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Fessées sur les Champs-Élysées

Fessées sur les Champs-Élysées

Il y a des fessées connues : celles distribuées par Catherine II de Russie ou Catherine de Médicis, celles reçues par Beaumarchais, Théroigne de Méricourt ou des religieuses pendant la Révolution française. Et il y en a qui le sont beaucoup moins, sur lesquelles on tombe au hasard d’une lecture. C’est le cas de celle rapportée par Henri Rochefort, dans le tome 2 de ses Mémoires.

On est le 1er mars 1871. L’armistice vient d’être signé entre la France et la Prusse qui a obtenu de pouvoir occuper symboliquement, trois jours durant, les Champs-Élysées. Les troupes prussiennes sont accueillies par un silence glacial. À l’exception notable de trois jeunes femmes qui leur font fête. Une bonne fessée qui, il faut bien le dire, devient malencontreusement quelque peu sauvage vers la fin, va doucher leur enthousiasme.

Mais laissons la parole à Henri Rochefort :
«  Tout fut calme cependant; le seul incident un peu mouvementé ayant été l'arrestation et la fustigation par les Parisiens de trois garces qui s'étaient avancées dans les Champs-Elysées au-devant des ennemis auxquels elles distribuèrent avec affectation de nombreux baisers.
La foule se jeta sur elles, les mit à peu près nues et, après une fessée brutale, les couvrit de crachats, d'injures, de huées et même de violents coups de poings. Cette bravade venait-elle de femmes allemandes établies chez nous et qui étaient allées souhaiter la bienvenue à leurs compatriotes? Je ne l’ai jamars su, car elles s'enfuirent tout échevelées et finirent par trouver un refuge dans les maisons avoisinantes, d'où elles s'échappèrent à la nuit. Les Prussiens n'occupèrent le quartier des ChampsElysées que jusqu'au lendemain quatre heures du matin. Ils avaient, dans la soirée, vainement essayé de se faire servir quoi que ce fût dans les cafés, qui restaient entrebâillés et dont on leur fermait brusquement la porte au nez dès qu'ils essayaient d'y pénétrer. »
Arrêté de fumer....

Arrêté de fumer....

Comment arrêter de fumer méthodes infaillible 
Voilà plusieurs années que je fume et il est plus que temps que j'arrête
Le problème c'est mon sérieux manque de volonté jusqu'à présent je me suis toujours débrouiller tt seule mais dernièrement monsieur a proposé son aide
Je vous fais pas de détail
Je l'ai accepté je sais que ce sera plus efficace mais en même temps je la craint
Il faut savoir que je fume un paquet par jour je suis arrivé à 5 cigarette mais je n'arrive plus à descendre plus
Alors jour impeccable j'ai le droit à une cigarette je la fumé après mon repas
Ce fut dur mais j'ai tenu
Jours difficiles j'envoie 10 messages à répétition à monsieur lui demandant la permission de fumer alors que je n'y ai plus le droit
Je sais qu'il est en rdv et ne pourra pas me répondre... Qui ne dit rien consent non ?? Du coup j enfreins la regle bien sur je le regrette aussitôt
Je renvoie un message pour expliquer mon geste et m'excuse
2h longues heures plus tard je reçois sa réponse il est furieux me gronde au téléphone et me promet une bonne correction

Je rentre mais un contre temps l'empêche de mettre à exécution sa punission mais le ton de sa voix en dis long
Au réveil petit café partagé et hop direction ces genoux et la je reçois une série de claque sur mon petit pyjama mais très vite je me retrouve cu nu
J'avais raison il est en colère il me grondé me fesses...
Puis me relève et me demande d'aller chercher la règle en bois
Je m'exécute tremblante
Me rallonge sur ces genoux là fessée reprend mais la règle pique beaucoup
Quand la fessée ce termine je pleure j'ai les fesses en feu
Monsieur me caresse....
La suite je le garde pour moi

Je vous assure c'est bien plus efficace que les patch à tout les fumeur j'ai la solution

Pour monsieur.....
Véronique et Emilie troisième épisode

Véronique et Emilie troisième épisode

Le lendemain matin, nous nous éveillons comme nous nous étions endormis : Françoise et Émilie toujours enlacées, moi dans les bras de Véronique. Nos couples se dissocient, puis se recomposent. J’enlace Françoise dont les fesses sont toujours chaudes de la fessée d’hier. Véronique prend mon sexe entre ses doigts, elle m’introduit elle-même dans Françoise. Nous faisons l’amour sous les yeux d’Émilie et de Véronique qui, elles aussi, font l’amour sous nos yeux. Puis Véronique s’empare de Françoise, elle la pénètre partout de sa langue et de ses doigts, elle la fait crier de plaisir tandis qu’Émilie et moi les caressons toutes les deux. Enfin Véronique m’attire vers elle : après Françoise, c’est moi qu’elle veut. Cette fois, c’est Françoise qui prend mon sexe dans sa main et qui l’introduit dans celui de Véronique. Elle parcourt mon corps de ses doigts et de sa langue tandis qu’ Émilie fait de même avec Véronique. Nos jeux se poursuivent tard dans la matinée. Nous passons toute la journée de dimanche ensemble, entièrement nus, dans l’appartement.

Quelques jours plus tard, j’oublie de transmettre à Françoise un message important de telle sorte qu’elle perd son après-midi en allant à un rendez-vous qui avait été annulé. Évidemment quand elle rentre le soir elle est furieuse et nous nous disputons. Au lieu de reconnaître mes torts, je me cherche de mauvaises excuses et Françoise en est d’autant plus fâchée contre moi. Le samedi suivant, ce sont Véronique et Émilie qui viennent dîner à la maison. Au cours du repas, la conversation roule sur ma négligence coupable et ma mauvaise foi. Naturellement, elles sont au courant : l’avant-veille Françoise est allée avec Émilie au hammam et elle lui a tout raconté. Émilie prend la parole :

« Franchement je pense que ça mérite une bonne correction. Il n’y a pas de raison que les mecs échappent à la fessée alors que nous, on s’en prend de fameuses pour beaucoup moins que ça ».

Là, il faut que je vous explique une chose. Émilie et moi sommes très amis, nous nous aimons beaucoup, mais il y a une sorte de rivalité intellectuelle entre nous. Comme je l’ai déjà dit, la compagne de Véronique est assez pinailleuse et elle aime bien avoir raison dans les discussions. Or il est arrivé à plusieurs reprises que je la contredise sur des sujets qu’elle pensait connaître et que je connaissais mieux qu’elle. Elle en avait été vexée et je sentais bien chez elle un désir de revanche. Nul doute que le récit que Françoise lui avait fait de ma négligence lui avait fourni une occasion inespérée de vengeance et qu’elle avait concocté un plan avec Véronique. C’est ce que celle-ci me confirma sans tarder :

« C’est bien mon avis. Et puisque Françoise n’est manifestement pas capable de corriger son mari quand il en a besoin, elle ne verra sans doute pas d’inconvénient à ce que je me substitue à elle. N’est-ce pas Françoise ? »

Françoise hocha la tête en signe d’assentiment. Même si elle n’aspirait pas aussi vivement qu’Émilie à mon humiliation, elle était encore assez en colère contre moi pour souhaiter que je fusse puni.

« Eh bien, nous sommes donc toutes les trois d’accord, reprit Véronique. Ce n’est tout de même pas toi qui vas rompre une aussi belle unanimité, Olivier ? Allons, viens ici. Je vais te donner la fessée que tu as tellement méritée. Et, écartant sa chaise de la table, elle tapota sa cuisse pour m’indiquer l’endroit où je devais venir m’installer.
Que pouvais-je faire ? Toute protestation de ma part aurait été interprétée comme une manifestation de machisme en contradiction avec les convictions féministes que j’avais coutume d’afficher. Résigné, je me levai et m’avançai vers Véronique.

« Baisse ton pantalon », m’ordonna-t-elle d’un ton sec.

Je fis une ultime tentative :

« Écoute, Véro … »

Je n’eus pas le temps de finir ma phrase. La gifle était partie, comme une fusée. Je frottai ma joue endolorie. Je savais que Véronique avait la main leste. J’avais vu à plusieurs reprises Émilie et Françoise recevoir des paires de claques, mais c’était la première fois que Véronique levait la main sur moi.

« Baisse ton pantalon immédiatement, je ne le dirai pas une troisième fois ». Et après que je me fus exécuté :

« Le slip aussi. Et remonte bien ta chemise ».

Je suis à demi-nu devant elle. Elle donne une tape sur ma verge :

« Tu t’imagines peut-être que ce ridicule petit appendice te rend supérieur aux filles ? Et qu’il te mettrait à l’abri de la fessée quand tu l’as méritée ? Mais tu as une paire de fesses qui ne sont pas moins destinées à la fessée que celles de n’importe quelle nana ! Allez, couche-toi sur mes genoux ».

Je m’allonge gauchement en travers de ses cuisses. Je me sens ridicule. Françoise et Émilie me regardent. Françoise est toute droite, impassible. Émilie me regarde intensément, un petit sourire ironique et satisfait au coin des lèvres. Je sens qu’elle jouit de mon humiliation. Elle a hâte de voir comment je vais me comporter sous la fessée. Soudain la main de Véronique s’abat sur mes fesses nues. Elle me fesse d’abord modérément, en prenant son temps, comme si elle voulait s’échauffer avant une course de fond, un travail de longue haleine. De temps en temps elle s’arrête pour regarder le résultat de son travail. Parfois elle écarte mes fesses. Elle cherche à me faire honte en exhibant mon intimité à la vue des spectatrices. Puis, la fessée reprend, le rythme s’accélère, les claques sont de moins en moins espacées, leur intensité s’accroit en même temps. Cela me brûle terriblement. Mes fesses doivent être toutes rouges. Je réalise le caractère incongru, invraisemblable, de ce que je suis en train de vivre : fessé cul nu comme un gamin, à quarante ans, par une jeune femme qui a douze ans de moins que moi et qui était mon élève il y a quelques années ! Et cela se passe sous les yeux de sa compagne et de la mienne … Maintenant elle me claque le cul à toute volée. Cela devient insupportable et, instinctivement, je plie les jambes tout en cherchant à protéger mes fesses de la main gauche. Instantanément Véro interrompt la correction et s’adresse à Françoise et Émilie :

« Venez, les filles. Que l’une lui tienne les poignets et l’autre les chevilles ».

Françoise se place debout devant moi et me prend les poignets. Émilie s’agenouille derrière moi et immobilise mes chevilles. De là, elle a une vue imprenable sur mon postérieur qui doit être écarlate et dont aucun mouvement ne pourra lui échapper. Je la devine qui jubile. La raclée peut continuer. Je ne peux plus rien faire pour m’y opposer, je suis réduit à l’impuissance, Véronique peut désormais s’en donner à cœur joie. Et elle s’en donne à cœur joie. Le bruit clair de la fessée emplit tout l’appartement : est-il possible que les voisins n’entendent rien ? Véronique me fesse de toutes ses forces, et elle a la force d’un homme. Elle veut me faire céder, elle veut que je pleure, que je crie, que je supplie. Je résiste autant que je peux. Enfin Véronique s’arrête. Est-ce terminé ? Ai-je gagné ? Non, elle dit deux mots à l’oreille d’Émilie qui quitte la pièce et revient une minute plus tard avec une raquette de ping-pong qu’elle donne à Véro.

« Mets-toi à quatre pattes », m’ordonne-t-elle. Je lui obéis et me retrouve dans la même posture honteuse qu’Émilie il y a une semaine. Avec la raquette, elle me force à écarter les jambes puis m’annonce le tarif :

« Vingt coups de raquette. Tu es prêt ? » Et sans attendre ma réponse, elle entame la correction. Cette fois c’est trop. Je n’en peux plus. Avant le vingtième coup, je m’avoue vaincu. Je ne retiens plus mes cris ni mes larmes. Je l’implore :

« Je t’en supplie, Véro, je n’en peux plus. Pitié ! ».

« Oui, s’il te plaît Véro, intervient Françoise, je crois que c’est suffisant. Je suis sûr qu’il a compris et qu’il ne recommencera pas ».

Véro interrompt alors définitivement le châtiment.

« Qu’est-ce qu’on dit à Véronique ? »

« Merci Véronique pour cette fessée bien méritée ».

C’est la phrase consacrée qu’on doit prononcer à l’issue du châtiment. Véronique poursuit :

« Allez, va demander pardon à ta petite femme avec laquelle tu t’es très mal conduit ».

Je me jette aux pieds de Françoise et je lui demande pardon. Elle me relève, elle m’enlace, elle m’embrasse, elle caresse mes fesses meurtries. Puis elle me reculotte elle-même et nous retournons à table pour finir le repas. Nous parlons de l’avenir. Nous envisageons de prendre un grand appartement pour y vivre tous les quatre. Véronique est désormais notre maîtresse à tous les trois, notre maîtresse à tous les sens du terme. Nous voulons vivre avec elle, sous sa coupe, soumis à son autorité. Nous avons besoin de ses baisers comme de ses fessées. Ah, la belle vie qui est devant nous !
Gilets jaunes et fesses rouges

Gilets jaunes et fesses rouges

« Encore leurs foutus barrages, pesta Marie-Caroline, ces abrutis vont me faire rater mon rendez-vous chez le coiffeur ! ». Au volant de sa BMW série 8, Marie-Caroline Gonthier-Fourvière écumait de rage à l’idée qu’elle risquait d’arriver non coiffée à la soirée à laquelle elle et Arnaud étaient attendus ce soir-là. Elle freina et immobilisa la voiture devant le rond-point, ouvrit sa fenêtre, se pencha et avisa les gilets jaunes qui se tenaient là :

« Excusez-moi, mais j’ai un rendez-vous médical urgent, mentit-elle, il faut absolument que je passe ».

« Oh, ce coup là on nous le fait cent fois par jour, répondit l’un d’entre eux, vous avez plutôt l’air bien portante, ma p’tite dame, votre toubib attendra ».

« Elle a même pas de gilet jaune », dit un autre.

Marie-Caroline sentit la moutarde lui monter au nez :

« Écoutez, si vous n’avez rien de mieux à faire, c’est votre problème, mais moi si ! Alors maintenant , vous dégagez ! Je vais passer ». Et là-dessus, elle appuya sur l’accélérateur pour faire vrombir le moteur. Aussitôt, la foule se massa autour de la BMW.

« Mais, c’est qu’elle nous écraserait, cette salope ! », lança quelqu’un.

« Sortez-la de sa bagnole , cette pétasse», cria un autre.

Marie-Caroline eut un haut-le-corps. Jamais personne n’avait osé la traiter de « pétasse ». Mais déjà la portière s’ouvrait. Elle fut extraite de son siège manu militari et se retrouva au milieu d’une foule en colère qui l’abreuvait d’invectives. Les uns parlèrent de la livrer à la police, mais d’autres voix s’élevèrent :

« Non, non, on va régler ça entre nous ! ».

Soudain une voix de femme s’éleva : « Une fessée ! une fessée ! Une fessée ! ».

Il y eut un immense éclat de rire et ce furent dix voix, vingt voix qui reprirent :

« Oh, oui ! Une fessée ! Une fessée ! Une fessée ! ».

En un tournemain, on se saisit de Marie-Caroline, on la courba, on plaça sa tête entre les cuisses d’un homme qui les referma sur son cou tout en lui immobilisant les poignets. Elle sentit qu’on relevait sa robe et brusquement deux mains baissèrent sa petite culotte, ou l’arrachèrent plutôt qu’elles ne la baissèrent. Elle sentit le vent froid sur son derrière. Suffoquée d’indignation, rouge de honte, elle réalisa qu’elle se trouvait les fesses à l’air devant tous ces sauvages. Il y eut un « Oh ! », qui était admiratif, bien qu’il se voulût ironique, car Marie-Caroline était restée à près de 50 ans une très belle femme dont les formes épanouies faisaient la joie de ceux qui avaient le privilège d’approcher son intimité.

« Vas-y, Robert », lança quelqu’un dans la foule. Marie-Caroline ne put évidemment voir qui était ce Robert, mais ce devait être un costaud à en juger par la force de la première claque qu’il lui administra : elle l’eût projetée à terre si elle n’avait été solidement maintenue. Dix autres suivirent qui rivalisèrent d’intensité avec la première de sorte que Marie-Caroline qui n’avait jamais été fessée de sa vie, et qui était quelque peu douillette, ne tarda pas à pousser des hurlements. Ses fesses lui brûlaient et la douleur était si vive que, toute pudeur oubliée, elle se tortillait, se déhanchait et offrait à tous les regards la vue de ses orifices secrets. Après que le dénommé Robert lui eût appliqué une cinquantaine de claques, un autre homme, manifestement aussi vigoureux, pris le relais et lui en administra autant. Puis ce furent des femmes qui manifestèrent le désir de participer à l’œuvre commune et qui, elles aussi, y allèrent de bon cœur. Lorsqu’il fut décidé de mettre fin à la correction et qu’on la remit sur pied, Marie-Caroline, les fesses cramoisies, sanglotait comme une Madeleine. Chancelante, elle voulut remonter sa culotte, mais on ne le lui permit pas. La foule n’avait pas encore eu son content d’humiliation :

« À poil, à poil, à poil ! », entendit-on de tous côtés.

Les hommes qui l’entouraient ne se firent pas prier. En un clin d’œil, on dépouilla Marie-Caroline de tous ses vêtements et elle se retrouva toute nue, le visage inondé de larmes, les joues empourprées, les fesses écarlates devant la foule en délire.

« Mais, elle va avoir froid ! On est en janvier ! Il faut la couvrir. Mettons-lui un gilet jaune ! ».

Dans un éclat de rire, on alla chercher son gilet jaune dans son coffre et on l’en revêtit. Puis on la poussa dans cette tenue au volant de sa voiture, on claqua sa portière et on lui fit une haie d’honneur. Marie-Caroline put ainsi démarrer et quitter le rond-point sous les acclamations ironiques et les quolibets.

Sur le chemin du retour, elle se félicita d’avoir choisi du cuir pour les sièges de la BMW : ses fesses en feu en étaient un peu rafraichies. Puis elle s’assombrit en songeant qu’elle ne pourrait pas honorer son rendez-vous chez le coiffeur ainsi vêtue et qu’elle devrait donc aller à la soirée sans être coiffée.

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