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Poème « ma fessée »

Poème « ma fessée »

Ma fessée

Ce soir l’ambiance est tendue, ton regard est sévère,
Je t’ai encore désobéi, je ne fais plus la fière.
Tu dis être désolé, mais devoir sévir,
Je te supplie à genoux, de ne pas me punir.
Je sais pourtant que je l’ai bien mérité,
Sans faillir, tu vas me donner la fessée.
Lorsque mes dessous glissent sous tes doigts,
Je comprends bien que je n’ai plus le choix.
Quand tu déboucles ta ceinture,
Que tu me plaques contre le mur,
Il m’est impossible de fuir,
Je suis brûlante de désir.
Puisque tes mains se font tenaces,
Que tu me maintiens bien en place,
Tes yeux rivés sur mes petites fesses,
Dépose ta main pour des caresses.
Tu hésites, ton cœur se serre,
C’est pour mon bien qu’il faut le faire.
Avant de lâcher les armes,
Avant de lâcher les larmes,
Le temps que tu me corriges,
Un instant, la nuit se fige,
Tu me prends alors contre ton cœur,
Pour que nous partagions ce bonheur.
Le prix du mensonge

Le prix du mensonge

Récit fictif mais que j'adorerai se voir réaliser !

Il est 18h, je suis devant la porte de notre appartement, je n'ose pas rentrer.
Je sais, je sens que tu es là, à m'attendre, mais pas pour me câliner.
Ce matin, un peu avant 11h, j'ai reçu un e-mail de ta part : « Ma démone, ce soir tu rentres de suite après ton travail. Tu n'en fais qu'à ta tête et tu ne me respectes pas...OK, mais tu sais ce qui va se passer et t'arriver. Ton amour agacé »
Oups, je sens mon cœur virevolter, qu'est-ce bien fait encore ?(worry) Je tente de me remémorer les derniers jours...Ah, zut, ça yes, je crois deviner. Mais si c'est vraiment ce à quoi je pense, alors je me doute effectivement de ce qui va se passer dès mon retour à la maison.
Rien que d'y penser, je frisonne, une douleur me prend dans le ventre, mais je sens aussi une certaine excitation monter.

Toute la journée, jusqu'à cette fameuse minute où je me trouve devant cette porte, je n'ai fait que penser à ce moment. Je n'ai pas réussi à être attentive à ce que je faisais et mon patron m'a un peu rappelé à l'ordre, mais ça je ne te le dirai pas.

Et voilà, je prends mon courage, je franchie la porte, mais à peine cela fait, je tombe nez à nez sur la table avec certaines choses dessus que je ne n'apprécie pas, ou au contraire trop.
Je sais au fond de moi que je les mérite, et c'est pourquoi une multitude de sentiments me parcoure tout le corps. J'aime quand je suis ainsi, ressentir cette sensation, même si je sais que je vais surement finir en larmes parce que tu n'auras pas été tendre. Une punition est une punition.

Mon corps frissonne, mes joues prennent légèrement la couleur qu'auront mes fesses tout à l'heure, je respire déjà profondément et je sens une légère humidité s'immiscer entre mes jambes.

Tu es là, assis juste à côté de la table sur le canapé. Je connais ce regard sévère, mais aussi complice. Tu n'aimes pas quand je fais des sottises, étourderies ou des caprices mais parallèlement tu espères que j'en ferai.

Je te dis bonjour, on s'embrasse langoureusement, ce n'est pas parce que tu vas me punir pour une bonne raison, que tu ne m'aimes pas, bien au contraire, si tu fais cela c'est pour mon bien et parce que tu tiens à moi. Et tu as toujours tenu à ce que je le sache et je crois que c'est une raison de plus qui fait que je t'aime tant. (hearteyes)

Maintenant que c'est fait, je suis là, debout devant toi, je n'ose à peine te regarder, mais tu m'ordonnes de ne pas baisser les yeux, tu veux que je connaisse ton mécontentement et toi lire dans mes yeux mon repentir. Ton regard confirme ma crainte, tu as bel et bien découvert que je t'ai menti en me servant de Julie, une amie, en prétendant une sortie avec elle alors que j'allais voir un copain que tu n'apprécies pas.
Je suis honteuse et je ne cherche même pas à nier. A quoi bon ?!

Tu m'allonges avec douceur, mais fermeté sur tes genoux. J'adore ce moment où je me sens vulnérable, entièrement à toi. Tu as décidé qu'il n'y aurait pas de préliminaires alors que tu sais très bien que c'est ce que je préfère. Tu descends en quasi un seul geste mon collant et ma culotte. Je sais alors que l'on va dépasser une nouvelle étape.

Cela fait maintenant 4ans que nous sommes ensemble dans la vie et 3ans que tu as commencé mon éducation.
Nous n'en sommes plus à avoir un mot entre nous pour mettre fin à une fessée, car avec le temps, j'ai bien vu et pris conscience que tu étais toujours à mon écoute et ne pas aller plus loin que je ne peux ou ne veux aller. Même si doucement, nous avons beaucoup avancé et progressé dans ce domaine.

Je suis donc là, fesses à l'air sur tes genoux, à la fois un peu inquiète par tant de froideur de ta part, mais aussi très confiante, j'adore ces moments.
Tu as décidé d'y aller de suite franco, pas d'échauffement, ou plutôt si, chauffer de suite mes fesses. Je n'en ai pas l'habitude et dès la première claque, cela me tire des petites vocalises.
Je sais, je l'ai méritée, mais je pensais quand même que tu serais un peu plus tendre, mais chaque fois je me dis la même chose. Mais là tu as battu tes records. Je me demande même si tu n'as pas confondu mes fesses avec ton tamtam, tellement les claques sont sèches.

Je crois que tu as décidé de vraiment me pousser à bout, j'en ai déjà les larmes aux yeux.(snif) Mais de ne pas savoir jusqu'où tu comptes aller exactement m'excite aussi beaucoup et mes yeux ne restent pas longtemps la seule partie de mon corps à être mouillée.

Je ne sais pas combien de temps exactement nous sommes restés ainsi, toi faisant rougir mes fesses, moi en ondulant sur tes genoux sous la pluie des claques, mais en éprouvant une sensation de bien-être. Un regard à la pendule, 35min que je suis couchée sur tes cuisses. Je n'en reviens pas, une nouvelle fois, tu as repoussé mes limites puisque 30min était le plus que j'avais supporté en sachant que cela incluait la partie douce du déculottage et de l'échauffement, alors là ! Mais j'avoue que je n'en suis que plus fière. Aux larmes certes, mais j'adore quand tu me prends en mains de cette manière et je crois que c'est ma meilleure fessée jusqu'ici.

Comment ça, pas finie ? Un échauffement ça ? Tu plaisantes ? Apparemment non ! Tu m'annonces que pour la suite, je serai allongée à plat ventre sur le lit, les fesses relevées par des coussins, mais surtout que je vais être attachée, les jambes bien écartées. Pardon ? Tu ne comptes pas vraiment m'attacher, tu as perdu la tête ?... Faut croire que non.
Je me révolte un peu,(sia) mais en même temps cette part de nouveauté me donne plutôt très envie d'essayer, mais ce soir, après ce que j'ai déjà eu ?
Mais bon, de toutes manières, comme tu me le dis, je n'ai pas le choix. S'il y a bien une chose que tu ne tolères absolument pas, c'est le mensonge. Je ne l'avais encore jamais fait et tu es bien décidé à tout faire pour que je ne recommence plus jamais. (worry)

Lorsque je sens la corde s'enlacer autour de mes poignets et mes chevilles, mes intestins se tordent, mais je sens tellement d'excitation me prendre, que j'aimerais que tu me fasses l'amour, là maintenant, tout de suite. Je te le dis, mais tu me réponds que si une autre fois, j'éprouve le souhait d'être attachée pour faire l'amour, alors on le fera, ça n'en sera que meilleur, mais que là, je ne suis pas ainsi positionnée pour cela, mais à cause de mon comportement infantile. 
Mes joues rougissent, je suis un peu déçue, mais je m'en doutais bien, j'aurais au moins essayé.

Humm, ça fait du bien, quelque chose me caresse, mais quoi ? Je tourne la tête, mais tu me la retiens avec ton bras pour m'empêcher de voir. Je sais que ce n'est pas ta main, bien trop rêche, non, je ne vois pas. Aie, si le premier coup me laisse de suite deviner, le martinet. Non pas ça stp, j'ai bien trop mal aux fesses, mais je n'ai pas le temps de finir ma phrase que le martinet se fait sentir. Je ne peux pas m'empêcher de geindre et mes yeux se brouille à nouveau.(snif)
Quelques claques supplémentaires continuent de tomber avant que tu m'annonces que tu m'as réservé une surprise. Youpi, J'adore ce mot, surtout que là, ça rime surement avec la fin de ma punition (hearteyes)

Tu t'absentes de la chambre. C'est étonnant, j'entends des voix.  Mais que fais-tu ? A qui sont ces voix ? Je tente de me détacher en pensant que tu as oublié de le faire, je suis terriblement angoissée à l'idée que quelqu'un puisse me voir ainsi, dans cette position.
Ça y est, te revoilà, mais tu n'es pas seul. Je ne vois pas encore qui t'accompagne, mais je sens leur présence.
Mon sang ne fait qu'un tour, mes joues sont rouge tomate et je pense à la vision de mes fesses qui doivent l'être encore plus. 
Je te fixe du regard et te fais comprendre que tu dépasses les bornes, que je ne veux pas de cela, je ne veux pas d'un inconnu dans nos jeux. (sia)

Et qui je vois rentrer ? Julie et Éric...Julie est justement l'amie qui m'a servie d'alibi, qui a couvert mon mensonge. Je suis au comble de l'humiliation et je comprends désormais la véritable raison des attaches. Tu savais très bien que je ne serai pas restée, que je n'aurai pas permis cela, je t'en veux terriblement. Mais je ne riposte plus, le fait que ce soit nos amis me fait douter de mes profondes envies.

Je n'ose même plus vous regarder, j'enfouis mon visage rouge de honte dans mon matelas, mais j'entends tout de même ce que tu dis. Tu annonces qu'il n'y a pas de raison que je sois la seule à être fessée alors que nous avons menti toutes les deux et l'ordre est donné à Julie de me rejoindre dans le lit et de prendre la même position et la même tenue que moi. Elle ne dit rien, ne riposte pas, comme si elle s'y attendait, cela me surprend. N'ose-t-elle rien dire ? Est-elle aussi une adepte de la fessée ? Quoi qu'il en soit, nous nous retrouvons toutes les deux, les meilleures amies du monde, côte à côte, attachées et prêtes à être punies. (panpan)

Je ne peux m'empêcher de regarder Julie et ensuite te regarder toi, je sens à la fois mes joues rougir et mon cœur battre la chamade, mais aussi la même sensation déjà ressentie tout à l'heure.
Mais comment cela est-il possible ? Je suis là, ainsi offerte à toi bien sûr mais aussi à nos amis. Je n'avais jamais osé parler de notre plaisir à Julie alors que je lui raconte tout et voilà que maintenant elle le sait et qu'elle va même y participer.
Ce qui me rassure, c'est de savoir que tous les deux, vous allez vous occuper de votre femme.
Comment, c'est le contraire ? Ah non, je ne suis pas d'accord et je te le dis, je te fusille des yeux et tente de me débattre, (sos) Julie en fait de même, mais tu sais, comme son mari d'ailleurs comment me calmer. Ton regard a changé, il n'est plus du tout sévère, mais tendre, plein d'amour et tu me chuchotes à l'oreille de te faire confiance et de me lâcher, mais que si jamais je n'en ai vraiment pas envie, alors que je te le dise et que ça cessera sur-le-champ. C'est cette phrase qui change tout et qui me fait me détendre. Je sais désormais que quoiqu'il arrive, tu veilleras sur moi (hearteyes)

Je finis par accepter ce que tu avais mijoté depuis ce matin et c'est aussi le cas de Julie. Maintenant que tout le monde est d'accord, passons aux choses sérieuses, ce sera mi-martinet, mi-main.
Julie a de la chance au moins, ses fesses n'ont pas rougies comme les miennes et je me demande vraiment comment je vais pouvoir en supporter plus, mais aussi quel genre de fesseur peut bien être Éric.
Je le découvre vite, tu es un peu plus tendre que mon chéri, mais cependant le rythme est plus soutenu ce qui équivaut à me faire geindre et sangloter à nouveau (snif)

Je suis finalement heureuse de me trouver si près de toi Julie, partager cela avec toi. Je vois que tu as aussi quelques difficultés et comme pour mieux se soutenir, nous nous prenons la main comme nous pouvons avec nos attaches.
Et toujours ce même plaisir ressenti malgré la douleur et l'humiliation, je crois même que cela l'amplifie.
Tantôt la main, tantôt le martinet…mais qu'importe, je suis bien. Je sanglote et grimace et cris, mais en même temps je suis vraiment bien et je souris. Et je ne peux que constater que ce plaisir est partagé si j'en crois l'expression du visage de Julie ainsi que le renflement à un certain endroit chez nos hommes respectifs.(green)

Et lorsque tu annonces, mon chéri que vous reprenez chacun votre rôle auprès de votre femme, je suis au comble du bonheur. Une dernière fessée ainsi avec toi.
Quelques caresses viennent désormais alterner avec les claques, aussi bien sur les fesses que dans mon intimité. Et malgré ma réticence à le faire alors que nous ne sommes pas seuls, je ne peux pas réprimer plus longtemps ma jouissance et je ne suis pas la seule dans ce cas, on pourrait penser à un concerto de plaisirs. (hearteyes)(hearteyes)(hearteyes)

Cela rime la fin de cette fessée. Tu me libères, me prend dans tes bras et me porte jusque dans le salon en laissant derrière nous nos amis qui n'en ont pas fini. Car tout comme je l'ai été avant leur arriver, Julie va désormais recevoir sa fessée en tête-à-tête, entre époux.
Pendant ce temps, une fois installés dans le canapé, tu me demandes si tu n'as pas été trop loin, si cela m'a plu. Je te souris, te remercie de m'avoir donné une confidente à qui parler et partager sur la fessée, surtout Julie.
Et comme dernière réponse, je te demande de me faire jouir une nouvelle fois, en me faisant l'amour. Ce que tu fais malgré la présence de nos amis dans la pièce d'à côté.
Ce jour-là, nous avons franchi une nouvelle étape qui n'en sera que meilleur pour la suite.
Dans le bureau du Comte

Dans le bureau du Comte

PARTIE 1

La fête battait son plein dans le grand salon de la demeure. Les musiciens jouaient des valses et des danses classiques, dans une humeur joyeuse.

Le comte observait sa jeune épouse qui s'amusait et s'esclaffait au milieu d'un petit groupe d'invités, avec plusieurs hommes sous ses charmes.

Il faut dire qu'elle était belle, un visage doux avec des yeux rieurs, parfois un rien moqueur. De jolies boucles tressées sur le côté qui retombaient librement sur ses épaules. De plus la longue robe jaune à volant, rayonnante, qu'elle portait ce soir mettait en valeur ses formes, avec un décolleté en dentelle qui dévoilait sa poitrine et un corset à lacet qui soulignait sa taille mince.
Mais face aux rires un peu poussés de sa belle, il sentit naître une pointe de jalousie et le besoin de rappeler, s'il était nécessaire, qui était le maître de la maison.

Il s'approcha du petit groupe, se plaça derrière sa femme et tout en lui serrant fermement le poignet lui murmura un "Suivez-moi" au ton directif. Puis s'adressant à l'assemblée avec un sourire charmeur : "Je vous emprunte un instant mon épouse".
Ils se faufilèrent dans la foule et sortir discrètement du salon.

"Nous allons monter dans mon bureau.
Sachant ce que cela signifiait, elle essaya de se plaindre, pour la forme.
- Mais ils risquent de nous entendre...
- Ne vous inquiétez pas, pas avec ce bruit !"
En effet musiques et danses se poursuivaient en grande pompe.

Il la fit monter dans les escaliers, qu'elle gravit sans se presser, profitant de l'instant, songeuse. Il ouvrit la porte de son bureau. Il s'agissait d'une vaste pièce au mobilier de bois. Derrière le bureau en lui même, de grandes fenêtres ornées de lourds rideaux donnaient sur le jardin. Il y faisait nuit actuellement, seule la lune pointait ses faibles rayons.

Elle attendait au milieu de la pièce, droite, digne, prête à ce qu'il donne ses instructions.

Il alluma quelques chandelles qui éclairèrent l'espace.

Leur mariage récent avait été arrangé par leur deux familles mais il était tout de suite tombé sous le charme de sa fiancée qui faisait tourner de nombreuses tête à la cour. Dans la trentaine, il avait une petite dizaine d'années de plus qu'elle et bel homme son côté directif ne l'avait pas laissé indifférente non plus. Elle sentait à la fois qu'il s'était clairement entiché d'elle mais que pour autant, il conservait son assurance et une aura d'autorité naturelle qui la troublait fortement. Et qui n'était pas pour lui déplaire, au contraire.

Cette attente accélérait sa respiration contrainte également par le port du corset. Placé derrière elle, il lui écarta tendrement les cheveux et déposa un baiser dans son coup qui la fit frémir "Vous êtes très belle" lui souffla-t-il. Elle frissonna dans un mélange d'excitation et d'appréhension de la suite à venir, maintenant toute proche.

"Installez-vous devant le bureau, penchez-vous bien en avant et posez vos mains et avant-bras à plat au bord de la surface." dit-il dans une voix de nouveau autoritaire.

Il la regarda s'installer, elle était décidément charmante pensa-t-il. Il l'a rejoignit et se plaça sur le côté au niveau de sa taille, il la contraint à se mettre un peu plus en arrière de manière à bien faire ressortir son fessier. D'une main il lui caressa la nuque et de l'autre, il desserra son corsage. Puis sa main descendit sur sa chute de rein et s'attarda un moment sur ses fesses qu'il caressa longuement, tâtant l'épaisseur des vêtements prenant connaissance de l'espace. Enfin il descendit le long de ses cuisses et commença à retrousser sa robe pour la relever au dessus de sa taille. Il fit de même avec le jupon et lui baissa ses sous-vêtements de manière à dévoiler un joli fessier bien ferme à la peau toute blanche. Il admira un instant ses fesses claires légèrement frémissantes. Puis sans plus attendre il lui donna alors la première claque qui s'abattit sur son postérieur, la faisant sursauter. Les suivantes se poursuivirent pas trop fortes mais avec un bon rythme alternant fesse droite et gauche, couvrant toute la surface des hémisphères, descendant également sur la haut des cuisses plus sensibles, lui laissant échapper de petits gémissements étouffés.

Le bruit de la fessée résonnait dans la pièce, sans faiblir, les claques coloraient d'un joli rose les fesses nues ainsi offertes. Il aimait ce contact direct avec sa peau qui rebondissait sous sa paume qui chauffait doucement mais sûrement et qui rosissait à vu d'œil.

Au début de sa fessée elle réussit à tenir la position demandée sans trop de difficulté mais au bout d'un petit moment les claques retombant plusieurs fois sur des zones déjà touchées, la chaleur s'amplifiant, les picotements se faisant sentir, elle ne pu s'empêcher de commencer à trépigner. Elle savait qu'elle ne tarderait pas à vouloir protéger ses fesses de ses mains.

La voyant ainsi bouger, il lui enserra la taille avec son autre bras et la bloqua contre lui. Il espaça alors les claques pour pouvoir poursuivre un peu plus longtemps la fessée. Alternant maintenant des claques un peu plus fortes qui lui firent pousser de petits cris et des claques plus légères où elle lâchait seulement de petits soupirs. De même il alterna les zones ou s'attarda volontairement selon son envie.

Les fesses de son épouse étaient maintenant bien colorées sur l'ensemble de leur surface, de même que le haut des cuisses. Il sentait leur chaleur plus forte signe que la fessée était bien avancée. Il poursuivit par une dernière série de claques bien rythmée puis termina par trois claques sonores plus appuyées.

Le silence se fit dans un contraste saisissant. Elle ne bougea pas, elle savait qu'il lui indiquerait le moment. En attendant il s'attardait en caresses. Ses doigts se glissèrent vers son intimité et pénétra son sexe humide, elle gémit de plaisir, se cambra. Il lui huma les cheveux et mit son autre main dans la sienne. "Ces fesses rouges vous vont à ravir" lui murmura-t-il. Les joues de sa belle rougirent alors également. Elle se détendit, bouleversée par un mélange de sensations et d'émotions intenses. Il aurait eu envie de la prendre, là maintenant, de lui faire l'amour à la faire jouir. Mais il repensa à regret à leurs invités. Leur absence allait finir par se faire remarquer...

Alors il lui remonta avec précaution ses sous-vêtements, il rabaissa le jupon, rabattit sa robe par dessus et la redressa délicatement. Il jeta son regard dans ses yeux bleus encore humides, lui essuya une dernière larme au coin de l'œil. Puis il reprit la conversation d'une voix neutre, profonde, tout en lui refaisant le laçage du corset dans son dos. "Une fois nos invités repartis vous irez m'attendre dans la chambre bleue. Il y a un petit canapé face à l'entrée. Je veux que vous vous y installiez à genoux sur les coussins de l'assise, face au mur les mains sur le dossier. Vous relèverez votre robe et baisserez vos dessous de manière à dévoiler vos adorables fesses nues." Il marqua une pause. Elle sentait des papillons papillonner dans le bas de son ventre. "Comme ça nous pourrons poursuivre ce que nous avons commencé" conclut-il d'un sourire entendu.

PARTIE 2

Elle attendait dans la position demandée tout en se demandant comment elle en était arrivée là ou plutôt comment "ils" en étaient arrivés là.

Elle se souvenait de sa première fessée qu'il lui avait donnée dans le lit conjugal, le soir de leurs noces. La première claque sur son derrière était tombée puis les autres avaient suivi, sans qu'elle ne parvienne à protester, tant elle était surprise. Son éducation lui inculquant à la fois qu'elle devait être soumise à son mari et qu'elle devait se montrer digne de son rang, c'est à dire être impeccable en toute situation, mélangée à l'effet de surprise, l'avait laissée sans voix. Mais comment rester imperturbable et gracieuse pendant une fessée ? Elle n'avait pas tardé pas à émettre des "Oh oh" significatifs.
Cette première fessée n'avait pas duré bien longtemps mais avait été appuyée. Lui laissant des fesses brûlantes, sans lui laisser le temps de réaliser la situation. Le comte avait fini en lui murmurant à l'oreille : "Maintenant vous savez à quoi vous attendre". Avant de l'entraîner vers d'autres jeux et câlins sensuels.

Et depuis régulièrement, il la convoquait dans son bureau ou pratiquait dans leur chambre.

Non, elle n'était pas consentante se disait-elle mais d'un autre côté comment reconnaître, était-ce possible... qu'une part d'elle aimait ça ? Que cela l'excitait terriblement ? Il faut dire que le comte savait ne pas dépasser un certain seuil de douleur et ajoutait des caresses sensuelles... Ce mélange de douleur et de plaisir la rendait folle de désir. Et entendre sa voix... Non, se reprit-elle, elle subissait voilà tout, et sans se plaindre pour sauver son honneur et maintenir les liens entre leurs deux familles. Voilà qui est plus correct pensa-t-elle tout en sentant son sexe se gonfler. Son corps la trahissait.
Combien de temps allait-elle attendre là ? C'est qu'une dernière chose l'inquiétait, celle d'être vue par une femme de chambre ou autres domestiques. D'habitude ils pratiquaient dans la chambre ou son bureau. Ils étaient tranquilles, personne ne rentrait. Mais là dans cette position, elle pouvait être surprise par quelqu'un d'autre... Cette pensée augmenta cependant son excitation. Elle sentait l'air frais entre ses cuisses nues. Elle s'impatientait.

Elle s'était retroussée comme il le lui avait demandé. Elle avait juste ajouté à sa demande un livre, signe qu'elle pouvait obéir mais aussi qu'elle pouvait malgré tout choisir ses activités. Elle avait trouvé que c'était une bonne idée mais dans les faits elle était bien incapable de se concentrer sur la moindre ligne. Le livre restait ouvert toujours à la même page. D'ailleurs peut-être prendrait-il ce geste pour une certaine forme d'insolence ? Ce qui lui vaudrait alors quelques coups en plus ? Comment savoir... Elle espérait qu'il ne serait pas trop sévère, elle avait quand même déjà reçu une première fessée en début de soirée ! Certes la chaleur était maintenant redescendue et elle ne pouvait voir si ses fesses étaient encore rosées. Dans tous les cas elles ne tarderaient pas à reprendre rapidement une couleur rouge...
"Ah du bruit se fait entendre au niveau de la porte. J'espère que c'est lui. Ça ne peut être que lui..."
La punition de monsieur Doz

La punition de monsieur Doz

Chéri était rentré depuis peu, je lui ais préparé son apéritif, et nous avons papoté de notre journée. Une fois un peu détendus, je revins et lui tendis une feuille en lui disant d’un air neutre, tiens tu dois signer ça !
Il prit le papier et découvrit, écrit 20 fois : je ne dois pas être insolente. Me jetant un regard surpris, il me dit, ce n’est pas un « papier », mais une punition ! Rougissant je lui dis que oui en effet, je m’étais amusée avec ma copine Jessy et que le vilain monsieur Doz nous avait donné cette punition à faire signer.
« C’est tout à fait l’attitude d’une grande fille », me coupa-t-il, « et bien entendu ce monsieur vous a puni injustement et sans raison ? Je n’ai pas l’honneur de le connaitre, mais du peu que je connaisse de lui, il a de bonnes méthodes éducatives et ne punis pas sans raison. Et le motif : insolente, est tout à fait surprenant ! Ce n’est pas du tout ton style ! »
Les yeux rivés au sol, je bredouillais en m’agitant que oui, que c’était pour jouer, rien de méchant. Face à un silence narquois, je relevais et les yeux il était en fait plutôt amusé, mais il reprit :
« Donc c’est pour rigoler que tu as pris le temps de faire ta punition et de me la présenter ce soir. Je dois juste parapher comme si ce n’était rien ? J’avais souvenir moi que quand une chipie ramenait des lignes elle n’avait pas un bisou en rentrant. Que t’arrivait-il quand tu ramenais une punition à la maison ?
- euh ben … je me faisais gronder »
- Juste gronder ? »
- Oui, enfin parfois c’est juste une petite bêtise, ça tombe un peu vite, c’est déjà assez relou de devoir faire la punition …
- On parle d’une grosse bêtise, insolence, une habitude que tu ne peux nier, et monsieur Doz est quelqu’un qui ne donne pas une punition à la légère. Que mérite les chipies qui entrainée par leur petite camarade se montre insolente et peste ?
Je ne pouvais plus me dérober, et toujours aussi difficile de dire ce mot au moment où il plane. Il avait ses yeux dans les miens, augmentant mon trouble. Une sourde impression emprunte de crainte, de honte et d’une douce envie, les mots finirent par surgir : « elle mérite une bonne fessée » dis-je le visage en feu.
« En effet, approche ! », Penaude, j’approchais et me plaçais debout face à lui. Tandis que ses doigts entreprenaient de déboutonner mon pantalon, il ajouta : « Je n’ai jusqu’alors pas eu à signer une de tes punition, mais sache que je veillerai à ce que cela ne se reproduise plus. », le pantalon désormais était ouvert, il la baissa d’un geste ferme, puis me plaça sur le côté. Sa main tapota sur ma culotte. « Tes jolies fesses vont s’en rappeler je te le garantie ». Il me tira à lui et me bascula sur ses genoux.
A califourchon sur ses genoux, le pantalon aux chevilles, je n’en menais pas large. Il m’installa à sa convenance et sa main vint sur mon derrière. « J’imagine que tu es consciente que ton attitude de gamine qui n’écoute pas et se moque avec sa copine mérite une grosse fessée ? » Je bafouillais un oui et sentais cet étrange bourdonnement aux fesses qui accompagnait le mot fessée dans ce genre de situations. « Et comment se donne les fessées quand on est insolente ? » Sa main se porta à l’élastique de ma culotte et je dû reconnaître que je la recevais les fesses nues pour ce genre de motif, ma voix devenant de plus en plus ténue au fur et à mesure des mots. Un frisson me parcouru alors que la culotte glissait d’un coup sec dévoilant mon derrière rebondi. Un pincement au creux du ventre je tâchais de ne pas visualiser la scène, moi allongée ridiculement comme une gamine, les fesses à l’air exposées à son regard sévère et gourmand. Son bras gauche me saisit à la taille attrapant mes mains pour m’éviter cette stupide habitude de protéger mes fesses. La fessée allait commencer …
La première claque s’abattit sur mon derrière, puis la seconde, fermes, puissantes elles embrasèrent immédiatement la portion de ma peau impactée. Le rythme était calme mais résolu, je savais que j’allais recevoir une longue et cuisante fessée. Serrant les fesses, je tâchais d’inspirer doucement pour ne pas me laisser submerger par les flashes de chaleur qui s’abattaient sur une fesse puis l’autre. Mais cette cuisson s’installait, se répandait sur tout le bas des fesses, mordant parfois le haut des cuisses. Je ne pouvais plus me contenir, je m’abandonnais à cette chaleur, laissant mes fesses gigoter et subir les assauts répétés. Mon esprit était ailleurs, oubliée la honte, juste ce feu haletant, mordant, en même temps étrangement doux au fond de moi. Les claques résonnaient à mes oreilles accompagnant chaque claques. Des larmes commencèrent à ruisseler sur mon visage en feu, non plus à cause de la honte mais de la fessée qui pulsait le sang à la surface de mes fesses. Je ne luttais plus. Me sentant vaincue, il prolongea de quelques claques en me disant que je semblais avoir compris.
La fessée finie, sa main brûlante elle aussi, caressait doucement mes fesses. Après m’avoir fait dire que j’avais compris il me releva avec douceur et ajouta : « Bien pour ces 20 lignes tu vas encore recevoir 20 coups de ceintures. » Il me fit me pencher sur le canapé, les fesses toujours nues et brûlantes. J’obéis sans rechigner, j’étais déjà dans un état second, la douleur intériorisée, les sens bouillonnant. Je jetais un œil pour le voir défaire sa ceinture et la plier en deux. Se plaçant à bonne distance, il fit s’abattre sa ceinture à intervalles réguliers m’arrachant un cri à chaque coup. Les coups cinglaient mon derrière couvrant la chaleur déjà vive d’une longue bande. Le vingtième encaissé, je pus me relâcher et m’abandonner dans ses bras le temps de reprendre mon souffle. Il me caressa doucement et nous restâmes ainsi de longues minutes, puis il me dit de me reculotter pour passer à table. Assise sur ma chaise j’avais du mal à tenir en place avec mes fesses encore vives et il se moqua gentiment de moi en disant que les vilaines gamines doivent assumer les désagréments de la fessée.
Une fois la vaisselle finie, il m’avait préparé un petit bain pour me remettre de mes émotions et m’annonça que ma punition était signée. Je jurais mais un peu tard, qu’on ne m’y reprendrait plus 
La proprio

La proprio

Une illustration en mots de "La méchante" de Doz.

R
ester chez les parents de Clotilde, c’était plus possible.
– On n’est pas à notre main, attends !
– Et puis ces réflexions, sans arrêt, à propos de tout. On n’a plus douze ans.
Et on s’est mis à chercher un appart. Pas trop loin de la fac, mais pas trop loin de son boulot non plus. Ni du mien. Ni des commerces.
– Ça va être compliqué.
Ça l’était. C’était minuscule. Ou insalubre. Ou hors de prix. Mais dans tous les cas…
On était sur le point de renoncer quand… le truc de ouf. Spacieux. Clair. Hyper bien situé. Au premier étage. Avec vue sur un parc immense. Le rêve. Sauf que, forcément, ça allait pas être pour notre bourse.
On a tout de même demandé le prix. Sans grand espoir.
La propriétaire, qui nous faisait elle-même visiter, nous a longuement considérés. A paru réfléchir. S’est enfin décidée.
– Je vous le laisse à titre gracieux.
On s’est regardés, Clotilde et moi, stupéfaits.
– Hein ? Mais…
– Mais j’y mets des conditions. Vous tiendrez cet appartement rangé et en ordre. Je viendrai de temps à autre vérifier. Vous vous y comporterez de façon irréprochable. Pas de raffût après dix heures du soir. J’habite juste en-dessous. Je veux pouvoir dormir. À la moindre incartade, de quelque nature qu’elle soit, je sévirai. C’est à prendre ou à laisser.
Elle nous a tendu un contrat.
– Lisez ça à tête reposée et donnez-moi votre réponse avant, disons, demain midi.

J’étais partagé. Parce que, bien sûr, cet appartement était on ne peut plus tentant. Mais, d’un autre côté, être fouetté, le cas échéant, comme un gamin, ne m’enthousiasmait guère. Et on savait à quoi on était exposés. C’était spécifié dans l’exemplaire du contrat qu’elle nous avait laissé. Noir sur blanc. « Au cas où les locataires manqueraient à leurs obligations, telles que définies aux paragraphes 1 à 8, la propriétaire leur administrerait le martinet sans qu’ils aient la possibilité de s’y soustraire. »
Clotilde, elle, ne partageait pas mes appréhensions.
– C’est inespéré, attends ! Jamais on retrouvera une occasion pareille. Jamais…
– Oui, mais si…
– Il y a pas de raison. Maintenir la maison propre, j’en fais mon affaire. Elle trouvera rien à nous reprocher. Quant à faire du barouf, c’est pas vraiment notre style. Non, tout se passera bien, j’te dis ! Il y aura pas de problème.
Et on a signé.

Les trois premières semaines ont été idylliques. On profitait de nous. De l’espace. De la vue par les grandes baies vitrées. On regrettait pas. Ah, non alors !
– Qu’est-ce qu’on est bien !
– Tu vois, je t’avais dit.

Et puis, il y a eu ce samedi soir-là. Le soir des vingt-quatre ans de Clotilde. Où quatre copines et copains nous sont tombés dessus.
– Bon anniversaire !
– C’est gentil, mais…
– Allez, on fête ça !
Ils avaient apporté du champagne, du whisky, de la bière, une forêt noire.
Le moyen de les foutre dehors dans ces conditions ?
Pas moyen non plus de leur expliquer qu’on risquait de se prendre une fessée. Pour quoi on aurait passé. On aurait été la risée de tout un tas de gens pendant des mois. Et on a fait contre mauvaise fortune bon cœur.
La soirée a été bruyante. De plus en plus bruyante au fur et à mesure que verres et bouteilles se vidaient. Ça a ri. Ça a crié. Ça a chanté. On a bien essayé, à plusieurs reprises, d’obtenir qu’ils la mettent en sourdine, mais sans succès.
– Oh, les voisins ! Tu parles, les voisins. C’est samedi. Et puis vous avez le droit de faire du bruit une fois par mois n’importe comment.
On a baissé les bras.
Quand ils sont partis, il était trois heures du matin. Et l’appartement était dans un désordre indescriptible.
– Oui, ben on verra ça plus tard. Je suis crevée.

Le lendemain, sur le coup de huit heures, on a sonné. Insisté.
– Qui ça peut être ?
– Elle, tiens ! Qui tu veux d’autre ?
– Il y a qu’à pas ouvrir.
– C’est reculer pour mieux sauter.
Et j’y suis allé.
Elle avait le martinet à la main. Elle m’a à peine salué, a filé, d’un pas décidé, vers la chambre.
– Tu te lèves, toi ! Et tu te dépêches !
Clotilde a obtempéré.
– Là ! Et maintenant vous vous mettez le cul à l’air. Tous les deux. Allez !
On s’est exécutés, la mort dans l’âme.
Elle nous a fait agenouiller, côte à côte, au pied du lit. Et elle a cinglé. Fort. Une fois Clotilde, une fois moi. En alternance. De plus en plus fort. On s’est pris la main. On s’est entrecroisé les doigts. On se les est serrés. Elle ne disait rien. Pas un mot. Elle tapait. Elle se contentait de taper. Ça cuisait. Ça mordait. Ça brûlait. C’est moi qui, le premier, ai commencé à gémir. Et puis presque aussitôt Clotilde. Ensemble. Ça a duré. Longtemps. Et puis ça s’est arrêté d’un coup. Et elle est repartie comme elle était venue. La porte a claqué.

On s’est vigoureusement frotté les fesses.
– Hou, la vache !
On s’est relevés. On est tombés dans les bras l’un de l’autre. Et elle a doucement pleuré contre mon épaule.
– Là… Là… C’est tout. Ça va passer. Viens !
Dans le lit où on s’est blottis l’un contre l’autre. Elle m’a posé une main sur les fesses.
– Elles sont brûlantes.
– Et les tiennes, donc !
On s’est serrés plus fort.
– Tu bandes !
– Et toi, tu mouilles…
Son plaisir est venu vite. Très vite. Revenu. Un plaisir intense qu’elle a proclamé à grandes trilles éperdues.
– Eh, ben, dis donc !
Elle m’a posé un doigt sur les lèvres.
– Chut ! Dis rien ! Mais par contre, ce qu’on pourrait peut-être, c’est réinviter des copains le week-end prochain, non ?
Dimanche après-midi

Dimanche après-midi

C
’était un dimanche comme tous les autres. Ils avaient partagé un bon repas en tête à tête en parlant de tout et de rien et enchainé sur le café dans la bonne humeur. Il faisait beau, elle avait envie qu’ils sortent mais il s’était levé en baillant et lui avait fait un bisou sur le front avant de rejoindre la chambre sur un « je suis claqué, je vais faire une petite sieste ». Evidemment elle avait protesté en argumentant qu’il faisait un temps à sortir et non à dormir, avait essayé de le convaincre usant tour à tour de bouderies ou de cajoleries… en vain.

Au départ, furieuse, elle avait fait exprès de faire du bruit dans l’appart… en faisant la vaisselle… en rangeant le linge dans la chambre… elle avait même tenté de passer l’aspirateur mais là, il s’était relevé et avait signifié d’une manière assez claire qu’il valait mieux qu’elle le laisse dormir un peu si elle voulait s’assoir confortablement le soir…

Donc elle s’était résignée… elle avait regardé la télé… lu un peu… tchaté un moment sur internet… mais pffff…. Que le temps passait lentement….

A un moment, elle avait décidé que la sieste avait assez durée. Joueuse, elle avait rejoins la chambre et commencé à le chatouiller avec une plume sortie de l’oreiller. Mais rien n’y faisait… il grognait et continuait à dormir imperturbable. Elle était restée un petit moment tranquille à côté de lui… puis, avait avisé une bouteille d’eau laissée sur la table de chevet… oui ?... non ?... Elle le regardait, regardait la bouteille, le regardait, puis la bouteille. Elle hésitait, pesant le pour et le contre. Oui bien sûr elle risquait une fessée… mais bon, le jeu en valait la chandelle non ? Rien qu’à l’imaginer s’essuyant la figure à demi-conscient, elle en rigolait d’avance.

Elle avait donc saisi la bouteille… renversé quelques gouttes dans sa main, qu’elle avait fait gicler sur lui. Le voir froncer les sourcils l’avait beaucoup amusée. Évidemment la tentation de recommencer avait été trop grande. Et hop ! Il pleeeut ! Sauf qu’à sa grande surprise il s’était réveillé d’un coup en poussant un cri, la faisant sursauter et renverser la bouteille qu’elle tenait encore ouverte à la main. La cata. Elle tenta immédiatement de se faire la plus petite possible.

Trempé, il l’avait fusillé du regard avant de se lever en jurant et en attrapant sa ceinture au passage. Elle s’était précipitée hors du lit, dos au mur.

- Cette fois, tu vas voir !

Il s’approche et l’attrape par le bras pour la projeter sur le lit. Elle tente de se relever mais il bloque son bras et la maintient fermement.

- Mais, je n’ai rien fait !!

- Ah oui ? Et toute cette eau ?

- Je buvais et tu m’as fait sursauter ! Je n’ai pas fait exprès !!

- Prends-moi pour un imbécile en plus !

Il baisse son pantalon tant bien que mal pendant qu’elle se débat et met fin à ses ruades avec une claque retentissante sur sa cuisse.

- Tu vas la prendre cette correction de toutes façons !

Elle change de tactique.

- Non… attends… s’il te plait !... Pardon !! Je ne le ferai plus !!

Loin de se laisser attendrir, il hausse le ton.

- Cesse tout de suite de bouger !

- Mais je t’ai demandé pardon !!!

- C’est trop tard là

- Je voulais juste jouer un peu !

La culotte rejoint le pantalon à ses genoux.

- Tu te tais maintenant ! Et tu as gagné, je vais m’occuper de toi !

Le ton n’admet aucune réplique, elle reste donc silencieuse, les larmes aux yeux devant la tournure que prennent les évènements. Le premier coup de ceinture lui fait enfouir sa tête dans les bras. Les autres suivent, ponctuant chacun de ses mots « Je… t'ai… déjà… dit… cent… fois… de… ne… pas… me… déranger… pendant… la… sieste… »

Après cette premier salve, il la fait se relever et se tourner pour planter son regard dans le sien, mais elle baisse la tête rapidement.

- Désolé ma belle mais tu ne l'as pas volée cette fessée, reprends la position.

- Je te promets j'ai compris... je le ferai plus…

- Tu tournes à plat ventre sur le lit, les fesses bien en arrière.

Elle commence à pleurnicher et prend son temps pour obéir, ça a le don de l’agacer… il l’attrape par le bras pour la faire se dépêcher. Elle finit par se mettre en position en essuyant une larme et lui glisse doucement « S'il te plait... sois pas fâché... je voulais juste jouer un peu...»

La ceinture reprend sa danse.

- Je suis tempé ! (shlack) Et ma sieste est fichue ! (shlack) Quand Est-ce que tu va apprendre à faire attention ! (shlack) (shlack) Et à (schlack) respecter (schlack) ma (schlack) sieste !

Elle s’agrippe aux draps en serrant les dents le temps que l’orage passe.

- Qu'est ce que tu as à me dire Jess ?

- Pardon de t'avoir réveillé avec mes bêtises...

Il lui donne encore 3 grands coups et laisse enfin retomber sa ceinture. Elle s’était retenue de pleurer pour ne pas perdre le peu de fierté qu’elle avait encore durant cette punition. D’une voix un peu plus douce mais toujours ferme, il l’envoie au coin. Contrite et se sentant toute petite, elle y va sans discuter. Là, cachée, elle se laisse aller à quelques larmes qu’elle essuie discrètement.

Évidemment, ce geste l’attendrit. Il remet de l'ordre dans ses drap et fait sécher ses vêtements, « N’en profites pas pour bouger de là ». D’une petite voix, résignée à être punie jusque bout, elle lui répond doucement un petit « Non… ».

Au bout d’un moment il s’approche d’elle et passe doucement une main sur ses fesses. Osant à peine croiser son regard, elle demande :

- T'es plus fâché ?

- Je sais que je ne me suis pas beaucoup occupé de toi, mais ce n'est pas une raison pour faire autant de bêtises. Non, je ne suis plus fâché mais tu ne l'as pas volée celle, sommes nous bien d'accord ?

- C'était de petites bêtises !!! De toutes petites !! Et c'était une grosse fessée !

- Jess, tu veux que je recommence ?

- Non...

- Alors je t'écoute… (silence) Jess, je compte jusqu'à 3… (toujours silence) Une fois Jess !.... Deux fois !...

- Non c’est bon !! D’accord… Je l’ai méritée…

- Oui et donc ? Tu n'as pas d'excuses à formuler ?

- J'ai déjà demandé pardon !

- Jessica...

- Pardon de t'avoir réveillé... C'est bon je peux sortir du coin maintenant ?

- S’il te plait…

- Oui… S’il te plait… Je peux ?

- Oui, tu peux… Viens faire un câlin maintenant.

Elle remonte prestement culotte et pantalon et va vite se lover dans ses bras.

- Va t'arranger maintenant, tu es sans dessus dessous…

- La faute à qui ?

- Jess, ce n'est pas vrai, c'est une fessée que tu cherches ?

- Non, c’est bon…

Ils restent enlacés un moment, laissant la tension s’évacuer doucement, puis la journée reprend son cours…

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La fessée de Charlotte

La fessée de Charlotte

D
'ordinaire, c'est moi qui m'efforce, avec mes textes, de "coller" aux dessins de Kal. Eh bien, aujourd'hui, c'est le contraire. C'est lui qui illustre, avec un superbe dessin, un texte auquel, pour toutes sortes de raisons, je suis très attaché. Qu'il en soit chaleureusement remercié…

LA FESSÉE DE CHARLOTTE


– C’est encore en train de s’engueuler à côté. Et grave. Ce que j’en ai marre ! Chaque fois que ses parents s’expliquent et c’est souvent, et c’est très « engagé », Charlotte vient se réfugier chez moi.
– Au moins, ici c’est calme.
Elle s’assied sur la petite chaise basse près de la fenêtre et elle parle pendant des heures. Elle est intarissable…
– Si seulement je pouvais foutre le camp. Mais il y a la fac. Je vivrais de quoi ? De petits boulots ? J’ai déjà essayé. Ça m’a fait rater mon année. À moins qu’avec Thibault… Parce qu’on s’entend super bien tous les deux. On y arriverait. Seulement pour le bouger Thibault. Il te dit toujours oui. Ça, de ce côté-là, il y a pas de problème. Mais dès qu’il s’agit de passer à l’acte, c’est toujours « Après », « Plus tard », « On a bien le temps » Il m’agace. Ce qu’il peut m’agacer des fois…
Elle finit par se lever avec un profond soupir.
– Bon, faut que je retourne à côté. Ça va me retomber dessus, sinon. En tout cas comment j’aime ça parler avec toi. Si, c’est vrai ! Tu comprends plein de choses pour quelqu’un de ton âge.

En larmes. En sanglots hoquetés. Irrépressibles. Ravageurs.
– Eh bien, qu’est-ce qui t’arrive ? C’est quoi ce gros chagrin ?
Elle s’est jetée comme une désespérée dans mes bras, a enfoui la tête dans mon cou.
– J’ai mal. J’ai si mal.
– C’est Thibault, c’est ça ?
Elle a fait signe que oui. Oui.
– Il te trompe ? Il a quelqu’un d’autre ?
– Non, c’est pas ça, non. Il veut plus de moi.
Elle s’est dégagée, s’est laissée tomber sur le canapé et a redoublé de sanglots… Longtemps.
– Allons ! Allons ! Calme-toi ! Vous vous êtes disputés ? Ça peut peut-être s’arranger.
– Non, ça s’arrangera pas, non. Si tu savais ce qu’il m’a dit ! De tout il m’a traitée. De sale petite vicieuse. De cinglée. De désaxée. Que je ferais mieux d’aller me faire soigner. Et il veut plus jamais entendre parler de moi.
– Eh ben, dis donc ! Et la raison de tout ça ?
– Oh, rien. Des conneries.
– De grosses conneries, alors…
– Oui. Non. Mais si je te le dis, toi aussi, tu vas croire que je suis folle.
– Et si tu le dis pas, je vais tout imaginer. Les pires perversions.
– Oh, non ! Mais c’est un truc… Disons que je lui ai demandé de me faire quelque chose.
– De te donner une fessée ?
Elle a levé sur moi un regard stupéfait.
– Hein ? Mais comment tu le sais ?
– Si c’est que ça ! Il y a vraiment pas de quoi fouetter un chat.
Elle a eu un bref fou rire nerveux.
– Si, justement ! Il y a de quoi fouetter.
Elle est redevenue sérieuse, presque grave.
– Si tu savais comment ça m’habite cette idée d’en avoir une un jour. Une vraie. Une bonne. Je pense qu’à ça des fois. Pendant des semaines. Mais à qui tu veux que j’aille demander une chose pareille ? Thibault. J’ai cru. Parce qu’on s’entendait bien. Parce qu’il se prend pas la tête. Et voilà le résultat. Je suis pas près de recommencer. Ah, non alors ! J’en parlerai plus. Jamais. À personne.

– Et allez ! C’est reparti pour un tour à côté. Ils vont finir par foutre le feu à la baraque, oui ! Mais dis, pour ce que je t’ai raconté hier, ça reste entre nous, hein ?
– Motus et bouche cousue. Mais tu sais que c’est pas bien du tout d’avoir des idées comme ça ?
Elle a rougi, baissé les yeux d’un air contrit.
– C’est pas de ma faute. J’y peux rien. Ça vient tout seul.
– Il n’empêche. Tu sais ce que tu mériterais pour la peine ?
Un court regard interrogateur.
– Une bonne fessée…
Ses yeux se sont embrumés. Quelque chose d’un noir intense, profond, y est passé.
– Non ? Tu crois pas ?
– Si !
D’une toute petite voix. Dans un souffle.
– Une bonne fessée déculottée. Et tu vas la recevoir.

Je l’ai entraînée par le bras, fermement, jusqu’au canapé où je me suis assis. J’ai pris ses mains entre les miennes. Je l’ai attirée vers moi, tout près, ses jambes contre ma cuisse.
– Tu me promets de faire des efforts ? D’essayer de chasser ces vilaines pensées ?
– Oui.
– Plus fort ! J’ai pas bien entendu.
– Oui.
Je l’ai doucement, tout doucement, fait basculer en travers de mes genoux, installée, calée. J’ai relevé la robe jusqu’à la taille.
– Être obligé d’en arriver là. Une grande fille de ton âge. Tu n’as pas honte ?
– Si !
– 23 ans ! 23 ans et… J’ai poussé un profond soupir, tiré sur la culotte que j’ai baissée, descendue jusqu’en haut des cuisses. J’ai posé une main sur ses fesses, légère, l’y ai laissée.
– Si au moins j’étais sûr que ça serve à quelque chose, que tu vas t’amender, mais ça !
La première claque l’a fait sursauter, lui a arraché un gémissement. J’ai fait attendre la seconde. La troisième. Une dizaine. À intervalles irréguliers, imprévisibles. Qui l’ont chaque fois surprise, fait bondir bien haut du derrière. Et puis, d’un coup, en pluie. En grêle. En rafale. Elle a accompagné, tout du long, d’une longue plainte continue de fond de gorge. J’ai ralenti, espacé, arrêté.

– Tu sais que ça t’a donné de belles couleurs ? Ça te va à ravir.
Elle s’est très lentement retournée, redressée. Elle est restée assise sur mes genoux, a passé un bras autour de mon cou…
– Merci. C’était bien. Beaucoup mieux encore que quand j’imagine.
On n’a pas bougé. Au-dehors le soleil jouait à la cime du grand chêne. Des oiseaux s’égosillaient. On a laissé s’éterniser le moment. Et puis… comme un tremblement d’abord, ténu, retenu, presque imperceptible. Qui s’est élargi, amplifié, s’est fait vibration, houle, vagues, rouleaux. Elle a rejeté la tête en arrière. Les veines de son cou se sont affolées, sa bouche s’est entrouverte. Et c’est venu. Elle m’a laissé ses yeux. Jusqu’au bout. Tout s’est apaisé, est retombé. Elle m’a souri.
– Dis, s’il te plaît, tu me puniras aussi pour ça ?
Et elle a quitté mes genoux.
Angèle

Angèle

J
’ai très bien connu Angèle, la plus âgée des deux femmes ci-dessus. Elle a été mon institutrice dans les années 50, une institutrice très compétente et très efficace avec laquelle je suis resté en contact bien après en avoir terminé avec mes études primaires. Pendant des années et des années, on s’est régulièrement écrit tous les deux et, chaque fois que j’en avais l’occasion, je ne manquais pas de passer lui rendre une petite visite. C’est au cours de l’une d’entre elles qu’elle m’a parlé d’Irène, cette jeune femme qu’elle s’est un jour trouvée dans l’obligation de fesser.
Irène était la fille d’une amie à elle qu’elle a gracieusement hébergée pendant toute la durée de son cursus universitaire.
‒ Oh, elle était gentille, on ne peut pas dire. De ce côté-là, je ne me plains pas, mais alors une vraie souillon ! Tu aurais vu l’état de la cuisine quand elle avait déjeuné, le matin ! Et sa chambre ! Un vrai capharnaüm, sa chambre. Elle y faisait le ménage tous les tournants de lune. T’avais de tout partout entassé n’importe comment à la va-comme-je-te-pousse. Et sous le lit ! Un véritable dépotoir sous le lit. Paquets de gâteaux vides. Assiettes. Revues. Culottes sales. J’en passe, et des meilleures !
Rappelée à l’ordre, Irène a fait des efforts. Elle a nettoyé, rangé, remis en ordre. Deux jours plus tard tout était redevenu exactement comme avant. Angèle s’est armée de patience. Nouveaux rappels à l’ordre. Deux fois. Trois fois. Quatre. Pour toujours le même résultat. Elle s’est alors efforcée de lui faire honte.
‒ Ah, tu peux faire la belle ! Tu peux te pomponner pour aller à la fac. S’ils savaient dans quel état de saleté tu te complais, tes petits camarades !
Ça a porté ses fruits. Un peu plus longtemps que les autres fois. Mais ses mauvaises habitudes ont quand même fini par reprendre le dessus.
‒ En pire encore.
Si bien qu’excédée, un soir, Angèle lui a annoncé, de but en blanc, qu’elle allait lui donner une fessée. À la brosse à cheveux. Une brosse qu’elle lui a brandie sous le nez.
‒ Peut-être qu’avec ça tu vas enfin comprendre…
Irène a écarquillé des yeux stupéfaits.
‒ Hein ? Mais…
‒ Il n’y a pas de mais qui tienne ! Parce que reconnais que c’est mérité. Et pas qu’un peu ! Allez, viens là !
Tétanisée, elle n’a pas bougé.
‒ Tu comprends ce que je te dis ? Tu viens là. Et tu te dépêches !
Sur un tel ton d’évidence, avec une telle autorité naturelle, qu’Irène a obéi, qu’elle s’est approchée, qu’elle s’est docilement laissée déculotter, courber sur les genoux d’Angèle qui a pris tout son temps, qui l’a fait attendre un long moment dans cette humiliante position avant de lui administrer une cuisante et interminable correction.
Irène a crié. Elle a supplié.
‒ S’il vous plaît ! S’il vous plaît ! Ça fait trop mal ! Oh, que ça fait mal !
Mais elle a eu beau battre des jambes, pleurer, sangloter, pousser des hurlements éperdus à fendre l’âme, Angèle s’est montrée intraitable. Elle ne s’est interrompue que lorsqu’elle a estimé, elle, que la punition était suffisante.
‒ Là ! Et j’espère que ça te servira de leçon.

Ça a effectivement porté ses fruits. Parce que, le lendemain, sa chambre était nettoyée de fond en comble. Et impeccablement rangée.
‒ Ah, ben voilà ! Tu vois quand tu veux.
Et, cette fois, ce ne fut pas qu’un feu de paille. Les semaines ont passé. Un mois. Un autre. Sa chambre était toujours dans un état irréprochable.
‒ C’est pas mieux comme ça ? Beaucoup plus agréable pour toi, non ?
Elle l’a reconnu.
‒ Si !
‒ Sans compter qu’il était plus que temps de te corriger de cet insupportable comportement. Tu imagines plus tard sinon ? Avec un mari ? Des enfants ? Ah, ça aurait été quelque chose ! Invivable, oui !
Ça aussi, elle l’a reconnu.
‒ Il est quand même dommage, avoue, que pour arriver à ce résultat, je me sois trouvée dans l’obligation de te fesser comme une gamine de huit ans.
Elle a baissé la tête.
Et Irène a haussé les épaules.
‒ Tu es comme ça, qu’est-ce que tu veux ! Prends-en ton parti. Une bonne fois pour toutes. Il te faut quelqu’un constamment derrière toi pour t’obliger à te prendre en mains et à ne pas laisser partir ta vie à vau-l’eau. Sinon… Tu en es bien consciente, j’espère ?
‒ Je ne sais pas. Peut-être. Je…
‒ C’est comme tes études. T’en es où de tes études ? Tes résultats sont calamiteux, je suis sûre, non ?
‒ C’est-à-dire que…
‒ Va me chercher tes cours. Et tes notes. Que je jette un œil à tout ça.
Elle s’est longuement penchée dessus. A fait la moue.
‒  Mouais… C’est moyen. Très très moyen. Tu peux faire beaucoup mieux. Et tu vas faire beaucoup mieux. On va s’y employer.
La revanche de Coralie

La revanche de Coralie

Je m’appelle Coralie. J’ai 20 ans et je travaille comme vendeuse au rayon parfumerie des Grandes Galeries du Midi. L’autre jour, j’aperçois une cliente qui, après avoir jeté quelques regards furtifs autour d’elle, s’empare d’un flacon de chez Dior, l’extrait de son carton, et le glisse sous ses vêtements. Ce n’est pas la première fois que cela arrive et je sais ce que je dois faire dans ces cas-là. Je ne dois pas intervenir moi-même, mais appeler aussitôt Marco. Marco, c’est le vigile. C’est un colosse de 1,92 m et 110 kilos. Autant dire qu’avec lui, ça ne rigole pas. Je veux dire pour les voleurs parce qu’avec moi, il est très sympa, on rigole bien ensemble au contraire. Donc je préviens Marco qui arrive aussitôt et se plante devant la dame. Je ne l’avais vue que de dos. C’était apparemment une belle femme, de 45 ans environ, grande, avec des formes épanouies, une bourgeoise assurément, élégamment vêtue. Je m’approche et, stupeur, je la reconnais : c’était Madame Laubier. Madame Laubier, c’était ma prof de français au lycée. Je l’ai eue deux ans de suite en terminale (parce que j’ai redoublé ma terminale). Une vraie peau de vache, qui ne pouvait pas me sentir et je crois bien que c’est à cause d’elle que je n’ai jamais eu mon bac. Elle m’avait mis une appréciation dégueulasse sur mon livret scolaire de sorte que quand je suis allé à la repêche, je n’ai pas été repêchée alors qu’il me manquait seulement quatre points. C’est comme ça que je suis devenue vendeuse aux Grandes Galeries il y a un an. Donc je m’approche d’elle, elle se retourne et elle ouvre de grands yeux : « Ça alors, vous Coralie ! ». Je la regarde droit dans les yeux et je lui dis : « Vous avez volé un flacon de parfum ». Elle accuse le coup, puis prend un air scandalisé : « Comment osez-vous ? Sale petite menteuse ! ». Marco intervient : « N’insultez pas cette jeune fille, je vous prie. Veuillez me suivre chez le directeur. ». Là-dessus Marco la prend par le bras et l’entraîne au 3ème étage dans le bureau de M. Simon, le directeur du personnel. Une fois la porte fermée, je raconte ce que j’ai vu et M. Simon lui demande le flacon. Comme elle pousse de grands cris indignés, M. Simon lui dit : « Ce n’est pas grave. J’appelle la police et vous serez fouillée au commissariat ». Là, Madame Laubier devient blême : « Non, je vous en prie, n’appelez pas la police. Je … Je vais vous le rendre. C’était une erreur … Je ne voulais pas … ». Elle sort le flacon de son corsage et le tend à M. Simon. Celui-ci lui dit : « Bien, il ne sera pas nécessaire de vous fouiller, mais je dois néanmoins appeler la police ». Le visage décomposé, Madame Laubier lui répond : « Non, je vous en supplie, n’appelez pas la police, c’est la première fois que … Je ne le ferai plus … Je vous dédommagerai … ». M. Simon sourit : « Nous n’avons pas besoin d’être dédommagés, mais vous en revanche vous avez besoin d’être punie. Alors, c’est bien simple : ou bien vous serez punie par les tribunaux, ou bien vous le serez par nous-mêmes. Nous avons mis au point un petit système pour les voleurs et les voleuses. Nous acceptons, lorsque c’est la première fois qu’ils volent, de ne pas alerter les autorités s’ils acceptent, eux, de recevoir une fessée administrée ici-même, par nos soins, dans nos locaux. Alors vous avez le choix, mais il faut vous décider vite : vous avez trente secondes, pas une de plus ». Et M.Simon regarde sa montre. Madame Laubier écarquille les yeux, incrédule, elle se tourne vers moi d’un air suppliant et je ne peux pas m’empêcher de lui adresser un sourire ironique. Je suis tellement contente de la voir dans cet état, la garce ! Elle comprend qu’elle ne peut rien espérer de mon côté, se retourne vers M. Simon et lui dit en baissant la tête : « C’est d’accord ». M. Simon lui tend alors une feuille et un stylo : « Vous allez nous signer une autorisation qui aura pour nous la valeur d’une décharge. Écrivez, je vous prie. Je soussigné Marie-Laure Laubier reconnais avoir volé un flacon de parfum aux Grandes Galeries du Midi. Je reconnais avoir mérité pour cela une sévère fessée déculottée et j’ai demandé à la direction du magasin de bien vouloir me l’administrer. Fait à … le … Et vous signez ». Madame Laubier s’exécute et une fois qu’elle a signé et rendu la feuille à M. Simon, celui-ci me dit : « Coralie, vous allez aider Madame Laubier à se mettre dans la tenue requise pour la punition ». En entendant cela, j’exulte. Je lui fais signe d’approcher et je lui dis en la regardant droit dans les yeux : « Avant votre fessée, nous avons un compte à régler. L’année dernière, au lycée, vous m’avez accusée d’avoir triché et vous m’avez donné une gifle. Eh bien, je n’avais pas triché, alors cette gifle, je vais te la rendre. » Volontairement, je la tutoie pour bien lui faire sentir que maintenant les rapports de force ont changé. Et je la gifle sous le regard approbateur de Marco et de M. Simon. Elle rougit et les larmes lui montent aux yeux. Là-dessus je lui ordonne de remonter sa robe autour de sa taille et de l’y fixer. Elle m’obéit. Alors je lui baisse sa petite culotte. Je regarde son sexe, sa touffe, puis je lui ordonne de se retourner, c’est-à-dire de faire face à Marco et à M. Simon. Elle a des fesses larges et pleines. Je la saisis par l’oreille et je la conduis jusqu’à Marco. Elle marche à petits pas, les jambes entravées par la culotte, elle est ridicule. Marco l’empoigne et la couche en travers de ses cuisses puissantes. Il l’immobilise fortement. Elle est dans un inconfortable déséquilibre, elle s’accroche d’une main à un barreau de la chaise, de l’autre à la jambe de Marco, ses pieds battent l’air. Marco passe sa main sur ses fesses nues, il les explore. Il fait toujours cela avant de commencer une fessée, c’est une manière de s’approprier le corps de la personne qu’il va corriger, de lui montrer que pour le temps de la fessée, il lui appartient totalement. Il lui écarte les fesses et nous pouvons tous voir sa vulve, son anus et les poils follets qui l’entourent. J’imagine sa honte ! Enfin la main de Marco s’abat pour la première fois sur son derrière dans un claquement de tonnerre. Je la sens suffoquée par la force de cette première claque. Elle ne va pas être déçue par la suite ! Marco a une force terrifiante. Les claques se succèdent à une cadence effrénée, et de plus en plus fort, elles résonnent dans la pièce, faisant un bruit d’enfer et couvrant presque les cris de Madame Laubier. En moins de dix secondes ses fesses sont toutes rouges, en moins de trente secondes elles sont cramoisies, mais Marco ne va pas en rester là. Elle a beau crier, supplier, se tortiller, sangloter, la correction continue, implacable. Je suis aux anges, je jouis de voir cette femme qui a l’âge de ma mère, qui était ma prof il y a tout juste un an se faire déculotter et fesser comme une sale gamine sous mes yeux. En tout elle aura reçu, je ne sais pas, soixante-dix claques, peut-être quatre-vingt. Quand Marco cesse la correction sur un signe de M. Simon, elle est chancelante, pantelante, secouée de sanglots, anéantie. Je commence à avoir pitié d’elle. Je l’aide à remonter sa culotte. M. Simon l’invite à remercier Marco pour la bonne fessée qu’il lui a administrée, ce qu’elle fait, puis ajoute : « J’ai cru comprendre que vous vous étiez mal conduite avec Coralie quand elle était votre élève. Vous devriez lui demander pardon aussi ». Elle est totalement matée, sans volonté et s’exécute aussitôt. La voix tremblante de sanglots, elle me demande pardon, très humblement. Cette fois je suis complètement vengée. Je lui caresse la joue pour lui faire comprendre qu’il n’y a plus de contentieux entre nous. Elle me tombe dans les bras. Nous nous faisons la bise avant qu’elle ne parte.
Soumise à nos désirs

Soumise à nos désirs

L
e temps de ma soumission est arrivé. De me plier à sa volonté. Il me lie les mains derrière mon dos. Me bande les yeux. M’attache mes jambes. Je suis allongée sur le dos. Les cuisses écartées dans une position obscène. Il m’a remonté ma jupe et dévoilé mes dessous. Mon pull est abaissé. Mon soutien-gorge est sous mes seins. Je m’offre à lui. J’aime à m’imaginer offerte. Autant par le cœur que par le cul.
Il ne me donne pas d’ordre : il joue avec mon corps. Me triture mes seins, les pince et finit par y laisser deux pinces à linge. J’ai envie de sentir ses lèvres m’embrasser, son sexe me pénétrer mais il continue de me torturer, à ne m’effleurer que pour attiser mon excitation.
Je suis en attente du moindre de ses mots, du moindre de ses gestes. Je suis son jouet, sa chose.

Il joue à présent avec mon sexe, le caresse de ses doigts, mordille mon clito, insère sa langue,
alors que je suis allongée au sol, sans pouvoir le toucher, sans pouvoir rien faire d’autre que gémir. Des pinces sont à présent accrochées à mes lèvres. Il joue avec celles-ci, tirant mes seins, me pénétrant de ses doigts.

Me laissant quelques minutes de répit, il en profite pour me prendre en photo. Ne pouvant supporter la douleur des pinces, il me les retire enfin. Pour autant il a encore envie de me soumettre. De faire vivre nos envies.

Je l’entends fouiller dans son sac à malice et je me crispe. J’ai soudain peur de mes envies et lui m'assure que la suite en fait partie. Il me laisse imaginer la suite des supplices…

Il m’abandonne un instant. Un instant qui dure et qui dure. Je déteste me sentir abandonnée, le sentir loin de moi. Je ne peux rien faire sinon attendre qu’il revienne. Je suis toujours dans le noir. Mon sexe ayant pour vis-à-vis les montagnes tandis que je commence à trembler, à espérer sa présence. J’entends des bruits lointains. Pourquoi ne s’occupe-t-il plus de moi ? Que cherche-t-il ? Ne pouvant tenir plus longtemps, je l’appelle, le supplie de venir me rejoindre. Il fait semblant de ne pas m’entendre. Ce n’est pas à moi de décider de sa présence. Aussi me fait-il patienter encore quelques minutes.

Je me sens minuscule, réconfortée par sa présence. J’ai envie de me fondre dans ses bras, de me fondre en lui.

Il me demande s’il m’a manqué, que je devais apprendre à accepter ses absences, à me plier à ses ordres, à lui obéir sans rechigner.

Tendrement, il me caresse le corps, m’embrasse dans le cou, lèche mes seins encore douloureux. Il descend de plus en plus bas pour insérer de nouveau sa langue dans mon vagin.
Je me tends vers lui, mon cœur se serre, s’émeut. Je frissonne par ses attouchements et je le désire encore et encore.

Il s’écarte de moi. Je sens quelque chose de froid sur mon vagin, du lubrifiant. Puis il insère un doigt. Je sens une texture particulière. Puis un second. Il entre et ressort à volonté. Tournant ses doigts et jouant de mon plaisir. Un troisième et un quatrième doigts sont maintenant en moi. Ils tournent et m'entraînent dans leur tourbillon, leur va et vient me fait sombrer dans un plaisir particulier. Je ne pourrais en supporter un cinquième et il le sait. Il fait monter mon plaisir pour s'arrêter trop tôt à mon goût.

Il me réajuste à présent, m’aide à me mettre à genoux. M’enlève le bandeau de mes yeux, mais me laisse liée. Je suis toujours à lui et offerte à ses envies. Et son envie est de m'offrir son sexe en récompense à ma docilité.

Il dégrafe alors son pantalon et sort son sexe face à mon regard avide de la friandise. Il s'assoit sur le canapé et vient me placer entre ses jambes pour m’ordonner de le sucer.

Je m’en délecte d’avance devant ce sexe déjà bien droit. Je le prends en bouche, mes dents l’effleurent…avant que ma langue glisse de haut en bas, que mes lèvres l’enserrent, glissent, de plus en plus bas, de plus en plus fort. J’aime le sentir gonfler de désir. J’aime sa dureté, sa saveur, sa douceur. J’aime l’astiquer de ma langue, J’aime le sentir frémir, essayer de se contenir le plus longtemps possible. J’aime l’enserrer puis lui rendre sa liberté, le regarder s’élever toujours plus haut. Sentir sa main dans mes cheveux, guider ma tête, mes succions.

Je me sens soudain soulevée, la tête abaissée au sol et le cul relevé. Une position parfaite pour une soumise, parfaite pour se faire corriger, parfaite pour se faire prendre. J’ai envie qu’il soit en moi, qu’il me brutalise, qu’il me prenne de toutes ses forces, que sa vigueur s’enfonce en moi. Il s’empresse de se protéger avant de m’enfiler. Ses mains contre mon bassin qui me maintiennent dans un vas et viens fulgurant et notre plaisir qui enfin sera au rendez-vous.
Petite vengeance

Petite vengeance

- Salut Hugo, ça va ?

- Oui et toi Chloé, tu fais quoi ?

- Rien de spécial

- Si tu veux, passe chez mes parents, ils sont partis quelques jours et en plus je pourrais te présenter ma nouvelle copine

- D’ac, j'arrive dans 30 minutes


Hugo, une nouvelle copine, ça me fait bien plaisir pour lui, c'est ce que je me dis sur le chemin. En général, il n'a pas trop eu de chance avec ces exs donc j'espère qu'elle sera sympa. Je me demande où ils se sont rencontrés.


Toc toc

- Vas y rentre Chloé, on est dans le salon !

- Salut Hugo, salut euh...

- Maud, mais je crois qu'on se connait plutôt bien, non ?


Je me sens rougir, mais pourquoi je suis venue ici. Bien sur que je connais Maud, elle était à la danse avec moi quand j'étais petite et elle était la risée du groupe. On se moquait beaucoup d'elle car la pauvre a été pubère bien avant moi et tout le groupe de copine et on a commencé à se moquer parce que des poils dépassaient de son juste au corps. La pauvre est devenue notre souffre-douleur, surtout dans les vestiaires. On se moquait tellement d'elle que parfois elle en pleurait. Ça se passait vers mes 10-12 ans, qu'est ce qu'on peut être conne à cet âge là. En plus maintenant que je la regarde, elle est vraiment devenue jolie, mais vus le regard qu'elle me lance, je pense qu'elle n'a rien oublié, je pourrais voir des éclairs dans ses yeux.


- Bonjour Maud, ça va ? On se fait la bise ?

- Non je ne crois pas

- Mais qu'est que vous avez les filles ? vous vous connaissez ?


Les larmes aux yeux et de façon assez théâtrale, Maud quitte la pièce devant un Hugo complètement décontenance.

- Bon excuse Chloé, attend moi là, je vais lui parlé

- Oui (j'ai la gorge toute serrée)... Hugo, dis lui que je m'excuse

Il me lance un regard interrogatif puis part aussi. J'ai attendu au moins 15 minutes.


Ils reviennes main dans la main, je suis assise dans le canapé, Maud arbore un sourire aux lèvres tandis qu'Hugo à le visage fermé.

- Franchement Chloé, Maud m'a tout raconté, je suis vraiment déçu de toi, je ne te croyais pas comme ça

- Je suis vraiment désolée, j'étais jeune, j'étais conne

- C'est facile d'être désolée après mais t'as vraiment été dégueulasse pour Maud

- Pardon

- C'est pas à moi qu'il faut le dire

- Maud, je suis désolée, je te présente mes excuses

- Je m'en fous de tes excuses, tu n'es qu'une sale pimbêche. Tiens on va voir comment il est ton maillot à toi, hein Hugo

- Quoi ?

- Oui Chloé, c'est de ça qu'on a parlé avec Maud, on pense que tu mérites une bonne leçon, alors baisse ton pantalon qu'on te voit en culotte

- Mais ça va pas

- Chloé, si c'est pas toi qui baisse ton jean, c'est moi qui le fait et en plus après ce ne sera même plus la peine de me parler. Je te laisse 15 secondes pour réfléchir !

- (Maud me regarde avec un grand sourire) 15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3

Je me sens sens complètement gênée, tout se mélange dans ma tête, mais j'aime trop Hugo, je ferme les yeux et je déboutonne mon jean et je le laisse glisser sur mes cuisses. Maud rit, un rire cristallin qui résonne dans ma tête, Hugo lui me regarde, ou plus exactement ma culotte d'un air sévère.

- Tu crois pas qu'une culotte rose à ton âge, tu as passé l'âge ?

Je me sens complètement conne devant eux comme ça, Maud s'allonge sur le canapé en posant sa tête sur les cuisses d'Hugo

- Au moins, elle n'a pas de poils sur le maillot, mais tu crois qu'elle s'épile correctement ?

- Tu veux voir ?

- Oui et j'attends toujours ses excuses sincères, ça ne m'a pas du tout convaincue

- Allez Chloé tu sais ce qu'il te reste à faire !

- Mais non... non

Hugo me prend par la taille et me fait m'approcher de lui et glisse ses doigts dans l'élastique de ma culotte. En moins de deux secondes, elle est sur mes cuisses et je sens la honte complètement m'envahir. Les deux toisent mon intimité et je me sens complètement démunie

- Qu'est ce que tu veux maintenant Maud ?

- Tu devrais lui mettre une bonne fessée qu'elle s'en souvienne, ça lui apprendra

- Ok

Maud se rassoit dans le canapé et Hugo attrape mon poignet et me contraint à l'allonger sur ses genoux, la poitrine plaquée sur ceux de Maud et ni une ni deux il se met à me fesser

clac clac cla

- Mais non !

-Tais toi Chloé, tu l'as bien mérité celle là. Tiens lui les bras Maud.

clac clac clac

- Tu as vu, ses fesses prennent de la couleur

-Tant mieux continue mon chéri, je voudrais la voir pleurer

clac clac clac

- Hugo arrête on est ami

clac clac clac

- Justement, je fais ça pour ton bien pour que tu sois quitte avec moi et avec Maud

clac clac clac

clac clac clac

clac clac clac

La honte fait de plus en plus place à la douleur, Maud me tient fermement et Hugo est de plus en plus sévère, je sens ses mains rebondir sur chacune de mes fesses, alternativement. Je sens les larmes qui commencent à monter en moi et je me crispe à chaque nouvelle claque mais je sais au fond de moi que je n'ai aucune chance.

clac clac clac

clac clac clac

clac clac clac
- Pitié, pardon Maud, je te jure je regrette

- Je crois qu'elle a compris là, non ?

- Non continue encore

clac clac clac

clac clac clac

clac clac clac
Mes larmes recouvrent mon visage et je ne peux m'empêcher de lâcher des petits cris chaque fois que la main vient frapper mon fessier.

- Bon j'arrête ?

- Oui tu peux arrêter, mais j'ai une idée. On va lui interdire de s'épiler jusqu'à nouvel ordre et on vérifiera régulièrement que moi aussi je puisse me foutre de sa gueule. Et si elle ne le fait pas, tu recommenceras à la fessée comme ça.

- C'est compris Chloé ?

- Oui Hugo

- Excuse toi encore auprès de Maud

- Oui et à genoux

Je me laisse tomber à genoux

- Pardon Maud

- Allez c'est bon rhabille toi et dégage, j'en ai marre de te voir chialer. Je la tiens ma petite vengeance.


A partir de ce moment là, ma relation avec Hugo n'a plus jamais été la même
VENGEANCES DE FEMMES  1- Le chevalier de Boufflers et la marquise inconstante

VENGEANCES DE FEMMES 1- Le chevalier de Boufflers et la marquise inconstante

Stanislas de Boufflers est un poète français, né en 1738 et mort en 1815, qui, après une brillante carrière militaire, fut élu à l’Académie Française. Ce gentilhomme aimable, d’une grande élégance et très spirituel, avait un remarquable talent de plume et ne manquait pas d’exercer sa verve aux dépens de ceux qui lui avaient déplu ou qui l’avaient offensé : il composait alors des épigrammes ou des chansons les tournant en dérision, ce qui lui valut diverses mésaventures. Chaque fois, il tira son épingle du jeu avec esprit, courage et dignité. Naturellement, il plaisait aux femmes et collectionna les bonnes fortunes. Cependant, s’il était lui-même volage, en homme de son temps, il n’appréciait guère que ses conquêtes l’imitassent. Or, un jour qu’il avait une galante aventure avec une belle marquise, il apprit que celle-ci lui avait été infidèle. Selon sa coutume, il s’en vengea en composant contre elle une épigramme sarcastique qui la ridiculisait et qui fit le tour des salons parisiens avant d’arriver entre ses mains. La marquise adressa alors au chevalier une lettre dans laquelle elle reconnaissait ses torts, lui en demandait pardon, et le priait de venir chez elle, à une heure précise, pour une réconciliation. Le chevalier accepta et se rendit à son hôtel particulier à l’heure dite, non sans avoir pris la précaution de glisser dans son manteau deux pistolets chargés. La marquise l’accueille et le conduit directement dans sa chambre. Elle le débarrasse de son manteau et le fait asseoir. Á peine la conversation avait-elle commencé que quatre solides gaillards surgissent d’on ne sait où, s’emparent du chevalier, le jettent sur le lit, l’y immobilisent et le déculottent sous les yeux de la marquise. Tandis que l’un lui maintient les poignets et un deuxième les chevilles, les deux autres se relaient pour lui administrer chacun cinquante coups de verges sur les fesses nues. Non contente d’assister à l’exécution, la marquise la dirige, incitant les soudards à ne pas mollir et à cingler plus sévèrement le postérieur de son amant. La correction terminée, le chevalier, qui l’avait subie sans laisser échapper une seule plainte, se relève dignement, se reculotte tranquillement, puis va à son manteau et en sort les deux pistolets qu’il braque sur les quatre hommes de main :

« Nous n’en avons pas terminé, Messieurs. Vous allez maintenant rendre à Madame la Marquise le divertissement qu’elle m’a offert. Immédiatement, sinon je vous jure que je vous brûle la cervelle à tous les quatre ».

Terrifiés, les spadassins s’exécutent. Ils empoignent la marquise, l’allongent sur le lit et relèvent ses jupes.

« Ôtez-lui donc tous ses vêtements, ordonne le chevalier, elle sera plus à l’aise ».

Les soudards obéissent et la mettent toute nue. La marquise en pleure d’humiliation autant que d’appréhension. On la couche à plat ventre sur le lit. L’un des hommes lui immobilise les poignets, un autre les chevilles et, comme pour le chevalier, les deux derniers se relaient pour lui appliquer chacun cinquante coups de verges sur les fesses. Le chevalier surveille l’application du châtiment et, sans égards aux pleurs, aux cris et aux supplications de la jeune femme, il exige qu’il soit mené à son terme. Lorsque celui-ci est atteint, la marquise, pantelante, secouée par les sanglots, le derrière cramoisi, arrive à peine à se relever. Tandis qu’elle se rhabille, le chevalier braque à nouveau ses pistolets en direction des quatre hommes de main :

« Nous ne sommes pas quitte, Messieurs. Vous ne voudriez tout de même pas nous abandonner sans avoir goûté vous-mêmes aux plaisantes sensations que vous nous avez fait connaître à Madame et à moi ? Vous allez donc y passer tous les quatre, chacun son tour. Que le premier d’entre vous se déculotte et prenne position sur le lit et que les trois autres se mettent en place ».

Ainsi fut fait. Les quatre soudards durent s’administrer mutuellement cent coups de verges. Le chevalier veilla à ce que les corrections fussent suffisamment sévères. « Que diable, messieurs ! Vous n’êtes pas des femmelettes ! Vous pouvez supporter des raclées plus viriles que celle que vous avez infligée à Madame ! Allons, plus fort, sinon, je double la dose pour tout le monde ».

Lorsque ce fut fini, ils avaient tous les quatre les fesses en sang. Le chevalier leur ordonna de se reculotter et de décamper, ce qu’ils firent incontinent, sans demander leur reste.

Là -dessus, Boufflers prit congé de la marquise :

« Adieu, Madame ! N’hésitez-pas à raconter votre plaisante vengeance. Je crois que je vais moi-même composer une nouvelle épigramme pour la faire connaitre dans les salons et en régaler toutes nos relations ».

Éperdue, la marquise lui courut après, se jeta à ses genoux, lui demanda humblement pardon et le supplia de garder le secret. Magnanime, le chevalier accepta. Ils soupèrent ensemble. Le souper fut si agréable qu’ils s’accordèrent pour le prolonger dans la chambre à coucher et le lit qui avait servi dans l’après-midi à cette mémorable séance de fessées accueillit pour la soirée et la nuit des ébats dont on dit que, pour être d’une autre nature, ils n’en furent pas moins ardents.

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