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La jeune épouse corrigée

La jeune épouse corrigée

Lorsque Julien nous présenta sa fiancée, il n’était pas peu fier de lui. Il faut reconnaître que Nathalie est une fille d’une rare beauté : pas très grande, mais admirablement proportionnée, mince, fine, un corps de rêve, un teint superbe, une chevelure foisonnante. Elle était la coqueluche de la faculté où Julien et elle finissaient leurs études et notre fils avait quelque raison de s’enorgueillir d’avoir été préféré à tous les garçons qui la courtisaient. Elle plut tout de suite à mon mari. Il faut dire que Paul a toujours été un amateur de jolies femmes et qu’il tombe facilement sous leur charme : Julien a de qui tenir. Moi, j’étais un peu plus circonspecte. Certes, Nathalie était très belle, mais aussi très consciente de sa beauté et du pouvoir qu’elle lui conférait. Julien était baba d’admiration devant elle et prêt à tout pour satisfaire ses désirs. Il cédait à ses moindres caprices et cela ne laissait pas de m’agacer. Notre fils, un garçon si brillant, était comme un toutou devant cette chipie qui le faisait parfois tourner en bourrique. Julien n’en était pas moins follement amoureux et ils ne tardèrent pas à se marier. Mes relations avec Nathalie n’étaient pour autant pas mauvaises. Elle n'était pas antipathique, loin de là, et elle m’aimait bien, bavardait volontiers avec moi et n’hésitait pas à me faire des confidences. Cependant j’étais de plus en plus irritée de la façon dont elle se plaignait de Julien qui n’avait rien fait pour le mériter. Un jour que nous étions toutes les deux seules à la maison, Paul et Julien étant sortis ensemble pour faire une course dans un magasin de bricolage, elle se montra encore plus insupportable qu’à l’accoutumée, se répandant en récriminations à l’endroit de Julien, accablant mon fils de reproches immérités sur les sujets les plus divers. Plus elle parlait, plus la moutarde me montait au nez et enfin, au comble de l’exaspération, j’interrompis ce flot de paroles en lui donnant une claque. Elle s’arrêta net, bouche bée, stupéfaite, se frottant la joue. « Cela suffit comme ça », lui dis-je, et je l’empoignai sans ménagement, m’assis sur une chaise, la couchai en travers de mes genoux et la troussai. Elle portait une ravissante petite culotte de soie bleue que je baissai incontinent, dévoilant ainsi un adorable petit derrière : deux fesses bien rondes, souples, élastiques, à peine sorties de l’adolescence. Je levai la main et je les claquai à toute volée. Nathalie se trémoussa et tenta de se dégager, mais je l’assujettis solidement. Je suis assez grande et forte, très sportive, et à côté de moi Nathalie fait plutôt modèle réduit. Elle n’était pas de taille à me résister et, de fait, elle ne résista pas. Ivre de joie, je claquai donc de toutes mes forces ce petit cul insolent de jeune pimbêche, bien décidée à le faire rougir uniformément, à ne pas laisser un centimètre carré de peau blanche. Ses jolies fesses rosirent, rougirent et furent bientôt cramoisies. Nathalie tantôt les serrait, tantôt les écartait, me donnant alors à voir son œillet mignon. Je voulais que de cette fessée, elle se souvînt longtemps et j’en pris les moyens. Sourde à ses cris et à ses supplications, je la fessai aussi longtemps et aussi fort que je le pus. Lorsqu’enfin je cessai la correction, elle était pantelante, secouée de sanglots, incapable du moindre mouvement. Je caressai brièvement ses fesses brûlantes, puis je la remis sur pieds face à moi et je lui dis : « Je ne veux plus entendre ce genre de propos sur Julien, c’est bien compris ? ». Le visage inondé de pleurs, elle fit signe que oui. Je l’autorisai alors à se reculotter et à gagner la salle de bains pour se rendre présentable avant le retour de Paul et de Julien. Le soir au repas, comme elle se tortillait sur sa chaise, je ne pus m’empêcher de la chambrer un peu : « Qu’est-ce qui ne va pas, Nathalie ? Vous avez mal quelque part ? ». Son visage s’empourpra et elle baissa les yeux en secouant la tête, emplie de confusion. Deux jours plus tard, je profitais d’un moment où je me trouvais seule avec Julien pour lui demander comment Nathalie se comportait avec lui. Il me répondit qu’elle s’était transformée : depuis deux jours, elle était absolument charmante avec lui. « Tout va bien, alors ? » lui demandais-je. Julien me répondit que oui, avant de se reprendre : « oui, très bien, si ce n’est qu’il y a un petit truc qui m’étonne ». « Quoi donc ? », lui demandais-je. Il prit un air un peu embarrassé avant de me répondre : « Tu sais que nous avons l’habitude de dormir entièrement nus. Eh bien, depuis deux jours, elle met une culotte de pyjama dans la salle de bains avant de se coucher et, au lit, quand je m’approche pour … enfin tu vois ce que je veux dire, elle s’y refuse en prétextant une migraine ». J’éclatai de rire : « Passe encore pour la migraine, cela peut toujours arriver même si le prétexte est un peu éculé, mais ça n’explique pas la culotte de pyjama qui n’a aucun effet connu sur les maux de tête … Je crois que je peux te donner la clé de l’énigme ». Et je lui racontai ce qui s’était passé pendant qu’il était en courses avec son père. « Crois-moi, Julien, c’est la bonne méthode. En lui cédant tout, tout le temps, tu n’as jamais réussi qu’à la rendre plus exigeante et plus désagréable. Moi, avec une bonne fessée, je l’ai retournée comme une crêpe. C’est une fille bien, j’en suis convaincue, qui pourra te rendre heureux si tu t’y prends bien avec elle. Elle a simplement besoin d’être tenue et remise à sa place quand elle passe les bornes. Et maintenant, c’est à toi de prendre les choses en mains. Tu es un grand garçon et il ne faut pas compter sur Maman pour faire toujours ton travail ».

Dans les semaines qui suivirent, je vis Julien et Nathalie de plus en plus radieux, de plus en plus amoureux. Et deux mois plus tard, Julien me prit à part et me dit : « Tu sais Maman, tu avais raison. Maintenant je fesse Nathalie chaque fois qu’elle l’a mérité et elle l’accepte volontiers. Et il y a quelque chose que je vais te dire parce qu’elle n’ose pas te le dire elle-même, c’est qu’elle t’est très reconnaissante de la fessée que tu lui as donnée. Elle m’a confié que c’était le plus beau cadeau de mariage que tu pouvais nous faire ».
Le fesseur professionnel

Le fesseur professionnel

J
e donne parfois des cours particuliers ici et là dans Paris. En général j'ai affaire à des élèves motivés et travailleurs.
Le mercredi après-midi, je me rends chez une jeune fille de dix-huit ans et demi qui redouble sa terminale S. Elle vit seule avec sa mère et n'est pas très appliquée dans son travail. Du moment que l'on me paye, je m'en fiche un peu.
Un jour, alors que j'étais sur le point de frapper à la porte de leur maison, j'ai entendu des bruits bizarres qui venaient d'une fenêtre.
Un mélange de cris, de claques...
Un homme semblait proférer des menaces comme "je vais t'apprendre !"
Je suis allée voir ce qui se passait à la fenêtre, et j'ai vu une scène abracadabrantesque :
Au milieu du salon, la jeune Amandine était couchée à plat ventre sur les genoux d'un Monsieur, la culotte baissée, les fesses nues bien en évidence... et en train de recevoir une bien humiliante fessée ! Je me suis demandé qui était cet homme, ne l'ayant jamais vu auparavant.
J'ai pensé que c'était peut être le nouveau compagnon de sa mère. Il portait un costume comme s'il sortait du bureau. Il était beaucoup plus âgé qu'elle, à mon sens cela ne pouvait pas être son copain.
J'ai regardé la scène en mode voyeur. Ça semblait être une vraie punition.
Shlack ! Shlack ! Shlack !
Il n'y allait pas de main morte.
Amandine s'est mise à crier "Pardon ! " et autres vaines excuses. Elle agitait un peu les pieds, ce qui semblait agacer un peu son bourreau.
Je n'avais jamais assisté à la fessée de quelqu'un, j'avais toujours été à la place de la punie. Je dois avouer que cela ne me déplaisait pas de voir cela, peut être par identification.
La culotte baissée jusqu'au genoux, le fait d'être maintenue comme ça de force pour être punie... cela m'a semblé terriblement embarrassant pour elle.
Surtout à cet âge, où normalement cela n'arrive plus, bien qu'on le mérite encore !
L'homme a fini par s'arrêter et j'ai entendu ensuite "Et voilà ! Une bonne fessée déculottée ! Que cela te serve de leçon !"
Je me suis alors dirigée vers la porte. J'ai pensé qu'il valait mieux sonner, car je déteste être en retard.
DRING !
La porte s'est ouverte. Le même homme est apparu devant moi. Il avait l'air très costaud. Mon coeur a fait un bond.
— Je suis Mlle XXX, je viens pour donner un cours à Amandine.
— Oui, on m'a prévenu de votre arrivée. Entrez.
Je suis entrée dans cette maison avec une légère crainte.
D'autant plus qu'en entrant dans le salon, j'ai aperçu Amandine debout au coin, la culotte tombée à ses chevilles... Les fesses très roses prouvant qu'elle avait bien reçu une fessée déculottée. Elle semblait ne plus savoir où se mettre et tentait maladroitement de cacher son derrière avec sa main. La honte absolue.
— Amandine, mets tes mains sur la tête.
Elle a obéi tout de suite, révélant ses fesses charnues pour le plus grand plaisir de cet homme qui arborait un sourire satisfait.
— Amandine est punie, nous allons devoir reporter votre cours. Je vais quand même vous payer vos vingt-cinq euros à cause du déplacement.
J’ai jeté des coups d'oeil furtifs aux fesses de mon élève. Bien qu'amatrice de ce type de punitions, je n'aurais pas voulu être à sa place. Ces choses là sont intimes, quelle horreur qu'un témoin assiste à cela et rende l'humiliation paroxystique !
Ils ignoraient le fait que j'étais une initiée... ce qui renforçait probablement l'embarras de la jeune fille.
Je me sentais un peu coupable d'être là, juste pour assouvir ma curiosité.
— Vous voulez peut-être boire quelque chose ?
Prise de court, j'ai voulu être polie.
— Oui pourquoi pas.
— Un petit jus de pomme ?
— Euh oui.
Il est allé me chercher un verre.
— Merci Monsieur.
Il m'a fait asseoir sur le canapé de façon à ce que j'aie bien en vue Amandine, qui visiblement commençait à s'impatienter puisqu'elle se hasarda, d'une toute petite voix, à quémander une libération.
— Jean-Marc s'il vous plaît, est-ce que je peux remonter dans ma chambre ?
— Non ! tu es punie ! Tu resteras comme ça pendant encore un quart d'heure. Et tais-toi, je parle avec ta professeure. Je ne veux plus t'entendre !
Puis il s'est adressé à moi.
— J'espère que vous comprenez la situation, ces choses là ne peuvent pas attendre...
— Oui bien sûr je comprends, ne vous inquiétez pas.
— Elle a reçu une fessée en raison de son dernier bulletin scolaire qui n'est pas fameux...
— D'accord. Je comprends tout à fait.
Et voilà que je rentrais dans leur jeu pervers malgré moi.
— A 18 ans, on a encore besoin d'être disciplinée, de recevoir une bonne fessée.
— Cela peut être embarrassant passé un certain âge, non ?
— Mais c'est tout à fait normal, que cela soit embarrassant Mademoiselle ! Cela fait partie de la punition, d'être ainsi remise à sa place.
— C'est vrai... Mais...
— Je ne me suis pas présenté. Je suis Jean-Marc, de la société EduStreet.
Il m’a tendu sa carte.
— Vous pouvez la garder.

On pouvait y lire ceci :

Jean-Marc T.
Éducateur
Méthodes traditionnelles - Public adultes 18-25 ans
Formule logé-nourri ou prestations ponctuelles
Soutien scolaire - déductible des impôts à 50%

J’ai tout de suite compris le concept.
Le gars, il est venu vivre chez eux, pour donner un coup de main pour l'éducation de la jeune fille... avec ses bonnes vieilles "méthodes traditionnelles".

— Vous avez quel âge si ce n'est pas indiscret ?
— Vingt-quatre.
— Intéressant. Vous vivez chez vos parents ?
— Alors non pas du tout, je vis seule dans un studio...
— Je demande cela car je fais aussi des prestations ponctuelles et...
— Non merci, je n'ai besoin de rien... Je vous remercie pour la boisson mais là il faut vraiment que j'y aille...
J'ai posé mon verre vide sur la table basse.
— Au revoir Monsieur... Au revoir Amandine...
Amandine m'a répondu "au revoir" d'une toute petite voix.
Je me suis levée, et ce Jean-Marc également.
Ensuite, j'ai commencé à me diriger vers la porte d'entrée, un peu rapidement je l'avoue.
— Pas si vite Mademoiselle !
J'ai sursauté. Il avait mis une main sur mon épaule.
Mon coeur semblait s'être arrêté un instant. Une bouffée d'adrénaline m’avait coupé le souffle. Je me suis retournée en feignant une certaine nonchalance.
— Oui ?
— Vous oubliez vos vingt-cinq euros.
J'ai pris les billets qu'il me tendait. Son sourire était goguenard, légèrement vicieux.
— Ah oui merci...
— N'hésitez pas... Je me déplace dans tout Paris...
Il m'a ensuite fait un clin d'oeil, à mon sens bourré de sous-entendus.
Je suis partie, pensive, en regardant sa carte de visite. J’ai pensé « Quel pervers celui-là ! Pas question que je fasse appel à ses services ! Et cette proposition indécente et vexante... Dans ses rêves oui ! »
J'ai glissé la carte dans mon portefeuille.
Jamais de la vie. C'est juste pour avoir un petit souvenir, c'est tout...
L’étudiante punie

L’étudiante punie

Mon premier récit F/f (Tout arrive)

« Natsukashii » désigne la nostalgie heureuse, l’instant où le beau souvenir revient à la mémoire…

J
uste après mon bac, je me suis inscrite à la fac en licence de japonais. Une évidence pour moi, passionnée par la culture nippone depuis toute petite. Dans le cadre de ce cursus, j’ai dû partir pendant tout un semestre dans la banlieue de Tokyo.

Il faut savoir que dans ce pays les gens sont extrêmement disciplinés, et il est inconcevable de se comporter comme un occidental.
A titre d’exemple, les retards sont à proscrire totalement, cela serait considéré comme un manque de respect. Il faut aussi être toujours très ordonné, très propre. Hors de question de manquer une douche ou de ne pas faire son lit.
Malheureusement, la discipline n’a jamais été mon fort ce qui m’a valu quelques déboires.

Mon arrivée sur place se passa plutôt bien. La maison pour les étudiantes, que l’on appelait la kishukusha, était agréable, et le dortoir, toujours illuminé d’une lumière naturelle, donnait sur un magnifique jardin remplis de cerisiers en fleurs.

Je fis rapidement la connaissance de mes colocataires (que des filles et la plupart japonaises) qui étaient sympathiques et ouvertes. J’ai aussi rencontré la dame qui s’occupait de nous et de notre maison, une personne très stricte, Saori San. J’ai malheureusement pris un mauvais départ avec elle, et j’ai eu droit à des remontrances dès le premier jour.
Elle était grande, avait des longs cheveux noirs parfaitement lissés et surtout… un regard sévère, on aurait dit qu’elle était en permanence contrariée.
Je m’efforçais alors du mieux que je pouvais de lui plaire, en étant bien obéissante et serviable. Après tout, elle s’occupait de tous nos repas et du linge, la moindre des choses était de se comporter de manière irréprochable avec elle.

J’ai de très bons souvenirs, la bonne odeur des sushis et des shukurimi à la cuisine, les fous rires dans les douches, les soirées karaokés endiablées et les sorties nocturnes au parfum de saké dans la capitale.

Mais mon souvenir le plus mémorable me renvoie à un moment peu glorieux de mon histoire.
Un jour, Saori San est venue me gronder pour ne pas avoir bien rangé mes affaires.
- Regarde ce que j’ai trouvé sur le sol ! Kimonos, livres et j’en passe ! Je suis très déçue de toi Lili San. C’est inadmissible un tel comportement à ton âge !
J’utilisais la formule la plus polie pour m’excuser (il y en a une dizaine différentes en fonction du degré de l’offense, et de la personne à qui l’on s’adresse)
- Moshiwakéarimassen ! Je vais le faire tout de suite. C’est la dernière fois je vous le promet ! Pardon, pardon…
Je m’inclinais le plus possible devant elle, le dos et la tête baissée car c’est d’usage lorsque l’on s’excuse là-bas.
- Tout de suite, dépêche toi. Tu as intérêt à obéir, Lili San !
Elle poussa un soupir et s’en alla, et je m’affalais sur mon futon au sol, le cœur battant la chamade tant son sermon m’avait remuée.

Je m’apprêtais à ranger mes affaires, quand les autres filles du dortoir arrivèrent. Elles insistèrent pour que j’aille à la douche avec elles, et me conseillaient de ranger mon coin de chambre après ça. Je me laissais convaincre, j’avais encore le temps de ranger pendant que Saori San préparerait le déjeuner. Nous nous rendîmes à la douche, en fil indienne, à la shawa commune. Je me lavais, m’habillais et revins à la chambre en prenant tout mon temps.

Mais une surprise m’attendait là.
Saori San, assise sur une chaise, droite comme un I.
- Ta chambre n’est pas rangée Lili San. Je t’avais pourtant prévenue !
Je baissais la tête, j’avais vraiment honte de moi. Je lui présentais mes excuses à nouveau.
- Pardon j’allais le faire, je vais le faire tout de suite, pardon…
- J’ignore comment les choses se passent en France, mais ici lorsqu’une jeune fille désobéit plusieurs fois de suite, elle est sévèrement punie. Et tu vis ici maintenant. Tu vas donc recevoir une bonne fessée.
- Une…fessée… mais…
- Parfaitement. Une fessée déculottée.
Elle ne me laissa pas le temps de réagir, elle se leva, m’agrippa fermement par le bras, souleva ma jupe et baissa ma culotte jusqu’au genoux. Je devins toute rouge de honte, en sentant l’air frais sur mes fesses nues. J’avais peur, c’était ma toute première fessée que je m’apprêtais à recevoir.
Elle me bascula sur ses genoux, et me donna une bonne fessée déculottée, longue et humiliante.

Je me suis souvent imaginée la façon dont je devais avoir l’air ridicule en gesticulant, en suppliant, implorant, gémissant, sans dignité aucune. Mes fesses nues exposées sur ses genoux, la culotte glissant de plus en plus bas le long de mes jambes, alors que je prenais peu à peu des couleurs sous les claques.

Elle s’arrêta au milieu de la fessée, laissa sa main posée sur mes fesses et me gronda à nouveau. « Tu devrais avoir honte ! J’espère que cette fessée va te remettre les idées en place Lili San ! » avant de reprendre la fessée de plus belle. Mes fesses me piquaient terriblement, Saori San n’y allait pas de main morte.

Une fois la fessée terminée, les yeux humides et les fesses bien réchauffées, je tombais à ses pieds.
Une compagne de chambre entra à ce moment précis, poussa un « Ooh » d’effroi et de surprise, et Saori San lui demanda de rester car elle allait avoir besoin de son aide.

Elle m’aida à me relever, me donna une bonne claque bien sonore sur les fesses pour me faire avancer.
- Va au coin, culotte baissée. Et toi Hishiro, surveille là, elle doit rester les fesses nues pendant 15 minutes.
Je n’en voulu pas à Hishiro qui fixa mes fesses tout le long de ma pénitence.
Étudiante en art, elle dessina la scène et immortalisa ce moment à jamais.

Saori San revint ensuite pour lever ma punition et me demanda de venir me pencher sur le bureau en vue de m’appliquer une crème apaisante sur les fesses. C’est aussi la position qu’elle nous faisait prendre quand on était malade et qu’elle voulait vérifier notre température, mais je ne l’ai découvert que plus tard. Cela me gêna qu’elle le fasse devant les autres filles, car certaines n’arrivaient pas à s’empêcher de rire, mais je ne voulais pas la contrarier à nouveau en disant quelque chose. Il me fallait lui obéir sans me plaindre. Recevoir la fessée m’avait rendue humble.

Malgré l’humiliation, je n’ai jamais autant ressenti autant d’apaisement dans le coeur. Quelqu’un s’occupait de moi… de mon corps et de mon âme.

Elle me pris ensuite dans ses bras tout en me donnant de petites claques sur les fesses et en disant « c’est fini, c’est fini… »

A l’époque je ne l’ai pas fait mais aujourd’hui, je dirais merci à Saori San. J’avais bien mérité cette fessée déculottée, et elle n’a fait que son devoir.
Portable en conduisant

Portable en conduisant

V
oilà le jour est arrivé et par n’importe quelle journée. Celle où je dois faire la connaissance de Monsieur Thomas et sa chérie. Une rencontre assez particulière parce qu’en effet, ils n’ont pas traversé la France pour mes beaux yeux, mais pour que Monsieur Thomas s’occupe de mon cas et particulièrement de mes fesses. Quelle idée aussi d’utiliser son téléphone au volant et de se faire griller tout ça à cause d’un message qui est malencontreusement parti…

Il n’est pas loin de 11h ce samedi quand je reçois ce message :
 
- Je suis là 

Une drôle de sensation m’envahie très vite la peur et l’appréhension mais je n’ai pas le choix, je dois y aller. Je prends deux petites minutes pour souffler j’essaie de me rappeler ou j’ai bien pu poser ce carnet de punition déjà bien rempli et je me lance. J’ouvre la porte et je vais le rejoindre dans la rue.
La prise de contact a été assez facile finalement même si je ne faisais pas la maline.
Je lui propose très vite de rentrer chez moi et il essaie de lancer des sujets de conversations pour me détendre. Puis très vite Monsieur Thomas rentre dans le vif du sujet

- Tu n’as pas un petit carnet à me montrer mademoiselle

Ça y est je ne peux plus y échapper alors je prends sur moi et je vais dans la chambre chercher ce maudit carnet de punition. Je lui tends un peu honteuse mais bon il les connait quasiment toutes les punitions qui y sont notées. Vient alors le moment de discutions et d’explications sur mes différents comportements de ces dernières semaines et surtout ce téléphone au volant…

Les explications ne sont pas très présentes car après tout que dire sur ce type de comportement irresponsable…

Il prend très vite les choses en mains et me met au coin pendant 10 minutes environ. Le temps m’a paru très long mais très cour à la fois. Quand arrive le moment où il m’appelle pour me demander de me mettre sur ces genoux j’aurai tellement aimer pouvoir y rester à ce foutu coin.

Me voilà à présent installée sur ces genoux et il commence très vite la fessée sur mon pantalon. Il y va progressivement mais tape vite de plus en plus et de plus en plus fort tout en prenant le temps de faire des pauses. J’arrive encore à rester tranquille et sans rien dire.

Tout à coup il me demande de me redresser pour baisser mon pantalon... Comme c’est dur à accepter mais la punition je la connaissais d’avance et ce n’était pas le moment d’en rajouter.
L’envie de m’y opposer met bien sur venue à l’idée mais je suis restée raisonnable.

Mon pantalon est très vite descendu et Monsieur Thomas me remet très vite sur ces genoux pour poursuivre cette fessée mais cette fois sur ma culotte. La douleur commence à se faire sentir et je mets très vite ma main pour essayer de me protéger un minimum. Peine perdue d’avance Monsieur Thomas attrape aussitôt ma main et la coince dans mon dos.
Je n’ai pas le temps de me rendre compte de quoi que ce soit que ma culotte vient de rejoindre mon pantalon. Je suis donc les fesses à l’air… La fessée reprend de plus belle sur mes fesses nues ça fait de suite mal et la douleur s’intensifie rapidement. Je remets ma main en guise de mince protection Monsieur Thomas l’a très vite attrapé et de nouveau bloqué dans mon dos. Mais la douleur est la alors je me débrouille pour réussir à faire passer l’autre main. Monsieur Thomas stoppe alors la fessée en me disant

-Tes mains restent devant je ne veux plus les voir

Il tape de plus belle sur mes fesses et de plus en plus fort sans prêter attention à mes pieds qui bougent et qui tapent dans le vide. Ma main revient sur mes fesses comme par réflexe. Cette fois il l’attrape et la bloque très fort pour ne plus que je la bouge.
Pour la dernière série il change de main. Cela m’a surpris car il tape encore plus fort avec sa main gauche, quelle douleur sur mes fesses déjà écarlate.

La fessée prend fin. Monsieur Thomas relâche ma main, il me laisse du temps pour que je me calme et se met à me questionner.

- Miss Cécé tu crois que la fessée est suffisante
- Oui oui ça suffit j’ai assez mal
- As-tu compris la leçon ?
- Oui j’ai compris
- Ah et qu’as-tu compris ?
- …..
- Miss Cécé ?!!!!!

Dans ce cas-là je n’ai pas trop le choix de répondre il a mes fesses à disposition et n’hésitera pas à m’en mettre une sur les fesses.

- Miss Cécé je t’écoute !!!!
- Qu’il ne faut pas le faire
- Oui c’est déjà un début et après ?
- Que c’est dangereux le téléphone au volant
- Effectivement oui et qu’est ce qui se passe si tu récidives un comportement irresponsable en voiture ?
- J’ai le droit à une autre fessée
- C’est certain oui et même à la brosse jeune fille. Je te conseille de veiller à ton comportement en voiture sinon tu auras affaire à moi. Maintenant file au coin.
- Noooooooon pas le coin encore j’y suis de......

Il ne m’a même pas laissé le temps de finir ma phrase qu’il répond

- Dépêche-toi !!!!

Je finis par aller sagement au coin étant donné l’état actuel de mes fesses. J’y reste un peu plus de 15 minutes et il me donne l’autorisation de sortir et me propose de me mettre de la crème.
Première fessée de l'année!

Première fessée de l'année!

I
l me l'avait dit qu'un jour j'aurai des problèmes à rouler sans faire attention aux limitations de vitesse...
Ce flash de décembre à été fatal pour moi...la lettre est arrivée vendredi, il l'a trouvée pendant mon absence alors que j'avais passé l'après midi avec les copines à faire du shopping et refaire le monde.
Je suis rentrée en fin de journée, toute heureuse de ma journée passée et les bras chargés de mes nombreux achats.
Il m'attendait dans le canapé. En me voyant rentrer dans le salon il a posé son livre. Comme d'habitude je me suis jetée à son cou pour l'embrasser, j'avais envie de le sentir contre moi, de respirer son odeur!
Rapidement, il s'est dégagé et m'a regardé d'un air sombre... J'ai tout de suite senti que quelque chose n'allait pas.
- Tu as passé une bonne journée Carole?
- Oui! Super! J'étais avec Delphine et Isa. On n'a pas pu s'empêcher de faire quelques boutiques, tu les connais!
Sans un mot, il s'est dirigé vers le secrétaire et m'a brandi sous le nez l'avis de contravention.
- Ca te dit quelques chose?
Mon sang n'a fait qu'un tour! Je l'avais complètement oublié celui-là! Je suis devenue rouge et transpirante et j'ai bredouillé :
- Ben oui... je me suis faite flashée l'autre jour mais je ne comprend pas, je n'allais pas si vite que ça...
- Peut-être mais en attendant c'est moi qui perds les points et c'est moi qui paye!
- Je suis désolée mon chéri...(qu'est ce qu'on peut dire comme banalités dans ces cas là!)
- Tu sais que je vais devoir sévir...
Et voilà, nous y étions! Moi qui pensais commencer l'année en douceur! J'allais recevoir une fessée c'était sûr...
- Oui je sais...bredouillai-je timidement en baissant les yeux.
- Bien! Va m'attendre dans la chambre! J'arrive!
Je me suis assise sur le lit et là, j'ai ressenti comme à chaque fois un mélange de honte, de crainte et, je dois bien le dire, d'excitation... L'attente m'a parue interminable...
Il est rentré dans la chambre et m'a attrapé le bras ^pour me faire lever. Face à moi, ses yeux dans mes yeux il m'a dit :
- Bien! tu vas recevoir une bonne déculottée et tu ne l'aura pas volé! Baisses ton jean!
Rouge de honte, je me suis exécutée faisant glisser mon pantalon le long de mes cuisses jusqu'aux genoux me retrouvant sans autre protection que ma culotte.
Il s'est assis sur le lit et m'a fait signe d'approcher. Puis il m'a guidé jusqu'à lui pour que je m'allonge sur sa cuisse ma tête enfouie dans le moelleux de la couette.
Et les claques ont commencé à pleuvoir sur mes fesses, d'abord sur ma culotte jusqu'à ce qu'il la baisse d'un coup sec pour dégager ma lune. Celle-ci était déjà brûlante mais alors, cul nu, j'ai bien cru que j'y laissais ma peau! Il ne semblait pas vouloir arrêter malgré mes supplications et mes gesticulations et la fessée durait, durait...j'avais l'impression que les secondes étaient des heures!
Les larmes me montaient aux yeux et j'étouffais mes cris dans la couette. J'ai bien tenté avec ma main libre de me protéger mais rien n'y a fait...monsieur sait très bien esquiver ce genre de parade!
Quand les claques ont en enfin cessé il a murmuré à mon oreille :
- Rappelles moi de combien tu as dépassé la vitesse autorisée?
- J'en sais rien moi!
- Moi je sais! 12 km/h!!
- ...
- Donc ça sera 12 coups de ceinture!
A ce moment là je suis dans un état second. J'ai accepté mon sort. Mes fesses sont en feu et malgré une pointe d'excitation comme à chaque fois quand il me punit, j'ai hâte que ça s'arrête. Alors j'évite de me rebeller et je murmure un vague "oui" tout en pleurnichant...
Il s'écarte un peu de moi pour enlever sa ceinture. J'entends la boucle tinter... Puis je sens la brûlure du premier coup, puis du deuxième...au dixième mes fesses sont comme insensibilisées et enfin la punition se termine.
- Maintenant vas au coin!
Je connais bien l'endroit pour y faire des stages réguliers et je m'y dirige alors en frottant mes fesses qui me piquent et me lancent tout en irradiant une chaleur que je n'avais pas connue depuis longtemps!
Je me positionne alors debout, culotte baissée et mains sur la tête.
-Restes là le temps qu'il faut pour méditer sur ta bêtise. Ne bouges pas avant que je revienne!
Avant de sortir de la chambre il m'a effleuré les fesses et alors j'ai su que j'étais déjà pardonnée et que lorsqu'il reviendrait me voir ce serait pour me faire un gros câlin...
Mais ça ça reste entre nous deux....
Le concert

Le concert

L
a nuit est claire, la lune est presque pleine, le fond de l'air est doux et pourtant l’ambiance est lourde. Nous marchons en silence d'un pas régulier, elle a le visage fermé.
Elle peut faire la tête, elle m'a pourrie la soirée.



Des semaines que je voulais voir ce concert, je voulais que ce soit parfait et c'était bien parti pour. J'avais mis mon costume, elle avait mis ses talons et sa petite robe de soirée, maquillée juste ce qu'il faut elle était rayonnante. En arrivant là-bas on avait l'air heureux, complice. J'avais eu des places bien placées pour profiter de l'orchestre. Avant que le spectacle ne commence j'ai longtemps admiré la salle et ses voûtes, j'étais comme un gamin. La musique a commencé, j'en avais des frissons.

Rapidement j'ai senti qu'elle s'ennuyait, elle prenait mon bras et jouait avec, je n'y prêtais pas attention. Un moment je l'ai vu ramener ses pieds sur le fauteuil, je lui ai lancé un regard noir, elle les a aussitôt retirés en gardant son petit sourire, ce qui m'agaça encore plus. Elle a continué, je la voyais tourner la tête partout sauf vers les musiciens, elle soupirait. Je suis retourné dans la musique un moment puis elle m'a attrapé le bras, elle faisait une drôle de tête. Elle m'a dit qu'elle se sentait mal et c'est vrai qu'elle n'avait vraiment pas l'air bien. Inquiet, je l'ai accompagnée pour sortir.

Une fois dehors je lui ai demandé si elle allait mieux, elle a légèrement détourné la tête pour me dire que c'était juste qu'elle s'ennuyait. J'ai vu son rictus discret, je me suis sentis exploser, je l'ai attrapée par le poignet et nous avons pris le chemin de la maison.



Nous sommes presque arrivés et son pas se fait plus lent. Je la regarde sévèrement et lui prends le bras pour la faire marcher plus vite. Une fois rentrés elle enlève son manteau et ses chaussures, elle prend son temps, ça m'agace.

- dépêche toi, va m'attendre dans le salon.

Je fais un passage à la salle de bain et me passe de l'eau sur le visage puis vais la rejoindre.

Elle est restée debout la tête baissée, je ferme la porte derrière moi et reste un instant face à elle. Elle n’en tient pas large, je sens qu'elle a peur, ça fait longtemps que nous ne nous sommes pas retrouvés dans cette situation.

Elle m'attendrit quand elle a cette attitude, j'ai envie de la prendre dans mes bras mais je ne laisserai pas passer ça.

J'attrape la boucle de ma ceinture, elle a un spasme dans le bras, ses jambes se font molles et sa bouche se tord, la sentence vient de tomber, j'ai une boule au ventre. Le bruit de ma ceinture qui glisse hors de mon pantalon contraste avec le silence de la pièce, je l'enroule et la repli pour l'avoir bien en main. Je lui montre le petit pouf en cuir, elle a compris, elle va s'agenouiller dessus.

- Ta robe.

Lentement elle la relève, puis se penche et met les mains par terre. Je m'approche d'elle en regardant ses fesses relevées, sage, prête à être punie. Je pose ma main sur son dos tendrement et la caresse légèrement puis glisse ma main dans l'élastique de sa culotte pour la baisser, elle redresse aussitôt la tête et bloque ma main, elle sanglote :

- S'il te paît... pardon...

J'attrape son poignet pour le bloquer contre son dos et achève de baisser sa culotte. Elle se met à gigoter. Je commence à la fouetter, elle gémit. J’enchaîne les coups, elle remue, bat des jambes, je frappe de plus en plus fort, de plus en plus vite, jusqu'à ce qu'elle glisse. Je la ramène à plat ventre sur le pouf, elle se débat. Je bloque ses deux mains dans son dos et reprend.
Elle pleure, ses fesses sont rouges, je suis éreinté, elle ne résiste plus. Je respire puis lui donne deux derniers coups qui résonnent avant de jeter ma ceinture.

Je caresse son dos, elle reste là. Je la relève et la prends dans mes bras.
Nocturnale

Nocturnale

Q
uand il se réveille cette nuit là, il n’est pas vraiment étonné de trouver la place vide à côté de lui. Elle ne changera jamais. Peu importe les fessées qu’elle prendra, elle continuera à n’en faire qu’à sa tête.

Un coup d’œil à son réveil finit de l’exaspérer… 2h34. Il est 2h34 et sa place froide indique sans aucun doute possible qu’il y a un certain temps qu’elle a déserté le lit. Bien sûr il sait où la trouver : sur le canapé, endormie devant la télé…

10 min sont passées… Il décide d’aller voir ce qu’elle fait. Et comme prévu, il la trouve endormie sur le canapé devant la télé qui continue de tourner. Tout à fait réveillé, il va chercher le martinet et le pose sur la table basse devant elle, puis il prend un livre et attend patiemment que la belle endormie se réveille.

Dès qu’elle ouvre un œil un peu plus tard, elle sait qu’elle va avoir des problèmes. De gros problèmes même. Il la laisse émerger un peu et lance les hostilités : « Bien dormi ? Le canapé est confortable ? »

Elle sait que la meilleure option est encore le silence… elle essaie d’éviter son regard et tourne la tête vers la table basse où l’attend le martinet… elle baisse la tête et murmure un « Mais non… »

« - Bien sûr que si. Tu es censé être au lit à quelle heure déjà ?

- minuit trente le week-end…

- Et on s’est couché à quelle heure hier soir ?

- minuit trente…

- donc tu m’as laissé m’endormir et tu es revenue en douce pour regarder ce concert que je t’avais dit de regarder en replay demain vu l’heure ?

- ….

- Je t’écoute ! »

Elle hoche la tête piteusement.

« - Très bien. Demain c’est au lit à 21h. Et maintenant tu baisses ton pyjama et ta culotte, le martinet a rendez-vous avec tes fesses.

- 21h ???? Mais non !!!!

-20h30 si tu préfères. Pyjama et culotte, dépêche-toi.

- Non 21h c’est bien…. On ne peut pas attendre demain pour la fessée ? J’ai envie de dormir….

- C’est de l’humour ? »

Elle sait que ce n’est pas le moment d’en rajouter… elle obéit et se met en position sur ses genoux pour la fessée tout en ronchonnant, ce qui le fait sourire intérieurement. Il remonte ses manches et commence à la main doucement mais fermement. Puis la cadence accélère et elle cherche à esquiver… c’est bon signe, c’est que la fessée commence à bien se faire sentir. C’est ce moment qu’il choisit pour ralentir et commencer la leçon. Il la sermonne et ponctue ses phrases par de lourdes claques.

Quand sa main quitte le sol pour passer prestement sur son visage, il sait que c’est le moment de conclure. Il la relève face à lui, et l’oblige à le regarder en lui soulevant le menton :

« - Rappelle-moi ce qui t’a valu cette fessée, s’il te plait.

- Je me suis relevée en douce pour regarder une émission alors que tu ne voulais pas parce que c’était trop tard.

- Et pourquoi je ne veux pas que tu veilles trop tard ?

- Parce que le lendemain je suis fatiguée, j’ai du mal à me lever et je suis de mauvaise humeur…

- Donc tu le sais tout ça… Tu as autre chose à me dire ?

- Je suis désolée… je ne recommencerai pas, je te promets…

- Tu ne m’as pas déjà dit ça la dernière fois ? »

Elle baisse la tête, coupable

« - Si…

- Et je t’avais promis quoi si tu recommençais ?

- Non… s’il te plait… je ne le ferai plus… j’ai compris »

Il la regarde et attend la réponse à sa question, les bras croisés sur sa poitrine, déterminé à ne pas céder.

« - Tu m’avais dit que j’aurais le martinet…

- Une promesse est une promesse, tu l’apprendras à tes dépends. Allez, mets-toi en position pour la fin de ta punition. »

Résignée, elle fait ce qu’il demande et attend avec appréhension le premier impact des lanières. Il en faut peu pour qu’elle se mette à pleurer et à promettre de ne pas recommencer…

Comme s’il allait la croire… Comme si elle-même y croyait d’ailleurs.

Mais qu’importe… Pour le moment, il était grand temps de rejoindre la chambre et de la consoler.
Une fessée libératrice

Une fessée libératrice

I
l est arrivé tôt dans l’après-midi, avait fait bonne route et était de bon poil bien qu’un peu fatigué.
J’avais hâte de le voir, lui de me voir aussi apparemment, il avait un large sourire aux lèvres et l’œil pétillant.
Je lui proposais de s’asseoir et de boire quelque chose, j’avais très envie de le bichonner.
Il m’attrapa par la hanche et me hissa sur ses genoux, bu tout tranquillement son verre en me racontant son voyage.
Il me regardait avec tendresse, et frottait légèrement le bout de son nez contre le mien.
Il était ravi que je porte une jupe, malgré le froid de l’hiver, et je grelottais un peu malgré mes longues chaussettes en laine.
- tu es toute belle.
- Merci.
Je posais ma tête sur son épaule, émue.

Après s’être détendu un peu, il me demanda si j’avais été sage pendant son absence.
- Euh oui tu sais bien
- Il ne m’avait pas semblé, j’ai du te punir à distance plusieurs fois et ton carnet doit être bien rempli aussi.
- Non, il n’y a pas grand chose dessus !
- Tu ne l’as pas rempli ?!
Remplir le carnet de mes bêtises prouvait juste qu’il avait la mémoire courte. Il n’était pas bien tenu à jour certes, mais il ne m’en parlait plus depuis un moment. J’avais juste écrit des choses intimes, des confessions… et dessiné tout un tas de petit cœurs avec son prénom à l’intérieur, comme si j’étais encore une collégienne.
Une bonne claque sur les fesses, et il m’envoya chercher le fameux carnet.
Après une lecture attentive et attendrie, il déclara que ce fouillis sans nom était une infamie et que je méritais une bonne fessée déculottée.
Je frémissais et gardais les yeux baissés, pendant qu’il me grondait.
- c’est inadmissible. Je suis déçu de ton comportement. Tu n’échapperas pas à une bonne fessée Mademoiselle !
Puis il m’attrapa par le bras et me conduisit à la chambre.
Sans que j’ai le temps de dire ouf, je me suis retrouvée sur ses genoux, la culotte baissée, recevant une fessée plutôt longue dont les claques s’abattaient avec une intensité qui montait crescendo.
Il continua à me gronder « comme une vilaine gamine », comme il disait…
Il s’arrêta quand je me mis vraiment à le supplier d’arrêter, et me fit lever. Je me frottais les fesses, même si j’avais mérité ma fessée je trouvais qu’il était un peu trop sévère avec moi.
– Garde la culotte baissée, je n’ai pas terminé avec toi.
Il plaça ensuite quelques coussins sur le lit. Puis commença à défaire sa ceinture. Son visage était devenu sévère.
- Non s’il te plaît, tu viens juste d’arriver, pourquoi attends non… Pas la ceinture
- Ça suffit !
Il pointa la pile de coussins et je me résignais à m’allonger dessus. La honte est toujours décuplée quand il faisait cela, car j’ai toujours eu l’impression que la vue qu’il a alors est un peu trop plongeante sur mon intimité…
Il souleva ma jupe à nouveau. J’essayais de remonter ma culotte mais il me claqua les fesses, avant de la baisser jusqu’aux chevilles. « Petite désobéissante ! »
Je n’étais pas fière.
« Voilà ta position, les fesses à l’air et recevant la bonne fouettée que tu mérites ! »
Il commença une fessée à la ceinture, sur mes fesses déjà bien échauffées.
Les coups suffisamment espacés pour que la morsure du cuir se transforme peu à peu en plaisir.
Shlaaaaaack….. shlaaaaaack……shlaaaaaaack….
La fenêtre étant ouverte, je m’imaginais que tous mes voisins savaient donc que je recevais la fessée.

Je fus soulagée quand il s’arrêta, car j’étais épuisée à force de gémir, chouiner, gigoter.
Je lui demandais pardon en sniffant.
- Pardonne moi, je ne désobéirai plus… snif, je te le promets.
- J’espère bien.
Je m’allongeais sur le dos pour reprendre mes esprits, le cœur battant la chamade, et il vint au dessus de moi pour me donner un tendre baiser.
Cette fessée semblait nous avoir rapprochés encore davantage, et elle avait été libératrice. Les larmes que j’avais au yeux étaient de bonheur.
Le soir quand nous fûmes au lit, j’eu droit à un gros câlin consolateur et un massage à la crème apaisante. J’en avais bien besoin.
Nous ne voulions pas dormir, il me posait mille questions, il voulait tout savoir de moi, de mon enfance à mes rêves pour l’avenir. Nous nous sommes confiés l’un à l’autre jusqu’au bout de la nuit.
Je m’endormis avec sa main protectrice posée avec amour sur mes fesses, apaisée et rassurée.

Depuis, je n’ai plus eu peur de rien.
Histoire by moi

Histoire by moi

(Le titre est pourri mais c'est celui d'origine de ce vieux truc ^^)

Ca faisait maintenant quelque temps qu'ils se connaissaient.
Au début, ils se rencontraient autour d'un jeu peu commun : elle était la vilaine fille et lui, se chargeait de la remettre dans le droit chemin en usant des bonnes vieilles méthodes d'antan... un sermon, une bonne fessée déculottée et éventuellement un petit tour au coin.
Ils avaient joué à ça quelques fois, puis le temps passant, une autre forme de relation s'était nouée, une amitié qui faisait qu'ils se retrouvaient avec plaisir pour un verre, un resto, un ciné etc. Il avait trouvé de nouvelles vilaines filles et elle avait trouvé d'autres genoux pour expier ses fautes imaginaires... ou réelles. Ce qui ne l'empêchait pas à l'occasion de la rappeler à l'ordre de temps en temps quand c'était nécessaire !

Aujourd'hui, ils avaient rendez-vous. Le programme de la journée n'était pas encore vraiment fixé, ils avaient parlé du Louvre ou d'Orsay. Mais aujourd'hui, elle était de mauvaise humeur. Sans raison. Tout l'agaçait. A commencer par le temps qu'il faisait, pas assez chaud pour s'habiller en été et pas assez froid pour se couvrir. Au final, elle s'était décidée pour une jupe mi-saison, un top à manche longues, son pull et des bottes, en priant qu'ils optent finalement pour un ciné vu la hauteur des talons. Le rer avait du retard, ça l'agaça encore davantage.
Quand elle arriva enfin au rendez-vous, avec 15 bonnes minutes de retard, il l'accueillit avec un sourire et un "Tu es en retard" de bon aloi... qui l'agaça terriblement.

"Non, JE ne suis pas en retard, mon RER lui l'était ! Mais sinon bonjour quand même"...

Il reconnu tout de suite les signes de mauvaise humeur et décida de les ignorer :

"Oui, peu importe... que faisons-nous alors ?"

"J'en sais rien, mais pas un truc où faut marcher des heures, j'ai des talons de 10 cm"

"Sachant qu'on avait prévu musée et qu'au musée on marche, tu n'aurais pas pu mettre d'autres chaussures ??"

"Si, j'aurais pu, mais j'ai mis celles-là . Donc ? Programme ?"

Là, elle commençait à lui communiquer sa mauvaise humeur... Elle était rarement comme ça, mais il la connaissait assez pour savoir que l'après-midi était mal enclenché.

"Je te propose qu'on se pose dans un café dans un premier temps, et là on en discutera, ok ?"

Elle acquiesça, non sans lever les yeux au ciel, ce qui provoqua une poussée de démangeaison dans sa main de fesseur aguerri. Le chemin se passa assez agréablement, elle semblait s'être calmée et la discussion prit le pas. Elle lui raconta ses dernières mésaventures avec ses collègues...

"Non, mais tu te rends compte ??? Merde quoi ! Comme si c'était à moi de faire ça !"

"Surveille ton langage..."

"Hein ?"

"Je te dis de surveiller ton langage"

"Non, mais c'est bon là, on n’est pas en train de jouer, je te raconte un truc !"

"Même. Je n'aime pas entendre ce genre de mots dans ta bouche"

"Ok... bah je dis plus rien"

Et elle tint sa promesse... ne répondant plus que par monosyllabes "oui", "non", "peu importe", "comme tu veux"... Dieu qu'elle était agaçante quand elle était comme ça ! Au bout d'un moment il soupira :

"ok, changement de programme, on va aller chez moi."

"Hein ? Pourquoi faire ??"

Il se planta devant elle et lui releva le menton, la forçant à le regarder bien en face :

"Tu me cherches depuis ton arrivée, ou plutôt tu cherches les ennuis depuis ton arrivée. Cette fois tu les as trouvé."

"Mais non !!! Je ne cherche rien moi !!"

Elle savait bien que si... Il avait raison... Il resta silencieux... à la regarder... et d'un coup, sous son regard, elle prit conscience de son attitude... et de ce qu'elle méritait...

"Je suis désolée... j'arrête...."

Mais cette fois, c'est lui qui semblait de mauvaise humeur... et pas vraiment décidé à la laisser s'en tirer à si bon compte. Il lui prit la main d'un geste autoritaire et l'entraina sur le chemin qui menait à chez lui sans un mot.

"T’es fâché ?"

"D'après toi ???"

"....... pour de vrai ?"

Il sourit intérieurement à cette demande, tellement enfantine, mais qui chez elle signifiait un début de reddition. Il ne prit pas la peine de répondre, préférant la laisser mariner un peu....


Les quelques stations de métro se passèrent en silence. Elle évitait son regard. Elle savait ce qui se passerait une fois arrivée à destination. Ca faisait longtemps qu'il ne lui avait pas mis de fessée mais elle se rappelait que les rares fois où elle les avait vraiment méritées à force de moqueries et de provocations, elle les avait bien senties passer.. . Rien à voir avec ces fessées, mises pour jouer... sans réels motifs... Elle aurait pu refuser, partir, mais elle savait qu'elle l'avait cherché et qu'elle en avait besoin. Elle la souhaitait tout en la redoutant. Et puis, elle avait besoin de sentir qu'elle était pardonnée ensuite, qu'il n'était plus fâché contre elle. Elle détestait ce côté qu'elle trouvait puéril, mais avait appris à l'accepter.


Une fois dans l'appartement, sa veste enlevée, son sac posé, elle resta planté en attendant la suite, mal à l'aise.

"Tu sais ce qui va se passer, n'est-ce pas ?"

Elle hocha de la tête en laissant s'échapper un petit oui timide, contrastant avec la belle assurance qu'elle affichait dans la mauvaise humeur, à peine une demi-heure avant.

"Et alors ? Que va-t-il se passer ?"

"..."

"Je t'écoute !"

"Tu vas me mettre une fessée..."

"Parfaitement oui. Et maintenant, tu vas enlever ta jupe, baisser ta culotte et aller réfléchir au coin en quoi ton attitude mérite une déculottée de première !"

Elle rougit jusqu'aux oreilles

"Non, s'te plait... J'aime pas... "

" Ce n'était pas une suggestion. Tu vas au coin. Moi, je vais me faire café pendant que tu médites"

Ce n'était pas la première fois qu'il l'envoyait au coin culotte baissée avant la fessée... elle détestait ça. Mais elle obéit. Elle enleva ses bottes, sa jupe et son collant, puis se dirigea vers le coin désigné. Une fois en place, elle soupira, et résignée, elle fit glisser sa culotte jusque mi-cuisse, provoquant une vague de honte qui fit s'agiter les papillons qu'elle avait dans le ventre. Sa culotte baissée ainsi lui rappelant d'une façon accrue ce qui l'attendait dans quelques minutes et empêchant son esprit de divaguer sur autre chose que son sort imminent.

Un café plus tard, elle l'entendit revenir.

"Allez... viens maintenant"

Lentement elle remonta sa culotte et s'approcha du canapé où il était assis... bien consciente du ridicule à être devant lui en petite culotte à scruter le tapis avec une attention sans faille... attendant le sermon qui n'allait pas manquer de commencer. Sa tête baissée le fit sourire. Des mots qu'il dit ensuite, elle n'en retint que quelqu'uns, échappés du flot de son discours... attitude... inadmissible... déçu... gâtée... caprice... puérile... punie... et enfin celui qu'elle redoutait mais qu'elle savait devoir arriver... fessée.

"Tu sais que tu la mérites, n'est-ce pas ?"

Sans le regarder, elle hocha de la tête...

"Alors viens, mets-toi en position, je t'attends..."

Doucement et en prenant garde de ne pas croiser son regard, elle s'allongea en travers de ses genoux. Elle le remercia intérieurement d'avoir choisi le canapé plutôt que la chaise, lui assurant à elle, une position bien plus confortable, et enfouit sa tête dans ses bras en attendant la première claque avec une certaine appréhension se demandant quel genre de fessée, il lui réservait... courte mais intense ? Longue mais modérée ?

Elle n'eut pas à se poser la question bien longtemps... sa main passant dans l'élastique de sa culotte lui signifia clairement qu'il avait opté pour une fessée déculottée qui lui ôterait son comportement de diva pour un moment. Elle le laissa faire, ne laissant échapper qu'un léger "oh non, pas ça..." auquel il répondit par un simple "oh que si...". Et la fessée commença enfin. Les claques étaient sèches, déterminées mais sans brutalité. Quand ses fesses furent d'un beau rosé, il s'arrêta, se pencha vers elle et demanda "ça va ?" Elle hocha de la tête et demanda timidement :

"C'est fini ?"

"Ça dépend... penses-tu que la punition soit à la hauteur de ton attitude si la fessée s'arrête là ?"

Elle détestait quand il faisait ça... elle resta silencieuse quelques instants, puis souffla à regret :

"Non... je ne pense pas"

"Très bien... je suis d'accord, continuons alors..."

Il reprit la fessée, et bientôt l'intensifia, n'hésitant pas à la fesser plusieurs fois au même endroit, lui arrachant plaintes et gémissements. Elle commença à gigoter, à essayer d'amoindrir l'intensité des claques en remuant ou en essayant de le faire changer d'endroit, mais ne réussit qu'à lui faire resserrer son étreinte et reprendre son sermon en le ponctuant de façon plus... percutante.

Réflexe malheureux, elle essaya de se protéger en mettant sa main... mais loin de lui saisir pour la maintenir, il opta pour la méthode consistant à taper plus bas, en haut des cuisses, provoquant de petits cris de détresse et des "non ! non ! pas ça ! s'te plait pas ça !".

"Retire ta main alors !"

Vaincue... elle retira sa main et ne tarda pas à se mettre à pleurer, résignée à subir sa punition sagement puisqu'elle ne pouvait y échapper...

Il continua la fessée pendant quelques minutes, puis ralentit son rythme progressivement, pour terminer par 3 fortes claques qui firent redoubler ses pleurs. Il la laissa pleurer en lui caressant cet endroit qu'il venait pourtant de punir sévèrement... puis lui caressa les cheveux pour l'aider à se calmer. Elle le laissait faire, puis attrapa sa main et l'embrassa furtivement.

"Pardon d'avoir été pénible... je regrette tu sais..."

"Oui, je sais, ne t'inquiète pas... allez, relève-toi et viens dans mes bras maintenant"

Il lui remit sa culotte en place et l'aida à se relever avant qu'elle se love dans ses bras. Il l'embrassa sur le front puis demanda :

"C'est bon ? Tout a été évacué ?"

Elle sourit et souffla un "oui" suivi de près d'un "merci" presque inaudible... Les pleurs avait enfin lavé son humeur de ce qui la contrariait tant... la laissant enfin relaxée... les fesses brûlantes et douloureuse certes, mais l'esprit tellement plus apaisé 
Deux couples et la fessée

Deux couples et la fessée

Lorsque Marie-Agnès et moi emménageâmes dans notre nouvel appartement de l’avenue Ledru-Rollin, nous étions mariés depuis trois ans et nous avions l’un et l’autre presque 30 ans. Nous nous plûmes tout de suite dans cet immeuble haussmannien où nous disposions enfin du spacieux appartement rénové dont nous rêvions depuis longtemps. Le voisinage était en outre agréable et nous nous liâmes très vite avec un couple qui s’était montré très amical et complaisant avec nous au moment de notre emménagement. Robert et Suzanne étaient nettement plus âgés que nous : ils approchaient tous deux la soixantaine, c’est-à-dire qu’ils avaient à peu près l’âge de nos parents. Robert était un homme de taille moyenne, massif, avec une belle chevelure blanche et Suzanne, en dépit de ses 58 ans et de ses cheveux gris, était restée une belle femme, grande, avec des formes harmonieuses. Ils avaient tous les deux l’esprit ouvert et, en dépit de la différence d’âge, nous devînmes rapidement des amis intimes. Nous parlions très librement de tout avec eux, même des choses les plus personnelles touchant notre vie de couple. Nos relations avec eux prirent une tournure particulière un soir que nous dinions ensemble chez eux. La conversation en vint, je ne sais plus à quel propos, à rouler sur le sujet de la fessée. Robert et Suzanne soutenaient que si ce châtiment n’était guère à recommander pour les enfants, il ferait en revanche beaucoup de bien à certains adultes qui en avaient le plus grand besoin. Marie-Agnès et moi échangeâmes alors furtivement un regard complice car la fessée faisait partie de nos fantasmes communs et il nous arrivait de la pratiquer en prélude à nos ébats amoureux. Robert et Suzanne ne manquèrent pas de remarquer le trouble que leurs propos avaient créé chez nous. Robert se tourna alors vers Marie-Agnès et lui demanda : « Et vous, Marie-Agnès, il ne vous arrive jamais de mériter la fessée ? ». Marie-Agnès rougit comme une pivoine et répondit en baissant les yeux : « Si, cela m’arrive, et il arrive qu’Olivier me la donne ». Suzanne se tourna alors vers moi et me dit : « Ainsi, Olivier, vous fessez votre adorable petite épouse ! Mais vous-même, n’êtes-vous donc jamais puni ? ». Embarrassé, j’hésitais à lui répondre et ce fut Marie-Agnès qui le fit à ma place : « Si, dit-elle, je le fesse parfois, mais il ne sent rien ! C’est moi qui ai mal à la main, et donc, en fin de compte, c’est encore moi qui suis punie. Ce n’est pas juste ! ». « Il faut vous procurer un martinet », s’exclama Robert. « Non, lui répondit Marie-Agnès, j’aurais trop peur de mal m’en servir et de lui faire des marques ». Suzanne eut un petit sourire et dit en me regardant : « Vous avez raison, rien ne vaut la main nue pour corriger un postérieur qu’il soit masculin ou féminin, mais ce qu’il faut pour celui d’Olivier, c’est une main d’homme. Si vous le voulez, la main de Robert ferait très bien l’affaire. Le résultat est garanti, croyez-moi ! ». Ce fut à mon tour de rougir devant cette suggestion humiliante. La conversation se poursuivit sur ce thème, mais les choses n’allèrent pas plus loin ce soir-là.

Or quelques jours plus tard, Marie-Agnès et moi eûmes une violente dispute en raison d’une de ses étourderies. Nous nous étions donné rendez-vous au cinéma, après une journée de travail, mais à la sortie il nous fut impossible de récupérer notre voiture car Marie-Agnès ne se souvenait plus de l’endroit où elle l’avait garée. Il nous fallut la rechercher pendant près de deux heures, sous une pluie battante, avant d’y parvenir. De retour à l’appartement, j’étais d’une humeur massacrante et je l’accablai de reproches, en élevant la voix, et en la gratifiant de quelques épithètes malsonnantes. Je ne tardai pas à regretter mon emportement car Marie-Agnès et moi sommes très amoureux et j’eus rapidement honte des insanités que je lui avais dites. Toujours est-il que les échos de cette querelle étaient parvenus aux oreilles de Robert et Suzanne qui habitaient juste au-dessous de chez nous. Le téléphone sonna, je décrochai et j’entendis la voix de Suzanne : « Vous faites beaucoup de bruit, les enfants. Descendez chez nous, il faut que nous ayons une petite conversation ». Nous descendîmes donc et sonnèrent chez nos amis. Ils vinrent nous ouvrir et nous conduisirent, tout penauds, au salon. Après qu’ils se furent fait expliquer la raison de cette bruyante scène de ménage, Suzanne s’adressa à nous dans les termes suivants : « Vous méritez tous les deux d’être punis, vous Marie-Agnès pour votre étourderie et vous Olivier pour votre colère. Vous en êtes bien d’accord ? ». Baissant la tête, nous fîmes signe que oui. Robert prit alors la parole : « Quant à la punition, vous devinez, je suppose, en quoi elle va consister : nous en avons parlé l’autre jour ». Le rouge me monta au front en même temps que les battements de mon cœur s’accéléraient : était-ce possible ? Est-ce que cette chose allait vraiment se passer ? La voix de Suzanne mit fin à mes doutes : "C’est Robert qui va vous administrer la fessée à tous les deux, et de la même manière, car il est juste que vous soyez également punis" . Robert se tourna alors vers Marie-Agnès et s’adressa à elle, en la tutoyant pour la première fois : « Viens ici, relève ta jupe, baisse ta culotte et allonge-toi sur mes genoux ». Elle lui obéit tandis qu’il s’asseyait sur une chaise. Il l’attira vers lui et la coucha en travers de ses cuisses. L’ayant installée commodément il leva la main et entreprit de lui claquer les fesses, modérément d’abord, puis de plus en plus fort. Marie-Agnès a une peau très claire, très fine, très sensible et délicate qui rougit facilement : ses jolies fesses eurent à peine le temps de rosir qu’elles étaient déjà toutes rouges. Sous l'effet de la douleur Marie-Agnès ne pouvait s’empêcher de gigoter sur les genoux de Robert et, dans ses mouvements désordonnés, tantôt serrait et tantôt écartait ses fesses, nous montrant tout lorsqu'elle les écartait. Il ne fallut pas longtemps pour que son intimité n’eût plus de secrets pour Suzanne et Robert. Elle s’efforçait de supporter courageusement sa fessée, en serrant les dents, mais le rythme accéléré des claques de Robert et leur intensité croissante vinrent à bout de sa résistance. Elle ne put retenir des gémissements qui se transformèrent bientôt en sanglots. Ce fut le moment que Robert choisit pour arrêter la correction. Il lui caressa les fesses, glissant rapidement sa main dans sa raie, en lui disant : "Allons, c’est fini, ma grande, tu as été suffisamment punie". Elle se releva, les yeux encore brouillés de larmes, se rajusta et alla s’asseoir sur le canapé auprès de Suzanne qui la prit tendrement dans ses bras. « Allons, Olivier, c’est à ton tour », me dit alors Suzanne. Je me levai, empli de confusion et d’appréhension, et m’approchai de Robert, toujours assis sur sa chaise. « Allez, déculotte-toi, me dit-il, je vais te fesser ». Je me déculottai en tremblant, partagé entre le désir et la crainte, sous les regards de Suzanne et de Marie-Agnès que je sentais dans mon dos. Mon pantalon tomba sur mes chevilles tandis que mon slip s’arrêta en bas de mes cuisses. Robert m’ordonna de remonter ma chemise jusqu’à la taille puis me dit : « Allez, même position, même punition ». Je m’allongeai en travers de ses genoux, tout honteux. Il m’assujettit fortement, puis levant haut le bras, il entreprit de me fesser. Robert était un homme d’une grande force physique, de tempérament dominateur, qui avait exercé des fonctions d’autorité durant toute sa vie professionnelle et qui avait l’habitude d’être obéi. Sur ses genoux, je me sentais redevenir un petit garçon recevant la fessée paternelle. Mais ce fut une véritable raclée qu’il m’administra, une fessée magistrale, une fessée retentissante. Le bruit des claques résonnait dans tout l’appartement et, les cinq premières minutes, la douleur était à ce point cuisante que je ne pouvais me concentrer sur rien d’autre. Comme Marie-Agnès quelques minutes plus tôt, c’est toute pudeur oubliée que, bien malgré moi, je dévoilai mon intimité. Ensuite, quand je me fus un peu accoutumé à la douleur, c’est le sentiment d’humiliation qui reprit le dessus, humiliation d’être corrigé devant deux femmes, mais surtout devant Marie-Agnès : je ne risquais plus de faire le malin et de frimer devant elle maintenant qu’elle m’avait vu dans cette position ! Robert continua la correction jusqu’à ce que moi aussi j’eus les larmes aux yeux. Il me relâcha alors, me caressa les fesses de la même manière qu'à Marie-Agnès et les tapota en me disant : « Allons, c’est fini, tu peux te reculotter ». Après quoi, nous fûmes invités à nous demander pardon mutuellement Marie-Agnès et moi, ce que nous fîmes bien volontiers. Nous parlâmes encore un peu tous les quatre de la fessée que nous venions de recevoir, puis nous prîmes congé de nos amis non sans les avoir remerciés pour le châtiment mérité que nous avions reçu et non sans les avoir embrassés affectueusement. Une fois au lit, nous nous caressâmes mutuellement nos fesses brûlantes et nous fîmes l'amour avec une ardeur renouvelée.
Juste un oubli

Juste un oubli

E
lle est debout, au coin, mains sur la tête. Et elle est sage. Très sage. Trop sage même à y réfléchir… il la regarde, dubitatif, légèrement inquiet de ce calme inhabituel.

Déjà quand elle est arrivée, il l’a trouvé étrangement calme. Il lui a demandé son carnet et lui a dit d’aller au coin. Comme d’habitude. Il part du principe que s’il y a quelque chose à lire dans le carnet, c’est que déjà, elle mérite un tour au coin. Et évidemment, plus il y a à lire, plus le séjour au coin est long. Il ne se rappelle pas une seule fois où elle y soit allée sans rechigner.

Sauf aujourd’hui.

Au coin, elle fait attention à être le plus sage possible. Elle sait qu’elle va en prendre pour son grade dans quelques minutes. Faire profil bas lui a semblé être la seule chose à faire pour ne pas attiser les choses. Elle a oublié. Simplement oublié… Et lui aussi sûrement. Seulement c’est écrit, noir sur blanc dans le carnet qu’il est en train de lire. Et elle va avoir de gros problèmes. Encore plus que ce qu’elle savait déjà avoir. D’un coup, elle regrettait les quelques insolences qu’elle avait glissé ça et là en plus de ce qu’il lui avait dit d’écrire.

Il tourne une autre page et croit avoir trouvé la raison de ce calme inhabituel.

« - C’est bon, viens maintenant. »

Comme à son habitude, elle vient se placer devant lui, attendant que le sermon commence.

« - Tu me parais bien calme aujourd’hui. Il y a une raison particulière à ça ?

- Non… j’essaie d’être sage, c’est tout…

- hmm hmm… où est la punition que tu devais faire ? »

Ca y est… on y est… elle sent ses joues devenir rouges et baisse les yeux.

« - Je l’ai oubliée…

- Oubliée ? Chez toi ?

- Non… »

Devant son air perplexe, elle poursuit…

« - Je voulais la faire ! Mais je pensais avoir le temps et puis j’ai oublié… Je suis désolée !

- Tu te fiches de moi ? Les punitions que je te donne ne sont pas optionnelles !

- Mais je vais la faire… promis… j’ai juste oublié…

- Bien sûr que tu vas la faire ! Juste après avoir pris la fessée que tu mérites pour ta négligence ! Enlève ta jupe et ta culotte, tu ne vas pas en avoir besoin pendant un moment !

- Mais … ???!!

- Mais quoi ? Au lieu des 20 lignes à faire tranquille chez toi, ce sera 40 maintenant, cul nu sur cette chaise et les fesses bien rouges ! Obéis, dépeche-toi. »

Les joues aussi rouges que le seront ses fesses dans un moment, elle enlève sa jupe et sa culotte. Puis elle vient se placer honteuse sur ses genoux qui l’attendent.

La fessée est sévère d’entrée. Elle ne tarde pas à essayer d’esquiver les claques, interpose sa main qui se retrouve aussitôt immobilisée. Elle se met à donner de la voix en le suppliant de s’arrêter. C’est justement ce moment qu’il choisit pour la gronder de plus belle. Sa voix est ferme et sévère. La culpabilité, la douleur et sa déception la mène bientôt aux larmes. Elle abandonne toute fierté et reçoit la fin de sa fessée en pleurant.

Il l’aide à se relever et lui désigne une chaise, va chercher un stylo, des feuilles et une boite de mouchoirs qu’il pose devant elle.

« - Tu as interdiction de parler ou de bouger de cette chaise avant d’avoir terminé tes 40 lignes. Ensuite tu auras 20 coups de ceinture pour les 20 lignes non faites. Et après 20 min au coin, tu auras le droit de te rhabiller et tu pourras venir faire un câlin. »

Elle n’aura jamais été aussi sage que ce jour-là. Les lignes ont été faites en silence comme ordonné. La ceinture lui a tiré quelques larmes de plus et le coin a pour une fois été le bienvenu, elle a pu se calmer et ravaler la honte de cette punition. Et enfin… après, elle est allée se réfugier dans ses bras en enfouissant la tête dans son cou.

Merci à Doz pour son illustration
La chandeleur

La chandeleur

Dessin de Doz

– Qu’est-ce tu fais ?
– Des crêpes. C’est la chandeleur aujourd’hui.
– Tu m’as l’air bien énervée.
– Je suis pas énervée, non.
– Eh bien, on dirait pas. Tu martyrises ce pauvre batteur qui t’a rien fait.
– C’est les autres connes aussi, au boulot. Tu sais ce qu’elle m’a dit, la Duval, à la machine à café, devant tout le monde ? Que j’étais la feignante de base. Moi, une feignante ? Qui c’est qui reste le soir plus souvent qu’à son tour ? Qui c’est qui se prend la tête avec les dossiers dont personne ne veut ? Alors, merde ! Merde !
– Calme-toi, Alyssia !
– Alors, d’après toi, faudrait que je me laisse insulter sans réagir ?
– Il n’a jamais été question de ça. Et fais un peu attention. Tu mets de la pâte à crêpes partout.
– J’m’en fous !
– J’t’ai dit de te calmer, Alyssia !
– Évidemment, c’est facile pour toi. Tout seul toute la journée devant ton ordi. T’as personne pour te mettre les nerfs en pelote.
– Tu vas y vider la bouteille de rhum dans cette jatte ?
– Mais non, mais…
– Doucement, j’t’ai déjà dit ! Tu vas finir par en faire une !
– Je gère.
– T’as intérêt ! Parce que tu sais ce qu’on a dit. Et on était bien d’accord. La prochaine fois que tu casses quelque chose sous le coup de la colère ou de l’énervement, tu te prend une fessée. Il faut en finir avec ces espèces de crises qui t’attrapent de plus en plus souvent.
– Je sais, oui, mais je vais rien casser ! Oh, merde !
– C’était couru.
– Je suis désolée.
– Ce qui n’y change rien. Regarde-moi ça ! Non, mais regarde-moi ça ! Il y en a partout.
– Je vais nettoyer. Je vais ranger.
– Oui, ben après. Pour le moment on a beaucoup mieux à faire.
– Tu vas pas…
– Te mettre le feu aux fesses ? Si ! C’était bien ce qu’était convenu, non ?
– Laisse-moi une chance, Olivier ! Juste une !
– Je t’en ai laissé des dizaines de fois des chances. Alors cette fois, pas question que tu y coupes.
– Tu vas pas me taper avec ce truc ?
– Si, ce sera beaucoup plus efficace, tu verras. Allez, tu mets ton petit derrière à l’air et tu viens bien gentiment prendre place en travers de mes genoux. Là ! Prête ?
– Pas trop fort, hein !
– Mais non !

– C’était fort. Comment ça m’a fait crier !
– Je sais. J’ai entendu.
– Il doit être rouge, non ?
– Écarlate.
– C’est drôle, parce que tu sais quoi ? Ça me cuit, oui, mais en même temps je me sens toute calme maintenant, tout apaisée. Je me sens bien.
– C’était le but.
– Je vais ramasser les morceaux. Tout nettoyer. Et puis je vais en refaire des crêpes. Mais d’abord embrasse-moi ! Et puis, merci, Olivier, hein !

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