gamine fautive à corriger !
Oh ! comme cela m’a fait tout chose : être fessée par une fille plus âgée, mais pas tellement, de tout au plus deux ou trois ans, et qui savait fesser !
« Il n' y a pas si longtemps » remontait tout de même à quelques années, et j'étais restée sur le souvenir d'une certaine sensualité qui s'était manifestée lors des dernières exécutions du « châtiment des enfants », sur le moment même et malgré la douleur et la honte ; puis en y repensant, en me refaisant le film, je me surprenais à désirer de continuer de le recevoir ; la lecture des « confessions » de Jean-Jacques Rousseau m'avait par ailleurs rassurée, je n'étais pas la seule.
« Qui croirait que ce châtiment d'enfant, reçu à huit ans par la main d'une fille de trente, a décidé de mes goûts, de mes désirs, de mes passions ? »
Je le croyais ; et aussi m'amusait en étudiant sa biographie précise qu'il avait plus de huit ans lors du séjour chez le pasteur Lambercier et la sœur de celui-ci, qui donc, occasionnellement, le fessait. Rousseau avait-il honte d'avoir déjà été à cette époque dirons-nous pré adolescent ? Ce qui peut mieux expliquer certaines réactions du puni, qui mirent fin à cette pratique.
« Mlle Lambercier, s'étant sans doute aperçue à quelque signe que ce châtiment n'allait pas à son but, déclara qu'elle y renonçait et qu'il la fatiguait trop. »
Comme l'illustre écrivain philosophe je reçus ma dernière fessée, ou plutôt qui est restée la dernière jusqu'à cette période d'étudiante, à l'âge où elle peut émoustiller. Cela eut d'autant moins un caractère de punition enfantine que ce fut à sa jeune cousine d'à peine vingt-cinq ans que j'avais tendance à considérer comme une copine, et j'étais justement ce jour-là allée trop loin, que ma mère confia la tâche ; elle y assista, bien sûr, pour s'assurer que ce serait fait et bien fait. Les préparatifs vestimentaires eurent un autre sens qu'effectués par celle qui s' occupe dans la petite enfance du bain, de la douche, et je m'étais laissée faire avec une certaine délectation ; ma mère, qui approchait alors de la quarantaine, dut le comprendre et comme Mlle Lambercier mit tout en bonne anglaise qu'elle fût et sans avoir lu Rousseau fin aux fessées ; et j'avais de plus dû pousser de petits gémissements qui pouvaient certes s'accorder à la vivacité de la correction, mais auxquelles elle n'était pas habituée.
J'eus ainsi l'honneur de devenir une grande fille mais comme Rousseau un peu déçue : il me manquait quelque chose, non pas de la main ma mère, mais d'une personne sinon plus âgée, ou un peu plus, ayant tout du moins un ascendant ; il me manquait ces sensations fortes, et ce lâcher prise qui rapproche de la fesseuse ; peut-être aussi d'un fesseur ; il me manquait cette remise à l'heure des pendules, quand on se sent perdre le contrôle de ses propres mécanismes.

Et voilà que cette Danielle, ma colloc, me prenait en main ; et se chargeait de me confirmer que oui, c'est bon, de recevoir une bonne fessée.
Reposée à terre elle me dit : « tu vois, je crois que tu en as encore besoin ! »
Continuant sur sa lancée, elle me demanda si il y avait ou avait eu un martinet chez moi.
Déçue de ma réponse négative, elle me fit savoir que nous allions immédiatement en acheter un, qu'il fallait combler ce manque.
Effroi de ma part, et cinq minutes plus tard nous étions devant une droguerie, magasin où se vendaient des martinets en ce temps-là, et Danielle me dit : « c’est pour toi, donc c’est toi qui demandes ».

J'étais rouge de gêne, et on voyait aussi les rougeurs de mes cuisses, qui avaient été essentiellement visées, vu que Danielle n'avait tout de même pas baissé la culotte. Balbutiante, je demandai : « je voudrais un martinet ».
Et la vendeuse, à peine plus âgée que nous, de demander tout haut : « c’est pour vous, mademoiselle ? »
Et ma copine Danielle de surenchérir : « oui en effet, il faut encore la fouetter, et souvent ».
J’ai dû prendre ce martinet et sortir de cette droguerie, tenant ce martinet dans une main de façon bien visible ! J’étais morte de honte, mais aussi un sentiment très trouble s’empara de moi. Je me sentis toute  humide  dans ma petite culotte que Danielle m'avait épargné d'abaisser.
De retour dans ma chambre, Danielle me fit comme dans certaines familles, la sienne, peut-être, aussi, accrocher le martinet au mur et me promit qu’il servirait.
Ce fut le cas, en effet.
Consciente pour mon propre bien de la nécessité d'affaires bien rangées, on perd alors moins de temps à tout chercher, c'est plus efficace pour les études, et c'est pour le coup d' œil plus respectueux pour les personnes de passage aussi rares soient-elles, mais je ne voulais plus choquer Danielle.
Mais la récidive arriva, pas vraiment de mon fait, ce qui me permit de bien profiter, et même jouir, de sa deuxième fessée.
Un appel téléphonique de ma mère m'avait interrompu dans une entreprise de classement de mes documents ; j'avais tout laissé étalé, mais je saurais m'y retrouver ; puis il avait été l'heure d'aller en cours. J'avais même laissé accroché le martinet accroché au mur, alors que c'était le jour de passage de la personne de la personne assurant le ménage dans cette grande et chic maison.
Ménage qui ne put être fait, et Danielle, amenée à discuter avec celle qui n'était pas encore " technicienne de surface", elle n'avait pas cours ce jour-là, commença par ses remontrances.
Puis m'annonça la fessée : le martinet, et qui avait été forcément vu à l'occasion de la séance de ménage, même manquée, allait être étrenné.
Elle m'ordonna de m'accouder au bureau et me demanda de baisser mon pantalon, on commençait à en porter, selon la saison ; puis alla décrocher l'engin.
« Et cette fois, je vais voir tes fesses ! »
Je la laissai finir de me déculotter avec cette satisfaction quelque peu exhibitionniste que l'on peut alors ressentir, et aussi par réaction à ce qui devrait être un degré supplémentaire dans la sévérité de la fessée ; après tout, autant en profiter, autant avoir plaisir à montrer son postérieur ; je n'aurais pas osé, de moi-même. Le seul point de déception qui pouvait rester lié à la première fessée de Danielle venait de s'affaisser sur mes chevilles. je retrouvais ce plaisir ressenti à l'occasion de mes insolences en famille.

Elle me fouetta sèchement, sans violence, mais avec une belle assurance. J'y pris plaisir jusqu'à une certaine limite qu'elle perçut, et dépassa avec modération.
Je fus bien ridicule, devant aller au coin, non rhabillée, les mains sur mon sexe, par pudeur, ou machinalement, et tellement machinalement que je les y laissai.
Elle s'approcha de moi, caressa mes fesses endolories, mais laissa faire mes doigts.
Le côté apaisant de la fessée se doublait ainsi pour loi d'un orgasme.

« Mais toi ? lui demandai-je, une fois réajustée.
-J'y ai pris plaisir ; ne t'inquiète pas ; pour ce qui est d'aller plus loin, je te ménage, quand même, ne brûlons pas les étapes... »

L'initiation, qui, n'oubliant pas certaines sources et réminiscences, n'en était pas tout à fait une, allait donc continuer.

à suivre

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