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Un immeuble trop bruyant

Un immeuble trop bruyant

U
n jour de grand soleil, une petite chipie se promenait dans son quartier. Elle habitait un immeuble qui avait aussi pour habitude d’accueillir quelques touristes et vacanciers venus profiter du grand air pour fuir quelques temps l’agitation de la ville.

Entre deux « bonjour » à des inconnus, elle profitait de l’ambiance un peu plus mouvementés des week-ends pour se lâcher un peu sur les règles de bienséance en collectif. Cet après-midi-là, alors que sa musique raisonnait dans tout l’immeuble, la chipie s’amusait à chanter le plus fort possible en faisant quelques tâches ménagères chez elle.

Au bout d’une vingtaine de minutes de ce bruit assourdissant, les voisins commençaient à s’agacer et c’est un jeune touriste, ayant loué un petit studio dans l’immeuble pour le week-end, qui se décida à arrêter ce vacarme.

Toc toc toc …

Quelques minutes plus tard la musique continuait de casser les oreilles des habitants de l’immeuble et toujours pas de réponse de la chipie en train de chanter chez elle.

TOC TOC TOC.

Cette fois-ci le jeune homme frappait de façon à se faire entendre distinctement par la chipie.

- Oui ? Bonjour.
- Bonjour Mademoiselle, je ne vous dérange pas trop ?
- Euh non, enfin comment ça ?
- Vous n’avez pas l’impression de vous moquer un peu du monde avec la musique.
- Oh ça. Ça va hein, c’est le week-end j’ai bien le droit de m’amuser un peu.
- Mais quelle insolente en plus. Tu te moques vraiment du monde jeune fille.
- Bon c’est tout, je peux y aller ?
- Alors là ça ne va pas se passer comme ça, tu sais ce que tu mérites ? Une bonne correction déculottée pour te remettre les idées en place.

L’homme prit la chipie par le bras pour la conduire à l’intérieur de son appartement. En arrivant dans le salon il prit soin d’arrêter la musique qui avait déjà suffisamment cassée les oreilles aux habitants.

- Alors maintenant, as-tu quelque chose à me dire avant que je commence à te punir ?
- Mais vous êtes un grand malade de faire ça. Je n’ai rien fait de mal. Et en plus qu’est ce que vous voulez me faire ?

Sans plus de cérémonie l’homme commença à déboutonner le jean de la chipie et lui descendre aux genoux.
Devant le regard déterminé de l’homme et son impressionnante autorité naturelle, la chipie ne faisait plus la maline et ne voulait pas aggraver son cas.

- Je suis désolée, je ne mettrai plus la musique aussi forte, je serai sage.
- Il fallait y réfléchir avant jeune fille. Maintenant c’est le moment d’assumer tes bêtises.

Il avait raison et elle le savait.

- Oui vous avez raison, mais je..
- Mais quoi ? Tu vas arrêter de discuter maintenant !

Il l’a pris sur ses genoux et lui baissa sa petite culotte noire avant de commencer une fessée déculottée. Après plusieurs claques la chipie comprit qu’il ne plaisantait pas et que ses fesses allaient passer un mauvais moment.

- Je ne le ferai plus, je suis désolée.
- J’en suis certain mais tu apprendras, jeune fille, que les excuses c’est après la punition que tu as méritée.

La fessée reprit et les fesses de la chipie se réchauffaient à vue d’œil.

CLAC. CLAC... CLAC.

Après une dernière série de claques plus appuyées, le fesseur demanda à la chipie de se relever et de se mettre au coin. Instinctivement la chipie essayait de cacher ses fesses, mais le fesseur lui mit deux grandes claques pour lui indiquer de ne pas bouger pendant le coin.

- Tu vas rester ici, les mains sur la tête, et je ne veux pas te voir bouger.

Vexée et un peu chamboulée par les événements, la chipie n’osait plus bouger et sentait comme une petite fille punie.
Quelques minutes plus tard, l’homme lui indiqua qu’elle pouvait se rhabiller et qu’ils devaient avoir une petite conversation ensemble.

- Bien, alors as-tu quelque chose à me dire maintenant ?
- Je … Je suis désolée. Je ne recommencerai plus.

La chipie n’osait plus affronter le regard de l’homme qui se trouvait face à elle. Elle jouait avec ses mains et cherchait tous les prétextes pour ne pas le regarder.

- Maintenant, j’aimerai savoir si tu vas me laisser profiter de mon week-end tranquillement ou si je vais devoir redescendre te corriger ?
- Oui bah ça va, je n’avais rien demandé moi.

Elle se sentait vexée devant cet homme qui l’impressionnait.

- Tu continues en plus. Parfait, lève-toi tout de suite.
- Euh non ça va merci, j’ai eu ma dose.
- Ça te fait rire, bien, de mieux en mieux.

Peu surpris de cette attitude, l’homme décida de reprendre les choses en main pour lui montrer que son comportement n’était pas acceptable. Et pour la deuxième fois de la journée, le fesseur prit la chipie par le poignet pour la lever de sa chaise et la conduire jusqu’au canapé où il lui demanda de se déshabiller.

- Ça m’a échappée. C’était une plaisanterie.
- Moi je ne rigole pas. Alors baisse-moi ton pantalon tout de suite.

Devant le visage déterminé de l’homme, la chipie comprit qu’elle n’aurait pas le dernier mot. Elle déboutonna son jean et le fit glisser le long de ses cuisses. Elle se retourna et vit que le fesseur commençait à déboucler sa ceinture.

Une vague de chaleur envahit la chipie qui ne pouvait détacher ses yeux du large instrument en cuir marron qui s’apprêtait à lui tanner les fesses.

Voyant que la chipie n’osait plus bouger, le fesseur prit les devants en penchant la jeune fille contre le dos du canapé et en lui baissant sa culotte.

- Il faut que tu saches jeune fille que l’insolence ne passera jamais en ma présence. Je suis convaincu que la leçon que tu vas prendre va t’apprendre à réfléchir avant de parler.

La jeune fille ne pouvait plus parler, elle était concentrée sur la position humiliante dans laquelle elle se trouvait devant un homme qu’elle connaissait à peine, et sur la punition qu’elle allait prendre.

Elle sentit la main de cet homme se poser sur son dos, et pouvait entendre le sifflement de la ceinture dans l’air. Devant l’imminence de sa correction, elle ne parvenait plus à comprendre les réprimandes de l’homme mais tremblait d’appréhension.

- Je vais t’apprendre les bonnes manières moi.

Les premiers coups de ceinture qui fendaient l’air étaient impressionnant, tant par le bruit de l’impact sur les fesses de la chipie que par la douleur qui lui était encore méconnue.

Surprise devant la sévérité de l’homme, la chipie serrait ses points et soufflait entre chaque coup de ceinture.

- Combien de fois est-ce que tu t’es permis de parler comme ça aux gens ? J’imagine que ce n’est pas nouveau pour toi.
- Plusieurs. Ça m’échappe souvent.

Les coups de ceinture se sont enchainés jusqu’à ce que la chipie ait des difficultés à contenir ses réactions à chaque impact. Petit à petit, le fesseur espaça ses coups, voyant des petites rougeurs apparaître sur les fesses de la chipie.

A la fin de la correction, la chipie n’osait plus bouger de sa position et attendait que le fesseur lui indique qu’elle pouvait se relever. Déboussolée et pudique, la chipie ne savait plus quoi faire et comment se comporter. L’homme lui indiqua que sa punition était maintenant terminée et qu’elle pouvait se rhabiller.
Après un moment de calme, ils prirent le temps de boire un verre d’eau et de manger quelques douceurs sucrées avant de prendre congés. La chipie promit de ne plus mettre de musique qui risquerait de déranger ses voisins et de faire attention à son insolence à l’avenir.

Le fesseur lui indiqua qu’il n’hésiterait pas à revenir frapper chez elle s’il apprenait, lors d’un de ses week-ends de repos, que la chipie avait de nouveau transformé son immeuble en salle de karaoké géante. Cette allusion fit sourire la chipie mais le regard sérieux de l’homme l’empêcha de trop s’amuser de cette dernière phrase.
Monsieur m’a dit de l’attendre

Monsieur m’a dit de l’attendre

Monsieur
m’a dit de l’attendre,
Nue en signe de soumission,
Au bord du lit dans la chambre,
Pour recevoir ma punition.

Oui je n’ai pas été très sage,
Et je lui ai désobéi,
Maintenant j’attends son passage,
Entre la peur et l’envie.

Une ceinture posée sur les fesses,
Immobile et sans un son,
Pour l’amour d’une princesse,
Qui mérite une bonne leçon.

J’écoute ses mots qui me bercent,
Comme des vagues de réconfort,
Sens la honte qui me transperce,
Scelle mon destin, mon triste sort.

On récolte ce que l’on sème,
Inutile de supplier,
Sa façon de dire je t’aime,
C’est me donner la fessée.
Une fessée libératrice

Une fessée libératrice

I
l est arrivé tôt dans l’après-midi, avait fait bonne route et était de bon poil bien qu’un peu fatigué.
J’avais hâte de le voir, lui de me voir aussi apparemment, il avait un large sourire aux lèvres et l’œil pétillant.
Je lui proposais de s’asseoir et de boire quelque chose, j’avais très envie de le bichonner.
Il m’attrapa par la hanche et me hissa sur ses genoux, bu tout tranquillement son verre en me racontant son voyage.
Il me regardait avec tendresse, et frottait légèrement le bout de son nez contre le mien.
Il était ravi que je porte une jupe, malgré le froid de l’hiver, et je grelottais un peu malgré mes longues chaussettes en laine.
- tu es toute belle.
- Merci.
Je posais ma tête sur son épaule, émue.

Après s’être détendu un peu, il me demanda si j’avais été sage pendant son absence.
- Euh oui tu sais bien
- Il ne m’avait pas semblé, j’ai du te punir à distance plusieurs fois et ton carnet doit être bien rempli aussi.
- Non, il n’y a pas grand chose dessus !
- Tu ne l’as pas rempli ?!
Remplir le carnet de mes bêtises prouvait juste qu’il avait la mémoire courte. Il n’était pas bien tenu à jour certes, mais il ne m’en parlait plus depuis un moment. J’avais juste écrit des choses intimes, des confessions… et dessiné tout un tas de petit cœurs avec son prénom à l’intérieur, comme si j’étais encore une collégienne.
Une bonne claque sur les fesses, et il m’envoya chercher le fameux carnet.
Après une lecture attentive et attendrie, il déclara que ce fouillis sans nom était une infamie et que je méritais une bonne fessée déculottée.
Je frémissais et gardais les yeux baissés, pendant qu’il me grondait.
- c’est inadmissible. Je suis déçu de ton comportement. Tu n’échapperas pas à une bonne fessée Mademoiselle !
Puis il m’attrapa par le bras et me conduisit à la chambre.
Sans que j’ai le temps de dire ouf, je me suis retrouvée sur ses genoux, la culotte baissée, recevant une fessée plutôt longue dont les claques s’abattaient avec une intensité qui montait crescendo.
Il continua à me gronder « comme une vilaine gamine », comme il disait…
Il s’arrêta quand je me mis vraiment à le supplier d’arrêter, et me fit lever. Je me frottais les fesses, même si j’avais mérité ma fessée je trouvais qu’il était un peu trop sévère avec moi.
– Garde la culotte baissée, je n’ai pas terminé avec toi.
Il plaça ensuite quelques coussins sur le lit. Puis commença à défaire sa ceinture. Son visage était devenu sévère.
- Non s’il te plaît, tu viens juste d’arriver, pourquoi attends non… Pas la ceinture
- Ça suffit !
Il pointa la pile de coussins et je me résignais à m’allonger dessus. La honte est toujours décuplée quand il faisait cela, car j’ai toujours eu l’impression que la vue qu’il a alors est un peu trop plongeante sur mon intimité…
Il souleva ma jupe à nouveau. J’essayais de remonter ma culotte mais il me claqua les fesses, avant de la baisser jusqu’aux chevilles. « Petite désobéissante ! »
Je n’étais pas fière.
« Voilà ta position, les fesses à l’air et recevant la bonne fouettée que tu mérites ! »
Il commença une fessée à la ceinture, sur mes fesses déjà bien échauffées.
Les coups suffisamment espacés pour que la morsure du cuir se transforme peu à peu en plaisir.
Shlaaaaaack….. shlaaaaaack……shlaaaaaaack….
La fenêtre étant ouverte, je m’imaginais que tous mes voisins savaient donc que je recevais la fessée.

Je fus soulagée quand il s’arrêta, car j’étais épuisée à force de gémir, chouiner, gigoter.
Je lui demandais pardon en sniffant.
- Pardonne moi, je ne désobéirai plus… snif, je te le promets.
- J’espère bien.
Je m’allongeais sur le dos pour reprendre mes esprits, le cœur battant la chamade, et il vint au dessus de moi pour me donner un tendre baiser.
Cette fessée semblait nous avoir rapprochés encore davantage, et elle avait été libératrice. Les larmes que j’avais au yeux étaient de bonheur.
Le soir quand nous fûmes au lit, j’eu droit à un gros câlin consolateur et un massage à la crème apaisante. J’en avais bien besoin.
Nous ne voulions pas dormir, il me posait mille questions, il voulait tout savoir de moi, de mon enfance à mes rêves pour l’avenir. Nous nous sommes confiés l’un à l’autre jusqu’au bout de la nuit.
Je m’endormis avec sa main protectrice posée avec amour sur mes fesses, apaisée et rassurée.

Depuis, je n’ai plus eu peur de rien.
L’étudiante punie

L’étudiante punie

Mon premier récit F/f (Tout arrive)

« Natsukashii » désigne la nostalgie heureuse, l’instant où le beau souvenir revient à la mémoire…

J
uste après mon bac, je me suis inscrite à la fac en licence de japonais. Une évidence pour moi, passionnée par la culture nippone depuis toute petite. Dans le cadre de ce cursus, j’ai dû partir pendant tout un semestre dans la banlieue de Tokyo.

Il faut savoir que dans ce pays les gens sont extrêmement disciplinés, et il est inconcevable de se comporter comme un occidental.
A titre d’exemple, les retards sont à proscrire totalement, cela serait considéré comme un manque de respect. Il faut aussi être toujours très ordonné, très propre. Hors de question de manquer une douche ou de ne pas faire son lit.
Malheureusement, la discipline n’a jamais été mon fort ce qui m’a valu quelques déboires.

Mon arrivée sur place se passa plutôt bien. La maison pour les étudiantes, que l’on appelait la kishukusha, était agréable, et le dortoir, toujours illuminé d’une lumière naturelle, donnait sur un magnifique jardin remplis de cerisiers en fleurs.

Je fis rapidement la connaissance de mes colocataires (que des filles et la plupart japonaises) qui étaient sympathiques et ouvertes. J’ai aussi rencontré la dame qui s’occupait de nous et de notre maison, une personne très stricte, Saori San. J’ai malheureusement pris un mauvais départ avec elle, et j’ai eu droit à des remontrances dès le premier jour.
Elle était grande, avait des longs cheveux noirs parfaitement lissés et surtout… un regard sévère, on aurait dit qu’elle était en permanence contrariée.
Je m’efforçais alors du mieux que je pouvais de lui plaire, en étant bien obéissante et serviable. Après tout, elle s’occupait de tous nos repas et du linge, la moindre des choses était de se comporter de manière irréprochable avec elle.

J’ai de très bons souvenirs, la bonne odeur des sushis et des shukurimi à la cuisine, les fous rires dans les douches, les soirées karaokés endiablées et les sorties nocturnes au parfum de saké dans la capitale.

Mais mon souvenir le plus mémorable me renvoie à un moment peu glorieux de mon histoire.
Un jour, Saori San est venue me gronder pour ne pas avoir bien rangé mes affaires.
- Regarde ce que j’ai trouvé sur le sol ! Kimonos, livres et j’en passe ! Je suis très déçue de toi Lili San. C’est inadmissible un tel comportement à ton âge !
J’utilisais la formule la plus polie pour m’excuser (il y en a une dizaine différentes en fonction du degré de l’offense, et de la personne à qui l’on s’adresse)
- Moshiwakéarimassen ! Je vais le faire tout de suite. C’est la dernière fois je vous le promet ! Pardon, pardon…
Je m’inclinais le plus possible devant elle, le dos et la tête baissée car c’est d’usage lorsque l’on s’excuse là-bas.
- Tout de suite, dépêche toi. Tu as intérêt à obéir, Lili San !
Elle poussa un soupir et s’en alla, et je m’affalais sur mon futon au sol, le cœur battant la chamade tant son sermon m’avait remuée.

Je m’apprêtais à ranger mes affaires, quand les autres filles du dortoir arrivèrent. Elles insistèrent pour que j’aille à la douche avec elles, et me conseillaient de ranger mon coin de chambre après ça. Je me laissais convaincre, j’avais encore le temps de ranger pendant que Saori San préparerait le déjeuner. Nous nous rendîmes à la douche, en fil indienne, à la shawa commune. Je me lavais, m’habillais et revins à la chambre en prenant tout mon temps.

Mais une surprise m’attendait là.
Saori San, assise sur une chaise, droite comme un I.
- Ta chambre n’est pas rangée Lili San. Je t’avais pourtant prévenue !
Je baissais la tête, j’avais vraiment honte de moi. Je lui présentais mes excuses à nouveau.
- Pardon j’allais le faire, je vais le faire tout de suite, pardon…
- J’ignore comment les choses se passent en France, mais ici lorsqu’une jeune fille désobéit plusieurs fois de suite, elle est sévèrement punie. Et tu vis ici maintenant. Tu vas donc recevoir une bonne fessée.
- Une…fessée… mais…
- Parfaitement. Une fessée déculottée.
Elle ne me laissa pas le temps de réagir, elle se leva, m’agrippa fermement par le bras, souleva ma jupe et baissa ma culotte jusqu’au genoux. Je devins toute rouge de honte, en sentant l’air frais sur mes fesses nues. J’avais peur, c’était ma toute première fessée que je m’apprêtais à recevoir.
Elle me bascula sur ses genoux, et me donna une bonne fessée déculottée, longue et humiliante.

Je me suis souvent imaginée la façon dont je devais avoir l’air ridicule en gesticulant, en suppliant, implorant, gémissant, sans dignité aucune. Mes fesses nues exposées sur ses genoux, la culotte glissant de plus en plus bas le long de mes jambes, alors que je prenais peu à peu des couleurs sous les claques.

Elle s’arrêta au milieu de la fessée, laissa sa main posée sur mes fesses et me gronda à nouveau. « Tu devrais avoir honte ! J’espère que cette fessée va te remettre les idées en place Lili San ! » avant de reprendre la fessée de plus belle. Mes fesses me piquaient terriblement, Saori San n’y allait pas de main morte.

Une fois la fessée terminée, les yeux humides et les fesses bien réchauffées, je tombais à ses pieds.
Une compagne de chambre entra à ce moment précis, poussa un « Ooh » d’effroi et de surprise, et Saori San lui demanda de rester car elle allait avoir besoin de son aide.

Elle m’aida à me relever, me donna une bonne claque bien sonore sur les fesses pour me faire avancer.
- Va au coin, culotte baissée. Et toi Hishiro, surveille là, elle doit rester les fesses nues pendant 15 minutes.
Je n’en voulu pas à Hishiro qui fixa mes fesses tout le long de ma pénitence.
Étudiante en art, elle dessina la scène et immortalisa ce moment à jamais.

Saori San revint ensuite pour lever ma punition et me demanda de venir me pencher sur le bureau en vue de m’appliquer une crème apaisante sur les fesses. C’est aussi la position qu’elle nous faisait prendre quand on était malade et qu’elle voulait vérifier notre température, mais je ne l’ai découvert que plus tard. Cela me gêna qu’elle le fasse devant les autres filles, car certaines n’arrivaient pas à s’empêcher de rire, mais je ne voulais pas la contrarier à nouveau en disant quelque chose. Il me fallait lui obéir sans me plaindre. Recevoir la fessée m’avait rendue humble.

Malgré l’humiliation, je n’ai jamais autant ressenti autant d’apaisement dans le coeur. Quelqu’un s’occupait de moi… de mon corps et de mon âme.

Elle me pris ensuite dans ses bras tout en me donnant de petites claques sur les fesses et en disant « c’est fini, c’est fini… »

A l’époque je ne l’ai pas fait mais aujourd’hui, je dirais merci à Saori San. J’avais bien mérité cette fessée déculottée, et elle n’a fait que son devoir.
Une cérémonie traditionnelle

Une cérémonie traditionnelle

L
éa s’avança vers l’autel, dans sa belle robe blanche, sous les regards admiratifs de son entourage et de celui de l’élu de son cœur.
Elle tremblait de peur et d’envie à la fois.
L’institutrice, assise devant le vieil orgue restauré, jouait le morceau de musique traditionnel qui résonnait dans la petite église du village.

Alexandre était tout aussi nerveux que sa promise.
Il regarda avec émoi sa dulcinée arriver vers lui, et lui pris sa main, ses yeux brillants d’excitation.
Léa le trouva très séduisant dans son beau costume. Ils échangèrent des sourires, ils étaient tellement mignons tous les deux.

Le curé, vieil homme bourru, émit un grognement et commença son discours.

« Nous sommes réunis ici aujourd’hui afin d’unir Léa et Alexandre.
Deux jeunes gens prêts à s’engager dans cette magnifique aventure… »

« Léa, êtes vous prête à l’aimer, le chérir, et lui obéir dans le dévouement le plus total jusqu’à ce que la mort vous sépare ? »

Un timide « oui » se fit entendre, quelques sourcils se levèrent, certains n’avaient pas bien entendu et avaient peur d’un désistement de dernière minute.

« Alexandre, êtes vous prêt à l’aimer la chérir, à la corriger et la punir quand nécessaire, et à la protéger, jusqu’à ce que la mort vous sépare ? »

«Oui je le veux ». Sa voix était ferme, démontrant une conviction sans faille.

Le témoin et la demoiselle d’honneur apportèrent des anneaux et ils se les passèrent au doigt.
L’anneau de Monsieur comportait la mention gravée « domination et honneur » et celui de Madame « soumission et dévouement ».

Le curé continua.
« Je vous déclare mari et femme et unis par les liens sacrés du mariage. Vous pouvez à présent déculotter la mariée et lui donner une fessée. »

C’était le moment que Léa redoutait, cette fessée déculottée devant tout le monde qu’elle et toutes ses copines appréhendaient depuis toutes petites.

Il fallait en « passer par là » c’est la tradition, et il n’était pas question de passer outre. Elle s’y était préparée mentalement mais malgré tout, une certaine honte envahit la demoiselle et elle baissa la tête, au moment du passage à l’acte, ses mains positionnées un peu maladroitement derrière son dos.

On avait apporté une chaise à Alexandre et il s’était assis dessus.
Il agrippa le poignet de Léa et la bascula sur ses genoux avec délicatesse.

Après avoir soulevé les nombreux jupons de la jeune fille, il baissa sa culotte blanche en dentelles à mi-cuisses d’un coup sec, dévoilant son joli petit derrière nu.

On entendit l’assemblée tour à tour s’émouvoir, rire de façon étouffée puis finalement à gorge déployée.

On lui avait bien expliqué comment faire, au jeune Alexandre, qui déjà tout ému d’une telle vue, devait maintenant faire son travail avec application : les fesses de sa jeune épouse devaient passer de la couleur blanche à rose, et les claques s’appliquer uniformément sur l’ensemble du fessier. Le but de tout ceci était d’affirmer sa position de chef dans ce nouveau ménage qu’ils venaient de créer avec Léa.

Il commença à claquer son joli joufflu,et la jeune fille se tortilla légèrement.
Sa détermination ainsi qu’une certaine dextérité dans les gestes lui valu l’approbation des mâles qui observaient la scène. Ils hochaient la tête, convaincus que la tradition s’était correctement transmise de génération en génération.
Certaines femmes souriaient d’un air gêné, car elles avaient vécu la même chose auparavant.
Alexandre ne s’arrêta pas lorsque sa belle lança des « aïe » et autres gémissements.
Il était temps qu’il apprenne à être ferme.

Alexandre jeta finalement un œil au curé, qui lui fit signe de continuer son ouvrage.

Ce n’est qu’une fois que les fesses de la demoiselle furent bien roses qu’il arrêta la fessée. Léa était tout autant vexée qu’heureuse, une sensation paradoxale qui lui était jusqu’ici inconnue.

Le curé lui indiqua ensuite un prie Dieu du doigt afin qu’elle aille s’agenouiller dessus, la
culotte toujours baissée. Que tout le monde puisse bien voir le résultat de l’ascendant du marié sur sa nouvelle épouse.

Les joues tout aussi roses que ses fesses, elle s’installa à genoux et remarqua une chaleur non désagréable irradiant de son derrière exposé.
Le photographe prit quelques clichés pour immortaliser ce joli moment de soumission.

Pendant ce temps là, les mâles dominants du village offraient à Alexandre un kit « jeune marié », contenant un martinet d’époque et une strap en cuir.
Léa devait se contenter comme cadeau d’un livre volumineux et rébarbatif sur l’obéissance.

Finalement Léa fût autorisée à se reculotter, ce qu’elle fît promptement et sous les applaudissements enthousiastes de tous. Elle resta ensuite les yeux baissés, en attendant la fin de cette standing ovation qui n’en finissait pas.
Et comme le veut la tradition, Alexandre porta Léa dans ses bras pour sortir de l’église.

Une vie de bonheur les attendait.
Le Père Fouettard prend sa retraite

Le Père Fouettard prend sa retraite

C
’est avec le tintement des petites clochettes et une bonne odeur de biscuits de Noël qu’Alex se réveilla le matin du 25 décembre.

Depuis plusieurs jours la ville avait vêtu son beau manteau blanc de fête et les habitants vivaient dans une joie non dissimulée dans cette ambiance de fin d’année. Chaque rencontre dans la rue était l’occasion de sourire à des gens, qui d’ordinaire ne prenaient pas le temps de profiter de la chaleur humaine des passants.

Cette douce ambiance sucrée et joyeuse avait porté Alex pendant sa semaine de congés, qu’il n’avait malheureusement pas pu passer auprès de ses proches à cause d’une grève de soucoupe volante entre Paris et la contrée des amateurs de beurre salée. A défaut d’un grand repas de fête en compagnie de sa famille, le jeune homme avait opté pour le calme d’une soirée devant un bon feu de cheminée.

En se couchant il regarda une dernière fois par sa fenêtre à la recherche du traineau du Père Noël, en espérant qu’il passe pendant la nuit, lui déposer quelques cadeaux qui l’occuperaient pendant l’année. Toute la nuit, il se laissa porter par de beaux rêves colorés pleins de cadeaux et de gourmandises sucrées.

En fin de matinée, après avoir trainassé plusieurs heures dans son lit, Alex se décida à se lever pour voir ce qu’on avait pu lui déposer sous le sapin. Sans grande surprise, une montagne de cadeaux tapissait le sol de son salon sous le sapin de Noël, de magnifiques petits paquets entourés de ruban et de papiers colorées avec des formes plus ou moins explicites lui indiquaient que le Père Noël avait bien lu sa lettre. Il avait demandé un petit panel d’accessoires lui permettant de faire rougir les fesses des vilaines jeunes filles. Ceci pour répondre à ses envies de dresser les petites chipies.

Aussi, les petits gâteaux, qu’il avait déposé la veille dans une assiette, étaient pour la plupart grignotés et un petit message griffonné au dos d’une liste de cadeaux se trouvait sur le dessus de l’assiette :

« Cher Alex,
J’ai décidé de prendre ma retraite, je demande donc aux jeunes fesseurs dotés d’un minimum de sagesse de prendre mon relai pour discipliner les petites chipies aux alentours de chez eux.
Voici la tienne, je te la confie, elle attend sagement que je passe la punir.
N’hésite pas, à être créatif, j’ai cru comprendre que mon ami le Père Noël avait fabriqué quelques instruments assez chouettes pour toi.
Joyeux Noël.
Le Père Fouettard ».

En voyant ce message le jeune homme se demandait s’il pouvait être à la hauteur de la réputation du Père Fouettard. Malgré une certaine expérience dans la discipline, Alex avait entendu parler de la sévérité avec laquelle le Père Fouettard avait l’habitude d’opérer pour venir corriger les petites chipies, une fois par an, quand son collègue le Père Noël ne les trouvaient pas sur la liste des enfants sages.

Pour rejoindre la chipie dont il devait s’occuper aujourd’hui, le jeune homme regarda attentivement le mot que son collègue de discipline lui avait laissé. Il s’agissait en effet de la liste de cadeaux de sa jeune voisine, qu’il avait régulièrement croisé dans les parties communes de son immeuble. Cette chipie, qui lui semblait particulièrement timide, ne lui avait que rarement adressé la parole, elle ne s’attardait jamais à discuter avec ses voisins et avait tendance à oublier les règles de politesse élémentaires en présence de ses ainés.

Sur la jolie lettre que la chipie avait décorée pour envoyer au Père Noël, elle avait listé les cadeaux qui lui faisait le plus plaisir, le jeune homme sourit en lisant ses envies : « Une licorne géante, la paix dans le monde, une machine à voyager dans le temps, un martinet rose et des milliers de livres à en faire exploser ma bibliothèque ». L’humour un peu décalé de cette chipie lui donnait envie d’aller accomplir sa nouvelle mission, sans attendre il prit les paquets qui lui permettraient de la punir convenablement et se dirigea vers son appartement avec la note du Père Fouettard.

En arrivant devant sa porte, Alex trouva une petite note manuscrite indiquant que le Père Fouettard avait déjà mis la chipie au coin, afin que le jeune fesseur la trouve dans les conditions idéales pour recevoir sa punition de Noël.

En rentrant dans son appartement, il pouvait constater que toute la décoration respirait l’esprit de Noël et les saveurs sucrées des petits biscuits au pain d’épices. Il s’avançait vers une pièce qui semblait animée pour trouver la petite chipie l’attendant sagement dans un coin, la culotte légèrement baissée.

Devant le spectacle que la petite chipie lui offrait, le jeune fesseur prit quelques instants pour observer la jeune fille, les fesses à l’air, prête à recevoir sa punition bien méritée. Il resta un moment silencieux, à apprécier le spectacle, avant de se décider à avancer vers elle pour lui indiquer que sa position n’était pas réglementaire et qu’une culotte ne doit pas recouvrir la moitié des fesses. Quelques secondes plus tard le jeune homme observa la chipie baisser sa culotte.

Satisfait d’une telle docilité, il accrocha devant elle la lettre que le Père Fouettard avait laissé à son intention ce matin. Après la lecture de la lettre la chipie laissa échapper quelques larmes d’appréhension, son voisin s’installa derrière elle, sur le grand canapé gris, pour déballer les cadeaux qui lui serviront à corriger la petite chipie. C’est avec une lenteur exagérée qu’Alex exposa la petite cravache noire « de dressage » et une petite brosse qu’il venait de recevoir à Noël.

Il interpella ensuite la petite chipie en lui demandant de se tenir droite devant lui pour lui exposer les raisons qui l’ont conduites ici le matin de Noël. Devant ses explications, plus que bancales, Alex commençait à s’impatienter. A un moment il décida de lui montrer son énervement en se levant puis en lui prenant le menton.

- Maintenant je ne veux plus entendre de justifications ou d’excuses, je t’ai demandé les raisons qui t’ont conduites ici aujourd’hui.

La petite chipie hésita encore plusieurs minutes avant de répondre à son voisin. Déterminé à lui montrer son autorité sur elle, Alex s’empressa d’abattre une dizaine de claques sur les fesses nues de la chipie.
Surprise par la sévérité de cette première fessée, la petite chipie se dépêcha d’énumérer les différentes bêtises pour lesquelles elle mériterait d’être punie et qui sont la cause de cette situation.

Finalement satisfait de cette réponse, le jeune fesseur repris sa place sur le canapé, face à la petite chipie, il lui indiqua que l’heure des excuses était terminée et qu’il lui fallait maintenant assumer toutes ses bêtises de l’année. Devant l’incompréhension de la petite chipie, le jeune fesseur lui tira légèrement le bras pour la conduire à ses côtés. Elle tremblait légèrement devant cet homme qu’elle ne connaissait pas encore mais qui s’apprêtait à la punir.

En regardant sévèrement la petite chipie, Alex tapota sur ses cuisses pour lui indiquer comment elle devait se positionner pour sa punition. La jeune fille hésita quelques instants avant de finalement se pencher sur les genoux de cet homme, qui la guida un peu pour s’installer dans la meilleure position possible pour subir sa fessée.

- Bien. Maintenant jeune fille je vais te punir, car comme tu l’as annoncé tout à l’heure tu as largement dépassé ton quota de bêtises pour une seule petite chipie.

Tétanisée dans cette position infantilisante, la jeune fille n’arrivait plus à parler, mais réussit à hocher la tête avant de sentir les premières claques s’abattre sur ses fesses. Alex commença par fesser la chipie avec force afin qu’elle comprenne immédiatement que la punition s’annonçait sévère.

Sous la première avalanche de claques, la petite chipie avait beaucoup de mal à retenir ses larmes et ne pas s’échapper des genoux de son voisin.
Après plusieurs minutes de cette sévère déculottée, Alex décida de prendre la petite brosse pour que la petite chipie goûte à ces nouvelles sensations. Le premier crie qu’elle poussa quand la brosse claqua sa fesse gauche lui prouva l’efficacité de ce nouvel instrument.

Les pleurs de la chipie s’accentuaient sous la dureté des claques, le jeune fesseur alternait entre de lourdes claques bien appuyées et de rapides séries très rapprochées afin de troubler encore plus la chipie sur le point de craquer.

Après dix longues minutes de ce sévère traitement, le visage de la petite chipie était couvert de larmes et ses fesses dégageaient une intense chaleur.
Finalement, après une dernière série de claques très rapide sur la jointure entre les cuisses et les fesses, le fesseur posa la petite brosse sur le dos de la chipie pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits.

- Très bien. Maintenant jeune fille tu vas retourner quelques minutes dans ton coin pour réfléchir à de nouvelles résolutions pour l’année à venir.

Le jeune fesseur aida la petite chipie à se relever et lui indiqua qu’elle avait interdiction de toucher ses fesses.

Pour laisser la petite chipie réfléchir à son comportement passé et ses futures résolutions, Alex prit la liberté de se préparer un chocolat chaud et de gouter les petits biscuits que la chipie venait de préparer pour les fêtes.

Plusieurs minutes ont passé, le jeune fesseur réfléchit à la meilleure manière de marquer l’esprit de cette petite chipie. C’est finalement en voyant sa petite cravache qu’une idée un peu sadique lui vint à l’esprit.

- Alors jeune fille, j’espère pour toi qui tu as pris le temps de bien réfléchir à tes nouvelles résolutions. Je t’écoute.
- Je dois arrêter de faire des bêtises.
Clac. Clac. Clac.
- C’est tout ? Tu te moques de moi jeune fille ?
- Non, non, je suis désolée je pensais que..
Clac.
- Maintenant je veux t’entendre me lister toutes tes nouvelles résolutions, et attention à toi si je ne trouve pas cela convainquant.

La petite chipie prit une grande inspiration avant d’articuler ses bonnes résolutions.

- Je ne dois plus reporter à plus tard ce que je peux faire dès maintenant.
Clac. Clac. Clac.
- Excellent idée jeune fille. Quoi d’autre ?
- Je ne dois plus arriver en retard.
Clac. Clac. Clac. Clac.
- Effectivement, les retards sont inadmissibles. Ensuite ?
- Je dois être polie et parler gentiment aux autres.
Clac. Clac. Clac.
- Evidement. Autre chose jeune fille ?
- Je ne dois plus abuser de l’alcool et des gourmandises.
Clac. Clac. Clac.
- Bien, nous avançons. Une autre idée ?
- Je dois travailler régulièrement.
Clac. Clac. Clac. Clac. Clac.

Cette dernière série de coups de cravache étaient encore plus lourde que les précédentes. La petite chipie tremblait et ses fesses irradiaient sous la main de son sévère fesseur.

- Bien jeune fille, je vois que tu as compris la leçon.
- Oui Monsieur.

Alex déposa la cravache avec la petite brosse, il prit quelques instants la petite chipie dans ses bras pour la consoler en lui murmurant que sa punition était terminée.
En y repensant il trouvait que ce rôle lui allait plutôt bien et il avait beaucoup apprécié punir sa jeune voisine.

- Si tu as, de nouveau, des problèmes de comportement ou des bêtises à confesser, tu peux monter deux étages et je serai là.
- Oui Monsieur.
- Bien, je vais te laisser jeune fille, joyeux Noël.

Juste avant de passer la porte, la chipie s’approcha du jeune fesseur pour lui murmurer.

- Je m’appelle Nina, joyeux Noël Monsieur, et merci.
C'est le bazar ici !

C'est le bazar ici !

C
e matin je suis pressée, j’ai révisé toute la nuit pour mes examens et ce soir, enfin, je suis en week-end. Je passe donc en coup de vent dans la salle de bain pour avoir une allure présentable, même si sur ma copie personne ne saura jamais que j’ai n’ai pas coiffé mes cheveux depuis deux jours car je n’arrive pas à retrouver ma brosse.

Finalement je sors de mon appartement rapidement en laissant trainer ma tasse de café que je n’ai pas eu le temps de finir et je n’ose même pas repenser à l’état dans lequel j’ai laissé ma chambre. Ce n’est pas très grave, j’aurai largement le temps de ranger mon appartement ce soir ou demain matin, avant l’arrivée de Monsieur.

Un peu plus tard, après avoir passée 4 heures à plancher sur ma copie, je m’offre enfin un petit moment de calme avec mes camarades devant une bière bien méritée. Une anecdote de révision en entrainant une autre, nous avons décidé de reprendre plusieurs verres et de finir en boite de nuit.

C’est aux environs de 6 heures du matin que je retourne chez moi avec une sacrée gueule de bois. Devant mon immeuble je ressens une étrange impression de panique mais n’arrive pas à comprendre pourquoi, je décide de ne pas y prêter attention et me dépêche de rentrer me reposer un peu pour être présentable devant Monsieur que je dois accueillir à la gare en début d’après-midi. C’est au moment d’arriver au niveau de ma porte d’entrée que l’angoisse me reprend en constatant que celle-ci n’est pas fermée à clé. Je regarde rapidement à l’intérieur et pénètre dans mon salon sans un bruit avant de trébucher sur une paire de bottine qui trainait là depuis quelques jours.

- Merde, qu’est-ce qu’elles font ici celles-là.

Mon sang ne fit qu’un tour en entendant un rire grave provenant de ma chambre.

- C’est très amusant, je me suis fait exactement la même réflexion.

Mais qu’est-ce qu’il fait ici ? Comment est-il entré ?

- Mons… Monsieur ? Qu’est ce que … Enfin comment ?
- C’est vraiment la première chose que tu as envie de me dire ?

Je suis vraiment mal, je peux voir dans son regard qu’il est furieux et il y a largement de quoi, il m’avait demandé de ranger mon appartement pour être dans de bonnes conditions pour mes révisions. En plus de ça mon état d’ébriété est flagrant, il va enrager.

- Bonjour Monsieur. Je suis surprise de vous voir si tôt.
- Bonjour jeune fille.

Il m’aide à me relever et prend quelques instants pour plonger ses grands yeux bleus dans les miens. Je peux sentir à sa poigne que la suite de cette journée ne va pas être plaisante pour moi.

- Alors comme ça tu es surprise de me voir. Ça fait toujours plaisir, je devrai peut-être te laisser alors.
- Non Monsieur, je suis désolée. Bien sur je suis heureuse de vous voir.

Je lui fais mon plus sincère sourire mais je sens que la pièce qui m’entoure tangue et manque de tomber avant de sentir ses bras protecteurs me retenir.

- Viens. Tu n’es pas en état d’être punie. Tu vas dormir un peu et nous en parlerons plus tard.
- Je suis désolée Monsieur, je ne voulais vraiment pas vous accueillir dans ces conditions je ..
- Chut, va te coucher. Je t’apporte une aspirine.

Je me sens mal, il a l’air furieux et en même temps très calme, ce qui n’augure rien de bon pour moi.
Je me dirige donc vers mon lit et me couche tout habillée, quelques minutes plus tard, mes paupières commencent à se fermer et je sens la présence de Monsieur à mes côtés puis me rendors profondément.

- Allez jeune fille, il est temps de se réveiller.

J’ouvre difficilement les yeux et aperçoit Monsieur au-dessus de moi, il me caresse les cheveux et un léger sourire apparaît sur son visage.

- Bonjour Monsieur.
- Ahah, je dirai bonsoir plutôt, il est bientôt 17H jeune fille.
- J’ai dormi tout ce temps ?
- Tu avais du sommeil à rattraper à ce que je vois.

Cette réflexion me fait baisser les yeux. Je me relève pour m’assoir sur mon lit et Monsieur me tend un verre d’eau et une aspirine, que j’avale immédiatement.

- Comment tu te sens ?
- Plutôt bien vu les circonstances Monsieur.
- Bien. Tu te doutes que ta petite sieste ne m’a pas fait oublier l’état dans lequel j’ai trouvé ton appartement en arrivant et tes petits débordements qui t’ont conduit à avoir cette gueule de bois.
- Oui Monsieur.
- Parfait. Avant tout tu vas me ranger tout l’appartement, je te laisse une heure. Pendant ce temps je vais nous trouver de quoi diner car tu n’as rien dans ton frigo. Et saches qu’à mon retour nous aurons une conversation un peu moins plaisante pour toi.
- D’accord Monsieur. Je suis dés..
- Je t’arrête tout de suite, je n’accepterai tes excuses qu’après la sévère fessée que tu mérites.
- Oui Monsieur.
- Une heure. A tout de suite jeune fille.

Je ne perds pas une seconde et m’active au rangement de mon appartement. Je commence par ma chambre qui est vraiment dans un sale état, puis la salle de bain et enfin le salon. Il me reste encore une dizaine de minutes, alors j’en profite pour nettoyer la cuisine.

Quelques minutes avant le retour de Monsieur je décide de passer sous la douche et de m’habiller avec seulement un tee-shirt et une culotte. En l’entendant monter les marches je m’installai à genou, dans le coin de mon salon qui lui permettait de me voir dès son entrée dans l’appartement.
Maintenant je dois respirer et attendre ma punition.

- Bien. A ce que je peux voir tu as rattrapé ta négligence, tu vois que tu peux le faire quand tu y mets de la bonne volonté. Maintenant, viens me rejoindre, nous avons des choses à régler.
Je prends une grande inspiration et me lève, je m’avance vers lui avec appréhension et je peux voir dans son regard qu’il sera intransigeant.
- Je vois que tu as fais l’effort de te changer pour ta punition. Maintenant viens de positionner sur mes genoux jeune fille.

Cette dernière phrase n’attendait aucune réponse, je me positionne donc comme il me l’a demandé. Je le sens caresser mes fesses quelques instants avant de sentir la première claque sur ma petite culotte, s’en suivent une bonne vingtaine de claques qui augmentent en intensité.

- Tu te doutes que ce n’est que le début de ta punition.
- Oui Monsieur.
- Lève-toi s’il te plait.

Je me relève doucement, mes fesses commencent à chauffer. Je le vois me regarder déterminé, il passe ses doigts sous l’élastique de ma culotte et prend le temps de la baisser jusqu’à mes pieds. Il tapote ses genoux pour m’indiquer de me remettre en position. Je prends une grande inspiration avant de l’entendre continuer ma fessée.

- Alors comme ça, tu ne m’écoutes pas quand JE. Clac. TE. Clac. DEMANDE. Clac. DE. Clac. RANGER. Clac, clac, clac.
- Je suis désolée Monsieur. Je ferai attention.
- Je n’en doute pas jeune fille. Après cette fessée je suis sûr que tu auras retenu la leçon. Clac, clac, clac.

Mes fesses me chauffent de plus en plus, je sens sa prise sur moi se resserrer sur mes mouvements involontaires. Je commence à verser quelques larmes. Il continue de me fesser encore et encore, je lui demande pardon mais rien n’arrête sa main qui claque mes fesses.

- COMBIEN. Clac. DE. Clac. FOIS. Clac. JE. Clac. DOIS. Clac. TE. Clac. LE. Clac. REPETER. Clac, clac, clac.

J’éclate en sanglots sur ses genoux et je l’entends reprendre son souffle.

- Bon, je pense que tu as compris qu’il est important de travailler dans un environnement sain. Maintenant tu vas retourner au coin et je viendrai te chercher pour la suite.
- Oui Monsieur.

Il m’aide doucement à me relever de ses genoux et me guide jusqu’au coin. Pendant une dizaine de minutes je n’entends que ma respiration, je ne sais même pas s’il se trouve encore dans la pièce.
Je sens que le feu de mes fesses s’estompe lentement, je me demande depuis combien de temps je suis au coin et ce que Monsieur me réserve pour la suite. Car oui, il y aura une suite, il a été clair là-dessus.

- Bien jeune fille, maintenant tu vas me suivre, nous avons encore des choses à régler.

Il me tient par le bras et je m’aperçois qu’il me conduit jusqu’à ma chambre. Arrivée devant mon lit, il me guide les mains pour les poser à plat devant moi et me demande de réfléchir à ce qui m’a conduit dans cette position. Je commence à trembler en imaginant ce qu’il a préparé puis me retourne pour le voir retirer sa ceinture.

- Non Monsieur, s’il vous plait, pas la ceinture, je serai sage.
- Oh je n’en doute pas jeune fille. Après la punition que je vais te donner j’espère que tu y réfléchiras deux fois avant de refaire des excès. Remets-toi en position immédiatement si tu ne veux pas que je t’en rajoute.

Résignée je me replace dans la position imposée et hoche la tête quand il me demande de compter les coups de ceinture.

- 1. 2. 3 …

Les premiers coups résonnent dans la chambre et me font gémir de douleur, Monsieur n’a pas ménagé sa force, il veut me faire comprendre son mécontentement.

- 4 […] 17. 18. 19. 20.

Je m’effondre sur mon lit en pleurant, j’ai réussi à ne pas bouger pendant les coups mais maintenant j’ai un peu de mal à reprendre mon souffle. Pendant que mes larmes coulent sur mon lit, je sens la présence de Monsieur derrière moi, il me caresse le dos et me demande de me retourner pour lui faire face.

Après cette sévère punition, Monsieur me prend doucement dans ses bras le temps de calmer mes pleurs, il me chuchote qu’il est fier de moi et que ma punition est terminée.

C’est ainsi que, les fesses brulantes, la ceinture au sol, dans les bras de mon fesseur, je m’assoupis apaisée, avec le sentiment d’être tendrement prise en main.
La récidive !

La récidive !

Un matin mon téléphone vibre …

Marie avait récidivé …

Cette fois ma main ne sera pas suffisante pour recadrer cette jeune demoiselle rebelle et fière …

L’interphone sonne !

- « C’est Marie. » m’annonce-t-elle !
- « Très bien Marie. Je t’ouvre. Ma porte est ouverte. Tu rentres, tu m’enlèves tes chaussures, ton pantalon, tes chaussettes et tu vas te mettre au coin les mains sur tête au même endroit que la dernière fois. »

Pas de réponse mais je l’entends s’approcher.

Pas de discussion cette fois. On avait convenu tous les deux que cette fessée allait être sévère !

La voilà maintenant au coin en t-shirt et petite culotte.

Je place une chaise au milieu de la pièce, m’assoie et prend un instant pour regarder Marie qui reste immobile. Sa culotte blanche épouse parfaitement ses rondeurs que je m’apprête à rougir.

- « Marie, quand tu te sentiras prête tu viendras te positionner devant moi et tu me demanderas de te donner la correction que tu mérites. » je l’informe.

Après un long moment d’hésitation elle se retourne, vient se positionner devant moi et s’exécute tant bien que mal.

- « J’ai encore été désagréable avec mon entourage et pour cela je mérite d’être punie sévèrement. Pouvez-vous me donner une correction ? » me demande-t-elle toute penaude.
- « Oui Marie je le peux. Toi et tes fesses allez vous souvenir longtemps de cette correction. » je lui réponds en la basculant sur mes genoux.

La voilà sur mes genoux, son fessier offert à ma main, ses jambes blanches tendues et ses pieds nus solidement ancrés dans le sol. Elle semble prête à endurer sa punition comme une grande.

Je lui caresse doucement les fesses par-dessus son slip. Le calme avant la tempête …

Je lui administre une première claque appuyée pour ne lui laisser aucun doute sur la suite de la punition. Je la sens se contracter de tout son long. Je n’y prête pas attention et démarre une très longue série de claques alternant des claques lourdes et lentes avec des claques sèches et rapides.

Marie commence à gigoter et à émettre quelque soufflement et grognement. Je marque une pause.

- « Il ne s’agit que du début Marie. Tu le sais ça n’est-ce pas ? » je la questionne.
- « Oui monsieur. » me répond-elle assez fermement avec une once de défis dans la voix.
- « J’espère bien car on a convenu que tu méritais une sévère déculotté pour cette récidive ! » je la sermonne.

Les extrémités de ses fesses dépassant de sa petite culotte sont maintenant bien rouges. Je glisse mes doigts entre sa peau et les deux bords de son slip que je tire vers sa raie pour lui faire un string. Ses deux globes sont maintenant totalement nus et encadrés par ce bout de tissu.

Ma main se lève à nouveau et s’abat à rythme régulier en alternant entre sa fesse gauche et sa fesse droite. Ses gigotements sont maintenant beaucoup plus prononcés et des petits sons sortent de ses lèvres.

Je m’arrête, repositionne sa culotte normalement et relève Marie pour la positionner devant moi. La trace d’humidité au niveau de son entrejambe me confirme que la jeune demoiselle y trouve autant de plaisir que moi.

Elle profite d’ailleurs de cet instant d’inattention pour reprendre son souffle. Elle a raison car le pire est à venir.

- « Enlève-moi ta culotte ! » je lui ordonne sèchement.

Je devine un tressaillement.

- « Dépêche- toi ou tu retournes sur mes genoux ! » je la menace.

Après un court instant ses mains finissent par saisir sa culotte qu’elle commence à descendre. Arriver à la moitié de ses fesses et juste au-dessus de son pubis elle marque un arrêt et me regarde toute gênée.

- « Allons Marie je t’ai déjà vu cul nul. Ne m’oblige pas à t’aider tu risques de le regretter ! » je lui précise.

Cette menace semble porter ses fruits car sa culotte finit par descendre le long de ses cuisses, passer ses genoux et tomber délicatement à ses pieds.

- « C’est bien Marie. Te voila prête à recevoir la suite de ta fessée les fesses nues comme la vilaine que tu es. » je ne peux m’empêcher de rajouter.

L’effet est immédiat : ses joues deviennent aussi rouges que ses fesses.

- « Pour la suite de ta correction tu vas maintenant t’allonger au coin du lit en écartant bien tes cuisses pour que chacune de tes jambes soient positionnées de chaque côté de ce dernier. ».

Résignée Marie s’exécute. Cette position me permet d’avoir une grande marge de manœuvre pour utiliser des instruments et obliger la punie à dévoiler toute son intimité. Intimité que je devine gonflée et trempée de désir.

Je recommence à lui administrer des claques à la main mais beaucoup plus fortes grâce à cette nouvelle liberté de mouvement. Marie a enfoui sa tête dans la couette pour étouffer ses gémissements.

Je m’arrête. Il est temps de passer à la phase finale de la punition.

Je saisie le bat de son t-shirt que je ramène vers sa tête et lui enlève complètement. Marie résiste un peu mais finit par se rendre. La voilà quasiment complètement nue avec pour dernière protection son soutien-gorge.

- « Tu sais ce que l’on avait prévu si tu récidivais Marie ? » je la questionne.
- « Oui monsieur … » marmonne t’elle la tête toujours enfoui dans les draps.
- « Je veux te l’entendre dire Marie ! » je lui précise fermement.
- « La ceinture monsieur … » articule-t-elle.
- « C’est ça Marie. Et j’espère que cela te servira de leçon ! » je la sermonne.

Je déboucle ma ceinture et la fait glisser lentement le long des passants. Je la plie en deux et fais claquer chacune des extrémités. Marie a un léger sursaut en entendant le bruit sec.

- « Pas encore Marie … Pas encore … » je murmure.

Je pause le bout de la ceinture sur ses fesses et la fais glisser le long de ces dernières ainsi qu’à l’intérieur de ses cuisses.

Je l’enlève brusquement et lui administre rapidement un premier coup. Elle ne peut laisser échapper un petit cri de surprise ou de douleur et contracte ses fesses.

Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits et la ceinture s’abat une deuxième fois sur son cul encore serré. Cette fois c’est tout son corps qui se tend et elle saisit le drap avec ses mains.

J’attends un instant que la douleur de ces deux premiers coups s’estompe. Marie ne peut s’empêcher de serrer les fesses de manière aléatoire dans l’espoir de parer le prochain coup.

Celui-ci s’abat malheureusement entre deux contractions. Et le suivant tombe à la suite. Elle respire maintenant plus fort.

Je luis assène cinq nouveaux coups qui la poussent à se retourner totalement sur le dos sans aucune pudeur pour éviter le suivant.

- « Très bien Marie ! Tu refuses d’endurer ta punition comme une grande fille ! Eh bien tu vas être fessée comme un bébé à qui on change une couche. Lève tes jambes tout de suite ! » je lui ordonne.

Je peux lire l’incompréhension dans son regard.

Je lui saisi les pieds de ma main libre et les lui lève !

- « Ho non pas comme ça s’il vous plait ! » me supplie-t-elle.
- « Si comme ça Marie ! Comme doit être punie une demoiselle qui est incapable de se tenir comme une grande ! » je lui rétorque.

La voilà totalement livrée à ma volonté pour la dernière phase de sa correction.

Je lui administre dix nouveaux coups venant lui cingler les fesses impitoyablement. Elle tente tant bien que mal d’’y échapper mais rien n’y fait la punition arriva à son terme.

Je lui laisse quelques instants pour sécher ses larmes et reprendre ses esprits, lui demande d’aller au coin et ajoute qu’une fois qu’elle se sentira prête elle pourra venir dans mes bras.

Enfin, je l’autorisai à se rhabiller et nous nous quittâmes après avoir parlé de tout et de rien.
Des mots aux actes !

Des mots aux actes !

Après avoir longuement échangé sur nos désirs communs, Marie et moi avions convenu de nous retrouver chez moi pour passer des mots aux actes.

J’étais en train de lire « Les Fleurs du Mal » quand soudain l’interphone sonna. Le moment tant attendu était arrivé.

Une voix timide me demande si je suis bien la personne avec qui elle a longtemps échangé et convenu dernièrement de ce rendez-vous. Je note sa réticence à utiliser le mot « fessée ».

Je la rassure en lui disant qu’elle est au bon endroit et je lui ouvre la porte de la résidence. Je pu ensuite entendre ses pas se rapprocher.

Toc Toc Toc ! Mon cœur s’accélère !

Je saisi la poignée, ouvre la porte, l’accueil avec un grand sourire qu’elle me rend et l’invite à rentrer. Elle est habillée d’un chemisier, d’un jean moulant et d’une paire de baskets.

Pour détendre l’atmosphère je lui demande si elle veut boire quelque chose et nous engageons la conversation en parlant de tout et de rien.

Une fois que je sens que le courant passe bien entre nous je recentre notre échange sur la raison première de ce rendez-vous. Je ne voudrais pas qu’elle échappe à sa punition en me déconcentrant !

- « Pourquoi mérites-tu une fessée Marie ? » je lui demande volontairement de manière abrupte pour marquer une rupture dans la conversation.

Je remarque que ce changement de ton la déroute quelque peu mais elle finit par répondre après avoir repris consistance :

- « J’ai été impatiente et désagréable avec mon entourage sans raison valable. » me dit-elle.
- « Cela mérite en effet une bonne fessée déculottée. » dis-je en appuyant sur le mot déculotté.

Son visage s’empourpre légèrement et elle me répond en bredouillant :

- « Oui je crois. ».
- « J’en suis même sûr ! » je lui rétorque. Et j’enchaine : « Enlève tes chaussures et tes chaussettes et va te mettre au coin les mains sur la tête », en lui montrant un angle de la pièce !

Elle dénoue ses lacets, enlève ses chaussures et ses chaussettes et se rend pieds nues à l’endroit que je lui ai indiqué.

- « Les mains sur la tête j’ai dit !» je suis obligé de lui répéter !

Je profite de cet instant pour prendre une chaise que je déplace au milieu de la pièce en faisant un peu de bruit pour qu’elle puisse comprendre ce que je fais.

Je m’assois et j’attends quelques minutes pour que la future punie puisse bien réaliser ce qui va se passer.

- « Marie, tu peux venir maintenant. » je lui annonce d’une voie ferme.

Je sens un instant d’hésitation puis elle se retourne et se place devant moi.

Je lui prends le bras et la guide sur mes genoux. J’attends qu’elle se positionne convenablement et je pose ma main sur ses fesses, encore recouverte de son jean et de sa culotte, tout en la prévenant :

- « Maintenant tu vas être punie comme tu le mérites Marie. ».

Pas de réaction.

Je lève ma main et lui administre une première série de claques en augmentant petit à petit leur intensité. Je peux sentir ses légères contractions tentant de prévoir le prochain impact de ma main.

J’enchaine trois séries sur son pantalon en variant le rythme. Sentant que les réactions de la punie restent modérées je décide de procéder à un premier effeuillage.

- « Lève-toi Marie s’il te plaît. »

Elle se place devant moi les bras le long du corps. Je déboucle sa ceinture, déboutonne les boutons de son jean et descend la fermeture éclair. Elle n’a pas bougé mais son visage a pris une jolie teinte rose et ses mains sont crispées. Je la regarde dans les yeux, glisse mes doigts entre son jean et sa culotte et descend lentement son pantalon le long de ses cuisses, de ses mollets et l’arrête à ses chevilles.

Je descends le regard et peux maintenant voir sa jolie culotte blanche sur laquelle je crois apercevoir une légère marque d’humidité. Je n’y prête pas vraiment attention et la redirige sur mes genoux. Je peux voir aux extrémités de sa culotte que la peau de son joli postérieur a déjà commencé à rosir.

- « Tu es bien consciente que cela n’était que l’échauffement Marie ? » je lui demande !
- « Oui je sais monsieur. » me répondit-elle d’une voix dans laquelle je peux sentir une certaine appréhension.

Je lui caresse lentement les fesses par-dessus son slip. Je peux déjà sentir un début de chaleur.

Soudain je lève ma main ! Sa réaction ne se fait pas attendre et je devine son fessier se contracter au travers des plis de sa culotte ! Culotte ne présentant finalement qu’une faible protection ! Je décide de l’ignorer et j’abats ma main à rythme régulier jusqu’à ce que Marie ne puisse plus maintenir cet effort musculaire au moins de manière continue.

Ses réactions de Marie sont maintenant beaucoup plus visibles et audibles. Ses jambes, bien qu’elles soient entravées par son jean au niveau de ses chevilles, commencent à gigoter et elle ne peut réprimer quelques gémissements lorsque j’accélère le rythme de mes claques et en augmente l’intensité.

Puis je diminue petit à petit le rythme et je lui laisse le temps de reprendre un peu ses esprits en lui caressant doucement les fesses et les cuisses. Je lui redemande de se lever fasse à moi. Je sens un instant d’hésitation, surement parce qu’elle appréhende ce qui va se passer ensuite, mais elle finit par s’exécuter sans avoir besoin de lui répéter.

- « Enlève-moi ton jean s’il te plaît ! » je lui ordonne !

Comme soulagée elle se penche et libère ses chevilles de cette entrave et se retrouve devant moi avec son chemiser, son slip et ses jambes complètement nues.

Éphémère soulagement cependant !

- « Comment donne-t-on une bonne fessée à une gamine pas sage comme toi Marie ? » je la questionne !

Long moment de silence !

- Je l’interpelle : « J’attends Marie ! ».

Je sens que son désarroi est grand !

- « Allons, une chipie comme toi doit bien savoir ! »
- « On lui donne une fessée déculottée. » marmonne-t-elle de manière incompréhensible.
- « Je n’ai pas entendu Marie. » dis-je.
- « On lui donne une fessée déculottée. » dit-elle de façon plus audible.
- « Oui c’est tout à fait ça Marie ! Une bonne fessées cul nu ! Comme une vilaine fille ! » je lui réponds en insistant sur chacun des mots !

Mes mains se rapprochent de sa taille mais les siennes s’interposent ! Je me lève, lui saisis le bras, la retourne et lui administre une bonne série de claques sur ses deux fesses et me rassois.

- « Si tu ne me laisses pas te déculotter la punition n’en sera que plus cuisante Marie ! Je te préviens ! » lui dis-je froidement !

Mes mains se rapprochent à nouveau de sa taille et cette fois si pas de résistance. Le message semble être passé !

Mes doigts s’immiscent entre sa peau et l’élastique de sa petite culotte qui laisse maintenant clairement apparaitre une trace de son excitation. Mes yeux bleus plongent dans les siens alors que je baisse lentement le dernier rempart de son intimité ! Son visage n’a jamais été aussi rouge !

Une fois sa petite culotte ayant atteint ses genoux je la repositionne sur mes cuisses et j’admire ses fesses bien rouges et totalement offertes à ma main ! Cette dernière en profite pour les caresser lentement et en ressentir la douce chaleur qu’elles produisent !

- « C’est maintenant que tu vas réellement recevoir la correction que tu mérites jeune fille ! » je la préviens !
- « Pas trop fort s’il vous plaît » me supplie-t-elle !
- « Ça il fallait y penser avant Marie » je lui rétorque !

Ma main se lève à nouveau et s’ensuit une très longue série de claques alternées de caresses qui poussent Marie à gigoter de plus en plus et à émettre des petits cris. Elle en oublie toute pudeur et dans ses tentatives d’éviter mes claques elle me dévoile par moment ses lèvres intimes que je devine humide.

Je fini par arrêter une fois que ses gigotements prirent fin, signe de l’acception totale de sa punition, et que j’eu entendu ses premiers sanglots de contrition.

Une fois la fessée finie je demanda à Marie de s’assoir sur mes genoux et je la pris dans mes bras pour la réconforter.

Enfin, après un moment au coin, elle se rhabilla et nous discutâmes jusqu’à prendre congé l’un de l’autre en nous promettant de nous revoir pour résoudre ses futurs écarts de conduite !
Il faut bien savoir compter

Il faut bien savoir compter

Une jeune fille s’adresse à moi pour subir une petite correction qu’elle estime mériter. La connaissant j’accepte sa requête et lui donne rendez-vous ! Elle me demande si elle peut venir avec une amie, j’accepte également !

Après avoir trop consommé d’alcool dernièrement, les deux filles veulent se punir pour éviter que cela se reproduise. Les deux arrivent en short prêtes à recevoir la punition administrée..

Pour la première salve, une des deux filles se pose sur mes genoux prête à recevoir le total de 50 fessées ! Pour alimenter la punition, je demande à son amie de regarder et de compter le nombre de fessées qu’elle reçoit ! J’interromprai la punition pour demander le nombre exact de fessées administrées. S’il y a une erreur, je recommence à ZERO !

Et c’est parti, après une vingtaine de petites tapes sur les fesses, je demande à l’amie à combien on est ! Elle me répond 25 or, on était à 23 ! Nous recommençons donc à zéro !

Nouveau test et nouvelle erreur !

– “Alors ou nous en sommes ?”

– “18”

-“Tu ne suis pas, on recommence à zéro”

Cette fois ci, pour le troisième test, elle a eu juste, mais de 50 fessées, le total s’est vu passer à 92 !! Nous inversons les positions, et il est évident que la récente femme fessée est très énervée par la piètre performance de son amie.. Elle fait alors exprès de ne pas écouter et de ne pas compter pour infliger plus de souffrance à son amie.

Cela est trop visible et ne nous échappe pas ! Je prends la ceinture et lui administre 5 coups sur son short !

Cette salve est terminée et a fait beaucoup de dégats.. Par la suite, le short est retiré et le comptage est arrêté. 50 fessées chacune, déculottée !

A la fin, elles demeurent 30 minutes au coin ! Et après, un petit massage pour les soulager.. Nous mangeons ensemble et je les raccompagne..

Comme quoi, il est important de bien savoir compter 🙂
La toute première

La toute première

Notre histoire commence lors d’une après-midi banale dans une petite ville de France, en plein mois de juillet, comme d’habitude, Jack traîne avec ses amis, flânant sur les routes, la plage, la piscine, là ou ils peuvent tout simplement discuter, s’amuser en toute tranquillité.

C’est lors de cette après-midi que Jack rencontra l’amie d’un de ses amis : Laure, qui habité la ville d’à côté. Ils fréquentaient le même collège depuis des années, les mêmes amis, mais que ce soit par hasard, timidités ou autre, ils ne se sont jamais rapprochés jusqu’à ce fameux jour d’été, où ce très cher Jack remarqua quelle beauté était cette Laure…

Ainsi passa les semaines, plaisanterie, discussion, rigolade, chat sur MSN… Assommés à coup de wizz et d’émojis, ils communiquèrent tout deux de plus en plus, partageant toutes sortes d’avis, rêves et même quelques secret… Mais lors d’une nuit, devant la caméra…

Laure: Ca te dirait de passer chez-moi un de ces jours ?

Jack: LOL, pourquoi pas ? Tu tentes de m’attirer dans un piège ?

Laure: Qui sait ? clin d’œil Je vais me coucher, bonne nuit bruit de bise

Jack, sur le cul, on peut l’dire… Comment interpréter ce qu’il vient de se passer ? Ces allusions ? Est-ce un simple jeu ? Une simple plaisanterie ? Et s’il se goure complétement ? Voilà ce que ressente bien des gens dans une relation comme celle-ci… “Je ne tenterai rien, pas sans un signe clair” se dit-il, sa relation avec elle, bien qu’il aurait souhaité plus, était trop importante à ses yeux pour la perdre.

La nuit passa, autant que la journée, il prit son vélo et pédala jusque chez elle, il n’a jamais fait se parcours aussi vite… Arrivés à la maison de Laure, elle le fit entrer avec un grand sourire, remarquant son état en pleins effort avec un sourire moqueur.

Laure: Tu pues comme jamais…

Jack: Didonc, c’est toi qui pues !

Laure: Va te laver mal-propre. Dit-elle, lui faisant signe d’entrer.

Jack: Et ton père ?

Laure: Parti avec mon frère pour le travail, je vais nous mettre un film et faire du pop-corn, va te laver je te dis !

Ni une ni deux, connaissant déjà les lieux, il se dirigea vers la salle de bain, pris une douche rapide, et il aurait juré avoir vu la porte entrouverte… Mais c’était sans doute son imagination. Toujours est-il qu’une fois propre, elle lui demanda de ramener son ordinateur dans le salon avant de venir.

Demande bien curieuse, mais il s’exécuta, entra dans sa chambre, pris son ordinateur portable et le ramena, ils discutent, mange, regarde le film, quand elle prit son ordinateur pour “vérifier MSN” comme elle disait, l’écran noir s’envola comme le rideau d’une scène de théâtre, laissant voir une image de fessée sur une jeune infirmière, venant tout droit du site “Discipline domestique”.

Elle regarda Jack en silence, il croisa son regard, tout deux bloqués sur cette situation, ce moment aussi silencieux que gênant, aucun des deux ne recula, mais aucun des deux ne fit quoi que ce soit non plus… Jack esquissa un léger sourire et déclara.

Jack: Je préfère celles avec les pom-pom girl.

Laure expira d’un seul coup, puis percuta la nouvelle, Jack connaissait et fréquentait également ce site. Ils rirent bien des fois de cette situation… Cette nuit-là, ils échangèrent longuement sur le sujet… Et d’autres bien plus intimes… Plusieurs heures passent, il est très tard, et il avait quelque peu fait le tour du sujet.

Laure: On essaye ?

Jack: Quoi ?

Laure: Tu veux me donner une fessée ?

Jack: Je… Ben… Pourquoi pas ?

Elle se leva, retira la couverture dans laquelle ils étaient tout deux enveloppés dans le canapé du salon, elle affiche encore ce sourire qui l’a tant fait craquer, et s’allonge au travers de ses genoux avec une grâce et une élégance qu’il ne lui connaissait pas.

Elle resta là, tourna légèrement la tête pour observer sa réaction, ses fesses toujours enveloppées par son jean moulant, à la merci de Jack. Et lui ? Le pauvre, lui qui en a toujours eu envie, là servie sur un plateau d’argent, avait-elle prévu ça avec son ordinateur ? Est-ce pour l’observer sous la douche qu’elle lui a dit de se laver ? Toutes ces allusions, discussion et autres… C’était pour en arriver là ? Elle le sortit de ces songes avec seulement quelques mots.

Laure: Hé bien ? J’attends…
Fin ?
Petite escapade philosophique

Petite escapade philosophique

Petite escapade philosophique


La jeune Lila rendait visite à son fesseur aussi souvent qu’elle le pouvait.
Les cheveux au vent, le pas décidé, brûlante d’impatience, le désir au creux du ventre, les yeux pétillants, soucieuse de rien, et avide de tout.
Elle avait si souvent rêvé de passer de délicieuses heures à écouter les remontrances, à se rebeller comme elle n’avait jamais osé, à appréhender les punitions, et à lâcher le monde réel un instant.
Elle l’avait mis sur un piédestal, duquel il ne devait surtout pas qu’il tombe. Alors il jouait inlassablement la scène; lui répétait les mêmes mots, la déshabillait sans pudeur, fouettait ses fesses à en devenir toutes roses, contemplait son ouvrage encore et encore. Et ce jusqu’à ce que les deux êtres se perdent, se retrouvent, dans une jouissance secrète dont ils ne parlaient jamais pour ne pas en ternir le vécu.
Elle avait conscience, et y pensait parfois, d’être parfois un peu dépassée par ses envies. Le réel et son imagination avait fini par se mélanger dans un espace hors-temps qui défiait sans honte aucune la raison du commun des mortels.
Parfois les rêves enfouis si profonds qu’elle ne savait plus s’ils lui appartenaient, se heurtaient à la rationalité d’une pensée trop rigide. Alors il la prenait dans ses bras si puissants, la rassurait, la cajolait.
Elle pouvait dès lors s’évader comme en voyage, friande d’aventures dont elle était l’héroïne, avec son ténébreux, comme un souffle d’oxygène, une brise de l’enfance, joyeuse et triste à la fois.
Elle lui avait confié ses secrets, elle connaissait les siens, ils s’étaient promis de ne pas faire les mêmes erreurs que les autres, d’être au-dessus de tout, toujours les plus forts.
Il se prenaient par la main, s’en allaient s’amuser dans cette dimension inaccessible à leurs semblables, et en revenaient toujours rieurs, libres, et heureux.


Bande son
« High », David Halliday (1988)

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