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LA TABLE, L’ÂNE ET LE BÂTON MERVEILLEUX

LA TABLE, L’ÂNE ET LE BÂTON MERVEILLEUX

Version fessologique d'un conte des frères Grimm

Il était une fois un tailleur qui avait trois fils et une chèvre. Comme la chèvre nourrissait toute la famille de son lait, il fallait lui donner de bon fourrage et la mener paître dehors tous les jours. C’était la besogne des fils, chacun à son tour. Un jour l’aîné la mena au cimetière, où il y avait de l’herbe magnifique, qu’elle brouta à son aise avec force gambades. Le soir, quand il fut temps de rentrer, il lui demanda : « La bique, es-tu repue ? » Elle répondit :
"Je suis bourrée,
Rassasiée,
Bé bée ! "
« Rentrons donc » dit le jeune homme ; et la prenant par sa longe il la mena à l’étable, où il l’attacha solidement. « Eh bien ! dit le vieux tailleur, la chèvre a-t-elle tout ce qu’il lui faut ?
— Oh ! dit le fils, elle est bourrée et rassasiée. »
Mais le père, voulant s’en assurer par lui-même, alla dans l’étable et se mit à caresser la chère bique en lui disant : « Biquette, es-tu bien repue ? » Elle répondit :
« Comment aurais-je pu manger ?
Sur les tombeaux je n’ai fait que sauter,
Sans voir un brin d’herbe à brouter.
Bé bé ! »
« Qu’est-ce que j’entends ! » s’écria le tailleur ; et sortant de l’étable il apostropha son fils aîné :
« Ah ! menteur ! tu m’as dit que la chèvre était rassasiée et tu l’as laissée jeûner. » Dans sa colère, il agrippa son fis au collet et le chassa sans ménagement de la maison .
Le lendemain, c’était le tour du second fils. Il chercha, le long de la haie du jardin, une place bien garnie de bonne herbe ; et la chèvre la tondit jusqu’au dernier brin. Le soir, quand il s’agit de rentrer, il lui demanda : « La bique, es-tu repue ? » Elle répondit :
« Je suis bourrée,
Rassasiée,
Bé bée ! »
« Rentrons donc, » dit le jeune homme ; et il la mena à l’étable, où il l’attacha solidement.
« Eh bien ! dit le vieux tailleur, la chèvre a-t-elle tout ce qu’il lui faut ?
— Oh ! dit le fils, elle est bourrée et rassasiée. » Le tailleur, qui voulait voir les choses par lui-même, alla dans l’étable et demanda : « Biquette, es-tu bien repue ? » Elle répondit :
« Comment aurais-je pu manger ?
Sur les fossés je n’ai fait que sauter,
Sans voir un brin d’herbe à brouter,
Bé bé ! »
« Le misérable ! s’écria le tailleur ; laisser jeûner une si douce bête ! » Et de la même façon que le premier il mit son second fils à la porte.
Le lendemain, ce fut le tour du dernier fils, qui, pour bien faire les choses, chercha des taillis garnis de belles feuilles, et mit la chèvre à brouter à même. Le soir, quand il s’agit de rentrer, il lui demanda : « La bique, est-tu repue ? » Elle répondit :
« Je suis bourrée,
Rassasiée,
Bé bée ! »
« Rentrons donc, » dit le jeune homme ; et il la mena à l’étable, où il l’attacha solidement.
« Eh bien ! dit le vieux tailleur, la chèvre a-t-elle tout ce qu’il lui faut ?
— Oh ! dit le fils, elle est bourrée et rassasiée. »
Mais le tailleur, qui n’avait plus de confiance, alla à retable et demanda : « Biquette, es-tu bien : repue ? » La méchante bête répondit :
« Comment aurais-je pu manger ?
Parmi les champs je n’ai fait que sauter,
Sans voir un brin d’herbe à brouter,
Bé bé ! »
« Engeance de menteurs ! s’écria le père ; aussi fourbes et aussi dénaturés les uns que les autres ! Mais je ne serai plus leur dupe ! » Et, hors de lui de colère il jeta son dernier fils hors de la maison.
Le vieux tailleur restait désormais tout seul avec sa chèvre. Le lendemain, il alla dans l’étable et se mit à la caresser en disant : « Viens, chère biquette, je vais te mener paître moi-même. » Il la prit par sa longe et la conduisit le long des haies vertes, aux places où poussait l’herbe à mille feuilles et aux autres endroits qui plaisent aux chèvres. « Cette fois, lui dit-il, tu peux t’en donner à cœur-joie. » Et il la laissa paître jusqu’au soir. Alors il lui demanda : « La bique, es-tu repue ? » Elle répondit :
« Je suis bourrée,
Rassasiée,
Bé bée ! »
« Rentrons donc, » dit le tailleur ; et il la mena à retable, où il l’attacha solidement. En sortant, il se retourna encore pour lui répéter : « Cette fois, tu es bien repue ? » Mais la chèvre ne le reçut pas mieux que les autres ; elle lui répondit :
« Comment aurais-je pu manger ?
De tout le jour je n’ai fait que sauter,
Sans voir un brin d’herbe à brouter,
Bé bé !»
Le tailleur, en entendant cela, fut bien surpris ; il reconnut qu’il avait chassé ses fils injustement. Et s'en alla vendre la chèvre au boucher.
Seul chez lui, il tomba dans un grand chagrin. Il aurait bien voulu rappeler ses fils ; mais personne ne savait ce qu’ils étaient devenus.
L’aîné s’était mis en apprentissage chez un menuisier. Il apprit le métier avec ardeur, et, quand il eut atteint l’âge voulu pour faire sa tournée, pour entreprendre son compagnonnage afin de se perfectionner auprès d'autres menuisiers, son maître lui fit présent d’une petite table en bois commun et sans apparence, mais douée d’une précieuse propriété. Quand on la posait devant soi et qu’on disait : « Table, couvre-toi, » elle se couvrait à l’instant même d’une jolie nappe en toile bien blanche, avec une assiette, un couteau et une fourchette, des plats remplis de mets de toute sorte, autant qu’il y avait de place, et un grand verre plein d’un vin vermeil qui réjouissait le cœur. Le jeune compagnon se crut riche pour le reste de ses jours, et se mit à courir le monde à sa fantaisie, sans s’inquiéter si les auberges étaient bonnes ou mauvaises et s’il y trouverait ou non de quoi dîner. Et même, quand l’envie lui en prenait, il n’entrait nulle part, mais en plein champ, dans un bois, dans une prairie, il posait sa table devant lui, et en lui disant seulement : « Couvre-toi, » il était servi au même moment.
Il eut enfin l’idée de retourner chez son père, espérant qu’il trouverait sa colère apaisée et qu’avec la table merveilleuse il serait bien reçu. Sur sa route, il entra un soir dans une auberge qui était pleine de voyageurs ; ils lui souhaitèrent la bienvenue et l’invitèrent à se mettre à table avec eux, parce qu’autrement il aurait bien de la peine à trouver de quoi manger : « Non, répondit-il, je ne veux pas de votre écot, mais je vous invite à prendre part au mien. »
Ils se mirent à rire, croyant qu’il voulait plaisanter ; cependant il dressa sa table au milieu de la salle et dit : « Table, couvre-toi. » Aussitôt elle fut couverte de mets comme il n’en était jamais sorti de la cuisine de l’auberge, et dont le fumet chatouillait agréablement l’odorat des convives, « Allons, messieurs, s’écria-t-il, à table ! » Voyant de quoi il s’agissait, ils ne se firent pas prier, et, le couteau à la main, ils se mirent à fonctionner bravement. Ce qui les étonnait le plus, c’était qu’à mesure qu’un plat était vide, un autre tout plein le remplaçait à l’instant. L’hôte était dans un coin et voyait tout cela sans savoir qu’en penser ; seulement il se disait qu’un pareil cuisinier lui serait fort utile dans son auberge.
Le menuisier et son aimable compagnie passèrent joyeusement une partie de la nuit ; à la fin ils allèrent se coucher, et le jeune homme, en se mettant au lit, posa près du mur sa table merveilleuse. Mais l’hôte avait des pensées qui l’empêchaient de dormir ; il se souvint qu’il y avait dans son grenier une vieille table toute pareille. Il alla la chercher sans bruit et la mit à la place de l’autre. Le lendemain, le menuisier, après avoir payé pour la nuit qu’il avait passée, prit la table sans s’apercevoir de la substitution et continua son chemin.
A midi, il arriva chez son père, qui le reçut avec une grande joie. « Eh bien, mon cher fils, lui demanda-t-il, qu’as-tu appris ?
— L’état de menuisier, mon père.
— C’est un bon métier, répliqua le vieillard ; mais qu’as-tu rapporté de ta tournée ?
— Père, la meilleure pièce de mon sac, c’est cette petite table. »
Le tailleur la considéra de tous côtés et lui dit : « Si c’est là ton chef-d’œuvre, il n’est pas magnifique ; c’est un vieux meuble qui ne tient pas debout.
— Mais, répondit le fils, c’est une table magique : quand je lui ordonne de se couvrir, elle se garnit des plats les plus excellents, avec du vin à réjouir le cœur. Allez inviter tous nos parents et amis à venir se régaler ; la table les rassasiera tous. »
Quand la compagnie fut réunie, il posa sa table au milieu de la chambre et lui dit : « Table, couvre-toi. » Mais elle n’entendit pas ses ordres et resta vide comme une table ordinaire. Alors le pauvre garçon s’aperçut qu’on l’avait changée, et resta honteux comme un menteur pris sur le fait. Les invités, famille et amis se moquèrent de lui et s’en retournèrent chez eux sans avoir bu ni mangé. Le père reprit son aiguille et son dé, et le fils se mit en condition chez un maître menuisier.
Le second fils était entré en apprentissage chez un meunier. Quand il eut fini son temps, son maître lui dit : « Pour te récompenser de ta bonne conduite, je te veux donner un âne. Il est d’une espèce particulière, et ne supporte ni le bât ni l’attelage.
— A quoi donc est-il bon ? demanda le jeune homme.
— Il produit de l’or, répondit le meunier ; tu n’as qu’à le faire avancer sur un drap étendu, et qu’à prononcer « bricklebrit » ; la bonne bête te fera de l’or, par devant et par derrière.
— Voilà un merveilleux animal, » dit le jeune homme.
Il remercia son maître et se mit à courir le monde. Quand il avait besoin d’argent, il n’avait qu’à dire à son âne « bricklebrit » : les pièces d’or pleuvaient sans lui donner d’autre peine que celle de les ramasser. Partout où il allait, le meilleur n’était pas trop bon pour lui et le plus cher était son lot, car il avait toujours là bourse pleine.
Après avoir voyagé quelque temps, il pensa que la colère de son père devait être apaisée, qu’il pouvait l’aller retrouver et qu’avec son âne il en serait bien reçu. Il entra sans le savoir dans la même auberge où son père avait déjà perdu sa table. Il menait son âne en laisse ; l’hôte voulut le prendre et l’attacher, mais le jeune homme lui dit : « Ne vous donnez pas cette peine, je vais moi-même attacher mon grisou à l’écurie, parce que je veux toujours savoir où il est. »
L’hôte, assez surpris, supposait qu’un voyageur qui voulait soigner lui-même son âne n’allait pas faire grande dépense. Mais quand l’étranger, mettant la main à la poche, en eut tiré deux pièces d’or et lui eut recommandé de lui servir du bon, il ouvrit de grands yeux et se mit à chercher ce qu’il avait de meilleur. Après dîner, le voyageur demanda ce qu’il devait ; l’hôte n’épargna rien pour grossir la note, et répondit qu’il lui fallait encore deux pièces d’or. Le jeune homme fouilla à sa poche, mais elle était vide. « Attendez un instant, dit-il, je vais chercher de l’argent ; » et il sortit en prenant la nappe avec lui.
L’hôte ne comprenait rien à ce que cela voulait dire, mais il était curieux ; il suivit le voyageur, et, quand celui-ci eut verrouillé derrière lui la porte de l’écurie, il y regarda par une fente. L’étranger étendit la nappe sous l’âne, prononça « bricklebrit », et aussitôt la bête fit tomber de l’or par devant et par derrière ; il en pleuvait.
« Malpeste ! se dit l’hôte, des ducats tout neufs ! Un pareil trésor n’est pas pour faire tort à son maître ! »
Le jeune homme paya sa dépense et alla se coucher ; mais l’aubergiste, se glissant la nuit dans l’écurie, enleva le grison qui battait monnaie, et en mit un autre à sa place.
Le lendemain matin, le jeune homme prit l’âne et se remit en route, croyant bien que c’était sa bête magique. A midi il arriva chez son père, qui se réjouit de le revoir et le reçut à bras ouverts.
« Qu’es-tu devenu, mon fils ? demanda le vieillard.
— Je suis meunier, cher père, répondit-il.
— Que rapportes-tu de ta tournée ?
— Rien qu’un âne.
— Il y a bien assez d’ânes chez nous, dit le père, tu aurais mieux fait de nous ramener une bonne chèvre.
— Mais, reprit le fils, ce n’est pas une bête comme une autre ; c’est un âne magique. Je n’ai qu’à dire « bricklebrit, » et aussitôt il en tombe des pièces d’or de quoi remplir un drap ; faites venir tous nos parents, je vais les enrichir tous d’un seul coup.
— Voilà qui me plaît, dit le tailleur ; je ne me fatiguerai plus à tirer l’aiguille. « Et il alla bien vite chercher famille et amis.
Dès qu’ils furent réunis, le meunier se fit faire place, étendit un drap et amena son âne au-dessus. « Maintenant, dit-il, attention ! « bricklebrit » » Mais l’âne n’entendait rien à la magie, et ce qu’il fit tomber sur le drap ne ressemblait guère à des pièces d’or. Le pauvre meunier vit qu’on l’avait volé, et, faisant bien triste mine, il demanda pardon aux invités qui s’en retournèrent chez eux aussi gueux qu’ils étaient venus. Son père fut obligé de reprendre son aiguille ; le fils se plaça comme domestique dans un moulin.
Le troisième frère s’était mis en apprentissage chez un tourneur, et, comme le métier est difficile, il y resta plus longtemps que ses deux aînés. Quand il eut fini son apprentissage et que le temps de voyager fut pour lui venu, son maître, pour le récompenser de sa bonne conduite, lui donna un sac dans lequel il y avait un gros bâton. « Le sac peut bien me servir, dit-il, je le mettrai sur mes épaules ; mais à quoi bon ce bâton ? il ne fait que l’alourdir.
— Je vais t’apprendre son usage, répondit le maître ; si quelques gens te font du mal, tu n’as qu’à dire ces mots : « Bâton, hors du sac ! » Tu verras, c'est amusant . Le jeu ne cessera que quand tu auras dit : « Bâton dans le sac ! »
Le soir même le jeune tourneur arriva sans le savoir à l’auberge où ses frères avaient été dépouillés. L'hôte remarqua l'attention qu'il portait à son sac, qu'il ne quittait pas, et pas même des yeux.
« Qu’est-ce que cela peut bien être ? pensait-il ; sans doute son sac est plein de choses précieuses. Je voudrais bien le réunir à l’âne et à la table, car toutes les bonnes choses vont par trois. »
Lorsqu’on se coucha, le jeune homme s’étendit sur un banc et mit son sac sur sa tête en guise d’oreiller. Quand l’aubergiste le crut bien endormi, il s’approcha de lui tout doucement et se mit à tirer légèrement sur le sac pour essayer s’il pourrait l’enlever et en mettre un autre à la place.
Mais le jeune tourneur, méfiant, le guettait depuis longtemps, et au moment où le voleur donnait une forte secousse, il s’écria : « Bâton, hors du sac ! » et aussitôt le bâton jaillit ; mais il lui avait poussé à une extrémité comme une sorte de chevelure constituée de grosses lanières de cuir qui en faisaient un puissant martinet et un peu en dessous deux crochets qui, agissant comme des mains déculottèrent promptement l'hôtelier, arrachant les vêtements plus que les abaissant ; et à l'autre extrémité s'était formée une corde qui comme une queue s'enroula autour des chevilles du voleur et l'immobilisa ; il restait de plus assez de longueur pour aussi, quand le bonhomme tenta de s'opposer à la descente de son pantalon, lui attacher les poignets derrière le dos : il ne restait plus à l'hôtelier après ces rapides préparatifs qu'à recevoir une cinglante et magistrale fessée.
Celle-ci ne se fit pas attendre, et à la douleur et la honte s'ajouta le ridicule quand les clients, réveillés, vinrent voir ce qui se passait. Bien que sanglé par la corde l'aubergiste se tordait de douleur, sautillait sur place ; au bout de celle-ci, dont la longueur pouvait vraisemblablement s'adapter à la taille de chaque puni, ou punie, le martinet avait gardé suffisamment d'amplitude et zébrait frénétiquement de rouge le postérieur dénudé ; près de tomber l'aubergiste pour éviter une chute qui aurait pu lui rompre quelque os s'agenouilla et tout en continuant d'être bien fessé se trouva ainsi dans une position propice à implorer le pardon.
Le jeune tourneur profita de la situation pour mener son interrogatoire : « Dis-moi, aubergiste, qu'as-tu volé ? Ces derniers temps ?
_Oh, pas grand-chose, une petite table, un âne…
_Pas grand-chose ? Alors pourquoi as-tu volé cette table ? et cet âne ? Si c'était sans valeur ? »
Et l'aubergiste avoua, entre deux hoquets de douleur, que la table et l'âne étaient magiques. Le jeune tourneur fit le rapprochement : si il avait eu en cadeau ce bâton magique, cette table et cet âne avaient pu être offerts à ses frères ; il demanda à son hôte de les décrire.
— Je vais tout expliquer, pleurnicha l’hôtelier d’une voix faible, et je rendrai tout ; fais seulement rentrer dans le sac ce diable maudit.
— Ce serait pourtant justice de continuer, dit le compagnon, mais je te fais grâce ; je t'écoute, mais si tu mens, je reviendrai. » Puis il ajouta : « Bâton, dans le sac ! » et le martinet revenu à l'état de simple bâton obtempéra.
L'aubergiste poursuivit dans le ridicule en tentant de réajuster à la hâte ses vêtements, et une dame fit remarquer que ce n'était pas la peine de se dépêcher maintenant qu'on avait tout vu.
La description qu'il donna correspondait bien aux deux frères et il indiqua les formules magiques pour obtenir un bon repas et des pièces d'or.
Le lendemain le jeune tourneur se remit en route pour la maison familiale, muni de provisions fournies gratuitement par l'aubergiste en guise de dédommagement et en emportant bien sûr son sac, ainsi que l'âne et la table de ses frères.
Le tailleur se réjouit de le revoir et lui demanda ce qu’il avait appris.
— Cher père, répondit-il, je suis devenu tourneur.
— Bel état, dit le père ; et qu’as-tu rapporté de tes voyages ?
— Une belle pièce, cher père ; un bâton dans un sac.
— Un bâton ! s’écria le père ; c’était bien la peine ! il y en a autant dans tous les bois.
— Mais pas comme le mien, cher père ; quand je lui dis : « Bâton, hors du sac ! » il s’élance sur ceux qui me veulent du mal, se transforme en fouet, les déculotte et les fesse jusqu’à ce qu’ils crient grâce. Avec cet instrument-là, voyez-vous, j’ai recouvré la table et l’âne que ce voleur d’hôte avait dérobés à mes frères. Faites-les venir tous les deux et allez inviter tous nos amis et toute notre famille, je veux les régaler et remplir leurs poches.
Le vieux tailleur alla chercher ces gens, bien qu’il n’eût plus grande confiance. Le tourneur étendit un drap dans la chambre, y amena l’âne et invita son frère à prononcer les paroles sacramentelles. Le meunier dit : « bricklebrit », et aussitôt les pièces d’or de tomber dru comme grêle, et la pluie ne cessa que quand chacun en eut plus qu’il n’en pouvait porter. ( LOL vous auriez bien voulu être là, ami lecteur.) Ensuite le tourneur prit la table et dit à son frère le menuisier : « A ton tour, maintenant. » A peine celui-ci eut-il prononcé : « Table, couvre-toi, » qu’elle fut servie et couverte des plats les plus appétissants. Il y eut alors un festin comme jamais le vieillard n’en avait vu dans sa maison, et toute la compagnie resta réunie et en fête jusqu’à la nuit. Le tailleur serra précieusement dans une armoire son aiguille et son dé et vécut en paix et en joie avec ses trois fils.
La table et l'âne servaient régulièrement : mais le bâton, prêt sur demande à se transformer en martinet ? L'histoire avait quand même circulé parmi les invités, et une amie et voisine d'une cousine vint un jour en parler au jeune tourneur ; il voulut savoir auprès de qui cet instrument magique allait servir ; en rougissant la jeune femme lui expliqua que c'était pour elle, qu'elle se sentait le besoin d'être recadrée, stimulée, sentant la paresse l'envahir, et que ce serait une bonne thérapie.
« Bon, d'accord, mais il n'obéit qu'à moi, ce bâton, comme la table n'obéit qu'à mon frère menuisier et l'âne au meunier ; il faut que je sois là, que je regarde.
_Ne me dis pas que ça va te déplaire ? de regarder ? Et ça te changera de l'aubergiste.
_Mais...ici ? Et devant les gens du village qui vont venir eux aussi venir regarder  ?
_ Ah non, on se retrouve ce soir un peu avant le coucher de soleil dans le vallon qui débouche à la clairière aux fées. »
Le jeune homme eut du mal à se concentrer sur ce qu'il entreprit en cette fin de journée et sans, bien que troublé, oublier le fameux sac, partit plutôt en avance vers la clairière aux fées et attendit dans le vallon ; elle ne tarda pas non plus à arriver, comme pressée d'en finir, avec ce à quoi elle s'était elle-même condamnée.
Après quelques échanges et considérations comme si de rien n'était, comme pour se mettre à l'aise, c'est elle qui rappela pourquoi ils étaient tous les deux là, en demandant ce qu'elle avait à faire, si elle avait quelque chose à faire.
« Je vais m'asseoir en travers de ce tronc d'arbre abattu et tu viendras t'allonger en travers de mes genoux ; l'aubergiste était debout mais a failli tomber ; je te tiendrai fermement, tu ne risques rien...côté chute !
_Ah ? Mais je risque quoi ?
_ D'avoir bien mal aux fesses, c'est du sérieux, tu sais. Je pourrais simplement te donner quelques bonnes claques, à la main…
_Non non non, je ne renonce pas , je ne flanche pas ; et je suis une vilaine fille, à venir ici retrouver un homme. »
Même comme jeune femme ce genre d'escapade était plutôt mal vu, et les forêts n'étaient pas toujours bien sûres.
Il s'assit et elle prit position.
« Cela dure longtemps ?
_ Ce sera selon mon bon vouloir...bâton, hors du sac ! » 
L'instrument s'adapta à la situation, releva les habits, jupe, jupon ; les crochets étaient cette fois plus longs, et ce fut fait sans précipitation ; de même pour tranquillement déboutonner le petit pantalon de tissu et en écarter les deux pans ; les fesses tranquillement mises à nu la fessée commença.
Lentement mais sûrement les lanières frappaient à coup réguliers, s'étalant bien lors de l'impact ; le martinet se relevait comme pour reprendre son souffle et retombait comme un métronome réglé sur moderato.
Il la tenait par la taille et au bout de quelques cinglades la punie le prit par la main restée libre, s' y cramponnant. Les premiers impacts l'avaient comme amusée, elle avait poussé de petits cris plutôt pour la forme, puis vinrent les gémissements. Elle se mit à remuer les hanches, à se contorsionner, puis son corps se raidit, se crispa, et s'affala alors que les gémissements devenaient de profonds soupirs ; il comprit, bien que non expérimenté, qu'elle avait atteint un sommet, et il mit fin à la fessée.
 « Bâton dans le sac ! ».
Elle poussait de longs soupirs, comme soulagée que ce soit fini, et laissant paraître une certaine satisfaction. Il lui caressa doucement les fesses, bien zébrées, avec les marques des lanières, ce n'était pas allé jusqu'au stade du rouge uniforme. Il continuait de la maintenir d'un bras et elle guida la main restée libre sous son corps ; celle-ci entreprit d'autres caresses alors que côté dos les fesses continuaient d'y avoir droit ; la satisfaction fut alors plus que certaine.
Comme repue elle resta ainsi quelque temps, puis s'agenouilla et dit « bâton hors du pantalon » ; il ne se fit pas prier pour se laisser dégrafer et elle lui montra à pleine bouche combien elle entendait lui aussi le satisfaire.
Ils rentrèrent chacun de leur côté en se promettant bien de se revoir : ce qui se fit.
Intrigués, ayant repéré les allées et venues, les deux frères cherchèrent à en savoir plus, mais là commence une autre histoire.
Mon service national 6 (Ma copine demande à être dominée et fessée)

Mon service national 6 (Ma copine demande à être dominée et fessée)

Le jeudi matin, réveil très calme en douceur et langoureux. Petits bisous, enlacés, pleins de caresses et de câlins. Pendant les caresses, je descendais bien entendu sur ses fesses, une des parties de son anatomie que j’adorais. Je les prenais à pleines mains pour les caresser, malaxer, pétrir, pour bien lui ouvrir les lèvres vaginales. Je la caressais partout, elle aussi d’ailleurs, et c’était loin de me déplaire, bien au contraire. Au bout d’un très long moment, nous décidâmes d’aller prendre notre douche ensemble. Une fois dans la douche, on ne pouvait pas trop bouger car ça glissait. Elle s’est mise à genoux devant moi et me fit une fellation comme elle sait si bien les faire. Une fois que j’ai joui, elle s’est relevée et nous nous sommes enlacés. J’ai pris un gant et son savon et le lui ai passé partout sur le corps. Je lui ai fait faire un demi tour et j’ai pris ses seins dans mes mains. Je les caressai et malaxai bien, pinçai entre deux doigts les tétons qui étaient déjà bien durs. Sa respiration s’accélérait, elle gémissait doucement et je descendis ma main à son pubis et lui passais un doigt puis deux entre les lèvres vaginales. Elle gémissait plus fort et elle passa sa main dans le dos entre nous deux et prit ma verge en main et me fit bander plus fort. Je l’ai penchée en avant les mains sur le rebord de la baignoire et lui ai savonné le dos puis ses fesses qui étaient un peu marquées par la précédente correction, son entrecuisse et ses cuisses. J’ai mis un pied à l’extérieur de la baignoire et lui ai relevé la jambe, et elle posa son pied sur le rebord de la baignoire. Et il se passa ce qui devait se passer, nous avons fait l’amour. (Heureusement qu’elle était plus petite que moi). Une fois que nous eûmes fait l’amour, toujours dans la baignoire nous nous sommes bien rincés. Pour la rincer je me suis mis derrière elle. Elle était penchée en avant, j’étais à genoux et je lui rinçais l’entrejambe et sa raie fessière à la main nue.
Elle commençait à se trémousser.Je lui mis quelques claques très légères et elle me tendit ses fesses comme pour un appel à la fessée.Ce que je me mis à faire en lui donnant dans des claques plus vives sur ses fesses mouillées. De bonnes petites claques retentissantes et ses fesses se sont mises à rosir et rougir assez vite. Un vrai plaisir pour ma vue. Je suis sorti de la baignoire et de la main gauche je l’ai caressée par devant et j’ai continué à la fesser doucement tout en la caressant en même temps. Vu dans l’état où elle était ça n’avait pas l’air de lui déplaire. Je lui donnais la fessée depuis un bon petit moment déjà quand elle se mit à crier mais pas de douleur. Je me suis arrêté de la caresser intiment mais je caressais toujours ses fesses bien rouges et bien chaudes. Très peu de temps après elle me dit: « Je veux que tu me donnes une vraie bonne fessée juste à la main.» Elle m’embrassa et se releva. Elle me prit par la main et tout nus, elle m’emmena dans la chambre.
Arrivés dans la dite chambre, elle prit l’initiative de m’embrasser tendrement, amoureusement. Je l’ai laissé faire puisqu’elle savait ce qu’elle voulait. En plein milieu du lit, elle installa le traversin plié en deux et par-dessus elle mit deux oreillers et s’allongea dessus. Ses fesses étaient bien surélevées (je pensais un peu trop à mon goût mais en fait non, ça s'était écrasé quand elle s'est allongée dessus!), ses jambes serrées, je me suis mis à califourchon dessus à la hauteur de ses mollets. Je la caressais partout sur les fesses et l'arrière des cuisses. J'ai voulu lui écarter plus les fesses qu'elles l’étaient déjà mais elle me repoussa mes mains. D'un coup je me souvins que pendant une de nos conversations, elle m'avait parlé qu'elle aimerait se sentir dominée, ne pas pouvoir se défendre. Ni une, ni deux, je lui dis de ne surtout pas bouger.
Je suis retourné dans la salle de bain pour y chercher deux torchons, un gant mouillé dans une petite cuvette et deux ceintures de robe de chambre. Je lui ai attaché la main gauche entourée d'un torchon au niveau du poignet au pied du lit gauche et de même pour sa main droite au pied du lit droit. Me sentir ainsi Maître de la situation me donna une bonne raideur et je lui fis sentir les effets de cette situation de domination sur l’état de mon sexe, ce qui ne lui déplut pas, vu les hums qu'elle fit. J'ai alors pu lui écarter les fesses à ma convenance sans qu’elle puisse m'en empêcher. Puis j'ai commencé à la fesser gentiment au départ, des petites claques légères pas trop appuyées mais assez sèches. Au bout de presque 5 minutes, je l'ai caressé partout sur les fesses et l'arrière des cuisses. Là j'ai pris le gant mouillé et l'ai caressée bien partout où je l'avais fessée. Je me suis levé pour aller dans le couloir près de la porte d'entrée, où se trouvait une patère en bois avec un petit tiroir. J'ouvris le tiroir pour prendre la paire de gants en cuir de son père et retournai dans la chambre la rejoindre.
Quand elle vit la paire de gants de son père, elle me dit: " Non pas avec les gants de papa ".«Et si ma fille» lui dis-je en rigolant. Je lui écartai les jambes et y pris position à genoux entre elles, de façon à ce que mes genoux soient à la hauteur des siens. Je repassai rapidement le gant mouillé partout, même dans sa raie fessière, et elle essaya de serrer les fesses. Mais je lui mis une très forte claque sur chaque fesse et elle poussa un hurlement. "Ma chérie je vais te donner ce que tu m'as demandé tout à l'heure, mais avec les gants en cuir de ton papa. Ça va te cuire ma chérie ".
J'ai enfilé les gants, puis continué à la fesser avec les deux mains. Comme si je jouais de la batterie avec ses fesses et l'arrière des cuisses. Je la fessais depuis plus de 5 minutes, mes claques étaient moyennes et un peu plus rapide que le début. Ses fesses avaient un beau rouge un peu pâlichon uniforme. Avec les gants, je donnais de bonnes claques. Les petits gémissements du début, la face de la tête sur le matelas ce sont transformés, en petits cris étouffés. Je me suis arrêté de la fesser pour la caresser avec les gants et la malaxer partout où c'était devenu très rouge. Elle avait plus aucune réticences à ce que je lui faisais.
J'ai enlevé les gants et les ai passés partout, et quand je les passais dans la raie fessière je remarquais la chair de poule et les soubresauts qu'elle avait. J’ai repris le gant de toilette un peu mouillé et le lui ai passé partout sur le rouge coquelicot qu'elle avait. Je lui ai bien massé les fesses et l’arrière des cuisses avec les mains mouillées, ça lui faisait du bien. Puis j'ai séché mes mains et remis les gants difficilement et j'ai continué à la fesser pendant deux à trois minutes très vite et très fort. J'ai retiré les gants et l'ai caressée, massée, câlinée, j’ai embrassé ses fesses et cuisses hyper chaudes pendant plus de 5 minutes. Je m'aperçus qu'elle avait les larmes aux yeux mais je ne voulais pas en rester là. Je lui dis: "
Pour finir ta bonne fessée ma chérie, tu vas compter 50 claques sur chaque fesse ". Je lui ai donné les 100 claques très fortes à en avoir mal aux mains. Elle a peiné à aller jusqu'au bout et elle en pleurait. Ses fesses étaient tellement rouges, quand j'appuyais mon doigt dessus ça faisait un point blanc. Dans la position comme elle était, sa raie fessière était devenue rouge ainsi que les lèvres vaginales. J'ai eu un peu peur car c'était la première fois qu'elle pleurait comme ça. Je l'ai vite détachée et me suis allongé à côté d'elle et l'ai enlacée pour la cajoler, câliner et caresser. Quand je lui touchais les fesses, elle me disait "Fais doucement, j'ai très mal". Au bout d'environ 10 bonnes minutes elle ne pleurait plus et respirait correctement. On s'est longuement embrassé, je lui caressais en même temps les seins et y descendis pour les prendre en bouche et lui mordiller les tétons .Je suis remonté et nous nous sommes embrassés. Ses yeux brillaient mais plus à cause les larmes. Je descendis ma main à son entrecuisse qui était bien mouillé et je suis allé retrouver ses fesses qui étaient encore chaudes. Je lui dis: " Est-ce que tu veux que je continue la fessée... ", elle me répondit:
"Non ça va, mais je veux bien que tu me fasses un très bon et très long massage avec le lait hydratant."Je lui répondis " Qu'il était pas question que je lui fasse pas ". Et elle me dit: " Rattache moi avant ".
Elle s'est remise dans la même position et je lui ai rattaché les mains. Les fesses bien en l'air et les jambes presque en grand écart. Je lui ai mis du lait hydratant une grosse noix sur chaque fesse et aussi sur l'arrière des cuisses. Je l'ai bien massée partout et sans oublier bien entendu de sa raie fessière pendant plus de trente minutes. Je l'avais bien excitée, un petit filet blanchâtre coulait de son vagin, j'y mis un puis deux doigts sans problème.
Elle me dit: "Baise moi et sodomise-moi s'il te plaît", et c'est ce que j'ai fait sans la détacher. Je lui donnais de bons coups de butoir et j'ai éjaculé sur sa raie. Je me suis laissé tomber, couché comme ça sur elle, et l'ai embrassée sur la bouche, la joue, dans le cou. Nous n’en pouvions plus, épuisés, et je l'ai détachée. Nous étions bras dessus, bras dessous et on s'embrassait quand elle me dit: " J'ai bien aimé et j’ai pris trois fois mon pied ". On s'endormit comme ça un peu plus d'une heure, puis la faim nous a fait nous lever. Une fois avoir mangé, nous avons repris une douche ensemble vu que ça collait un peu. Mais cette fois nous avons été sages du moins presque... Moi oui mais c'est elle qui se mit à genoux devant moi et me fit une belle fellation. Elle me garda dans sa bouche jusqu'à l'éjaculation. Une fois la douche terminée, essuyés, habillés, et qu'elle ait fait le peu de vaisselle, nous avons fait plusieurs jeux de société. C'était bien pour lui faire plaisir car je suis un très mauvais perdant. Ce jour là, j'ai fais un gros effort, on a joué au Monopoly, je devenais fou. Je me suis fait humilier en perdant tout, au bout de plus de 4 heures de jeu. Du coup j'ai mal réagi et j'ai jeté le jeu par terre. (Je sais que c'est pas bien). "C'est une réaction d'un gamin de 10 ans que tu viens d'avoir... Tu mériterais une fessée pour ça Gilles!
- Ça c'est dans tes rêves".
Avec le recul c'est vrai que cette fessée aurait été largement méritée. A cette époque j'étais très impulsif. Je m'emportais très rapidement à en avoir des problèmes. D'où l'endroit où j'ai fait mon service national.
Mais à ce moment là c'était moi le fesseur et pas elle qui donnait.
Du coup j'ai ramassé ma bêtise et elle m'a bien aidé en plus, et nous sommes allés nous balader pour me calmer. Une fois calmé, je me suis excusé. Au bout de 15 ou 20 minutes elle est revenue à la charge pour mon mauvais comportement et j'ai dit stop, que je m'étais excusé. Elle continua en me disant que je méritais quand même une fessée et lui ai répondu qu'il en était hors de question. C'était notre première dispute. Du coup une fois rentrés, on s’est couché de bonne heure pour la première fois, il était environ 23h. Une fois au lit on a boudé chacun de notre côté. Le lendemain nous étions tout calmes et on ne boudait plus. L'orage était passé.

Gilles18
Fessée inopinée

Fessée inopinée

FESSEE INOPINEE

C'était notre jour d'avoir à dîner les Gardon. C'était devenu comme un rituel depuis plusieurs années.
1 fois par mois, nous les invitions chez nous. Le mois suivant, c'était à notre tour d'aller chez eux.
Gardon était un ancien ami de classe du primaire au secondaire. Il était devenu un chirurgien dont le renom dépassait les frontières du département. Quant à moi, j'avais suivi une toute autre voie puisque j'étais commissaire de police. Nos femmes respectives s’étaient très vite entendues et étaient devenues les plus grandes amies du monde. Gardon et moi nous en étions très heureux.
Louise, ma femme avait toujours été d'une grande timidité qu’elle couplait avec une très grande maladresse récurrente. Ainsi, au début de notre mariage, je la sermonnais pour qu'elle apprenne à faire plus attention. Voyant que cela ne fonctionnait pas, je mis la discipline domestique dans notre foyer. Mon épouse recevait donc désormais régulièrement la fessée, une bonne et vraie fessée, allongée sur les genoux et qui se terminait toujours déculottée. Il y avait parfois, après, une mise au coin, fesses nues suivant le degré de gravité de la faute.
Ce soir-là donc, comme nous étions arrivés au dessert, mon épouse arrivait de la cuisine à la salle à manger portant sur un plat la succulente charlotte aux fraises qu’elle savait si bien cuisiner.
Comment s'y prit-elle ? Je ne sais. Toujours est-il que ma femme trébucha. Le gâteau aux boudoirs quitta ses mains et vint tomber sur le sol avec un floc sonore et en faisant comme une sorte de grande étoile par terre. Le sang me monta à la tête. D'une voix coléreuse, je l'enjoignis de ramasser vite fait bien fait et de nettoyer rapidement les dégâts qu’elle venait d'occasionner. J’ajoutais :
- Après cela, je saurais m’occuper de toi.
Elle répondit d'une voix douce et discrète :
- Julien.... je t’en prie....
Quand tout fut remis en ordre et qu’elle fut de retour à la salle à manger, je l’entraînais vivement vers le canapé où je l’étendais prestement à plat ventre sur mes genoux. Je soulevais sa robe d'un coup. Je commençais à lui donner une série de claques sur les fesses dont le son résonnait dans toute la salle de séjour. Elle battait dans l'air à qui mieux mieux ses jambes galbées par des collants fins et transparents.
Au bout d'un moment, j'entrepris de baisser sa culotte et elle le sentit. Elle chercha à agripper ma main qui était prête à faire ce geste tout en poussant un ample :
- Nooon !
Mais je repris sa main que je coinçais avec son autre sur son dos et je fis finalement tomber sa culotte. Son fessier était déjà bien rose bonbon. Ma main s’abattit comme un battoir sur sa croupe dodue et je frappais à droite à gauche à une vitesse effrénée. Secouant toujours ses belles jambes dans l’air, elle se tournait de droite ou de gauche. Ceci avait pour effet de lui faire serrer ou desserrer les fesses et dans ce dernier cas de bien nous laisser voir son intimité. Je finis par cesser mes claques, la fis se relever et lui dis de bien se rhabiller. Ce qu’elle fit rouge de confusion.
Quand à mes amis, j’avais remarqué furtivement dans le feu de l'action qu'ils se regardaient d'un air entendu. La femme de Gardon vint vers Louise, lui chuchota quelque chose à l'oreille et l’emmena vers la cuisine
Je pestais contre moi. Je me demandais comment j'avais pu avoir un tel accès de colère au point de fesser ma femme en montrant ses fesses nues devant nos amis venus partager le repas du soir avec nous.
Il est vrai que j'étais particulièrement tendu ces temps-ci. J'étais sur une enquête d'un crime depuis environ 3 mois, dont j'avais peu d'éléments et je ne savais pas par quel bout prendre pour arriver à sa résolution.


J'en étais à toutes ces pensées intérieures quand Gardon me tapota le bras et me dit d'une voix chaleureuse : - Tu sais ce que ma femme dit à la tienne ? Elle la console et lui fait part que nous ne sommes pas offusqués de ce à quoi nous avons assisté. En effet, c'est presque dès le début de notre mariage que j'ai donné régulièrement la fessée sur les genoux et culotte baissée à mon épouse. »
Sacré Gardon ! Il n'avait pas changé ! Toujours là où on ne l’attendait pas ! Lui ! Le plutôt menu de la classe et qui ne brillait pas particulièrement par ses notes.
Et j'avais, là, devant moi, mon ami chirurgien éminent, à la stature solide et qui me disait simplement qu'il pratiquait la discipline domestique dans son foyer depuis le début de son mariage et ce pour la paix et le bien être de son ménage....
Sacré Gardon !
Le choix de Nathalie (suite et fin)

Le choix de Nathalie (suite et fin)

…. La pochette n'était plus là.

- Mais c'est pas possible, elle n'a pu disparaître ? Jérôme se sentait comme paralysé.
Frédéric se tourna vers sa compagne.
- Mais qui s'est occupé du sac, c'est bien vous les filles ?
Malgré les rougeurs d'un coup de soleil naissant, les joues de June devinrent livides.
- Je crois que j'ai oublié la sacoche là bas.
- Non ! Mais ça va pas là ! Tu es sûr ? Pourquoi tu l'as oubliée et pourquoi l'avoir sorti d'ailleurs ? Il n'y avait aucune raison de le faire. Frédéric était à deux doigts de lui sauter dessus.
June pleurait.
- Mais c’était au cas où ? On faisait comme ça avec mes parents pour les pique-nique on cachait toujours les papiers. Et puis c’est vrai qu’on n’a pas toujours été à côté des affaires.
- MAIS CACHÉE OU ? OU L'AS TU CACHÉE ?
- Entre deux pierres, dans un trou que j'ai refermé.
- TOI TU NE PERDS RIEN POUR ATTENDRE !
En prononçant ces mots, on eut dit que Frédéric venait de lui annoncer son arrêt de mort. Le regard de June trahissait son effroi.

De son côté Jérôme semblait maintenant réaliser l'état du désastre. Il touchait le fond :
- En tout cas c'est foutu pour le concert !

Comme sonnés, ils mirent du temps à admettre qu'il ne restait en réalité qu'une seule chose à faire, retourner sur les lieux du pique-nique et récupérer la pochette, si pochette il y avait encore. Qui sait, si un promeneur égaré et curieux ne l'aura découverte.
Jérôme et Nathalie se proposèrent de s'y rendre seuls :
- … Ce n'est pas la peine qu'on y aille tous !
Mais Frédéric insista :
- Non nous y allons aussi, je ne nous vois pas attendre au bord de la route on ne peut même pas entrer dans la voiture. Et June devra assumer sa faute!
Sa compagne, surprise, le regarda inquiète.
Le groupe se remit en marche, ne cessant de déplorer cet incident et ruminer cet échec.
S'il y avait un concert à ne pas rater c'était bien celui-là. L'occasion ne serait pas près de se représenter. Sans compter tout cet argent gâché. Tout ça à cause d'une simple négligence.
- Mais ça se réglera ! Annonça Frédéric d'une voix contrariée.

June ne disait rien absorbé par ses pensées, elle semblait hors d'atteinte. A plusieurs reprises Nathalie marcha à ses côtés tentant de dédramatiser la situation. Mais June se contentait de répondre poliment.
Devant, les garçons marchaient ensemble, sérieux, ils discutaient, peut-être commençaient ils par se faire une raison et qu’heureux de se retrouver ils évoquaient des souvenirs ou parlaient de leur projets.

Une fois arrivés sur place, ils reconnurent vite le coin où ils s'étaient tant amusés. June se précipita sur la cachette et ouf, la pochette était encore là. N'était-ce pas après tout le principal ?

Ils pouvaient se considérer comme étant rassurés, même si l'objectif principal de la journée avait lamentablement échoué. Il leur faudrait certainement encore du temps pour surmonter leur frustration.

Il s'accordèrent quelques minutes de repos avant de reprendre pour la quatrième fois le même chemin.

Tout à coup Frédéric se leva.
- Avant de partir je tiens absolument à mettre les choses au point. Avec Jérôme nous avons discuté et il nous semble important de ne pas en rester là, car finalement cette situation ne peut entraîner que des rancœurs qui pourraient bien peser sur notre relation pendant la semaine qui vient. Il nous semble important de punir la ou … "les" coupables. June est une fille très négligente, vous en avez eu la preuve et ce n'est pas la première fois qu'une telle chose se produit. A cause d'elle nous avons raté le concert. Elle doit maintenant se faire pardonner et elle sait très bien ce qui l'attend. Pour marquer le coup j'estime normal de la corriger devant vous et croyez-moi elle va avoir droit à une copieuse fessée qui lui servira de leçon !

Il y eut un silence de stupéfaction du côté des filles. C'est la première intéressée qui le rompit les yeux en larmes.
- Non Frédo s'il te plaît, pas devant nos amis. C'est la honte !
- Justement June, c'est exactement cela qu'il te faut ! La honte d'être punie devant eux. Tu t'en souviendras chaque fois que tu les reverras et pour la prochaine balade, crois-moi tu ne seras pas prête de recommencer.
La voix de Nathalie se fit énergique.
- Enfin, tu ne vas pas fesser June devant nous. C'est une erreur que chacun de nous aurait pu faire, nous sommes tous un peu responsables. Et moi particulièrement car c'est nous deux qui nous devions nous occuper du sac à dos. A ce niveau là j'assume comme June cette négligence.

Frédéric la reprit :
- J’ai dis la ou LES coupables. Il est vrai que si June s’est comporté de manière inqualifiable… Vous aviez malgré tout la responsabilité commune des affaires, c’est ce qui avait été établi avant de partir. De toute façon June n’y coupera pas. Si toi Nathalie estimes que tu as ta part à assumer, alors je serai prêt à alléger le sort de June, mais à la seule condition que tu sois prête à te soumettre à la même punition, c'est une question d'équité.Dans le cas contraire, il n'y aura de réparation que si June assume la totalité de la faute commise.

Nathalie se sentait véritablement interloquée ...
- Mais enfin, c'est ridicule !
- A tes yeux peut-être Nathalie, mais pas aux miens et ni d'ailleurs à ceux de June. Elle connaît parfaitement les règles que nous avons instaurées tous les deux et au fond d'elle elle est d'accord.

Nathalie se tourna vers sa nouvelle amie.
- C'est vrai June, tu te laisserais fesser comme ça devant nous ?

June semblait complètement déstabilisée.
- Oui c'est vrai, c'est lui qui décide et d'ailleurs c'est mieux. Sinon ce sera encore bien pire les jours prochains. Je préfère la recevoir maintenant. Mais laisse tomber Nathalie, toi c'est différent tu n'es pas comme moi, Tu n'en n'as pas besoin comme moi de te faire pardonner et de toute façon c’est ma faute, elle me revient en totalité.

Nathalie se tourna vers Jérôme qui jusque là était demeuré passif
- Et toi Jérôme, tu penses quoi ?
Jérôme semblait embarrassé.
- Moi je suis catastrophé pour le concert, mais en même temps ce n'est pas la mort, tout le monde survivra. Perso je suis contre les fessées, mais là, la faute est grave et peut peser sur l’ambiance.

- Mais ça ne te gênerait pas que June reçoive une fessée pour ça, et devant nous en plus ?

- .… C’est une affaire entre eux.

- Et pour moi aussi qui suis responsable quand même, ça ne te gênerait pas de me voir fesser par Frédéric, comme une gamine ?

- ... Si bien sûr, mais c'est à toi de décider. Je connais Frédo et je sais que rien de toute façon n'arrêtera sa décision pour June. Si elle est d'accord et qu'ils s'arrangent comme cela je n'ai rien à dire. Après… C’est vrai encore une fois qu’il y avait une responsabilité partagée. Si tu estime devoir assumer toi aussi la punition je ne m’y opposerais pas.

Nathalie se senti soudain interloquée et choquée par la réponse de son compagnon. Jamais elle n'aurait imaginé vivre une telle situation. Elle savait qu'il y avait là dedans quelque chose d'absurde, injuste et démesuré. Comment un garçon aussi sympathique et évolué que Frédéric pouvait envisager de fesser non seulement sa compagne mais aussi celle de son meilleur ami. Tout ça tenait du délire.
Elle savait qu'elle devait garder une position ferme et refuser de rentrer dans cette logique. Elle devrait remettre Frédéric à sa place, s'opposer à la toute puissance de ce garçon et dénoncer la lâcheté de son compagnon. Peut-être même envisager une séparation car ça allait vraiment trop loin.
Dans ce cas là, c’est certain un poids terrible pèserait durant cette semaine de vacance.

Et puis en même temps quelque chose de profondément enfoui en elle l'empêchait de suivre cette voie. Elle ne trouvait pas la force de contester encore moins de se révolter, quelque chose la dépassait. Comme si confrontée devant une faute très grave elle se sentait paralysée et incapable de la moindre réaction pour empêcher ce qui allait se jouer maintenant et dont elle allait elle-même se retrouvait partie prenante.

Il y eut un silence qui fut vite interrompu par Frédéric.
- Bon, nous n'avons pas toute la soirée devant nous. Le jour va tomber et nous avons encore du chemin à faire. Je vais commencer par administrer une première fessée à June, ensuite Nathalie tu te dis prête a assumer aussi ta responsabilité, mais avec Jérôme vous ne fonctionnez pas du tout comme ça et tu reste donc libre, tu me diras alors si toi tu veux prendre ta part. Si c'est non, et je ne t'en voudrais pas j'en finirai avec June car pour moi elle aura mérité cette deuxième fessée qui ne sera pas moins forte que celle qu’on t'aurait donnée.
Quand à toi June enlève ton short et ta culotte attends moi là !

Il s'absenta un instant en s'enfonçant dans les broussailles. June très embêtée au bord des larmes fît tomber short et culotte comme tout à l'heure avant le bain. Son tee-shirt qui lui descendait au niveau du nombril ne cachait pas son intimité entièrement épilée.
- je suis désolée pour vous, je suis vraiment désolée.
Jérôme éprouvait une grande pitié.

- C'est nous qui sommes désolés pour toi June. Veux-tu que nous vous laissions un moment ?

- Non, il ne voudrait surtout pas. Nathalie tu es vraiment gentille, ça me va droit au cœur mais s'il te plaît laisse le me fesser jusqu'au bout. Toi tu n'as rien à voir la dedans. Ce n'est pas à toi de recevoir une fessée, c'est moi la vraie fautive. Et j'ai l'habitude de toute façon, ne t'inquiètes pas pour moi.

Nathalie voulut répliquer quand Frédéric reparut, il tenait dans sa main une poignée de tiges flexibles qu'il venait de couper et dont il arrachait les feuilles.
Puis il retira son tee-shirt, histoire de se sentir plus à l'aise. Nathalie l'observait ses bras musclés lui provoquèrent un pincement au cœur.
Frédéric s'assit sur une sorte de banc en pierre naturel. Il fit signe à June de s'approcher. Elle effectua une sorte d'arc de cercle, comme pour tenter de retarder ne serait-ce qu'une poignée de secondes le moment fatal.

Aussitôt qu'elle le rejoignit, d'une main ferme il la fit basculer sur ses genoux. Les fesses bien exposées regard fixé au devant elle attendait résignée. Les coups commencèrent à s'abattre, réguliers sur la peau fine des fesses déjà brûlée par le soleil de midi. Ils continuèrent ensuite de très longues minutes. June, stoïque quelques instants, commença peu à peu à se contracter, des grimaces se dessinaient sur son visage, elle se contorsionnait. Quelques larmes tombèrent par gouttes successives sur la pierre chaude. Cela durait, semblait ne jamais devoir finir mais au contraire s'amplifier, solidement maintenue toutes ses résistances du début tombaient les unes après les autres. On pouvait mesurer les plaintes et les gémissements qui se faisaient plus forts entrecoupés de hoquets.
"Et pourtant elle doit en avoir l’habitude pensa Nathalie tétanisée par ce spectacle.

Maintenant les coups se faisaient encore plus forts et plus puissants s’abattaient également sur les cuisses. Le corps semblait atteindre son maximum de tension, elle cherchait à s'échapper mais Frédéric la maintenait bien. A plusieurs reprises ses mains fines voulurent s'interposer et cherchaient à faire tampons pour protéger ses fesses extrêmement rouges. Mais Frédéric les bloquait. Il semblait avoir acquis une technique très éprouvée, autant pour provoquer la douleur que pour contenir les gigotements de sa compagne. Il était de toute façon beaucoup plus fort qu’elle, aucun échappatoire ne pourrait la soulager. Cela continua un moment et quand les sanglots et les implorations semblaient avoir atteint un niveau record Frédéric s'arrêta.
June se releva d'un coup, comme si elle avait été couchée sur des ressorts bloqués qui enfin se détendaient, elle se trémoussait de douleur en se frottant les fesses. Ce n'est que quand il se saisir d'une baguette fine et qu'il lui assena un coup cinglant sur le milieu des cuisse que June se résigna de mettre et garder les mains derrière la tête comme il le lui demandait, non sans trépigner sous l'effet de ce dernier coup très cinglant.
La baguette avait dessinée sur les deux cuisses une ligne bien nette qui commençait à bleuir.
June pleurait de toutes ses larmes.
Frédéric se tourna alors vers Nathalie.
- As-tu réfléchis ?
- ...
Nathalie resta paralysée, même avec la meilleure volonté du monde aucun son n'aurait pu sortir de sa bouche.

Alors Frédéric saisit à nouveau le bras de June pour lui faire reprendre place sur ses genoux. Les coups reprirent de plus belle, la capacité de Frédéric semblait inépuisable, en totale opposition au corps épuisé et vaincu de June qui n'était plus en mesure de contenir quoique ce soit. A nouveau cet affreux rythme reprenait.

- ASSEZ !

C'était Nathalie qui s'approchait. La colère reprenait le dessus. Sans attendre quoique ce soit, elle abaissa et enleva à son tour culotte et short.
C'EST BON JE PRENDS SA PLACE !

June ne se fit pas prier pour se relever une nouvelle fois.
Aussitôt Frédéric se leva et faisait face à Nathalie.
Tu es vraiment sûr Nathalie ? Je ne veux en aucun cas que notre relation soit entachée à cause d'une fessée. !
- June a assez reçu, je ne veux plus qu'elle reçoive plus, c'est à moi maintenant !

En s'installant sur les genoux de Frédéric, Nathalie n'en menait pas large mais elle ne put s'empêcher de ressentir une sorte de satisfaction d'un devoir de partage accompli.

La fessée fut terrible. Bien qu'elle soit novice en la matière, Frédéric ne semblait pas pour autant vouloir l'épargner. On aurait dit qu'à partir du moment où elle avait accepté le partage qu'il prenait soin à respecter une totale équité. Le derrière de Nathalie, plus large mais aussi rebondi que celui de June s'empourpra très vite au rythme des claquements et les tressaillements du début devinrent très rapidement contorsions
Nathalie put constater comment les main de Frédéric frappaient vite et fort. Beaucoup moins habituée et résistante que June, les larmes abondèrent presque immédiatement. Elle émit une sorte de gémissement aigus qui surprit tout le monde tant il contrastait avec son attitude habituelle de fille bien trempée. Là, elle semblait entièrement soumise à la force musclé de son fesseur.
Jérôme qui était resté totalement passif pendant la fessée de June oscillant entre pitié et excitation se trouvait maintenant mal à l'aise. Au fur et à mesure que le rythme et l'intensité montaient, il se rendit compte qu'il ne pouvait abandonner Nathalie aux mains si fermes de Frédéric. Jamais il n'aurait imaginé que son ami puisse se donner à fond pour de simples fessées même pour celle de sa compagne.

- Je prends le relais !

Nathalie, étourdie par le feu d'artifice qui venait de s'abattre sur son postérieur, se leva non sans soulagement et se sentit plus rassurée quand elle s'allongea sur les genoux de son amant.
En effet, celui-ci se montra beaucoup moins virtuose et la fessée sous ses mains devint presque supportable.
Ce fut un soulagement également pour June qui, les mains derrière la tête, observait le supplice de son amie qui se sacrifiait pour elle.

Frédéric, de son côté, se rendit bien compte de la différence de traitement mais n'osait pas critiquer Jérôme. Il se contentait parfois de lui donner des conseils et de lui indiquer les parties des fesses et des cuisses les plus sensibles là où les coups présentaient le plus d'impact. Jérôme suivit ses conseils et effectivement Nathalie se crispait davantage. Mais jamais Jérôme ne franchit certaines limites comme le faisait sans état d'âme Jérôme.

Quand ce fut terminé, Nathalie se releva avec soulagement, les fesses très en feu malgré tout . Cependant le répit ne dura qu'un court instant. D'abord tout comme June elle ne put s'empêcher de se frotter l'arrière train avec vigueur mais elle remarqua tout de suite la main de Frédéric qui s'emparait d'une baguette. Elle comprit tout de suite ce qui se préparait et comme June elle leva aussitôt les mains derrière la tête pour éviter un coup. Mais malgré tout Frédéric s'approcha d'elle observant ses cuisses, prêt à lui asséner un coup pour lui strier la peau comme il l'avait fait avec June en guise d'avertissement. Elle fut à deux doigts d'en recevoir à son tour. Peut être la présence de Jérôme y fut pour quelque chose, mais il abandonna. Elle respirait..

- Bon on passe à la deuxième partie !

La phrase tomba comme un couperet, Nathalie ne s'attendait pas à un deuxième acte car elle s'était imaginée la séance terminée.

Frédéric conduisit June et la fit s'allonger sur la roche qui avait servi à la précédente fessée. Plaquée sur le ventre, les fesses bien relevées, June l'observait. Celui-ci mit la main à sa ceinture de son short, la déboucla, la retira méthodiquement et la plia en deux. Maintenant elle ne savait que trop ce qui l'attendait.
Puis il s'adressa à Nathalie : installe-toi à côté d'elle, nous gagnerons du temps.

Décontenancée, celle-ci jeta un regard anxieux à son compagnon puis résolue vint prendre position à côté de June. Les deux filles se trouvaient côte à côte, se touchant presque.. Frédéric ordonna à June de se hisser un peu plus haut pour que les deux fessiers se retrouvent au même niveau.
Ils s'adressa à Jérôme.
Je propose vingt coups chacune, chacun à notre tour.
La ceinture s'abattit sans retenue sur June qui tressaille en contractant ses deux lobes. Puis les autres coups tombèrent méthodiquement et très cinglants. Nathalie tourna légèrement la tête et observa les efforts que faisait son amie pour encaisser sans crier à chaque coup. La tension semblait terrible.

Puis arriva son tour, il n'y eut pas pause. Nathalie ne se montra à nouveau pas aussi résistante que son amie. Les gémissements reprirent, puis sa voix si particulière se fit entendre. A un moment donné, n'en pouvant plus, elle se releva.
Frédéric baissa le bras.
Bon, si tu veux, je termine sur June !
- Non !
Une fois de plus Nathalie ne supportait pas l'idée de voir June recevoir à sa place elle reprit courageusement position.
La séance repris, il restait encore une dizaine de coups à administrer. June toujours en position à ses côtés s'empara de la main de Nathalie qu'elle serra comme pour la soutenir dans l'épreuve. A chaque coup reçu, en réponse Nathalie lui serrait à son tour également, de plus en plus fort.

Une fois tous les coups administrés Frédéric passa la ceinture à Jérôme. D'emblée il se montra modéré en commençant par June. Il n'avait pas l'intention de frapper aussi fort que Frédéric, selon lui elles avaient déjà bien reçu et il cherchait au contraire à adoucir leur punition même en s'appliquant. Il commença doucement mais prit par le rythme des coups il se prit au jeu, après tout une correction était une correction et ce concert raté l'avait mis hors de lui. Il savait bien que pour June ce devait être une bonne leçon pour l'aider à prendre ses responsabilités à bras le corps. Et c'est oubli était trop sérieux pour le laisser passer comme ça. Il monta donc en force, et sans jamais l'atteindre, il se rapprochait de celle de Frédéric.

Au moment de passer à Nathalie, celle-ci tourna la tête et lui adressa un regard interrogateur comme pour lui dire : tu ne vas pas quand même frapper aussi fort ?

Faisant comme si rien ne pouvait l'atteindre, il tint le même rythme mesuré au départ puis de plus en plus fort. Pour apaiser Nathalie June lui prit à nouveau la main que serra Nathalie à son tour la serra fort, Jérôme lui aussi frappait fort.
Enfin ça s'arrêta, Nathalie n'aurait pas pu supporter un coup de plus. Mais elle avait tenu bon. Elle pouvait enfin souffler.

- Dix coups chacune, mais je préfère m'en charger tout seul je sais contrôler..
Elle tourna la tête et vit avec horreur que Frédéric s'était emparé d' une des baguettes les plus flexible dont il cherchait à en éprouver la résistance en la faisant plier.
- il vaudrait par contre que tu leur maintiennes les mains, il va y avoir de la résistance.
Jérôme se positionna face à June et lui attrapa les poignets. Celle-ci semblait effrayé par ce qui se préparait
- Non pas ça,.... pas ...

Schhhh...Tac

Le coup partit sec et cingla fort. Le souffle coupé, June chercha à s'extraire mais Jérôme la tenait bien.

ShhhTac

Le deuxième coup déclencha un cri perçant
Shhhtac

Les coups s’enchaînèrent, malgré les cris et les regards implorants qu'elle adressait à Jérôme. Celui-ci embarrassé ne la tenait que plus fermement tant les coups cinglants la faisaient réagir.
Pour Nathalie c’était un véritable calvaire que de sentir à côté d'elle qui souffrait et ne pouvait plus rien contenir, tout en sachant que son tour arriverait juste après.
Quand enfin le dernier coup siffla et s'abattit sur toute la largeur du fessier strié neuf fois Jérôme ne lâcha pas tout de suite et laissa June pleurer sans retenue plusieurs minutes.

- Ça fait trop mal … Je ne veux pas que Nathalie reçoive !

La réponse de Frédéric fut sans appel.
- Dans ce cas, les dix derniers coups seront encore pour toi. Prépare toi !

- NON PAS QUESTION !

Le visage en larmes, June se tourna vers Nathalie.
- Non, Nathalie tu as déjà assez reçu !

- il n'est pas question que je me débine June !

Jérôme s'empara de ses poignets pour la contenir et ils se regardaient dans les yeux quand le premier coup tomba. Il arracha aussitôt un cri à Nathalie qui ne s'attendait pas à une telle douleur. Frédéric fut plus prévenant dans l'application du coup suivant. Il frappait tout aussi fort mais lui laissait à chaque coup plus de temps pour pleurer et récupérer. Comme pour June, Jérôme s'appliquait à la maintenir ferme.
Au cinquième coup elle cria encore plus fort car le coup était tombé exactement au même endroit que le précédent. Elle mit plus de temps à arrêter ses pleurs. Une fois qu'elle réussit à se calmer, son regard se remplit d'une profonde angoisse dans l'attente du suivant.
Mais cette fois-ci ce n’est pas la baguette qui se fit entendre.

- C'est à moi de finir !

C’était Jérôme. Très décidé, il lâcha les bras de sa compagne qui se pressa de tempérer sa douleur en se frottant. Devant sa détermination Frédéric lui concéda sans commentaire la baguette. Au fond, c'était bien à Jérôme de punir sa compagne.

Il fallut insister pour que Nathalie accepte de se laisser à nouveau maintenir et cette fois par Frédéric et au moment où ils se retrouvèrent face à face elle ne put s'empêcher de lui adresser un regard de profond reproche, c’était à cause de lui qu’elle vivait cela, elle lui faisait sentir.
Maintenant, il lui restait encore cinq coups à tenir mais au moins elle savait que son compagnon serait plus clément.

SHTAAAC...

AAAAAAAAAH ! 


Son cri dut s'entendre loin, sûrement au-delà de la rivière tant la douleur la surpris. Jérôme avait non seulement parfaitement assimilé la leçon de son ami mais qu'il semblait vouloir le surpasser. De plus, il ne lui laissa pas le temps de se reprendre et les quatre derniers coups s’enchaînèrent comme s'il désirait vraiment finir en beauté.

Pendant que Nathalie se déversant en plaintes et en pleurs, Frédéric subjugué par la prestation de Jérôme s'adressa à lui.

- LA MÊME CHOSE POUR JUNE S’IL TE PLAÎT, ELLE LE MÉRITE BIEN.

- NOOON ! 

June qui avait assisté bouche bée aux aux derniers coups de Nathalie, implora son compagnon au moment où celui-ci lui saisit les poignets, elle répéta :

NOOOON ! 

SHTAC .... SCHTAC .... SCHTAC ... SCHTAC ... SCHTAC

Jérôme se montra particulièrement énergique et comme pour son amie, malgré l'habitude de recevoir, cette série avait largement dépassé la capacité de résistance de June et les deux filles pleurèrent de concert un bon moment.

Puis Frédéric qui tenait toujours June la fixa dans les yeux.

- Tu vois ce qu'il vient de se passer ! A cause de toi, non seulement nous avons raté le concert mais en plus tu as fait punir Nathalie à ta place. Tu peux vraiment la remercier pour ce qu’elle t’a évité !

-  Ouuuuuuh je m'excuse, c'est la dernière fois,..... Je ne recommencerai plus. C'est juré....

- .... Je l'espère.

C'était fini, les filles ne se firent pas prier pour se relever et une fois debout et que les fesses encore très brûlantes furent frottées autant qu’elles pouvaient l'être et elles s’enlacèrent en pleurant

- Merci Nath tu es la plus grande amie que j'ai jamais eue, jamais on avait fait ça pour moi, même ma sœur.

- Je ne suis pas prête d'oublier cette raclée.

Ensuite, comme dans un rituel éprouvé, June se précipita dans les bras de Frédéric la rédemption semblait enfin validée.

Gêné Jérôme regardait Nathalie.

- Excuse-moi Nathalie !

Elle se précipita aussi dans ses bras.

-  Ce n'est pas de ta faute, je sais que tu étais contre, je voulais soulager June.

Puis la voix de June se fit entendre . Son charmant accent british la rendait innocente.

- J'ai trop mal à mon derrière, je vais me tremper cinq minutes.

Elle se dirigeait à nouveau vers le plan d'eau, retirant la deuxième fois de la journée son haut pour plonger dans l'eau. De dos on pouvait voir son teint légèrement brûlé par le soleil contraster avec ses fesses d'un rouge intense qui virait au violet et zébrées de lignes bleues.

- SI TU PRENDS LE TEMPS DE NOUS RETARDER ALORS JE PRENDRAIS LE TEMPS DE T'EN METTRE UNE SECONDE TOUTE AUSSI CUISANTE. Et tu sais comme ça peut faire mal quand les fesses sont mouillées.

Comme ayant reçu une décharge électrique June stoppa instantanément sa course elle tourna vers Frédéric un regard de panique.

Vous voyez comme elle est ? A peine elle vient de s'en prendre une, et une bonne, qu'elle veut en faire qu'à sa tête, sans même nous demander notre avis ! Je ne sais pas ce qui me retient de recommencer.


Mais il fallait impérativement partir maintenant, les filles hésitèrent à se rhabiller tellement ça leur cuisait, elles se voyaient même marcher cul nu sur le chemin du retour, mais la peur de rencontrer des promeneurs les arrêta. L'opération s'avéra malgré tout délicate.

Le retour s'effectua calmement. D'abord ils marchaient par couple. Nathalie, encore sous le choc à côté de Jérôme, ils se tenaient par la main.

- Tu dois avoir très mal aux fesses, je suis désolée.

- C'est sûr, mais tu dis que tu mais je parierais que ça t'a excité, tu as dû bien te rincer l’œil avec June (elle désigna du regard son entre-jambe) et tu as bien fini par t'y mettre toi aussi, tu n'y allais pas de main morte, surtout à la fin, je ne t'en serais jamais cru capable !

- C'est vrai, avec June au début j'ai été surpris et ça m'a même excité. Mais après j’étais surtout gêné. En même temps il s'agissait d' une vraie punition, tu sais, ce concert j'y tenais vraiment, et puis ça devenait ridicule de faire semblant, j'ai joué le jeu. Et au fond tu étais partante.

- Pour ça tu l'as joué le jeu, et que trop bien. Moi, si je l’ai fait c’est que je me suis sentie responsable, je savais que June avait un problème à ce niveau et j’aurais dû vérifier et l’aider.

Mais toi tu étais bien contre les fessées au départ, tu ne vas pas me dire le contraire !

- Oui, bien sûr, mais en même temps, quand je vois comment Frédo et June fonctionnent, ça marche. Et c'est une manière d'assumer ses erreurs, de se corriger.

- Alors tu devrais aussi recevoir, toi aussi tu en fais des conneries et pas des moindres, ça ne marche pas que dans un sens, désolée !

- Oui, tout à fait, il ne doit pas y avoir d'exception, quand on le mérite on assume !

- Alors dans ce cas je pourrais te punir moi aussi ?

- S'il le faut, oui ! Pourquoi pas ! Je l'accepterais, même si tu frappais encore plus fort et que ce serait mérité, je l'accepterais ! C'est une question de justice.

La réponse de son amoureux troubla Nathalie. Ainsi pour réparer ses erreurs lui aussi accepterait être puni. Elle ne manquerait pas de le lui rappeler dès que la première occasion se présenterait, et elle aussi saurait se montrer à la hauteur. Elle se voyait déjà prendre sa revanche.

Puis Nathalie marcha à côté de June.

- J'ai honte Nathalie pour la fessée que tu as dû recevoir, ça fait super mal ! Trop pour toi !

Nathalie ne put retenir un rire nerveux.

- C'est sûr j'ai cru que j'allais terminer ma vie sur ce rocher. Mais ne t'inquiète pas, j'ai voulu assumer comme toi et je m'en remettrai…. Mais dis-moi, tu as toujours été comme ça ?

- Oui, j'ai toujours eu besoin de fessées, j'en ai tellement reçues, tu ne peux pas savoir, celle là était particulièrement sévère. Mais je peux te dire qu'elles ont toutes été méritées.. Sinon je suis encore pire.. Frédo te le dira, plusieurs fois il a essayé de ne plus m’en donner, et il a vite compris.

Un moment passa.

Ce qui m'embête c'est qu'on nous a indiqué une plage naturiste ou on pouvait bronzer en intégral, on voulait y aller mais pas question de montrer mes fesses dans cet état, mes cuisses non plus ? Ce serait la honte.

- Fais voir !

Une nouvelle fois June baissa short et culotte pour laisser à son amie le soin de faire l'état des lieux. Effectivement c'était impressionnant.

- Il faudra bien attendre cinq ou six jours, peut-être vendredi. Et moi ?

Nathalie s'apprêtait à son tour à se faire examiner quand la voix de Jérôme l'arrêta :

- Sauf si vous vous en prenez de nouvelles ! CA NE TIENT QU’A VOUS !

Les deux garçons s'étaient discrètement approché d'elles, ils avaient tout entendu.

fin
Mon service national 2 ( ma cousine )

Mon service national 2 ( ma cousine )

Pour mauvais comportement envers un capitaine du camp où je me trouvais, je me suis retrouvé 10 jours au trou et quatre week-end bloqué ici sans sortir. J'étais au trou de 18h à 6h, de la fin de ma journée au début de la suivante. En avril 1979, j'ai eu enfin ma deuxième permission d'une semaine. J'étais hyper content de retrouver une partie de ma famille dans les Vosges. J'ai pris le train jusqu'à Epinal et prendre une correspondance pour prendre à l'époque une micheline. Ca n'existe plus maintenant. ( Pour ceux qui ne connaisse pas une micheline, c'était un petit train qui ne roulait pas très vite ). Le problème c'est que je me suis endormi dans la micheline et quand je me suis réveillé, j'avais loupé la gare où je devais descendre. La micheline venait juste de repartie et j'ai donc sauté de celle-ci. Je me suis mal réceptionné et foulé la cheville. Je suis revenu à la gare qui se trouvait à environ 200 mètres, j'ai peiné pour la rejoindre en tirant la patte. J'ai téléphoné à ma tante pour qu'elle vienne me chercher. En fait c'est ma cousine qui m'a répondu, elle a 6 ans de plus que moi. Je lui ai expliqué ce qui se passait et elle m'a répondu que j'en manquait pas une de bêtises ( pour être poli ). Elle m'a dit qu'elle était seule donc que c'était elle qui allait venir me chercher. Au bout d'un peu plus de 30 mn elle est arrivée avec sa voiture. Une fois en route elle m'a sermonné qu'il serait peut-être temps, que je me calme avec mes bêtises et que je devienne un adulte. Je lui ai demandé pour qui elle se prenait et qu'elle n'était pas ma mère. Que je n'avais pas à recevoir de leçon de morale de sa part. Elle m'a répondu du tac au tac... écoute moi bien mon petit bonhomme, d'une part je viens te chercher parce que je t'aime bien et de plus t'es mon cousin chéri et d'autre part tu n'as pas à me parler de cette manière, tu vas voir je vais t'apprendre moi. Elle est entrée dans un petit chemin forestier et à environ 100 mètres de la route, elle à stoppé sa voiture. Elle est descendu de sa voiture et a ouvert la portière de mon côté, m'a mi une baffe que même encore maintenant quand j'y repense, je passe la main sur la joue. Puis d'une main elle m'attrapa mon oreille gauche et de l'autre main mon poignet gauche et me sorti de la voiture. Dans ma tête, je savais très bien ce qu'il allait se passer ( plusieurs fois avant mes 18 ans elle m'avait fessé ). Une fois dehors, elle m'a dit baisse moi tout çà en parlant de mon jean et slip. Je lui ai dis arrête je suis majeur maintenant... elle me répondit, vu ton comportement je ne crois pas non. Maintenant dépêche toi me dit-elle, à moins que tu préfères que je raconte tout ce que tu as fait à ma mère. Non ne lui dit rien s'il te plait c'est bon et j'ai baissé mon jean et slip à mes chevilles. Elle s'est assise sur le siège du passager, m'a attiré à elle et me suis allongé en travers ses genoux. Elle m'a fessé comme çà directement sur mes fesses nues. Mes fesses et la moitié de l'arrière de mes cuisses, étaient de plus en plus chaudes et je commençais à bien ressentir la douleur après de longues séries de claques. Au bout d'un bon moment, elle me dit de me lever et de me pencher sur le capot de la voiture et de ne surtout pas bouger sinon gare à toi. Elle coupa plusieurs brindilles de noisetiers et me donna bien une trentaine de coups avec bien forts sur les fesses et l'arrière des cuisses. J'avais à ce moment là, le feu au ... heuuu aux fesses. J'en ai crié et pleuré de cette correction. Elle m'a pris dans ses bras pour me calmer et lui ai demandé pardon. Enfin calmé, nous avons repris la route comme s'il ne c'était rien passé. Mais moi et les fesses nous savions ce qui venait de se passer. Nous sommes arrivés chez sa mère ( ma tante ), puisqu'elle vivait toujours chez elle mais pas pour très longtemps. Car deux plus tard environ elle avait son appartement. La semaine s'est terminé sans anicroche et ma tante me déposa à Epinal y reprendre mon train pour le retour à mon camp. Avec le recul je pense que cette correction était bien mérité car ça aurait très bien se passer très mal.
Poème lunaire

Poème lunaire

La lune est ronde en ce froid soir d'hiver.
dans la chambre éclairée par la clarté blafarde,
comme Ray Barretto, percussionniste hors paire,
mon amant de la nuit joue de ses mains gaillardes
à la fois des congas, darbouka et djembé
sur mes lombes offertes à sa maestria.

La paume qui ponctue d'un ton chaque caresse
guette un gémissement qui renforce son flux.
Elle s'exprime alors, mes barrières s'abaissent
guidée par mon galant, les mots sont superflus.
Mon corps est un octuor, Batucada vêprée
dont, par ses doigts cinglants, il fait l'inventoria.

Lui, je ne le vois pas, mais je sens son regard
admirer de son oeuvre l'inflammation diffuse
qui teinte d'incarnat mon fondement hagard.
Les joues de mon envers, tout en fard et céruse
éclipsant tous les astres, en cette nuit bleutée
sont frissonnantes et tendres comme des nymphéas.

Dans la clarté obscure, alanguie sur le lit,
ma lune pleine et rouge brille tel un rubis..
Mon service national 4 – Encore une fessée dominicale pour mon amie capricieuse

Mon service national 4 – Encore une fessée dominicale pour mon amie capricieuse

Après cette bonne fessée qui s'est déroulée le dimanche, nous avions déjeuné très tard. Elle avait les fesses en feu une bonne partie de la journée et bien sensibles. Nous avons fini cette journée dans les bras l'un de l'autre sur le canapé à regarder la TV car elle ne voulait pas sortir. Moi, la télé, c'est pas mon truc, sauf si ça m'intéresse. De l'après-midi au soir, je lui avais passé deux fois du lait hydratant juste sur les fesses et l'arrière des cuisses. Nous avions pas bien faim, on a donc dîné plus tard. Elle voulait encore regarder la TV. J'ai donc râlé et lui ai dit que je n'étais pas venu ici que pour regarder la TV. Elle a commencé à faire la moue, au bout de cinq minutes elle continuait toujours. Je lui ai dit: «Tu vas arrêter de faire ta gamine...» Elle me répondit qu'elle n'était pas une gamine.
«Ha bon, tu crois ça?», j'ai voulu l'enlacer pour discuter et elle me repoussa. Je lui ai dit: «Bien, comme tu veux, reste à bouder!», et je suis allé aux toilettes en me disant dans ma tête que soit elle agissait vraiment comme une gamine, soit elle me cherchait: c'est l'une ou l'autre.
En revenant, elle semblait toujours égale à elle-même. Je me suis assis à ses côtés et lui ai dit:
«Écoute-moi bien, si tu continues à agir de la sorte, je vais faire comme on fait à une gamine insupportable à savoir te donner la fessée que tu mérites.» Elle me répondit qu’elle n'en était pas une et me tira la langue. Elle était avec un T-shirt long qui lui arrivait presque aux genoux et dessous une petite culotte qui ne protégeait pas vraiment entièrement les fesses.
«En plus tu me provoques... Je te préviens que si tu continues comme ça, je vais te donner une bonne fessée.»
Elle me répondit:
«Même pas peur, t'es pas cap’.
- Ha oui tu crois ça? Avec ce que tu as reçu tout à l'heure, tu crois que je ne suis pas capable de t'en donner une autre? Bien, tu vas voir ça tout de suite si j'en suis pas cap’.» Elle était sur le canapé à côté de moi les jambes repliées sous elle. Je l'ai attrapée par le poignet et l'ai tirée en travers mes cuisses. Elle a essayé de se débattre et gesticuler. Pour la dissuader de continuer, j'ai retroussé son T-shirt et ai donné une trentaine de bonnes claques rapidement sur sa petite culotte. Elle s'est mise à crier presque immédiatement, elle devait certainement encore avoir les fesses douloureuses.
Au bout de cette série je lui ai dis qu'elle l'avait bien cherché et qu'elle était bien méritée. Elle m'a dit qu'elle avait fait ça pour rigoler et j'ai répondu que j'allais bien rigoler en la lui donnant, cette bonne fessée.
«J'espère qu'elle te fera réfléchir si une prochaine fois tu as l'envie de recommencer.»
Elle me dit qu'elle avait compris et recommencerait pas, c'est promis.
«C'est bien ma chérie et c'est dans ton intérêt de comprendre.»
J'ai continué à la fesser en relevant un peu mon genou droit afin de lui surélever son postérieur bien rebondi. J'ai remonté sa culotte dans la raie fessière et poursuivi sur ses fesses nues et l'arrière des cuisses. Les claques étaient moins fortes et moins rapides mais l'effet était visible. Elle commençait à bien gesticuler dans tous les sens, ses cuisses s'ouvraient. Je me suis mis à bien la caresser partout et entre les cuisses, j'ai glissé mon index et majeur sur sa petite culotte à l'endroit de sa vulve et c'était bien humide.
J'ai enlevé sa petite culotte, bien écarté ses cuisses et bien caressé partout, elle accentua d'elle-même sa cambrure, c'était très excitant. Ensuite j'ai continué à la fesser plus doucement uniquement sur les fesses, pas trop mollement, juste ce qu'il faut pour qu'elle ondule et gémisse. A la longue, ses ongles commençaient à me faire un peu mal quand elle serrait ses mains sur ma cuisse et ma jambe. J'ai repris la fessée en lui donnant des claques retentissantes à merveille. Je lui ai dit: «Tu vas compter les claques au fur et à mesure.» Cinquante claques sur chaque fesse sont venues lui chauffer son popotin. LOL !
Au bout de cette longue série, elle sanglotait de plus en plus fort, j'ai donc terminé cette bonne fessée en lui donnant 20 très fortes claques sur chaque fesse qu'elle a dû compter à haute voix.
Elle a mis un long moment à compter les claques, car avec la bonne fessée précédente que je lui avais donné, elle a ressenti encore plus la douleur.
Une fois la fessée terminée, elle s'attendait à recevoir des caresses de ma part, hé bien non, je lui ai dit de se lever et de rejoindre le coin du mur que je lui indiquai. Elle était debout devant moi et elle me dit que c’était n'importe quoi, qu’elle n'était plus une gamine. Je lui ai répondu que son comportement de tout à l'heure c'était quoi? Et dans la foulée je l'ai mise un peu de biais et j’ai donné 10 claques bien appliquées sur chaque fesse et lui ai indiqué de mon index le coin qu'elle devait rejoindre. Elle a hésité et je lui ai demandé si elle voulait que je continue à la fesser avec la brosse. Du coup, ça a été le mot magique, elle est allée au coin du mur, les mains croisées dans le dos au dessus de ses fesses, sans y toucher pendant 15 minutes avec ma demande de surtout bien réfléchir à tout ce qui venait de se passer.
Elle pleurait et sanglotait fort. Pendant ce temps, je me suis bu une bière tranquillement et ai préparé le lait hydratant. Au bout de ces 15 longues minutes pour elle, je me suis de nouveau assis en plein milieu du canapé et lui ai demandé de venir me rejoindre. Elle était calmée et ne sanglotait plus mais elle avait encore les yeux bien rouges. Debout devant moi, je lui demandai: «Alors, que me dit ta réflexion?», et elle me dit: «Je ne recommencerai plus et te demande pardon.»
Je lui dis de venir s'asseoir à côté de moi. Je lui ai demandé si elle avait bien retenu la leçon et elle me dit que oui, qu'elle n’est pas prête de recommencer. Je l'ai prise dans mes bras et l'ai câlinée un moment. Ensuite je lui ai fait voir le lait hydratant et elle a tout de suite compris ce qui allait se passer. Je lui ai fait signe de prendre la position, ce qu'elle a fait sans hésitation et sans faire de chichi. Je lui ai glissé un coussin sous elle pour bien relever son fessier et écarter ses cuisses. J'ai bien passé du lait partout sur les fesses, l’arrière des cuisses et l’intérieur de celles-ci. Je lui ai introduit deux doigts très facilement dans vagin tellement elle était trempée puis un troisième. Elle gémissait et ondulait de plus en plus sous mes caresses, pour mon plus grand plaisir, et le sien aussi à priori. D'un coup elle se laissa tomber à mes pieds et se jeta sur mon slip, le seul vêtement que je portais et me l'enleva, me tira sur le rebord du canapé et m'écarta les cuisses et s'occupa de moi. Ça devenait une tradition, en fait, qu'après chaque fessée j'avais le droit à une magnifique fellation pour mon plus grand plaisir et je n'allais pas m'en plaindre, évidement. Elle m'avoua plus tard qu'en fait elle prenait autant son pied que moi à me prodiguer cette caresse très intime.
Du coup ça nous a ouvert l'appétit et nous nous sommes restaurés. Après, nous avons regardé la TV, on se câlinait et on la regardait pas trop en fait. Elle prit la décision d'aller dans la chambre pour faire l'amour et je n'étais pas contre.
La prochaine fessée a eu lieu le mercredi suivant, mais c'est un autre récit pour une prochaine fois.

Gilles18
Les mémoires d’une domestique 2

Les mémoires d’une domestique 2

Voici la suite des mémoires d’une domestique

Comme je vous l’avais raconté, le couple de bourgeois sévères dont j’étais la domestique avait deux grandes filles étudiantes en fac de médecine. Pendant les vacances, elles revenaient très souvent à la maison. Madame m’avait bien dit que je devais bien entendu leur obéir, et travailler avec davantage d’application lorsqu’elles étaient là.
Malheureusement elles étaient extrêmement exigeantes, et pour un oui ou pour un non elles me faisaient des reproches sur mon travail et rapportaient les faits à Monsieur ou à Madame.
C’était toujours la même chose.
— Pauline viens ici tout de suite !
J’arrivais dans le salon et allait voir Monsieur, la peur au ventre. Il avait le martinet à la main et se hâtait de relever ses manches, révélant ses avants-bras poilus.
— Qu’y a t’il Monsieur ?
Je demandais toute tremblante.
— Tu n’as pas fait correctement ton travail ! Tu mérites une bonne fessée !
— Oh Monsieur, s’il vous plaît pas la fessée !
— Je pense que c’est nécessaire malheureusement.
Il pointait avec son doigt la table à manger.
Je devais me pencher dessus, soulever mon uniforme et baisser moi-même ma culotte, avant d’être fouettée avec le martinet devant toute la maisonnée.
Madame et ses filles ne manquaient jamais ma fessée, et j’entendais parfois des petits rires étouffés et des remarques type « elle a les fesses toutes rouges » «  elle est pas fière, là »
Je me rappelle notamment d’un soir où j’avais été punie car j’avais oublié de changer les draps des filles et j’avais été insolente en leur disant que ce n’était pas bien grave…
Le Monsieur, patriarche bourru, m’a réprimandée pendant toute la fessée :
« Clack ! Voilà ce qui arrive Clack ! Aux vilaines filles Clack !
 il est grand temps Clack !
que tu apprennes Clack !
À obéir Clack !
Une bonne fessée déculottée ! Clack !
Pour te remettre Clack !
Les idées en place Clack !
Je dansais d’un pied sur l’autre en suppliant Monsieur d’arrêter.
A la fin, je frottais mes fesses rougies sous leur regards moqueurs.
— Nous attendons tes excuses.
Pour demander pardon Madame m’avait expliqué comment faire.
Il fallait que je garde ma culotte baissée, la jupe maintenue relevée, que je m’agenouille devant eux et que je dise « je vous demande pardon pour avoir désobéi, ou été insolente »
En général les filles mettaient du temps à me dire que j’étais pardonnée afin que je reste dans cette position humiliante le plus longtemps possible.
— Seras-tu bien obéissante et respectueuse à présent ?
— Oui, je le promets.
— Je consent à te pardonner, Pauline, j’espère que cette fessée t’auras appris les règles élémentaires pour être une bonne domestique, et j’espère que la prochaine fois tu feras un meilleur travail, digne de notre rang.
— Oui.
— Sinon tu auras encore une bonne fessée ! Est-ce -que c’est bien clair ?
— Oui Mademoiselle.
Je gardais les yeux baissés, je me faisais toute petite. J’avais tellement honte.
Ensuite j’étais envoyée au coin pour méditer, la culotte aux chevilles. Exposer mes fesses rouges étaient toujours un moment extrêmement embarrassant pour moi.
Mais ce soir là les filles devaient me surveiller pendant ma pénitence. Elles ont rapporté que je m’étais frottée les fesses et aussi que je m’étais retournée une fois.
Monsieur est venu, m’a tirée par le bras, et m’a donnée des claques supplémentaires qui ont bien résonné dans toute la pièce. Shhhaaaaaf ! Shhhhlaaaaf !
— Mais Monsieur, c’est elles qui… snif…
— Ah non, assume tes bêtises ! Je t’avais dit de ne pas te retourner !
Tu fais ta punition correctement et tu regardes le mur ! Non mais….
— Oui Monsieur, pardon Monsieur.
Les filles rigolaient devant un tel spectacle et applaudissaient.
Après avoir été punie Madame est venue dans ma chambre avec le pot de crème apaisante. Elle m’a fait mettre allongée sur ses genoux comme pour une fessée. Elle a simplement appliqué la crème sur mon derrière endolori en disant « qu’est-ce qu’on va faire de toi ». Ce fût un moment de réconfort et de douceur, qui tranchait avec sa sévérité habituelle, mais en même temps j’étais embarrassée que mes fesses soient encore le centre de l’attention !
Elle m’a donné aussi une punition supplémentaire, aller écrire des lignes dans le bureau de Monsieur. La chaise sur laquelle j’étais assise, la culotte baissée, était en bois dur. J’ai dû écrire 50 fois « Je dois rester à ma place de domestique, en étant obéissante et dévouée. Sinon je serai fessée »
Fin.
La toute première

La toute première

Notre histoire commence lors d’une après-midi banale dans une petite ville de France, en plein mois de juillet, comme d’habitude, Jack traîne avec ses amis, flânant sur les routes, la plage, la piscine, là ou ils peuvent tout simplement discuter, s’amuser en toute tranquillité.

C’est lors de cette après-midi que Jack rencontra l’amie d’un de ses amis : Laure, qui habité la ville d’à côté. Ils fréquentaient le même collège depuis des années, les mêmes amis, mais que ce soit par hasard, timidités ou autre, ils ne se sont jamais rapprochés jusqu’à ce fameux jour d’été, où ce très cher Jack remarqua quelle beauté était cette Laure…

Ainsi passa les semaines, plaisanterie, discussion, rigolade, chat sur MSN… Assommés à coup de wizz et d’émojis, ils communiquèrent tout deux de plus en plus, partageant toutes sortes d’avis, rêves et même quelques secret… Mais lors d’une nuit, devant la caméra…

Laure: Ca te dirait de passer chez-moi un de ces jours ?

Jack: LOL, pourquoi pas ? Tu tentes de m’attirer dans un piège ?

Laure: Qui sait ? clin d’œil Je vais me coucher, bonne nuit bruit de bise

Jack, sur le cul, on peut l’dire… Comment interpréter ce qu’il vient de se passer ? Ces allusions ? Est-ce un simple jeu ? Une simple plaisanterie ? Et s’il se goure complétement ? Voilà ce que ressente bien des gens dans une relation comme celle-ci… “Je ne tenterai rien, pas sans un signe clair” se dit-il, sa relation avec elle, bien qu’il aurait souhaité plus, était trop importante à ses yeux pour la perdre.

La nuit passa, autant que la journée, il prit son vélo et pédala jusque chez elle, il n’a jamais fait se parcours aussi vite… Arrivés à la maison de Laure, elle le fit entrer avec un grand sourire, remarquant son état en pleins effort avec un sourire moqueur.

Laure: Tu pues comme jamais…

Jack: Didonc, c’est toi qui pues !

Laure: Va te laver mal-propre. Dit-elle, lui faisant signe d’entrer.

Jack: Et ton père ?

Laure: Parti avec mon frère pour le travail, je vais nous mettre un film et faire du pop-corn, va te laver je te dis !

Ni une ni deux, connaissant déjà les lieux, il se dirigea vers la salle de bain, pris une douche rapide, et il aurait juré avoir vu la porte entrouverte… Mais c’était sans doute son imagination. Toujours est-il qu’une fois propre, elle lui demanda de ramener son ordinateur dans le salon avant de venir.

Demande bien curieuse, mais il s’exécuta, entra dans sa chambre, pris son ordinateur portable et le ramena, ils discutent, mange, regarde le film, quand elle prit son ordinateur pour “vérifier MSN” comme elle disait, l’écran noir s’envola comme le rideau d’une scène de théâtre, laissant voir une image de fessée sur une jeune infirmière, venant tout droit du site “Discipline domestique”.

Elle regarda Jack en silence, il croisa son regard, tout deux bloqués sur cette situation, ce moment aussi silencieux que gênant, aucun des deux ne recula, mais aucun des deux ne fit quoi que ce soit non plus… Jack esquissa un léger sourire et déclara.

Jack: Je préfère celles avec les pom-pom girl.

Laure expira d’un seul coup, puis percuta la nouvelle, Jack connaissait et fréquentait également ce site. Ils rirent bien des fois de cette situation… Cette nuit-là, ils échangèrent longuement sur le sujet… Et d’autres bien plus intimes… Plusieurs heures passent, il est très tard, et il avait quelque peu fait le tour du sujet.

Laure: On essaye ?

Jack: Quoi ?

Laure: Tu veux me donner une fessée ?

Jack: Je… Ben… Pourquoi pas ?

Elle se leva, retira la couverture dans laquelle ils étaient tout deux enveloppés dans le canapé du salon, elle affiche encore ce sourire qui l’a tant fait craquer, et s’allonge au travers de ses genoux avec une grâce et une élégance qu’il ne lui connaissait pas.

Elle resta là, tourna légèrement la tête pour observer sa réaction, ses fesses toujours enveloppées par son jean moulant, à la merci de Jack. Et lui ? Le pauvre, lui qui en a toujours eu envie, là servie sur un plateau d’argent, avait-elle prévu ça avec son ordinateur ? Est-ce pour l’observer sous la douche qu’elle lui a dit de se laver ? Toutes ces allusions, discussion et autres… C’était pour en arriver là ? Elle le sortit de ces songes avec seulement quelques mots.

Laure: Hé bien ? J’attends…
Fin ?
La pénitence de la duchesse

La pénitence de la duchesse

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– Vous repentez-vous sincèrement de votre faute, ma fille ?
– Oui, mon père.
– Avez-vous conscience qu’en commettant l’acte de chair avec un réprouvé, excommunié, pour ses écrits et ses agissements, par Notre Sainte Mère l’Église, vous avez sérieusement mis en péril le salut de votre âme ?
– J’en demande pardon à Notre-Seigneur.
– Qui vous l’accordera, dans sa grande bonté, une fois pénitence faite.
– Ce dont je Lui sais infiniment gré.
– Le péché auquel vous vous êtes adonnée est d’autant plus grave qu’il bafoue les liens sacrés du mariage et que vous avez sali, par votre comportement, le nom illustre que vous portez. Votre mari…
– L’ignore.
– Mais pas Notre-Seigneur.
– Qu’Il me soit miséricordieux.
– Vous avez, en outre, mis le spectacle de vos débauches sous les yeux de votre sœur. Dont vous avez fait votre complice. Que vous avez incitée, ce faisant, à emprunter, elle aussi, la voie du Mal.
– J’en suis profondément honteuse.
– Priez, ma fille, priez, pour que ces péchés, malgré leur énormité, vous soient pardonnés. Et pour que vous soit donnée la force de supporter, avec courage et humilité, le châtiment qu’ils vont vous valoir.
– Quel sera-t-il, mon père ?
– Vous allez être troussée et fustigée. De ma main. Ce n’est qu’à ce prix que votre faute sera effacée et que vous pourrez reprendre place parmi les élus
– Mon père…
– La souffrance est rédemptrice.
– Sans doute, mais je suis femme…
– Ce dont je ne saurais m’aviser. Je suis le serviteur de Notre Seigneur. Et seul m’importe le salut de votre âme. Préférez-vous donc la damnation éternelle ?
– La damna… Oh, non, non ! Qu’il soit fait selon la volonté du Seigneur !
– Fort bien. Allez donc chercher votre sœur…
– Ma sœur ?
– Elle n’ignore rien du péché que vous avez commis. Il faut donc qu’elle n’ignore rien non plus du châtiment dont vous allez être gratifiée.
Fessées sur les Champs-Élysées

Fessées sur les Champs-Élysées

Il y a des fessées connues : celles distribuées par Catherine II de Russie ou Catherine de Médicis, celles reçues par Beaumarchais, Théroigne de Méricourt ou des religieuses pendant la Révolution française. Et il y en a qui le sont beaucoup moins, sur lesquelles on tombe au hasard d’une lecture. C’est le cas de celle rapportée par Henri Rochefort, dans le tome 2 de ses Mémoires.

On est le 1er mars 1871. L’armistice vient d’être signé entre la France et la Prusse qui a obtenu de pouvoir occuper symboliquement, trois jours durant, les Champs-Élysées. Les troupes prussiennes sont accueillies par un silence glacial. À l’exception notable de trois jeunes femmes qui leur font fête. Une bonne fessée qui, il faut bien le dire, devient malencontreusement quelque peu sauvage vers la fin, va doucher leur enthousiasme.

Mais laissons la parole à Henri Rochefort :
«  Tout fut calme cependant; le seul incident un peu mouvementé ayant été l'arrestation et la fustigation par les Parisiens de trois garces qui s'étaient avancées dans les Champs-Elysées au-devant des ennemis auxquels elles distribuèrent avec affectation de nombreux baisers.
La foule se jeta sur elles, les mit à peu près nues et, après une fessée brutale, les couvrit de crachats, d'injures, de huées et même de violents coups de poings. Cette bravade venait-elle de femmes allemandes établies chez nous et qui étaient allées souhaiter la bienvenue à leurs compatriotes? Je ne l’ai jamars su, car elles s'enfuirent tout échevelées et finirent par trouver un refuge dans les maisons avoisinantes, d'où elles s'échappèrent à la nuit. Les Prussiens n'occupèrent le quartier des ChampsElysées que jusqu'au lendemain quatre heures du matin. Ils avaient, dans la soirée, vainement essayé de se faire servir quoi que ce fût dans les cafés, qui restaient entrebâillés et dont on leur fermait brusquement la porte au nez dès qu'ils essayaient d'y pénétrer. »
Arrêté de fumer....

Arrêté de fumer....

Comment arrêter de fumer méthodes infaillible 
Voilà plusieurs années que je fume et il est plus que temps que j'arrête
Le problème c'est mon sérieux manque de volonté jusqu'à présent je me suis toujours débrouiller tt seule mais dernièrement monsieur a proposé son aide
Je vous fais pas de détail
Je l'ai accepté je sais que ce sera plus efficace mais en même temps je la craint
Il faut savoir que je fume un paquet par jour je suis arrivé à 5 cigarette mais je n'arrive plus à descendre plus
Alors jour impeccable j'ai le droit à une cigarette je la fumé après mon repas
Ce fut dur mais j'ai tenu
Jours difficiles j'envoie 10 messages à répétition à monsieur lui demandant la permission de fumer alors que je n'y ai plus le droit
Je sais qu'il est en rdv et ne pourra pas me répondre... Qui ne dit rien consent non ?? Du coup j enfreins la regle bien sur je le regrette aussitôt
Je renvoie un message pour expliquer mon geste et m'excuse
2h longues heures plus tard je reçois sa réponse il est furieux me gronde au téléphone et me promet une bonne correction

Je rentre mais un contre temps l'empêche de mettre à exécution sa punission mais le ton de sa voix en dis long
Au réveil petit café partagé et hop direction ces genoux et la je reçois une série de claque sur mon petit pyjama mais très vite je me retrouve cu nu
J'avais raison il est en colère il me grondé me fesses...
Puis me relève et me demande d'aller chercher la règle en bois
Je m'exécute tremblante
Me rallonge sur ces genoux là fessée reprend mais la règle pique beaucoup
Quand la fessée ce termine je pleure j'ai les fesses en feu
Monsieur me caresse....
La suite je le garde pour moi

Je vous assure c'est bien plus efficace que les patch à tout les fumeur j'ai la solution

Pour monsieur.....

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