
Un immeuble trop bruyant
U
n jour de grand soleil, une petite chipie se promenait dans son quartier. Elle habitait un immeuble qui avait aussi pour habitude d’accueillir quelques touristes et vacanciers venus profiter du grand air pour fuir quelques temps l’agitation de la ville. Entre deux « bonjour » à des inconnus, elle profitait de l’ambiance un peu plus mouvementés des week-ends pour se lâcher un peu sur les règles de bienséance en collectif. Cet après-midi-là, alors que sa musique raisonnait dans tout l’immeuble, la chipie s’amusait à chanter le plus fort possible en faisant quelques tâches ménagères chez elle.
Au bout d’une vingtaine de minutes de ce bruit assourdissant, les voisins commençaient à s’agacer et c’est un jeune touriste, ayant loué un petit studio dans l’immeuble pour le week-end, qui se décida à arrêter ce vacarme.
Toc toc toc …
Quelques minutes plus tard la musique continuait de casser les oreilles des habitants de l’immeuble et toujours pas de réponse de la chipie en train de chanter chez elle.
TOC TOC TOC.
Cette fois-ci le jeune homme frappait de façon à se faire entendre distinctement par la chipie.
- Oui ? Bonjour.
- Bonjour Mademoiselle, je ne vous dérange pas trop ?
- Euh non, enfin comment ça ?
- Vous n’avez pas l’impression de vous moquer un peu du monde avec la musique.
- Oh ça. Ça va hein, c’est le week-end j’ai bien le droit de m’amuser un peu.
- Mais quelle insolente en plus. Tu te moques vraiment du monde jeune fille.
- Bon c’est tout, je peux y aller ?
- Alors là ça ne va pas se passer comme ça, tu sais ce que tu mérites ? Une bonne correction déculottée pour te remettre les idées en place.
L’homme prit la chipie par le bras pour la conduire à l’intérieur de son appartement. En arrivant dans le salon il prit soin d’arrêter la musique qui avait déjà suffisamment cassée les oreilles aux habitants.
- Alors maintenant, as-tu quelque chose à me dire avant que je commence à te punir ?
- Mais vous êtes un grand malade de faire ça. Je n’ai rien fait de mal. Et en plus qu’est ce que vous voulez me faire ?
Sans plus de cérémonie l’homme commença à déboutonner le jean de la chipie et lui descendre aux genoux.
Devant le regard déterminé de l’homme et son impressionnante autorité naturelle, la chipie ne faisait plus la maline et ne voulait pas aggraver son cas.
- Je suis désolée, je ne mettrai plus la musique aussi forte, je serai sage.
- Il fallait y réfléchir avant jeune fille. Maintenant c’est le moment d’assumer tes bêtises.
Il avait raison et elle le savait.
- Oui vous avez raison, mais je..
- Mais quoi ? Tu vas arrêter de discuter maintenant !
Il l’a pris sur ses genoux et lui baissa sa petite culotte noire avant de commencer une fessée déculottée. Après plusieurs claques la chipie comprit qu’il ne plaisantait pas et que ses fesses allaient passer un mauvais moment.
- Je ne le ferai plus, je suis désolée.
- J’en suis certain mais tu apprendras, jeune fille, que les excuses c’est après la punition que tu as méritée.
La fessée reprit et les fesses de la chipie se réchauffaient à vue d’œil.
CLAC. CLAC... CLAC.
Après une dernière série de claques plus appuyées, le fesseur demanda à la chipie de se relever et de se mettre au coin. Instinctivement la chipie essayait de cacher ses fesses, mais le fesseur lui mit deux grandes claques pour lui indiquer de ne pas bouger pendant le coin.
- Tu vas rester ici, les mains sur la tête, et je ne veux pas te voir bouger.
Vexée et un peu chamboulée par les événements, la chipie n’osait plus bouger et sentait comme une petite fille punie.
Quelques minutes plus tard, l’homme lui indiqua qu’elle pouvait se rhabiller et qu’ils devaient avoir une petite conversation ensemble.
- Bien, alors as-tu quelque chose à me dire maintenant ?
- Je … Je suis désolée. Je ne recommencerai plus.
La chipie n’osait plus affronter le regard de l’homme qui se trouvait face à elle. Elle jouait avec ses mains et cherchait tous les prétextes pour ne pas le regarder.
- Maintenant, j’aimerai savoir si tu vas me laisser profiter de mon week-end tranquillement ou si je vais devoir redescendre te corriger ?
- Oui bah ça va, je n’avais rien demandé moi.
Elle se sentait vexée devant cet homme qui l’impressionnait.
- Tu continues en plus. Parfait, lève-toi tout de suite.
- Euh non ça va merci, j’ai eu ma dose.
- Ça te fait rire, bien, de mieux en mieux.
Peu surpris de cette attitude, l’homme décida de reprendre les choses en main pour lui montrer que son comportement n’était pas acceptable. Et pour la deuxième fois de la journée, le fesseur prit la chipie par le poignet pour la lever de sa chaise et la conduire jusqu’au canapé où il lui demanda de se déshabiller.
- Ça m’a échappée. C’était une plaisanterie.
- Moi je ne rigole pas. Alors baisse-moi ton pantalon tout de suite.
Devant le visage déterminé de l’homme, la chipie comprit qu’elle n’aurait pas le dernier mot. Elle déboutonna son jean et le fit glisser le long de ses cuisses. Elle se retourna et vit que le fesseur commençait à déboucler sa ceinture.
Une vague de chaleur envahit la chipie qui ne pouvait détacher ses yeux du large instrument en cuir marron qui s’apprêtait à lui tanner les fesses.
Voyant que la chipie n’osait plus bouger, le fesseur prit les devants en penchant la jeune fille contre le dos du canapé et en lui baissant sa culotte.
- Il faut que tu saches jeune fille que l’insolence ne passera jamais en ma présence. Je suis convaincu que la leçon que tu vas prendre va t’apprendre à réfléchir avant de parler.
La jeune fille ne pouvait plus parler, elle était concentrée sur la position humiliante dans laquelle elle se trouvait devant un homme qu’elle connaissait à peine, et sur la punition qu’elle allait prendre.
Elle sentit la main de cet homme se poser sur son dos, et pouvait entendre le sifflement de la ceinture dans l’air. Devant l’imminence de sa correction, elle ne parvenait plus à comprendre les réprimandes de l’homme mais tremblait d’appréhension.
- Je vais t’apprendre les bonnes manières moi.
Les premiers coups de ceinture qui fendaient l’air étaient impressionnant, tant par le bruit de l’impact sur les fesses de la chipie que par la douleur qui lui était encore méconnue.
Surprise devant la sévérité de l’homme, la chipie serrait ses points et soufflait entre chaque coup de ceinture.
- Combien de fois est-ce que tu t’es permis de parler comme ça aux gens ? J’imagine que ce n’est pas nouveau pour toi.
- Plusieurs. Ça m’échappe souvent.
Les coups de ceinture se sont enchainés jusqu’à ce que la chipie ait des difficultés à contenir ses réactions à chaque impact. Petit à petit, le fesseur espaça ses coups, voyant des petites rougeurs apparaître sur les fesses de la chipie.
A la fin de la correction, la chipie n’osait plus bouger de sa position et attendait que le fesseur lui indique qu’elle pouvait se relever. Déboussolée et pudique, la chipie ne savait plus quoi faire et comment se comporter. L’homme lui indiqua que sa punition était maintenant terminée et qu’elle pouvait se rhabiller.
Après un moment de calme, ils prirent le temps de boire un verre d’eau et de manger quelques douceurs sucrées avant de prendre congés. La chipie promit de ne plus mettre de musique qui risquerait de déranger ses voisins et de faire attention à son insolence à l’avenir.
Le fesseur lui indiqua qu’il n’hésiterait pas à revenir frapper chez elle s’il apprenait, lors d’un de ses week-ends de repos, que la chipie avait de nouveau transformé son immeuble en salle de karaoké géante. Cette allusion fit sourire la chipie mais le regard sérieux de l’homme l’empêcha de trop s’amuser de cette dernière phrase.