Récit fictif mais que j'adorerai se voir réaliser !
Il est 18h, je suis devant la porte de notre appartement, je n'ose pas rentrer.
Je sais, je sens que tu es là, à m'attendre, mais pas pour me câliner.
Ce matin, un peu avant 11h, j'ai reçu un e-mail de ta part : « Ma démone, ce soir tu rentres de suite après ton travail. Tu n'en fais qu'à ta tête et tu ne me respectes pas...OK, mais tu sais ce qui va se passer et t'arriver. Ton amour agacé »
Oups, je sens mon cœur virevolter, qu'est-ce bien fait encore ?(worry) Je tente de me remémorer les derniers jours...Ah, zut, ça yes, je crois deviner. Mais si c'est vraiment ce à quoi je pense, alors je me doute effectivement de ce qui va se passer dès mon retour à la maison.

Rien que d'y penser, je frisonne, une douleur me prend dans le ventre, mais je sens aussi une certaine excitation monter.
Toute la journée, jusqu'à cette fameuse minute où je me trouve devant cette porte, je n'ai fait que penser à ce moment. Je n'ai pas réussi à être attentive à ce que je faisais et mon patron m'a un peu rappelé à l'ordre, mais ça je ne te le dirai pas.
Et voilà, je prends mon courage, je franchie la porte, mais à peine cela fait, je tombe nez à nez sur la table avec certaines choses dessus que je ne n'apprécie pas, ou au contraire trop.
Je sais au fond de moi que je les mérite, et c'est pourquoi une multitude de sentiments me parcoure tout le corps. J'aime quand je suis ainsi, ressentir cette sensation, même si je sais que je vais surement finir en larmes parce que tu n'auras pas été tendre. Une punition est une punition.
Mon corps frissonne, mes joues prennent légèrement la couleur qu'auront mes fesses tout à l'heure,

je respire déjà profondément et je sens une légère humidité s'immiscer entre mes jambes.
Tu es là, assis juste à côté de la table sur le canapé. Je connais ce regard sévère, mais aussi complice. Tu n'aimes pas quand je fais des sottises, étourderies ou des caprices mais parallèlement tu espères que j'en ferai.
Je te dis bonjour, on s'embrasse langoureusement, ce n'est pas parce que tu vas me punir pour une bonne raison, que tu ne m'aimes pas, bien au contraire, si tu fais cela c'est pour mon bien et parce que tu tiens à moi. Et tu as toujours tenu à ce que je le sache et je crois que c'est une raison de plus qui fait que je t'aime tant. (hearteyes)
Maintenant que c'est fait, je suis là, debout devant toi, je n'ose à peine te regarder, mais tu m'ordonnes de ne pas baisser les yeux, tu veux que je connaisse ton mécontentement et toi lire dans mes yeux mon repentir. Ton regard confirme ma crainte, tu as bel et bien découvert que je t'ai menti en me servant de Julie, une amie, en prétendant une sortie avec elle alors que j'allais voir un copain que tu n'apprécies pas.
Je suis honteuse et je ne cherche même pas à nier. A quoi bon ?!
Tu m'allonges avec douceur, mais fermeté sur tes genoux. J'adore ce moment où je me sens vulnérable, entièrement à toi. Tu as décidé qu'il n'y aurait pas de préliminaires alors que tu sais très bien que c'est ce que je préfère. Tu descends en quasi un seul geste mon collant et ma culotte. Je sais alors que l'on va dépasser une nouvelle étape.
Cela fait maintenant 4ans que nous sommes ensemble dans la vie et 3ans que tu as commencé mon éducation.
Nous n'en sommes plus à avoir un mot entre nous pour mettre fin à une fessée, car avec le temps, j'ai bien vu et pris conscience que tu étais toujours à mon écoute et ne pas aller plus loin que je ne peux ou ne veux aller. Même si doucement, nous avons beaucoup avancé et progressé dans ce domaine.
Je suis donc là, fesses à l'air sur tes genoux, à la fois un peu inquiète par tant de froideur de ta part, mais aussi très confiante, j'adore ces moments.
Tu as décidé d'y aller de suite franco, pas d'échauffement, ou plutôt si, chauffer de suite mes fesses. Je n'en ai pas l'habitude et dès la première claque, cela me tire des petites vocalises.
Je sais, je l'ai méritée, mais je pensais quand même que tu serais un peu plus tendre, mais chaque fois je me dis la même chose. Mais là tu as battu tes records. Je me demande même si tu n'as pas confondu mes fesses avec ton tamtam, tellement les claques sont sèches.
Je crois que tu as décidé de vraiment me pousser à bout, j'en ai déjà les larmes aux yeux.(snif) Mais de ne pas savoir jusqu'où tu comptes aller exactement m'excite aussi beaucoup et mes yeux ne restent pas longtemps la seule partie de mon corps à être mouillée.
Je ne sais pas combien de temps exactement nous sommes restés ainsi, toi faisant rougir mes fesses, moi en ondulant sur tes genoux sous la pluie des claques, mais en éprouvant une sensation de bien-être. Un regard à la pendule, 35min que je suis couchée sur tes cuisses. Je n'en reviens pas, une nouvelle fois, tu as repoussé mes limites puisque 30min était le plus que j'avais supporté en sachant que cela incluait la partie douce du déculottage et de l'échauffement, alors là ! Mais j'avoue que je n'en suis que plus fière. Aux larmes certes, mais j'adore quand tu me prends en mains de cette manière et je crois que c'est ma meilleure fessée jusqu'ici.
Comment ça, pas finie ? Un échauffement ça ? Tu plaisantes ? Apparemment non ! Tu m'annonces que pour la suite, je serai allongée à plat ventre sur le lit, les fesses relevées par des coussins, mais surtout que je vais être attachée, les jambes bien écartées. Pardon ? Tu ne comptes pas vraiment m'attacher, tu as perdu la tête ?... Faut croire que non.
Je me révolte un peu,(sia) mais en même temps cette part de nouveauté me donne plutôt très envie d'essayer, mais ce soir, après ce que j'ai déjà eu ?
Mais bon, de toutes manières, comme tu me le dis, je n'ai pas le choix. S'il y a bien une chose que tu ne tolères absolument pas, c'est le mensonge. Je ne l'avais encore jamais fait et tu es bien décidé à tout faire pour que je ne recommence plus jamais. (worry)
Lorsque je sens la corde s'enlacer autour de mes poignets et mes chevilles, mes intestins se tordent, mais je sens tellement d'excitation me prendre, que j'aimerais que tu me fasses l'amour, là maintenant, tout de suite. Je te le dis, mais tu me réponds que si une autre fois, j'éprouve le souhait d'être attachée pour faire l'amour, alors on le fera, ça n'en sera que meilleur, mais que là, je ne suis pas ainsi positionnée pour cela, mais à cause de mon comportement infantile.

Mes joues rougissent, je suis un peu déçue, mais je m'en doutais bien, j'aurais au moins essayé.
Humm, ça fait du bien, quelque chose me caresse, mais quoi ? Je tourne la tête, mais tu me la retiens avec ton bras pour m'empêcher de voir. Je sais que ce n'est pas ta main, bien trop rêche, non, je ne vois pas. Aie, si le premier coup me laisse de suite deviner, le martinet. Non pas ça stp, j'ai bien trop mal aux fesses, mais je n'ai pas le temps de finir ma phrase que le martinet se fait sentir. Je ne peux pas m'empêcher de geindre et mes yeux se brouille à nouveau.(snif)
Quelques claques supplémentaires continuent de tomber avant que tu m'annonces que tu m'as réservé une surprise. Youpi, J'adore ce mot, surtout que là, ça rime surement avec la fin de ma punition (hearteyes)
Tu t'absentes de la chambre. C'est étonnant, j'entends des voix.

Mais que fais-tu ? A qui sont ces voix ? Je tente de me détacher en pensant que tu as oublié de le faire, je suis terriblement angoissée à l'idée que quelqu'un puisse me voir ainsi, dans cette position.
Ça y est, te revoilà, mais tu n'es pas seul. Je ne vois pas encore qui t'accompagne, mais je sens leur présence.
Mon sang ne fait qu'un tour, mes joues sont rouge tomate et je pense à la vision de mes fesses qui doivent l'être encore plus.


Je te fixe du regard et te fais comprendre que tu dépasses les bornes, que je ne veux pas de cela, je ne veux pas d'un inconnu dans nos jeux. (sia)
Et qui je vois rentrer ? Julie et Éric...Julie est justement l'amie qui m'a servie d'alibi, qui a couvert mon mensonge. Je suis au comble de l'humiliation et je comprends désormais la véritable raison des attaches. Tu savais très bien que je ne serai pas restée, que je n'aurai pas permis cela, je t'en veux terriblement. Mais je ne riposte plus, le fait que ce soit nos amis me fait douter de mes profondes envies.
Je n'ose même plus vous regarder, j'enfouis mon visage rouge de honte dans mon matelas, mais j'entends tout de même ce que tu dis. Tu annonces qu'il n'y a pas de raison que je sois la seule à être fessée alors que nous avons menti toutes les deux et l'ordre est donné à Julie de me rejoindre dans le lit et de prendre la même position et la même tenue que moi. Elle ne dit rien, ne riposte pas, comme si elle s'y attendait, cela me surprend. N'ose-t-elle rien dire ? Est-elle aussi une adepte de la fessée ? Quoi qu'il en soit, nous nous retrouvons toutes les deux, les meilleures amies du monde, côte à côte, attachées et prêtes à être punies. (panpan)
Je ne peux m'empêcher de regarder Julie et ensuite te regarder toi, je sens à la fois mes joues rougir et mon cœur battre la chamade, mais aussi la même sensation déjà ressentie tout à l'heure.
Mais comment cela est-il possible ? Je suis là, ainsi offerte à toi bien sûr mais aussi à nos amis. Je n'avais jamais osé parler de notre plaisir à Julie alors que je lui raconte tout et voilà que maintenant elle le sait et qu'elle va même y participer.
Ce qui me rassure, c'est de savoir que tous les deux, vous allez vous occuper de votre femme.

Comment, c'est le contraire ? Ah non, je ne suis pas d'accord et je te le dis, je te fusille des yeux et tente de me débattre,

(sos) Julie en fait de même, mais tu sais, comme son mari d'ailleurs comment me calmer. Ton regard a changé, il n'est plus du tout sévère, mais tendre, plein d'amour et tu me chuchotes à l'oreille de te faire confiance et de me lâcher, mais que si jamais je n'en ai vraiment pas envie, alors que je te le dise et que ça cessera sur-le-champ. C'est cette phrase qui change tout et qui me fait me détendre. Je sais désormais que quoiqu'il arrive, tu veilleras sur moi (hearteyes)
Je finis par accepter ce que tu avais mijoté depuis ce matin et c'est aussi le cas de Julie. Maintenant que tout le monde est d'accord, passons aux choses sérieuses, ce sera mi-martinet, mi-main.
Julie a de la chance au moins, ses fesses n'ont pas rougies comme les miennes et je me demande vraiment comment je vais pouvoir en supporter plus, mais aussi quel genre de fesseur peut bien être Éric.
Je le découvre vite, tu es un peu plus tendre que mon chéri, mais cependant le rythme est plus soutenu ce qui équivaut à me faire geindre et sangloter à nouveau (snif)
Je suis finalement heureuse de me trouver si près de toi Julie, partager cela avec toi. Je vois que tu as aussi quelques difficultés et comme pour mieux se soutenir, nous nous prenons la main comme nous pouvons avec nos attaches.
Et toujours ce même plaisir ressenti malgré la douleur et l'humiliation, je crois même que cela l'amplifie.
Tantôt la main, tantôt le martinet…mais qu'importe, je suis bien. Je sanglote et grimace et cris, mais en même temps je suis vraiment bien et je souris.

Et je ne peux que constater que ce plaisir est partagé si j'en crois l'expression du visage de Julie ainsi que le renflement à un certain endroit chez nos hommes respectifs.(green)
Et lorsque tu annonces, mon chéri que vous reprenez chacun votre rôle auprès de votre femme, je suis au comble du bonheur. Une dernière fessée ainsi avec toi.
Quelques caresses viennent désormais alterner avec les claques, aussi bien sur les fesses que dans mon intimité. Et malgré ma réticence à le faire alors que nous ne sommes pas seuls, je ne peux pas réprimer plus longtemps ma jouissance et je ne suis pas la seule dans ce cas, on pourrait penser à un concerto de plaisirs. (hearteyes)(hearteyes)(hearteyes)
Cela rime la fin de cette fessée. Tu me libères, me prend dans tes bras et me porte jusque dans le salon en laissant derrière nous nos amis qui n'en ont pas fini. Car tout comme je l'ai été avant leur arriver, Julie va désormais recevoir sa fessée en tête-à-tête, entre époux.
Pendant ce temps, une fois installés dans le canapé, tu me demandes si tu n'as pas été trop loin, si cela m'a plu. Je te souris, te remercie de m'avoir donné une confidente à qui parler et partager sur la fessée, surtout Julie.
Et comme dernière réponse, je te demande de me faire jouir une nouvelle fois, en me faisant l'amour. Ce que tu fais malgré la présence de nos amis dans la pièce d'à côté.
Ce jour-là, nous avons franchi une nouvelle étape qui n'en sera que meilleur pour la suite.