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Punition pour insolence

Punition pour insolence

Q
uand mes doigts tapent plus vite que je ne pense, quand je rougis à la lecture de mes propos et que je ne peux m’empêcher d’envenimer les choses…

J’ai honte de ce que j’écris bien que cela m’amuse et pourtant je continue encore et encore.

J’aimerais avoir la sagesse de m’arrêter moi-même. Alors que je peux me montrer si raisonnable la plupart du temps, je ne sais ce qui me pousse à me comporter avec autant d’insolences.

Je sais que la limite est proche. Je le vois. Je le sens. Je suis prévenue et pourtant je continue.

La machine est lancée à trop vive allure pour que je ne puisse l’arrêter. Alors j’accélère encore et encore jusqu’à ce le choc ait lieu.

Le voir écrit en toutes lettres, ce mot infamant est comme un coup dans le cœur.

Je regrette tellement d’en être arrivée là. De ne pas avoir su me retenir. De ne pas avoir su m’excuser. De vous avoir obliger à sévir et à m’infliger votre sentence.

Ce mot que je honnis. « Punition ».

Je ne suis que honte et remords. Je suis Punie.

Je vous en remercie.
Soumise à nos désirs

Soumise à nos désirs

L
e temps de ma soumission est arrivé. De me plier à sa volonté. Il me lie les mains derrière mon dos. Me bande les yeux. M’attache mes jambes. Je suis allongée sur le dos. Les cuisses écartées dans une position obscène. Il m’a remonté ma jupe et dévoilé mes dessous. Mon pull est abaissé. Mon soutien-gorge est sous mes seins. Je m’offre à lui. J’aime à m’imaginer offerte. Autant par le cœur que par le cul.
Il ne me donne pas d’ordre : il joue avec mon corps. Me triture mes seins, les pince et finit par y laisser deux pinces à linge. J’ai envie de sentir ses lèvres m’embrasser, son sexe me pénétrer mais il continue de me torturer, à ne m’effleurer que pour attiser mon excitation.
Je suis en attente du moindre de ses mots, du moindre de ses gestes. Je suis son jouet, sa chose.

Il joue à présent avec mon sexe, le caresse de ses doigts, mordille mon clito, insère sa langue,
alors que je suis allongée au sol, sans pouvoir le toucher, sans pouvoir rien faire d’autre que gémir. Des pinces sont à présent accrochées à mes lèvres. Il joue avec celles-ci, tirant mes seins, me pénétrant de ses doigts.

Me laissant quelques minutes de répit, il en profite pour me prendre en photo. Ne pouvant supporter la douleur des pinces, il me les retire enfin. Pour autant il a encore envie de me soumettre. De faire vivre nos envies.

Je l’entends fouiller dans son sac à malice et je me crispe. J’ai soudain peur de mes envies et lui m'assure que la suite en fait partie. Il me laisse imaginer la suite des supplices…

Il m’abandonne un instant. Un instant qui dure et qui dure. Je déteste me sentir abandonnée, le sentir loin de moi. Je ne peux rien faire sinon attendre qu’il revienne. Je suis toujours dans le noir. Mon sexe ayant pour vis-à-vis les montagnes tandis que je commence à trembler, à espérer sa présence. J’entends des bruits lointains. Pourquoi ne s’occupe-t-il plus de moi ? Que cherche-t-il ? Ne pouvant tenir plus longtemps, je l’appelle, le supplie de venir me rejoindre. Il fait semblant de ne pas m’entendre. Ce n’est pas à moi de décider de sa présence. Aussi me fait-il patienter encore quelques minutes.

Je me sens minuscule, réconfortée par sa présence. J’ai envie de me fondre dans ses bras, de me fondre en lui.

Il me demande s’il m’a manqué, que je devais apprendre à accepter ses absences, à me plier à ses ordres, à lui obéir sans rechigner.

Tendrement, il me caresse le corps, m’embrasse dans le cou, lèche mes seins encore douloureux. Il descend de plus en plus bas pour insérer de nouveau sa langue dans mon vagin.
Je me tends vers lui, mon cœur se serre, s’émeut. Je frissonne par ses attouchements et je le désire encore et encore.

Il s’écarte de moi. Je sens quelque chose de froid sur mon vagin, du lubrifiant. Puis il insère un doigt. Je sens une texture particulière. Puis un second. Il entre et ressort à volonté. Tournant ses doigts et jouant de mon plaisir. Un troisième et un quatrième doigts sont maintenant en moi. Ils tournent et m'entraînent dans leur tourbillon, leur va et vient me fait sombrer dans un plaisir particulier. Je ne pourrais en supporter un cinquième et il le sait. Il fait monter mon plaisir pour s'arrêter trop tôt à mon goût.

Il me réajuste à présent, m’aide à me mettre à genoux. M’enlève le bandeau de mes yeux, mais me laisse liée. Je suis toujours à lui et offerte à ses envies. Et son envie est de m'offrir son sexe en récompense à ma docilité.

Il dégrafe alors son pantalon et sort son sexe face à mon regard avide de la friandise. Il s'assoit sur le canapé et vient me placer entre ses jambes pour m’ordonner de le sucer.

Je m’en délecte d’avance devant ce sexe déjà bien droit. Je le prends en bouche, mes dents l’effleurent…avant que ma langue glisse de haut en bas, que mes lèvres l’enserrent, glissent, de plus en plus bas, de plus en plus fort. J’aime le sentir gonfler de désir. J’aime sa dureté, sa saveur, sa douceur. J’aime l’astiquer de ma langue, J’aime le sentir frémir, essayer de se contenir le plus longtemps possible. J’aime l’enserrer puis lui rendre sa liberté, le regarder s’élever toujours plus haut. Sentir sa main dans mes cheveux, guider ma tête, mes succions.

Je me sens soudain soulevée, la tête abaissée au sol et le cul relevé. Une position parfaite pour une soumise, parfaite pour se faire corriger, parfaite pour se faire prendre. J’ai envie qu’il soit en moi, qu’il me brutalise, qu’il me prenne de toutes ses forces, que sa vigueur s’enfonce en moi. Il s’empresse de se protéger avant de m’enfiler. Ses mains contre mon bassin qui me maintiennent dans un vas et viens fulgurant et notre plaisir qui enfin sera au rendez-vous.
Début difficile pour la premiere fessée-1

Début difficile pour la premiere fessée-1

-Baisse ton jean.
Tranquille mais assuré, le ton n'admet aucune discussion.
Dans ma tête, les emotions se bousculent, les fantasmes se transformant brusquement en realité.

Comment j'en suis arrivée la

Les idées totalement farfelues qui passent par la tête de deux filles, collocataires devenues copines, sont faites plutôt pour voir qui des deux est la plus témeraire tout en sachant bien que certains défis ne seront jamais vraiment mis en pratique.
Mais voilà, en nous confiant l'une a l'autre nos fantasmes plus absurdes, une des deux ( moi ou elle, je ne sais plus) à evoqué la fessée.
Comme je passe plus de temps sur les tchat et autres sites du genre qu'a préparer les examens d'architecture, j'ai eu l'idée de faire une brève recherche.
En deux clic j'ai trouvé plusieurs forums aux titres plus ou moins bizarres. "Discipline domestique" ( cela fait un peu trop couple de vieux) ,"Fesses rouges" (un peu inquiétant..) et d'autres qui me font rire. Et puis, deux lignes en dessous sur le moteur de recherche, je tombe sur..."Deculottées". D'un coup, ce simple mot me remet à ma place, mon sourire se fige.
Les jours suivants, j'ai dialogué sur plusieurs sites avec des personnes qui se disaient prêtes a me faire découvrir cette pratique, j'en ai profité pour essayer de comprendre mieux comment cela se passe. J'en ai parlé a Fanny et je lui ai montré quelques recits sur la fessée. J'ai vu sa perplexité sur cette idée , et mes arguments (genre toute experience nouvelle aide a comprendre qui tu est, si on essaye pas on ne saura jamais, etc.) n'ont fait que renforcer ses doutes sur ma santé mentale.

Pourquoi alors se trouve t-elle maintenant ici, embarquée dans cette etrange experience elle aussi? Tout simplement parce qu'elle n'a pas voulu me laisser aller seule a cette rencontre avec un inconnu.
Ce qui ne veut pas dire accepter de participer, elle est determinée à avoir uniquement un rôle d'ange gardien. De mon côté, le fait qu'elle m'accompagne a cette rencontre incongrue est certainement rassurant. A ce moment, je ne mesure pas encore combien cela sera embarassant qu'elle soit temoin de cette experience.

-Baisse ton pantalon.
La phrase est repetée, sans impatience, comme avec la certitude que ses indications vont être executées.

Nous sommes toutes les deux debout devant l'inconnu, plus vieux (a nous deux nous ne faisons pas son age) et absolument imperturbable dans son rôle. Même le fait que nous sommes venues a deux n'a provoqué aucune réaction apparente.
Pendant la discussion en chat, MisterX ( c'était son pseudo) a donné quelques indications sur le déroulement, mais sans s'attarder sur la tenue ni sur d'autres détails. J'ai donc pensé mettre ce que je porte habituellement. Un jeans, un pull, comme si c'etait pour aller à l'uni ou sortir bavarder avec les copines...sauf que là je me suis embarquée dans une experience très differente.
En montant les 3 étages de l'immeuble ou se trouve le bureau de MisterX ( oui, c'est bien un bureau, ou pour mieux dire un cabinet ) mes jambes sont molles, le souffle me manque, le dernier moment pour revenir en arrière.... Pas un mot avec ma copine qui suit deux marches plus bas, de toute manière elle a déjà amplement exprimé ses doutes pendant le court voyage en autobus.
Tout se passe comme dans une espèce de rêve, sonner, entrer se retrouver devant un inconnu. Du moins inconnu pour moi....
Dés que je suis en sa présence, le souvenir de ce que j'ai du faire pendant la discussion préparatoire me reviens brusquement.
Je viens de dire qu'il s'est limité a donner quelques indications sur le déroulement de la "rencontre" mais j'ai omis quelques autres choses.

La preparation
Plusieurs conversations en tchat ont eu lieu. La premiere presque trop facile, une discussion aimable et désinvolte, quelques questions sur mes passions et activités dans la vie, MisterX se montrant agréable et plutôt à jour sur les thèmes genre musique, series TV pour quelqu'un qui à plus du double de mon age.
La deuxieme, plus de questions sur mon attitude, mon caractère, je pense il sondait plus en profondeur ma personalité et mes motivations. Les choses on brusquement changé après une heure de conversation: une requête très directe m'est tombée dessus comme un coup de vent glacial. Les lignes apparaissent rapidement sur la fenêtre du chat, une question sur mon habillement actuel, la suivante si je suis seule dans mon appart, et quelques secondes aprés une requête brève et directe.
-Déculotte-toi et fait une photo en montrant tes fesses.
Prise de panique je fait semblant de ne pas avoir lu. Aprés quelques instants, la requête se fait impérative
-Pantalon et culotte aux chevilles, ce n'est pas difficile à comprendre.
Je commence a comprendre je n'ai pas d'autre choix que m'executer, même si le geste est gênant. Aucune manière de tricher ( ce qui est pourtant ma specialité) mes mains vont machinalement deboutonner mon pantalon qui tombe d'un seul coup à mes pieds.
MisterX n'écrit plus rien, comme si il attendait avec la certitude que je me plie à sa volonté.
La culotte suit le même chemin, en m'exposant a l'embarras de cette situation, debout déculottée devant mon ordinateur. J'arrive tant bien que mal a me faire ce selfie requis. Il ne me reste que le transférer sur l'ordinateur, et faire un clic pour le telecharger sur le chat. Hésitation. Je suis sur le point de me montrer culotte baissée devant un inconnu. C'est mille fois plus compromettant que se montrer en chat plus ou moins nue dans une pose savamment choisie.
Clic.
Une longue minute d'attente plus tard, MisterX se contente de dire que cela peut suffire pour le moment, sans daigner faire d'autres commentaires.

Affronter la realité

MisterX n'est plus un interlocuteur virtuel. J'entend sa voix, je suis devant lui.
Quelque part derrière moi dans la pièce, ma copine se tient en retrait, impossible de chercher un réconfort dans son regard . Hésiter encore devient difficile.
En quelques secondes, j'élabore toutes les possibilités de me soumettre a la demande de MisterX sans trop perdre ma dignité . Baisser d'un geste et mettre fin a l'humiliation? Ouvrir juste le premier bouton et le zip en espèrant m'en sortir comme cela?
Demander que Fanny sorte et attende dans l'entrée, ne pas devoir subir mon déshabillage devant elle?
Les minutes et heures qui suivront me feront comprendre combien cette experience peut être intense.
La toute première

La toute première

Notre histoire commence lors d’une après-midi banale dans une petite ville de France, en plein mois de juillet, comme d’habitude, Jack traîne avec ses amis, flânant sur les routes, la plage, la piscine, là ou ils peuvent tout simplement discuter, s’amuser en toute tranquillité.

C’est lors de cette après-midi que Jack rencontra l’amie d’un de ses amis : Laure, qui habité la ville d’à côté. Ils fréquentaient le même collège depuis des années, les mêmes amis, mais que ce soit par hasard, timidités ou autre, ils ne se sont jamais rapprochés jusqu’à ce fameux jour d’été, où ce très cher Jack remarqua quelle beauté était cette Laure…

Ainsi passa les semaines, plaisanterie, discussion, rigolade, chat sur MSN… Assommés à coup de wizz et d’émojis, ils communiquèrent tout deux de plus en plus, partageant toutes sortes d’avis, rêves et même quelques secret… Mais lors d’une nuit, devant la caméra…

Laure: Ca te dirait de passer chez-moi un de ces jours ?

Jack: LOL, pourquoi pas ? Tu tentes de m’attirer dans un piège ?

Laure: Qui sait ? clin d’œil Je vais me coucher, bonne nuit bruit de bise

Jack, sur le cul, on peut l’dire… Comment interpréter ce qu’il vient de se passer ? Ces allusions ? Est-ce un simple jeu ? Une simple plaisanterie ? Et s’il se goure complétement ? Voilà ce que ressente bien des gens dans une relation comme celle-ci… “Je ne tenterai rien, pas sans un signe clair” se dit-il, sa relation avec elle, bien qu’il aurait souhaité plus, était trop importante à ses yeux pour la perdre.

La nuit passa, autant que la journée, il prit son vélo et pédala jusque chez elle, il n’a jamais fait se parcours aussi vite… Arrivés à la maison de Laure, elle le fit entrer avec un grand sourire, remarquant son état en pleins effort avec un sourire moqueur.

Laure: Tu pues comme jamais…

Jack: Didonc, c’est toi qui pues !

Laure: Va te laver mal-propre. Dit-elle, lui faisant signe d’entrer.

Jack: Et ton père ?

Laure: Parti avec mon frère pour le travail, je vais nous mettre un film et faire du pop-corn, va te laver je te dis !

Ni une ni deux, connaissant déjà les lieux, il se dirigea vers la salle de bain, pris une douche rapide, et il aurait juré avoir vu la porte entrouverte… Mais c’était sans doute son imagination. Toujours est-il qu’une fois propre, elle lui demanda de ramener son ordinateur dans le salon avant de venir.

Demande bien curieuse, mais il s’exécuta, entra dans sa chambre, pris son ordinateur portable et le ramena, ils discutent, mange, regarde le film, quand elle prit son ordinateur pour “vérifier MSN” comme elle disait, l’écran noir s’envola comme le rideau d’une scène de théâtre, laissant voir une image de fessée sur une jeune infirmière, venant tout droit du site “Discipline domestique”.

Elle regarda Jack en silence, il croisa son regard, tout deux bloqués sur cette situation, ce moment aussi silencieux que gênant, aucun des deux ne recula, mais aucun des deux ne fit quoi que ce soit non plus… Jack esquissa un léger sourire et déclara.

Jack: Je préfère celles avec les pom-pom girl.

Laure expira d’un seul coup, puis percuta la nouvelle, Jack connaissait et fréquentait également ce site. Ils rirent bien des fois de cette situation… Cette nuit-là, ils échangèrent longuement sur le sujet… Et d’autres bien plus intimes… Plusieurs heures passent, il est très tard, et il avait quelque peu fait le tour du sujet.

Laure: On essaye ?

Jack: Quoi ?

Laure: Tu veux me donner une fessée ?

Jack: Je… Ben… Pourquoi pas ?

Elle se leva, retira la couverture dans laquelle ils étaient tout deux enveloppés dans le canapé du salon, elle affiche encore ce sourire qui l’a tant fait craquer, et s’allonge au travers de ses genoux avec une grâce et une élégance qu’il ne lui connaissait pas.

Elle resta là, tourna légèrement la tête pour observer sa réaction, ses fesses toujours enveloppées par son jean moulant, à la merci de Jack. Et lui ? Le pauvre, lui qui en a toujours eu envie, là servie sur un plateau d’argent, avait-elle prévu ça avec son ordinateur ? Est-ce pour l’observer sous la douche qu’elle lui a dit de se laver ? Toutes ces allusions, discussion et autres… C’était pour en arriver là ? Elle le sortit de ces songes avec seulement quelques mots.

Laure: Hé bien ? J’attends…
Fin ?
Le départ

Le départ

Je pensais me (re)lancer dans l'écriture, mais au lieu de cela, j'ai replongé dans de vieux souvenirs. Ce texte a plusieurs années, et me rappelle beaucoup de souvenirs, il n'a peut-être pas perdu tout intérêt pour les autres.



Les roues de fer retrouvèrent le fer des rails, le train s'ébranla et moi avec, les yeux à ras du quai dans le compartiment d'en bas. Il roulait, rampant à travers la gare puis s'enfonça dans la noirceur du tunnel.
Ce roulement me calma, comme souvent. Mon dos retomba sur le dossier, je fermai les yeux un instant puis, comme prévu mais un peu à contre-cœur, je tirai le carnet noir de mon sac.
« Rentre bien ! » m'avait-elle lancé quand je descendais dans la bouche du métro. Le souvenir était tout frais dans ma tête : j'en rebondis, sous la couverture noire et rigide, pour être sûr, vers cette expérience. Louise me souriait quand je partais, mais elle m'avait souri avant de me reconnaitre, cette après-midi. Pendant, il faut bien admettre, aussi.
- Une déculottée ? Comme une petite fille ?-
- Exactement. Tu sais bien que tu l'as méritée.
- Mais je suis déjà grande, moi... S'il te plaît...
Son sourire la trahissait avant même le ton, un peu trop exagéré, de sa voix. Pas grave, pas du tout !
Et, comme prévu, sous le regard vigilant de ses grands yeux marron, je déboutonnai son jean plutôt moulant. Un coup d'œil, pour vérifier sa réaction... mais je dus baisser le regard. Juste au niveau de sa ceinture.
Les boutons de son jean se suivirent un à un. Je m'arrêtai un moment. Sous le jean, une petite culotte blanche, tout sage, et la peau sous laquelle tout se tendait maintenant.
J'osai un nouveau coup d'œil – pas sûr de pouvoir soutenir le regard de ses yeux marron. Mais elle baissait les yeux, fixés sur mes main, et lentement, inconsciemment, ses lèvres se laissèrent saisir par une raie de dents blanches.
Je baissai son jean d'un mouvement plus fluide que lent. Jusqu'aux genoux, malgré la résistance du tissu rigide.
Ses yeux ne décollaient pas de mes mains mais ils s'ouvraient de plus en plus large. Je n'hésitai qu'un moment : ces mains, je les posai sur ses hanches et je fis faire à Louise qui prenait une profonde respiration un quart de tour que seule sa tête, un peu étonnée, un peu angoissée, ne suivit pas.
Elle ferma les yeux quand je décollai la main gauche de sa hanche, au point que ses pommettes se relevèrent un peu plus et la peau se fronça autour des yeux – et quand ma main s'abattit sur ses fesses, sur le fond de sa petite culotte blanche , je ne m'efforçais plus de retenir le rire : elle était outrée, Louise punie.
- Tu as mérité d'être punie.
Je ne me sentais pas du tout crédible mais en le disant mais Louise maîtrisait son rire gêné mieux que moi.
- C'est vrai.
Elle affectait le sérieux d'une enfant appliquée. Occasion comme une autre : j'appliquai deux bonnes claques qui la firent se tortiller un peu.
- C'est pas sage de te moquer.
- Je ne me moque pas ?
Cette fois-ci, c'étaient ses pommettes qui la trahirent – ou alors j'apprenais à mieux la regarder. Du coup, deux claques de plus et je me résous à la tire un peu par le manche de sa marinière. Je sentis sa tension.
-Viens là.
Je faillis ajouter son prénom, mais je renonçai, je ne voulais pas lui faire peur.
-Viens sur mes genoux. Tu vas recevoir la fessée – ce fut dit tout bas.
Malgré tout, elle fit presque toute seule – je n'ai eu qu'à tirer légèrement, et elle s'installa, en se reprenant deux fois : elle ne savait que faire de ses jambes et son bras droit resta maladroitement coincé sous sa poitrine...
La pauvre – toute craquante.
Je me sentais obligé de la tenir bien fort, le bras autour de sa taille. C'est peut-être trop ? Mais non, après tout, j'étais là pour lui donner une déculottée, qu'est-ce que cela pouvait changer si je la tenais par la taille ? C'était mieux que de lui laisser glisser sur mes genoux.
Je commençai par tapoter légèrement ses fesses. Comme avertissement, sans laisser ma main s'attarder sur le tissu blanc. Elle était toute tendue et moi aussi. Jusqu'ici, j'avais imaginé la scène tant de fois que je pouvais espérer paraître sûr de ce que je faisais, mais maintenant je ne pouvais plus être sûr de la réaction de cette fille que je n'avais jamais vue et qui était allongée à travers mes genoux à attendre sa fessée...
J'appliquai une première claque un peu plus forte, toujours pas trop. J'aurais voulu que la tension se relâche un peu, mais ma gorge était sèche et je sentais que je devrais faire un commentaire.
- J'ai été très vilaine...
J'aurais dû dire quelque chose.
- Te voilà enfin raisonnable. Mais c'est trop tard, tu dois prendre ta punition quand même.
J'en étais sans doute à une dizaine de claques, mais je voyais qu'elles étaient trop faibles. Je montai d'un cran : maintenant je faisais gigoter un peu ses fesses. Et Louise se détendit un peu, elle se laissait maintenant reposer sur mes genoux et en dépit que quelques petits sursauts, je sentais qu'elle attendait encore le vrai début.
Encore un demi-cran : j'espaçais un peu plus des claques qui devaient donner un léger picotement. Puis une – forte celle-là.
Louise sursauta, surprise pour de vrai. Elle s'appuya sur les coudes et se retourna vers moi – je me figeai un instant. Mais elle me regardait avec un petit air de défi et de malice. Je laissai tomber ma main, encore plus fort, en la regardant droit dans les yeux. Elle se mordit les lèvres mais son regard était très parlant. Elle restait dans cette position, pas très confortable sans doute, à me regarder.
-Tu sais bien à quoi t'attendre.
-Tu n'aimes pas que je sois curieuse ?
-C'est un vilain défaut, la curiosité.
-Tu es bien placé pour le dire !
-Je te rappelle que tu es punie !
Au lieu d'une claque qui ponctuait normalement cet échange, je lui en donnai cinq en série. Elle n'a pas cessé de me narguer, heureusement.
-Tu veux me dire que « même pas mal » ?
Elle ne répondit pas, mais sourit plus large.

Cette attitude lui allait à merveille. Ou peut-être m'allait-elle à moi ? Je me surpris à sourire béatement en y pensant. Je me repris, un instant, juste le temps de vérifier où j'étais. Encore quatre arrêts.
Je vérifiai mon portable sur lequel je ne devais recevoir aucun message, et je ris de moi-même avant de retourner à mes pensées.
Elle a eu ce sourire de défi et de malice dès qu'elle m'a reconnu. Cela lui est venu avec une facilité assez déconcertante : nous n'avons pas échangé de photos. On aurait peut-être dû, mais je n'avais pas osé lui en demander une pour ne pas l'effrayer. Bien sûr, j'étais venu à l'avance et j'ai eu assez de temps pour faire deux tours de la place avant l'heure indiquée... Assez pour me rendre compte qu'il y avait au moins deux sorties du métro. Je m'occupais à déterminer, par raisonnement digne d'un officier d'État-Major, le point stratégique d'où je pourrais être sûr de voir arriver cette Louise. Sans résultat, bien sûr. J'essayais de cacher ma nervosité en affectant une pose dégagée, appuyé sur la rambarde de la bouche du métro – malgré tout, je l'ai reconnue seulement quand, venue à pied, elle leva les yeux distraits un instant de son téléphone sur lequel elle pianotait à une vitesse hallucinante pour le maladroit que je suis, des textos, et, comme si ça allait de soi, elle les a fixé sur moi.
Nous nous parlions depuis quelques deux mois, par MSN et par mail, mais je n'avais pas vraiment d'idée de la façon qu'elle pouvait avoir de s'habiller. Je m'attendais à ce qu'elle porte quelque chose de voyant – en fait, son manteau était assez sage et je n'ai vu ses chaussures rose et violette qu'en chemin.
Au fait, comment fait-on pour aborder quelqu'un à qui on veut donner une fessée ? Ou quelqu'un de qui on va la recevoir ?
J'ai repéré cette fille parce qu'elle avait l'air de chercher quelqu'un et qu'elle m'avait tout de suite accroché du regard. Elle a quand même regardé attentivement tout la place, mais elle n'a presque pas hésité.
-Alex... ?
C'était donc aussi simple que ça.
-Louise ?
C'était cela.
-Toujours décidée ?
-Bien sûr. Je suis une peste vraiment insupportable, plus que jamais. Déjà, c'est pas bien de parler aux inconnus.
Elle parle vite, d'un rythme assez brusque. Et elle a ce sourire un peu pincé, comme s'il était là malgré elle, qui s'élargit quand elle regarde loin devant elle.
-Oh, pas totalement inconnus ?
Elle bouge comme elle parle : vite mais juste. Elle doit être nerveuse, au moins autant que moi, mais ça ne se voit pas, elle joue. Avec ses mouvements un peu brusques, son débit, ses cheveux courts en désordre complet – on dirait un petit garçon.
Je la suivais pendant un quart d'heure. Elle ne cesse de répondre à des messages – par précaution ?
Enfin, elle s'arrêta devant un immeuble et ouvrit la porte.
-Voilà, c'est ici.
Je m'attendais à ce que l'on monte, mais non – Louise ouvre la porte de l'ancien logement de concierge. J'entre dans le vestibule.
-T'inquiète pas, la porte est assez étanche et il n'y pas grand monde qui passe à cette heure-ci.
En enlevant mon manteau je pris le temps d'examiner un peu la pièce. À vrai dire, je m'attendais à plus de désordre : au lieu du chaos « artistique », c'est du work in progress, avec des papiers qui s'empilaient à côté du bureau, quelques caisses en plastique remplies d'accessoires, une poche A1 posée contre le mur.
Louise ne jouait pas la maladresse : elle enleva son manteau plus vite que moi, le mit sur le dossier d'une chaise, par-dessus un autre, et, en trois bonds alla s'installer sur le canapé, les jambes repliées, regard attentif mais sûr posé sur moi.
-Assieds-toi.
Je m'avançai, pris une chaise. Son appartement était plus grand que ce que je pensais, avec une partie cuisine qui formait un L avec le reste. Je continuais mon petit tour d'horizon furtif : je m'attendais à trouver des posters ou reproductions sur les murs, mais plutôt du contemporain... mais non, c'était du Mantegna.
Elle suivit mon regard quand je vis passer quelqu'un dans la rue.
-Oui, oui, je vais fermer les volets. C'est un gros désavantage du rez-de-chaussée, tu vis volets fermés ou les gens te regardent dans l'assiette.
-Franchement, c'est pas énorme comme prix. Parce qu'il est génial, ton appart !
-Sauf pour la pagaille à l'intérieur. Et pour la fille qui habite dedans, je ne te dis pas.
Elle bondit vers les fenêtres, en commençant par celle de la cuisine. Avant de passer à l'autre, elle fit un détour au bureau pour bouger la souris de l'ordinateur et jeter un coup d'œil dans sa boîte mail. Ah oui, elle laissait tourner son ordinateur avec Photoshop ouvert.
-Désolé, mais bon, je vérifiais avant de me déconnecter pour un moment.
Elle n'a pas levé la tête, elle ferma simplement la photo ouverte dans son ordinateur, alluma la lampe du bureau et alla s'occuper de volets.
-C'était loin d'être compromettant.
-La photo ?
-Oui.
-Bah, rien de spécial, c'est de la matière première pour des montages. Mais de la photo tout court, j'en ai fait un peu aussi.... Ah, j'aurais pu commencer par là : tu veux boire quelque chose ?
-Dans la pénombre ça va aussi. Si tu veux attendre un peu avant de commencer, je veux bien.
Elle sourit en refermant la fenêtre, d'un coup gênée.
-C'est pas que je me dégonfle, mais depuis le matin j'essaye d'entrer dans le rôle et j'ai un peu de mal. Toi ça te fait pas ça ? Mais bon, tu es peut-être dans une position plus facile ?
-Si, c'est pareil pour moi. Non parce que ça reste un rôle... dans la vie, je ne tape pas sur des gens.
Au passage, je notai qu'elle disait « entrer » et pas « rentrer ».
Elle disparut un moment dans la cuisine, puis revint avec deux verres.
-Si ça te rassure, je suis aussi nerveux que toi.
-Bah je ne sais pas, la nervosité ça rend maladroit, du coup je n'ai pas intérêt. Et tu es plutôt censé être sûr de toi et autoritaire.
-Alors là, c'est pas tout à fait ça...
-Je dirais, tant mieux, sinon j'aurais aucune envie de te rencontrer.
-En plus, tu joues très bien ton rôle.
-Celui d'une peste insupportable ? Sans problème ! - ses yeux s'était peut-être fait petits mais ils étincelaient - Non, c'est pas cette partie-là qui peut me poser problème.
-On dirait, oui.
-Tu veux vérifier si je joue le reste ?
Elle se pencha pour poser sa tasse sur la table. Est-ce un signal ?
-À ton avis ? Au fait, tu sais, tu peux interrompre à chaque moment. Et si tu veux, comme c'est la première fois, on peut dire que tu pourras garder ta culotte ?
-Je sais les précautions d'usage... j'ai du mal à entrer dans le rôle, mais le but c'est quand même qu'on joue.
-Oui, mais bon, si jamais tu bloques...
-Je suis assez capable de protester si je bloque. Mais ce n'est pas dit.
Je hochai la tête. Je n'étais pas moins nerveux, en fait.
-On essaye ?
Je posai mon verre aussi.
-Tu penses que ce sera plus facile si je m'éclipse un moment et je rentre dans un instant ?
-Genre, tu arrives pour me réprimander ? Ou alors, on fait l'inverse.
Sans me laisser le temps de répondre, elle bondit vers la cuisine, bien au fond, pour que la plupart de la pièce à vivre, avec le canapé, ne soit plus visible.
On essayait.
Je m'installai sur le canapé, à peu près à l'endroit où Louise était juste avant. En chemin, je m'autorisai un coup d'œil vers la cuisine. Louise s'était mis contre le mur du fond, la tête cachée dans ses bras, comme si on jouait à cache-cache !
Je posai la brosse à cheveux que j'avais apporté sur l'accoudoir, je pris une bonne respiration et je l'appelai.
-Louise ?
-O...Oui ?
Sa voix était faussement angoissée... ou peut-être pas si faussement ? Mais un rire vite étouffé suivit.
-Louise, viens là !
Heureusement que je ne comptais pas vraiment lui faire peur, sinon ça aurait été l'échec complet.
Elle arrivait, lentement, en traînant les pieds. Tête baissée comme il se doit, sans doute en partie pour cacher le sourire.
J'attendis jusqu'à ce qu'elle soit tout près de moi. D'un geste de la main, je lui indiquai l'endroit exactement devant moi. Elle y vint. Juste devant moi. Les bras pendants, comme si elle ne savait pas quoi en faire, et les yeux fixés sur mes mains, encore en repos. Je crois bien qu'elle n'avait pas remarqué la brosse...
-Tu sais ce qui va t'arriver, Louise ?

Les rangées de néons du train se rallumèrent au bout de quelques minutes pendant lesquelles l'automotrice semblait rouler par pure inertie. Le sifflement aigu des moteurs reprit un instant puis se tut à nouveau, lorsque le train freina.
Je pliai mon carnet à la hâte, je tirai le sac que l'avais coincé sous le siège et je me dirigeai vers la porte du wagon. Dehors, de fines gouttes de pluie mouillaient le quai et la place de la gare, déserte, si on fait exceptions de ceux qui venaient de descendre avec moi du train. Une fois le portillon franchi, avec la sonnerie habituelle et le sifflement du mécanisme récemment remplacé, je marchais par habitude, en faisant à peine attention à ce qui m'entourait.

Son regard curieux qui suivait mes mouvements obligeait son dos à une contorsion qu'elle n'allait pas supporter longtemps. J'appliquai deux fortes claques pour répondre à ce « même pas mal » que ses yeux me lançaient. Elle finit par se laisser retomber sur le coussin qu'elle empoignait. Je faillis lui proposer de prendre une peluche...
-Tu es quand même bien insolente.
-Ah, quand je disais que je suis une peste, c'était pas pour rien !
-Voyons !
Oui, je riais, et alors ? Elle aussi, après tout.
-Dans ce cas...
Je pris la brosse. Je n'étais pas sûr que l'idée fût bonne, nous ne nous étions pas mis clairement d'accord sur l'usage d'éventuels ustensiles. Et je tenais vraiment à ne pas l'effrayer. Mais elle n'était pas si fragile que ça.
Je lui donnai le premier coup. Elle sursauta.
-Aïïï ! Qu'est-ce que... ?
Elle se tordit à nouveau pour me voir. J'attendais, la brosse en main.
-Mais...
-Je vois que la fessée à la main ne te fait pas beaucoup d'effet. Non sérieusement, tu ne commençais pas à t'ennuyer ?
-Pas tout à fait... Mais tu as raison, je suis tellement vilaine...
-Et tu continues à me narguer !
-Bah oui, c'est pour ça que je suis vilaine.
C'était logique, après tout. Mais puisqu'elle l'avait mérité, je continuais. Je comptai cinq coups, l'une fesse après l'autre. Puis je m'arrêtai, pour réarranger le tissu de la petite culotte de Louise. Je ne voulais pas que les coups tombent à côté, même si la protection ne devait pas être très efficace.
Elle se tendit quand elle sentit mes doigts manipuler les bords de sa culotte. Je lui mis quelques tapes à la main, pas trop fortes, pour marquer la fin de cette opération.
-Et si tu comptais ?
-Je dois compter les coups que tu vas me donner ?
-Oui. Je vais te donner une dizaine de coups à la brosse. Si tu es sage, si tu essayes de te défendre ou si tu touches tes fesses, je serais obligé d'en ajouter. Disons, cinq de plus si tu fais une faute. Et on va reculer de trois si tu te trompes dans le comptage.
Elle hocha la tête et se remis sur ses coudes.
-Tu es prête ?
-Oui....Un !
Le coup tomba. Puis le suivant. Louise restait calme mais ne jouait plus à me provoquer...
-Trois.
De temps en temps, je frappais volontairement au bord du tissu, aussi pour voir l'effet.
-Six.
J'aurais aimé voir son visage à ce moment-là, j'avais du mal à m'ajuster à elle alors que je ne voyais que ses cheveux, son dos, et ses fesses tendues. Malgré tout, elle était brave...
-Dix !
Elle se retourna tout de suite – comme si elle voulait demander si elle a bien tenu son rôle – et oui, elle était parfaite. Je réprimai l'envie de lui caresser les cheveux. Je me contentai d'un regard.
-Tu as été très brave...
Ses yeux moqueurs disaient « même pas mal ».
-... et j'espère que ça t'apprendra quelque chose. Tu penses que tu as eu ce que tu méritais ?
-Bien sûr que non, je n'ai jamais mérité d'être traitée comme une gamine et c'est trop pas juste. Mais sinon, tu n'as pas pas été très sévère avec moi... jusqu'ici.
-Ah !
Je lui mis trois bonnes claques sur les fesses tendues.
-Tu restes insolente. Dans ce cas... Lève toi.
Je l'aidai. Elle reprit la place juste devant moi, à nouveau tête baissée.
-Tu sais que c'est inacceptable d'être aussi insolente alors que tu es punie ? - elle hochait la tête, lentement – Je suis obligé d'être plus sévère. Je vais devoir te traiter comme une vraie gamine et te donner une bonne fessée déculottée. Mais avant ça, tu vas réfléchir sur ton comportement au coin.
Une tape pour la diriger. Son jean baissé au niveau des genoux ne gênait pas que ses mouvements. Une nouvelle tape pour qu'elle reste en place.
-Et tu as intérêt à rester sage, sinon je vais baisser ta culotte.
Je retournai au canapé.
-Alex ?
-Oui ? En général on n'a pas le droit de parler au coin mais c'est pas grave.
-Est-ce que je vais y rester longtemps ?
-Non... pas si tu es sage.
Je suppose que pour elle le temps au coin était encore plus lent que pour moi. Pourtant, elle s'est amusé à essayer de toucher ses fesses.
-Louise ! Qu'est-ce que c'est que ce comportement ? Tu étais censée garder tes mains dans ton dos. Et bien sûr pas toucher tes fesses. Tu veux que je te donne une punition en plus ?
-Tu vas doubler mon temps au coin ?
-Non, mais si tu continues comme ça, tu vas finir déculottée.
A t-elle remué ?
-Louise, qu'est-ce que je disais ?
-C'est que j'ai mal. Et puis, rester debout sans bouger, qu'est-ce qu'on s'... embête !
-Mais tu es intenable, toi !
Je m'approchai. Elle prit une petite claque sur le derrière sans broncher.
-Tu sais quelle est la punition pour les filles qui ne sont pas sages au coin ?
-Elles sont déculottées.
-Exactement.
Je commençai par baisser son jean jusqu'à ses chevilles, puis je me redressai, je posai les mains sur l'élastique de sa culotte et après un moment d'hésitation, je la baissai – jusqu'aux genoux. Je vis ses pommettes monter. Rassuré, je lui donnai une nouvelle claque puis je retournai au canapé, pour deux minutes.
-Tu peux revenir.
-C'était pas long...
-Tu peux y rester si tu veux. Mais il se trouve que ta punition n'est pas finie.
-Je sais, je dois avoir une fessée déculottée...
Spontanément, elle se remit devant moi, en attente. Je lui indiquais déjà de s'allonger sur mes genoux.
-Attends, si tu enlevais tes chaussures et mettais les pieds sur le canapé, ce ne serait pas mieux ?
-Si.
Elle délaça ses chaussures à bouts carrés aux couleurs improbables puis, entravée par son pantalon qu'elle n'a pas osé enlever, elle se remit sur mes genoux. Lorsque je levais la main, je sentis se contracter les muscles de son ventre.
Ses fesses nues étaient très légèrement roses.
-On n'est pas loin de la fin.
Je repris confiance. La série de claques, à la main mais assez fortes, fit rapidement rosir ces jolies fesses qui se mirent à remuer. Je fis une pause, e je m'autorisai à poser la main sur son derrière. Un peu plus chaud. Allons, elle l'attendait – je comptai encore dix bonnes claques.
Puis je posai la main sur son épaule. Elle me regarda, d'un air moqueur.
-Tu n'es pas très sévère. Je ne sais pas si ça va me rendre sage...
Non mais ? Je ne sais pas comment j'ai eu l'idée, mais je la fis se lever et sous son regard intrigué mais plutôt content, au lieu de reprendre la brosse, je débouclai ma ceinture. Moi qui ai toujours trouvé l'usage de la ceinture d'une dernière barbarie, je retirai la mienne de ses passants, et je la pliai en quatre.
Louise qui était assise sur ses jambes repliées, m'aidait presque : je posai la main sur son épaule, et elle se leva toute seule pour se mettre sur l'accoudoir du canapé. J'ai à peine eu temps d'insérer un coussin sous son ventre.
-Alors là, tu vas compter jusqu'à quinze, je suis sûr que tu seras plus sage après.
Les quinze coups de la ceinture repliée en quatre ne laissèrent aucune trace sur ses fesses qui pourtant devenaient joliment cramoisies – mais sa peau très blanche rougissait facilement.
-Alors, maintenant tu vas te tenir ?
Elle hochai la tête plusieurs fois et avec application. Oui, c'était fini.
Je l'aidai à se relever, puis j'attendis un moment pendant qu'elle se rhabillait.

Je montais déjà les marches de mes cinq étages, le minuteur de la lumière faisait son bruit de moteur derrière moi.

-Attends, je te raccompagne !
Si peu après la première fessée de sa vie, Louise avait à nouveau tout son entrain habituel et toute la rapidité de mouvements.
Elle remit ses chaussures et attrapa le manteau presque en vol.
Dans la rue, je crus qu'elle marchait plus près de moi. Son sourire était un peu différent, et son portable étrangement silencieux.
-Rassure-moi, ce n'est pas nous qu'ils regardent tous ?
Nous approchions de la bouche du métro.
-Non, non. Mais s'ils savaient ce qu'ont vient de faire...
Elle éclata de rire, bien sûr – et c'était un rire très chaleureux, qui la fit se pencher un instant vers moi.

Je poussai la porte de ma chambre, d'une absurde lourdeur. Derrière, seulement un peu de lumière du prochain réverbère et de la lune pénétrait à travers la petite fenêtre percée dans le toit. Pourquoi en cherchant de la main l'interrupteur de la lumière je regardais vers mon ordinateur, fermé sur le bureau ?

-Rentre bien !

*
Le somnifère péféré

Le somnifère péféré

Un autre récit de la série. Il en manque, mais qu'importe, je l'aime bien.

« On ne devrait vraiment pas faire ça. »
Il était presque deux heures du matin.
« Je sais. Tu dois te lever ? »
« Dans pas longtemps, oui. »
« Ah zut. Désolée... »
« Tu crois que je me coucherais si tu n'étais pas là ? »
« Je ne sais pas... en tout cas, pour moi, ça aurait été pareil, en moins drôle ».
« Voilà.
« Tu aurais peut-être pu au moins bosser tranquille. »
« c'est ça, oui. En fait, je sais très bien perdre mon temps tout seul. »
« Mais je t'aide quand même. »
« bah, tu me rappelles qu'il est tard, c'est déjà ça ».
« Ouais. Il y a deux heures, c'était toi qui le rappelais, et on est toujours debout ».
« Moi, je suis assis. »
« Andouille. »
« Mais, sérieusement, il faudrait qu'on y aille ».
« Oui. Il faudrait aussi qu'on arrête de faire ça... »
« C'est clair. Tu imagines ma tête demain en cours... »
« Moi, ça ira. La térébenthine, ça fait des miracles. »
« C'est légal ? »
« Et c'est moi qui me fais traiter d'andouille. Je proteste. »
« En attendant, tu n'es toujours pas couchée. Pas plus que moi, mais c'est pas grave ».
« Comment ça, pas grave ? Disait celui qui n'a pas de térébenthine à portée de main ? »
« Et si la salle de cours est fraîchement repeinte ? »
« C'est toujours pas la même substance licite. Non, sérieusement, il faut aller sous la couette. »
« C'est clair. Dis, tu vas me prendre pour un obsédé ? »
« Si tu imagines un jeu à partir de ça ? Pourquoi, c'est très vilain ! »
« Donc tu trouves aussi que ça mérite punition ? »
« Oui !!! »
« Eh ben, si demain je m'endors en cours, ce sera de ta faute ! ».
« D'accord. Allons, bonne nuit ! »
« Bises ! »

Le réveil fut comme prévu. J'ai sommeillé dans le métro, et restai quelque peu léthargique en cours du matin. Le moment le plus difficile arrive entre quinze et dix-sept heures : c'est là que mes phrases s'interrompent – même presque endormi, j'entends encore ce qui se dit, mais n'arrive pas à le noter avant que tout s'échappe de la mémoire. Et les doigts qui s'attardent sur le claviiiiiiiii.
Heureusement que l'air est frais dehors. Tant pis pour la prise de notes, comme si une matière se bossait avec les cours ! La dernière fois que je me suis fait passer les notes de cours par un copain, les siennes faisaient vingt pages de moins que les miennes alors qu'il avait assisté à tout.
Une fois dans mon studio, le sommeil est parti. De raison, je sais qu'il ne faut pas que je me couche encore à deux heures du matin.
« Alors, ça marche la térébenthine ? »
« Pfff. Et toi ? »
« Bah, les manuels, c'est pas fait pour les chiens... »
« Je crois que je ne vaux pas mieux. »
Seulement, là, je commence enfin à travailler efficacement – histoire de pouvoir dire que j'ai fait quelque chose ce soir.
« Bon, on se couche sagement à dix heures et on récupère ? »
« Euh, je veux bien, mais heures, c'est grillé... »
« Eh zut. Bon, à minuit on est au dodo ? »
« Il faudrait qu'on essaye. Mais c'est bête, ma meilleure période c'est entre 22 et une heure du matin... »
« On est déréglés. N'empêche, il faudrait qu'on se recale un peu. Tu ne disais pas que c'était vilain hier soir ? »
« Ou c'était ce matin ? »
« On est ce matin. Ça pouvait tout au plus être hier matin... »
« Zut... Mais oui, c'est très vilain. Et on a fait des bêtises tous les deux... »
« Eh, la dernière fois, c'était toi qui étais puni ! »
« Alors c'est ton tour ? »
J'en suis presque déçu, mais pas tant que ça, au fond. J'ai bien une petite idée. 
« Ouiiii ! »
« Eh ben, quel enthousiasme ! »
« ça me manquait... »
« à moi aussi. Dis, tu aurais envie qu'on essaye un truc ? »
« Ah ? »
« Eh ben, puisque la bêtise, c'est de te coucher trop tard... »
J'ai un peu l'impression de passer pour quelqu'un de bizarre. D'un autre ôté, les gens normaux ne fantasment pas sur la fessée, et si je n'avais pas ce fantasme, je n'aurais jamais rencontré Louise. Donc elle doit bien être au courant de la bizarrerie de son copain. Je n'arrive toujours pas à m'y faire.
Mais Louise ne semble pas outrée. C'est même le contraire. Je respire mieux.
Rassuré, je me remets à ce que je lisais.
« Dis ? »
La conversion s'était interrompue pendant une bonne demi-heure.
« Oui ? »
" Vu ce qu'on a prévu de faire... Tu ne vas pas me laisser toute seule ? »
« Comment ça? »
« Ben... Après nos bêtises... Il faut bien que tu t'assures que je suis sage, non ? »
« Aah ? »
« Après tout, on est ensemble »
C'est vrai. Il n'y a aucune raison pour que je suis inquiet. Allez, puisqu'on dirait que je suis grand.

Il est samedi. Me préparer devient presque une habitude, ce que je constate toujours avec une certaine inquiétude : je me méfie des habitudes.
Cette fois-ci, j'ai un peu plus de temps que d'habitude. Nous nous retrouvions jusqu'ici vers quatorze heures, d'autant plus régulièrement que mes retards n'ont jamais été punis. Mais comme ce que nous avons prévu est un peu particulier, nous pouvons bien attendre jusqu'à seize heures. Je sors de la douche et il est déjà midi passé. On dirait bien que ma capacité de travail dont j'ai été fier à une époque a disparu. J'ai de bonnes raisons d'être distrait, c'est vrai, je me demande seulement si le lundi je le trouverais encore aussi bonnes. Je hausse les épaules.
Ce n'est peut-être pas mon tour, mais je choisis malgré tout mon caleçon blanc assez moulant qui est une valeur sûre, et j'enfile le jean ajusté, le moins usé de ma réserve. J'ai bien fait de ne pas le porter cette semaine.
Je continue encore à retourner le tiroir pour trouver un autre caleçon présentable et un t-shirt supplémentaire.
Mon portable est à portée de main – je continue à confondre sa vibration avec celle des autobus qui passent dans la rue en bas – mais je n'allume même pas l'ordinateur. J'avance sans conviction dans un livre, et comme c'est une édition de poche d'un classique, je me laisse aller à la vieille habitude de laisser entre les pages de petites pense-bêtes au lieu de faire une vraie fiche. En attendant, le portable reste muet.
Pour changer, je mets un autre bouquin dans ma besace, pour lire dans le métro. Il atterrit sur le t-shirt.
Seize heures arrivent vite. En renfermant la porte j'ai l'impression de n'être pas complètement réveillé, et je me dis que je devrais être beaucoup plus excité que ça. Ça devrait être un grand moment, et je suis simplement en train de descendre vers le métro, comme si rien n'était.
J'arrive tranquillement et sans attirer l'attention.
La porte s'ouvre immédiatement bien que les volets de la fenêtre de Louise soient prudemment fermés.
-Coucou !
Ses yeux pétillent.
-Tu guettais à la porte ?
-Depuis tout à l'heure. Tu n'imagines pas ce que les gens peuvent être actifs dans cet immeuble un samedi après-midi, ça n'arrête pas d'aller et venir.
-Et tu surveilles ?
-J'habite bien une loge de concierge ! Non, en fait, j'avais juste hâte que tu arrives. Et comme j'ai fermé les volets en prévision, je voyais rien, donc c'est frustrant.
-Au moins, tu ne ratais rien à te couper de la lumière du soleil, c'est tout déprimant.
À l'intérieur, Louise s'était visiblement payé une nouvelle lampe de bureau à diodes qui donnait une lumière plus blanche que celle de cette journée sombre malgré la chaleur un peu moite.
-Tu as tout préparé !
-Bah, je n'avais pas grand chose à préparer, tu sais. Mais j'étais un peu impatiente.
-Je ne sais pas si la patience est vraiment notre point fort...
Elle éclate de rire. Ses mouvements ont toujours été un peu saccadés, et sa voix fait autant de sauts que d'habitude.
-Tu veux du thé ?
La réponse est assez évidente, et deux tasses étaient déjà prêtes. Je laisse Louise manier sa collection de boîtes à thé.
-Des fleurs bleues ?
-Oh oui !
Elle a renoncé à me faire retenir le nom exact de ce thé chinois que je reconnais à des bouts bleus qu'on aperçoit en ouvrant la boîte. Je ne sais pas si c'est le meilleur qu'elle a, probablement pas, mais c'est tellement plus drôle à me proposer.
On va se retrouver encore, comme au tout début, à parler de tout et de n'importe quoi, comme si on était juste potes... Mais il y a bien une petite différence. Louise me tend ma tasse, se retourne vers la sienne, renverse un peu d'eau, l'essuie, puis, la situation rétablie, attrape sa tasse à travers les manches trop longues de son pull et, au lieu de prendre sa chaise de bureau à roulettes, elle s'installe à côté de moi, sur le canapé, les genoux repliés sous le pull long.
Ses yeux pétillent toujours autant.
Au bout d'un temps, la conversation se suspend. Louise est toujours roulée en boule ; elle semble oublier la tasse qu'elle tient dans les mais lorsqu'elle pose le menton sur l'un des boutons en bois cousus un peu partout sur son pull et son regard se fixe au loin. Je me rapproche d'elle : quand son regard se ranime, elle semble ravie.
-Tu es fatiguée ?
-Un peu, oui. Je me suis mal organisée cette semaine, je sens que ça va finir en nuit blanche et ça me fait pas envie.
-J'imagine.
C'est l'occasion idéale pour reparler de sa punition, mais je ne le remarque qu'abstraitement.
-Tu voudras que je reste avec toi si ça finit en nuit blanche ?
-Sur msn ?
-Oui... Ou alors, en vrai... je te ferais des cafés...
-C'est un très bon prétexte pour se lever, les cafés. Mais en fait, tu serais capable de rester debout pour moi !
-Bien sûr !
-Tu es complètement fou !
Elle penche la tête sur le côté avec un léger balancement, comme si elle se berçait.
-Mais tu as raison, je fatigue un peu, et c'est parce que je me couche trop tard, et c'est vilain.
-Tu crois qu'il est temps qu'on passe aux choses sérieuses ?
-Bah, il est dix-neuf heures passées... C'est l'heure pour les petits !
-Tu as raison.
Là, je sens bien une certaine tension.
-Tu penses qu'on fait comme d'habitude et il y en a un qui sort dans la cuisine ?
-Je ne sais pas trop... Plutôt moi. Ça t'aiderait à entrer dans le personnage ?
Elle hoche la tête.
-En tout cas, cachée dans ton pull tu ne fais pas très adulte, tu sais ?
Elle acquiesce, visiblement contente de son choix. Je m'éclipse dans la cuisine.
Lorsque je reviens dans la pièce, Louise n'a pas changé de position. Elle me regarde avec une appréhension bien feinte dans ses grands yeux verts.
Elle donne envie de la serrer dans mes bras. Je me contente simplement de poser la main sur son épaule.
-Tu sais que ton comportement n' pas été très raisonnable ?
-Il n'y a pas que moi...
-Ooh, voyons, ce n'est pas un bon argument.
-N'empêche, si tu sais que je me suis couché tard, c'est parce que tu t'es couché aussi tard que moi, ou encore plus tard. Donc je ne suis pas plus vilaine que toi.
-Oui, mais ce n'est pas la question ; On parle de ton comportement à toi.
-Mais il est très bien mon comportement, je reste tard parce que je travaille bien et je suis sérieuse, voilà.
-Et pas du tout de mauvaise foi...
-Ben non !
J'ai du mal à m'empêcher de rire.
-Tu sais de quoi tu as l'air, Louise ?
-Non ?
-D'une petite fille qui essaye de crâner. Et qui n'a pas envie de recevoir la fessée qu'elle a mérité.
Elle soupire avec une moue boudeuse.
-Viens là. Tu sais que tu dois la prendre, cette fessée.
-C'est pas juste !
Je prends sa main. Elle est chaude et me semble frêle.
Louise fait semblant de bouder mais s'extrait docilement de son pull et se met debout juste devant moi. Je lui fais faire un quart de tour et lui donne une bonne claque sur les fesses qui la fait sursauter.
-Aïe.
-C'est ça, tu as eu très mal.
-Non mais c'est pas juste.
-Tu sais bien que si.
J'ajoute deux autres claques et j'approche ma besace du canapé. Je m'assieds au milieu et laisse – sans avoir vraiment besoin de la guider – Louise se mettre en position sur mes genoux.
-Tu vois ? Je savais que tu peux être raisonnable quand tu veux. Et maintenant tu vas recevoir la fessée pour t'être couché beaucoup trop tard.
Il faut que je dégage son pull de ses fesses pour appliquer une première fessée à la main sur ses fesses recouvertes d'un pantalon en toile plutôt légère.
Bien sûr, elle avait poussé le chauffage.
-Tu vois que c'est supportable ?
Elle encaisse les claques sans bouger. À travers la toile – mais il n'y en a que deux couches – je sens déjà la chaleur de la peau.
-Oh, je la sens passer quand même.
-Heureusement, à quoi servirait une fessée si tu ne la sentais pas ?
La deuxième série de claques est plus forte.
-Aïïe ! Tu y vas fort !
-Oh, ce n'est qu'une fessée à la main et tu as encore tous tes vêtements. D'ailleurs, c'est un peu trop.
Mais, avant de baisser son pantalon – dont j'apprécie assez l'élastique – j'attrape dans mon sac la brosse à cheveux et je compte une vingtaine de coups. Je crois bien que Louise les sent passer.
-Lève-toi.
La pause avait annoncé un changement.
Elle est maintenant debout, juste devant moi, et semble hésiter entre crâner encore ou se laisser faire, toute penaude. En attendant, je cède à la tentation de lui coller quelques tapes à la main tant qu'elle est encore debout, qui l'obligent à reprendre l'équilibre. Comme de vraies fessées données à une gamine prise sur le fait d'une bêtise enfantine.
-Comme je disais, tu es un peu trop habillée.
Je baisse son pantalon grenat – sans avoir à défaire des boutons ou des ceintures.
-C'était un excellent choix, ce pantalon – je félicite Louise tout en la réinstallant sur mes genoux.
-Merci !
Nous rions tous les deux.
Je commence encore par une fessée à la main – c'est peut-être stéréotypé, mais je n'ai pas envie de renoncer au plaisir de claquer ses fesses cachées désormais par la seule petite culotte juste pour un peu de variation.
Les dernières claques sont suffisamment fortes pour que Louise agite un peu ses pieds.
-Si mal que ça ?
Je fais une pause qu'elle a l'air de réclamer et j'en profite pour retirer complètement son pantalon qui tombe par terre. J'ai déjà vu Louise déculottée, mais, peut-être à cause de ce qui est prévu, alors qu'elle a encore ses sous-vêtements et son pull retroussé comme une robe, elle me semble aussi vulnérable que si elle était nue.
Deux nouvelles claques, bien fortes, font sursauter ma petite punie qui pousse un soupir outré.
-Mais ne t'agite pas comme ça... Allez, tends gentiment tes fesses.
D'un geste de la main, je fais baisser ses pieds. Tiens, elle a des rayures sur la culotte et sur les chaussettes, sauf qu'elles sont blanches et bleu marine sur les chaussettes et bleu pâle et roses sur la culotte.
Plutôt que de reprendre la brosse qui, d'un coup, me paraît trop brutale pour cette fille qui a parfois l'air d'un garçon de dix ans, je plonge la main dans mon sac pour attraper la règle. Le plus drôle que cette règle, en bois, longue de trente centimètres (une 50 cm n'y rentrait pas trop, dommage), je l'avais choisie en pensant à nos jeux, mais elle était dans mon sac depuis un cours.
-Allez, tu vas compter un peu ?
Elle compte gentiment les vingt coups de brosse, mais la série finie, j'enchaîne sur une autre, très rapide, avec la même règle.
-ça, c'est pas juste... Tu as dit vingt...
-Ben voyons !
Une nouvelle claque à la main.
La chaleur traverse le tissu de la petite culotte.
-On dirait que tu commences à sentir cette fessée.
-Oui...
-J'espère que ça va t'apprendre quelque chose.
-Oui !
-Qu'est-ce cette fessée va t'apprendre ?
Je ponctue la question avec une bonne claque.
-De ne plus me coucher trop tard.
-Et pourquoi tu ne dois pas te coucher trop tard ?
-Parce que c'est pas bien pour moi, parce que je suis fatiguée et ça me fait dormir en cours.
-Exactement. Et qu'est-ce qui t'arrive quand tu te couches trop tard ?
-Je suis punie... d'une fessée.
-Bravo. Et elle est comment, cette fessée ?
-Euh... déculottée ?
-Exactement. Tu sais que tu ne peux pas y échapper.
Je remets Louise debout. Elle est définitivement passée dans le rôle de la gamine toute penaude.
Je lui fais faire un demi tour, et je fais glisser la culotte sur ses fesses qui, en dessous, ont déjà pris une belle couleur.
Louise revient sur mes genoux pour la suite de sa fessée.
-Tu sais que, même si tu as dû bien sentir la fessée, ta punition va continuer ?
-Oui.
Pour anticiper sur le reste du programme, j'enlève aussi ses chaussettes. La surprise a visiblement un effet.
Puis, avec une spatule de cuisine, je donne une courte série de claques bien appuyées. Elles ne sont que dix, mais sur les fesses bien chaudes, elles suffisent. Encore une petite série à la main, pour bien finir.
-C'est bon. Tu peux te lever. Ça suffit... pour ta fessée.
Elle se lève, lentement.
-Mais je suis encore punie ?
-Oui. Comme tu es punie pour t'être couché trop tard, c'est assez naturel de te punir en te mettant au lit plus tôt. J'imagine que tu ne vas pas t'endormir tout de suite, mais tu vas gentiment te mettre en pyjama dès maintenant. Allez.
Je n'apprends rien à Louise, mais, après tout, la punition, c'est une cérémonie.
-Au fait... tu m'avais dit que je devais être en pyjama, mais tu voudrais un truc spécial ? Ou tu préfères une chemise de nuit ?
-Comme tu veux. Qu'est-ce que tu mettrais pour dormir ?
Avec le goût de Louise pour des tenues un peu excentriques, je ne pense pas risquer de la voir dans quelque chose de difforme. De toute façon, Louise, difforme ?
-Je prendrais ça...
Louise déroule un pyjama en flanelle à petits motifs, avec un pantacourt.
-C'est très bien !
Comme prévu, elle se change devant moi. Elle me demande même de lui dégrafer son soutien-gorge.
-Voilà...
Elle est à croquer.
-Le temps que tes fesses reposent un peu, tu vas aller réfléchir à ton comportement au coin.
Elle y va docilement et ne bronche pas quand je baisse son pantacourt de pyjama juste en-dessous des fesses.
-Et si tu ne te tiens pas tranquille, je vais le baisser complètement. Et tu auras une petite fessée de rappel juste avant de dormir.
Mais Louise, au coin et après, est sage comme une image. Elle a quand même droit à un coussin supplémentaire pendant le dîner – mais c'est plus un rappel de ce qui lui est arrivé qu'une question de confort.
-Dis, je sais qu'il est tôt... mais tu n'as pas sommeil ?
-Un peu. Tu vois que la fessée, ça fait dormir ?
Elle va faire sa toilette. Puis c'est mon tour...
Je l'observe déplier le canapé. Sans doute comme tous les jours – seulement, cette fois-ci, je suis là.
En t-shirt et caleçon, je dois être moins autoritaire, je suis prêt à faire impasse sur le rappel avant de dormir.
Louise m'attend, roulée en boule sur le canapé.
-Tu me rejoins ? Qu'est-ce que ça fait ?
-C'est étrange.
Cette fois-ci, aucune raison de ne pas se mettre contre elle.
-Mais j'aime bien.
-Tu sais que depuis tout à l'heure, j'ai très envie qu'on se prenne dans nos bras ?
-En fait, moi aussi.
-Tu me consoles de ma punition ?
-Tu sais que j'en ai envie chaque fois que tu prends une fessée ?
-Je m'en doute un peu. Mais c'est toujours une bonne idée.
Elle tire la couette sur nous.
-La fessée, elle était sévère. Mais cette idée de me mettre au lit, je ne sais pas si ça devrait compter comme punition.
Nous éclatons encore de rire, pendant que Louise cherche de la main l'interrupteur de lumière.
-Tu as vu ?
Elle guide ma main vers ses fesses, encore chaudes.
-Eh ben...
Est-ce que ce ne serait pas le moment d'aller plus loin ? Cette nuit ? En même temps, je n'ai qu'un regret : je me voyais bien border Louise, je sentais déjà la tendresse du moment, et puis nous voilà déjà tous les deux sous la même couette. Pas grave...

Tiens, de la lumière filtre à travers les volets métalliques de la fenêtre. Il est le matin, nous nous sommes endormis comme deux loirs. Louise est encore tournée vers moi, un sourire angélique aux lèvres.
Je m'étire. La première nuit avec elle...
Ses yeux s'ouvrent.
-Tu es là....
-Bien sûr.
-C'est génial. On Il est tard ?
-Euh... - je cherche ma montre – en fait, il est presque dix heures.
-On avait vraiment besoin de récupérer, tiens. Je crois que j'ai trouvé mon somnifère préféré !
-Pareil.
-Diiis... Tu me fais un bisou ?
Bien sûr. Je me propose même pour faire le café.
-C'est adorable.
-Bah, j'ai été sévère hier, je peux bien te récompenser ça.
Je me lève. Louise se retourne pour me suivre des yeux.
-Tu te débrouilles ?
-Bien sûr. Tu peux récupérer encore un peu.
Et je remets bien la couette autour d'elle, comme j'aurais voulu faire hier soir.
Avec le café, Louise émerge assez pour qu'on replie le lit. Elle commence à s’habiller, sort en sous-vêtements de la salle des bains, puis se contente de passer son pull long d'hier qui lui fait presque une robe.
-Tu es très mignonne comme ça.
-Tu trouves ?
-Mais oui !
-Tiens, les toasts sont prêts. Enfin un peu cramés... il déconne un peu, le grille-pain.
-Au fait... Tu tiens sans le coussin ?
-ça va.
J'adore la toute légère rougeur sur ses pommettes qui cachent un peu plus ses yeux.
-Tu verras, à midi je ne sentirai plus rien.
-Donc tu sens quelque chose maintenant.
-Oui, bon. Un petit rappel, c'est tout. Mais au déjeuner ça va aller. Tu déjeunes bien avec moi ?
Je n'y avais pas pensé, mais à vrai dire, je ne suis pas pressé de rentrer.
-C'est bête qu'il faille aller en cour demain... Tu commences tôt le lundi ?
-Oui, enfin, à dix heures.
Et j'ai toutes les affaires dans mon studio. Peut-être que, s'il n'y avait pas ce cours-là, nous ne serions plus aussi sages la nuit ?
Week-end

Week-end

Il a fallu une bonne tension des doigts sur le métal usé et une flexion des genoux pour forcer la vitre à descendre. L'air chaud et le sifflement du train s'engouffrèrent à l'intérieur. Le battement régulier des roues sur les fentes des rails était depuis longtemps disparu et manquait tout autant que l'odeur du départ - celle du goudron suintant sous le soleil de plomb - disparue avec les traverses en bois.
Le garçon tira encore sur la vitre et s'assit. Enfin, il serait peut-être vexé qu'on le désigne ainsi. Il devait bien entendre des "jeune homme", et peut-être bien qu'on lui demandait encore sa carte d'identité s'il achetait de l'alcool.
L'homme en face esquissa un mouvement pour mieux ranger son sac sous le siège. C'était étroit, et le jeune faisait la même taille que lui, en plus fluet. Comme ça, il allait au moins éviter d'écraser les genoux de son voisin.
Justement, ce sont ses genoux qui ont attiré l'attention de l'homme. Bien serrés, sagement rangés contre la paroi du train, et nus. Non que ce soit étonnant, dans l'absolu: il fait chaud. Mais comme il les a sous les yeux, il n'a pu que les remarquer. Et, décidément, il ne peut pas voir son voisin autrement que comme un garçon, pas un homme - pourtant c'est bien un adulte, bien dans la vingtaine, il aurait du mal à se décider entre vingt-quatre, vingt-six ou vingt-huit ans, mais, en tout cas, il a bien dû avoir son bac il y a quelques années.
L'homme attend avant de relever le regard. Sa main tire le téléphone de la poche de sa veste, mais c'est juste une excuse: il allume machinalement l'écran, et son cerveau enregistre l'absence de nouvelles notifications sans que ses yeux se fixent vraiment sur l'appareil. Son regard conscient ne quitte pas les genoux nus du jeune homme. Ce dernier ne bouge pas, rangé dans une posture d'attention polie, mais un peu rigide tout de même.Lever le regard risquerait d'attirer trop l'attention du voisin - après tout, il n'y a aucune raison pour dévisager ce garçon qui a peut-être quelque chose de familier mais non, il ne le connaît pas, ce n'est pas ça, il ne l'a jamais vu, pas même une autre fois dans ce train. Pour le moment, il se contente donc du champ visuel qu'il a en prétendant de regarder son téléphone.
Il remonte un peu: les genoux nus émergent d'un short couleur brique. Pas très court - même si les jambes du vêtement remontent sur les cuisses du porteur lorsqu'il est assis dans cette posture toute contrainte, mais il y a bien un joli pli en bas. Et l'une des jambes est restée remontée plus haut, cela ajoute un côté enfantin. N'empêche, les cuisses sont plutôt musclées.
Au-dessus du short commence un t-shirt à rayures, mais l'homme décide de ne pas lever encore les yeux vers le visage du voisin. Il baisse le regard, faisant mine de chercher quelque chose dans son sac. Le garçon en face s'efforce de prendre le moins de place possible, la position doit se faire inconfortable, il y a bien quelque chose de figé dans son immobilité. Ses pieds - dans des chaussures en toile, genre Bensimon, et petites socquettes blanches - sont enfoncés le plus loin possible sous le siège. Tiens, la petite rougeur sur le mollet n'est pas vraiment un coup de soleil, c'est bien une épilation récente.
La jeune femme à côté est beaucoup plus détendue. Ils ont bien l'air d'être ensemble, et il ne doit pas y avoir tant que ça de différence d'âge, elle n'a pas la trentaine non plus, ou alors à peine, mais elle semble beaucoup plus sure d'elle. L'homme lève le regarde plus franchement, sa voisine ne le fuit pas, elle promène son regard dans le compartiment, on dirait même qu'elle a une sorte de sourire rassurant pour le jeune homme. Et, on dirait bien, un clin d'œil complice pour l'homme en face?
Le garçon fixe le défilé des traverses alors que le train s'élance. Il fait chaud, le souffle d'air que la vire ouverte laisse passer remue gentiment ses cheveux, puis rafraîchit son voisin en face. Est-ce qu'il le connaît? Il ose à peine chercher des yeux le visage de l'homme en face. Est-il possible qu'il se doute de quelque chose? Tout de même,non. Il ne le connaît pas, même de vue - pas même une autre fois dans ce train, et quand bien même ce serait le cas, cela ne signifierait rien. Non, c'est jusque quelqu'un qui est là par hasard et qui ne se doute de rien...
Il suit des yeux le regard de celui d'en face... Il se retient de tirer sur le tissu de son short et remettre la jambe qui avait remonté. Pour attirer l'attention, il n'y a pas mieux. Et puis, il faut chaud, pourquoi quelqu'un s'arrêterait sur le fait qu'il portait un short? Sa voisine a l'air de le rassurer. Tout va bien, elle n'a aucune inquiétude. Alors tout va bien, elle non plus ne doit pas connaître l'homme en face, sinon elle ne serait pas aussi détendue, ou alors elle lui parlerait.
Le garçon finit pas céder et tire sur le tissu, sans défaire le pli. C'est bien elle qui lui avait dit d'en faire un, quand elle a choisi sa tenue. Et ce n'était pas une surprise: il avait bien tout préparé la veille, bien avant de recevoir le dernier message avec les instructions. Il commençait à avoir l'habitude, mais pas au point de se sentir sûr de lui.
On dirait bien que l'homme en face a échangé un regard avec sa voisine? Mais non, elle ne réagit pas vraiment. Mais l'autre semble bien lui adresser une sorte de sourire complice, comme si...
Quand ils s'étaient retrouvés, elle a approuvé d'un «tu es mignon» amusé, et c'était bien l'effet recherché. Il avait quand même ressenti quelque chose de proche de la gêne - mais c'était entre eux. Non, le type en face ne peut rien savoir, peut-être qu'il lui plaît, ça se peut, mais pas deviner des choses. C'est tout de même plus sûr de fixer les traverses, comme s'il risquait de se trahir et laisser deviner ce mot qu'il imagine presque écrit sur son front - puni.
Ses genoux pliés réclament un peu de mouvement. Il vérifie s'il y a un peu de place, mais retarde tout mouvement. L'homme en face n'est pas menaçant pourtant. Il a vraiment souri de le voir réarranger son short? Ça risquait bien de faire petit garçon, mais il ne peut pas savoir que la tenue lui était imposée, et qu'il devait faire en sorte de ressembler à un gamin. Pour toute personne pas au courant, c'est juste qu'il fait chaud.
Tant pis, le garçon place son sac sur se genoux et gagne quelques centimètres pour son confort. Il avance ses pieds, et sa voisine semble lui donner raison: il a l'air moins tendu. Elle ne lui a pas encore fait remarquer que ses chaussures ne sont pas exactement celles qu'il devait porter, mais lui le sait très bien, et se doute bien qu'il sera sanctionné pour cela. Il jette un coup d'œil sur le schéma des lignes au-dessus de la porte du train: pas vraiment pour repérer la prochaine station, qu'il connaît bien, mais en fait pour voir combien de temps il reste. Son voisin suit - il devine peut-être qu'ils vont descendre à la prochaine, mais sûrement pas la suite.
La voiture de la jeune femme attend sur le parking de la gare. Elle a tellement l'air plus sûre d'elle que l'homme peut bien se douter qu'elle est sur le terrain connu: c'est dans sa maison familiale, justement laissée libre par le reste de la famille qu'ils vont. S'il avait été exemplairement obéissant, tout se passerait comme un week-end à la campagne au moins jusqu'à l'arrivée à la maison, peut-être un peu plus, le temps de prendre ses marques. Pour le moment, il avance juste un peu ses pieds, et le voisin le détaille encore, des genoux aux chevilles, et a encore une sorte de regard complice. Pourtant, le garçon a bien fait attention de ne pas le heurter, tout a l'air très normal pour tout le monde sauf lui-même et la jeune femme.
Ils sont les seuls à savoir qu'il est en faute: en punition, il doit être pieds nus, et pour le trajet, il devait mettre ses sandales. Cela ne fait rien, en pratique, ses chaussures seront confisquées tout le week-end, mais c'est une petite désobéissance; il imagine bien la sanction: au lieu d'attendre l'arrivée dans la maison, il devra sûrement se déchausser dès la voiture, et ses chaussures serviront à un moment ou un autre à lui donner la fessée.
Pour le moment, elle ne montre même pas qu'elle l'a vu. Peut-être qu'elle n'a pas remarqué? Cela ne change pas grand chose au plan.
L'homme en face semble avoir trouvé une position plutôt confortable, il semble détaché. Peut-être qu'il n'a, en fait, prêté attention à rien, ni la tenue, ni l'attitude de son voisin? Mais alors, pourquoi ce sourire qu'il continue à afficher? Il ne peut pas se douter que le garçon face à lui devra descendre de la voiture déjà pieds nus, et filer avec son petit sac dans la maison, en traversant le trottoir chauffé par le soleil. À l'intérieur, dans la fraîcheur nu peu renfermée de la maison de vacances, il sera ans appel en punition. Il devra sans doute monter son sac dans la pièce où il a déjà dormi... Tout en haut de la maison, une petite pièce qui fait chambre d'enfant ou maison de poupées, avec un vieux loquet, une lucarne et des carreaux à l'ancienne - c'est là qu'il devra s'installer en vidant le peu de choses que son sac de lycéen contient. Ils ne partent que pour un week-end, et il n'a droit qu'à des fournitures limitées: un sous-vêtement pour demain, un short de rechange - mais il n'a pas le droit au pantalon long - une trousse de toilette et un pyjama pour cette nuit.
Le garçon serre son Eastpack dans les bras comme si l'homme en face pouvait voir à l'intérieur - c'est pourtant impossible? C'est juste un petit sac tout ce qu'il y a de plus anonyme, même si ça fait aussi juvénile. Pourtant, l'homme semble sourire en le regardant vérifier que le sac est bien fermé, puis lancer encore un regard complice à la jeune femme à côté. Elle se contente de se retourner brièvement vers le garçon, à qui elle avait bien précisé ce qu'il avait droit d'emporter. Ce soir, il devra être changé au plus tard à vingt-deux heures... il ne fera même pas tout à fait nuit à cette heure-là, mais il a l'habitude. Et, comme il est puni, il devra se mettre en chemise de nuit: c'est plus pratique, paraît-il, pour lui claquer les fesses s'il est vilain.
Au moment de devoir enfiler cette chemise de nuit, ses fesses seront de toute façon déjà toutes rouges.
Il détourne encore les yeux vers les traverses de la voie ferrée mais il sent bien sur lui deux regards. Elle paraît parfaitement calme, et l'homme en face est trop sûr de lui... A-t-elle déjà décidé les détails?
En punition, il doit accepter des tapes et des fessées à tout moment... Il sait qu'elle le prendra sur ses genoux, dans la salle à manger où les chaises sont très hautes. Il va se retrouver, comme un petit garçon, à battre des pieds dans le vide. Est-ce qu'elle lui baissera le short dès ce moment-là? Peut-être... Ce qui lui fait peur, c'est d'être mis au coin sur la terrasse. Ça lui est déjà arrivé, il a dû se mettre face à un pilier, sans dire un mot, de peut que des voisins puissent entendre. Il sait qu'il n'était pas visible, mais se rappelle de la sensation d'être là, dans le jardin, face au mur et culotte baissée (quand il est puni, c'est toujours "culotte", il n'a pas le droit de dire "caleçon"), à sentir le moindre souffle de vent sur la peau de ses fesses nues.
Et puis, elle avait remarqué que le martinet faisait peu de bruit... S'il devait prendre le martinet là, sur cette terrasse?
Le train ralentit, les aiguillages secouent la voiture. Elle aussi vérifie son sac... Il sait que le martinet est dedans. L'homme en face sourit, il semble presque hocher la tête, comme s'il voulait faire entendre qu'il avait vu. Mais non, elle n'a jamais fait apparaître le contenu: pas même la brosse à cheveux, qui fait innocent, encore moins le martinet. Sur place, il y a bien une vieille règle en bois de cinquante centimètres. Elle est équipée, même s'il ne sait pas exactement quand il va les recevoir: à l'arrivée il n'aura probablement que quelques tapes à la main, et sûrement des lignes à copier avant de devoir descendre mettre la table sur la terrasse. La grosse fessée, ce sera pour le soir, peut-être juste avant d'aller se changer, ou alors pour quand il devra descendre en chemise de nuit, et ressortir comme ça dans le jardins. La brosse à cheveux attendra même son coucher...
Il a appris à avoir une appréhension lorsqu'elle fouille son sac, mais ce n'est pas l'instrument qui lui fait peur, la brosse à cheveux, c'est ce qui sert à ses fessées du coucher, après lesquelles elle rabat son vêtement et le borde... C'est le lendemain et la balade en forêt qu'il appréhende, entre les promeneurs qui pourraient remarquer ses pieds nus et les verges qu'elle va ramasser. Le train traverse déjà les forêts, on n'est pas loin. Il y a même des bouleaux.
Le train ralentit, puis s'arrête. La jeune femme, puis le garçon se lèvent, il remet son petit sac sur son dos. L'homme, qui continue visiblement le trajet, en profite pour occuper la place.
Les portes s'ouvrent.
-Bon week-end!
Le garçon répond machinalement, mais devient tout rouge. Il se précipite sur le quai, sans oser regarder son voisin.
-Qu'est-ce que...?
-Ne t'en fais pas. Allez!
Et elle le fait avancer d'une tape sur les fesses.
Derrière, c'est le ronfleur, puis le claquement des portes: le train repart à peine.
Fessée expéditive !

Fessée expéditive !

D
epuis hier la vaisselle s'accumule dans l'évier et malgré le confinement, je ne me résigne pas à y mettre les mains. Pourtant, je lui ai promis de la faire mais voilà...procrastination, quand tu nous tient!
" Carole! Viens ici s'il te plait!
- J'arrive! Une minute!
- Non! C'est tout de suite!
Là, je sais qu'il ne plaisante pas! Je me lève enfin du canapé où je dois dire que j'étais plutôt bien à rêvasser tranquillement...
Sa voix vient de la cuisine et dans ma petite tête de linotte ça fait tilt! La vaisselle!! Vite trouver une excuse, vite trouver un moyen de me sortir de là... mais c'est trop tard...il est déjà sur moi et m'attrape par le bras pour me conduire devant l'évier...
" Tu m'expliques?
- Ben...heu...j'ai pas trop eu le temps...
- Tu n'as pas eu le temps? Tu es si occupée que ça?
- Ben non en fait...
- Donc tu te fiches de moi?!
- Mais non pas du tout!
- Si! Et donc tu sais ce qu'il se passe dans ces cas là?!
Je ne réponds même pas, me contentant de baisser les yeux et de frotter machinalement mes fesses...
Sans un mot, il déboutonne mon pantalon et le fait glisser à mi-cuisses. Puis dans le même élan il baisse ma culotte. Je me retrouve fesses nues, à sa merci une fois de plus... Comme à chaque fois, je sens ce mélange de peur et d'excitation qui grimpe en moi, dominé par ce sentiment de honte face à l'homme que j'aime.
Sans un mot de plus, il me cale sous son bras et m'administre une volée rapide de claques sur mon postérieur. Ca brûle! J'ai le souffle coupé et malgré la douleur, aucun son ne sort de ma bouche! Je me tortille dans tout les sens comme pour atténuer la douleur mais elle est bien là et son bras me serre comme un étau. Et les claques continuent et continuent encore et je verse des larmes de douleurs, de honte et de rage...
Au bout d'un moment qui m'a paru être une éternité, la correction s'achève.
Silencieux, il me libère, remonte ma culotte puis mon pantalon et sort de la cuisine en lançant:
" Tu fais la vaisselle et tu files dans la chambre. Tu es punie jusqu'à nouvel ordre! Et taches de méditer sur ta conduite!
Les larmes aux yeux, les fesses brûlantes et les mains tremblantes je m'applique à laver les poêles et les casseroles...Je me repasse cette fessée en boucle dans ma tête et lentement, insidieusement, je sens l'excitation venir dans mon bas-ventre, les papillons qui annoncent le désir...
Je m'empresse de terminer puis je vais m'enfermer dans la chambre et m'allonger sur le lit... Le désir est là et je n'ai qu'une hâte c'est qu'il ouvre la porte et qu'il sente à quel point je suis mouillée...La tentation est grande de glisser mes doigts dans ma culotte mais il me l'interdit car je suis tout à lui...
Première fessée de l'année!

Première fessée de l'année!

I
l me l'avait dit qu'un jour j'aurai des problèmes à rouler sans faire attention aux limitations de vitesse...
Ce flash de décembre à été fatal pour moi...la lettre est arrivée vendredi, il l'a trouvée pendant mon absence alors que j'avais passé l'après midi avec les copines à faire du shopping et refaire le monde.
Je suis rentrée en fin de journée, toute heureuse de ma journée passée et les bras chargés de mes nombreux achats.
Il m'attendait dans le canapé. En me voyant rentrer dans le salon il a posé son livre. Comme d'habitude je me suis jetée à son cou pour l'embrasser, j'avais envie de le sentir contre moi, de respirer son odeur!
Rapidement, il s'est dégagé et m'a regardé d'un air sombre... J'ai tout de suite senti que quelque chose n'allait pas.
- Tu as passé une bonne journée Carole?
- Oui! Super! J'étais avec Delphine et Isa. On n'a pas pu s'empêcher de faire quelques boutiques, tu les connais!
Sans un mot, il s'est dirigé vers le secrétaire et m'a brandi sous le nez l'avis de contravention.
- Ca te dit quelques chose?
Mon sang n'a fait qu'un tour! Je l'avais complètement oublié celui-là! Je suis devenue rouge et transpirante et j'ai bredouillé :
- Ben oui... je me suis faite flashée l'autre jour mais je ne comprend pas, je n'allais pas si vite que ça...
- Peut-être mais en attendant c'est moi qui perds les points et c'est moi qui paye!
- Je suis désolée mon chéri...(qu'est ce qu'on peut dire comme banalités dans ces cas là!)
- Tu sais que je vais devoir sévir...
Et voilà, nous y étions! Moi qui pensais commencer l'année en douceur! J'allais recevoir une fessée c'était sûr...
- Oui je sais...bredouillai-je timidement en baissant les yeux.
- Bien! Va m'attendre dans la chambre! J'arrive!
Je me suis assise sur le lit et là, j'ai ressenti comme à chaque fois un mélange de honte, de crainte et, je dois bien le dire, d'excitation... L'attente m'a parue interminable...
Il est rentré dans la chambre et m'a attrapé le bras ^pour me faire lever. Face à moi, ses yeux dans mes yeux il m'a dit :
- Bien! tu vas recevoir une bonne déculottée et tu ne l'aura pas volé! Baisses ton jean!
Rouge de honte, je me suis exécutée faisant glisser mon pantalon le long de mes cuisses jusqu'aux genoux me retrouvant sans autre protection que ma culotte.
Il s'est assis sur le lit et m'a fait signe d'approcher. Puis il m'a guidé jusqu'à lui pour que je m'allonge sur sa cuisse ma tête enfouie dans le moelleux de la couette.
Et les claques ont commencé à pleuvoir sur mes fesses, d'abord sur ma culotte jusqu'à ce qu'il la baisse d'un coup sec pour dégager ma lune. Celle-ci était déjà brûlante mais alors, cul nu, j'ai bien cru que j'y laissais ma peau! Il ne semblait pas vouloir arrêter malgré mes supplications et mes gesticulations et la fessée durait, durait...j'avais l'impression que les secondes étaient des heures!
Les larmes me montaient aux yeux et j'étouffais mes cris dans la couette. J'ai bien tenté avec ma main libre de me protéger mais rien n'y a fait...monsieur sait très bien esquiver ce genre de parade!
Quand les claques ont en enfin cessé il a murmuré à mon oreille :
- Rappelles moi de combien tu as dépassé la vitesse autorisée?
- J'en sais rien moi!
- Moi je sais! 12 km/h!!
- ...
- Donc ça sera 12 coups de ceinture!
A ce moment là je suis dans un état second. J'ai accepté mon sort. Mes fesses sont en feu et malgré une pointe d'excitation comme à chaque fois quand il me punit, j'ai hâte que ça s'arrête. Alors j'évite de me rebeller et je murmure un vague "oui" tout en pleurnichant...
Il s'écarte un peu de moi pour enlever sa ceinture. J'entends la boucle tinter... Puis je sens la brûlure du premier coup, puis du deuxième...au dixième mes fesses sont comme insensibilisées et enfin la punition se termine.
- Maintenant vas au coin!
Je connais bien l'endroit pour y faire des stages réguliers et je m'y dirige alors en frottant mes fesses qui me piquent et me lancent tout en irradiant une chaleur que je n'avais pas connue depuis longtemps!
Je me positionne alors debout, culotte baissée et mains sur la tête.
-Restes là le temps qu'il faut pour méditer sur ta bêtise. Ne bouges pas avant que je revienne!
Avant de sortir de la chambre il m'a effleuré les fesses et alors j'ai su que j'étais déjà pardonnée et que lorsqu'il reviendrait me voir ce serait pour me faire un gros câlin...
Mais ça ça reste entre nous deux....
Des mots aux actes !

Des mots aux actes !

Après avoir longuement échangé sur nos désirs communs, Marie et moi avions convenu de nous retrouver chez moi pour passer des mots aux actes.

J’étais en train de lire « Les Fleurs du Mal » quand soudain l’interphone sonna. Le moment tant attendu était arrivé.

Une voix timide me demande si je suis bien la personne avec qui elle a longtemps échangé et convenu dernièrement de ce rendez-vous. Je note sa réticence à utiliser le mot « fessée ».

Je la rassure en lui disant qu’elle est au bon endroit et je lui ouvre la porte de la résidence. Je pu ensuite entendre ses pas se rapprocher.

Toc Toc Toc ! Mon cœur s’accélère !

Je saisi la poignée, ouvre la porte, l’accueil avec un grand sourire qu’elle me rend et l’invite à rentrer. Elle est habillée d’un chemisier, d’un jean moulant et d’une paire de baskets.

Pour détendre l’atmosphère je lui demande si elle veut boire quelque chose et nous engageons la conversation en parlant de tout et de rien.

Une fois que je sens que le courant passe bien entre nous je recentre notre échange sur la raison première de ce rendez-vous. Je ne voudrais pas qu’elle échappe à sa punition en me déconcentrant !

- « Pourquoi mérites-tu une fessée Marie ? » je lui demande volontairement de manière abrupte pour marquer une rupture dans la conversation.

Je remarque que ce changement de ton la déroute quelque peu mais elle finit par répondre après avoir repris consistance :

- « J’ai été impatiente et désagréable avec mon entourage sans raison valable. » me dit-elle.
- « Cela mérite en effet une bonne fessée déculottée. » dis-je en appuyant sur le mot déculotté.

Son visage s’empourpre légèrement et elle me répond en bredouillant :

- « Oui je crois. ».
- « J’en suis même sûr ! » je lui rétorque. Et j’enchaine : « Enlève tes chaussures et tes chaussettes et va te mettre au coin les mains sur la tête », en lui montrant un angle de la pièce !

Elle dénoue ses lacets, enlève ses chaussures et ses chaussettes et se rend pieds nues à l’endroit que je lui ai indiqué.

- « Les mains sur la tête j’ai dit !» je suis obligé de lui répéter !

Je profite de cet instant pour prendre une chaise que je déplace au milieu de la pièce en faisant un peu de bruit pour qu’elle puisse comprendre ce que je fais.

Je m’assois et j’attends quelques minutes pour que la future punie puisse bien réaliser ce qui va se passer.

- « Marie, tu peux venir maintenant. » je lui annonce d’une voie ferme.

Je sens un instant d’hésitation puis elle se retourne et se place devant moi.

Je lui prends le bras et la guide sur mes genoux. J’attends qu’elle se positionne convenablement et je pose ma main sur ses fesses, encore recouverte de son jean et de sa culotte, tout en la prévenant :

- « Maintenant tu vas être punie comme tu le mérites Marie. ».

Pas de réaction.

Je lève ma main et lui administre une première série de claques en augmentant petit à petit leur intensité. Je peux sentir ses légères contractions tentant de prévoir le prochain impact de ma main.

J’enchaine trois séries sur son pantalon en variant le rythme. Sentant que les réactions de la punie restent modérées je décide de procéder à un premier effeuillage.

- « Lève-toi Marie s’il te plaît. »

Elle se place devant moi les bras le long du corps. Je déboucle sa ceinture, déboutonne les boutons de son jean et descend la fermeture éclair. Elle n’a pas bougé mais son visage a pris une jolie teinte rose et ses mains sont crispées. Je la regarde dans les yeux, glisse mes doigts entre son jean et sa culotte et descend lentement son pantalon le long de ses cuisses, de ses mollets et l’arrête à ses chevilles.

Je descends le regard et peux maintenant voir sa jolie culotte blanche sur laquelle je crois apercevoir une légère marque d’humidité. Je n’y prête pas vraiment attention et la redirige sur mes genoux. Je peux voir aux extrémités de sa culotte que la peau de son joli postérieur a déjà commencé à rosir.

- « Tu es bien consciente que cela n’était que l’échauffement Marie ? » je lui demande !
- « Oui je sais monsieur. » me répondit-elle d’une voix dans laquelle je peux sentir une certaine appréhension.

Je lui caresse lentement les fesses par-dessus son slip. Je peux déjà sentir un début de chaleur.

Soudain je lève ma main ! Sa réaction ne se fait pas attendre et je devine son fessier se contracter au travers des plis de sa culotte ! Culotte ne présentant finalement qu’une faible protection ! Je décide de l’ignorer et j’abats ma main à rythme régulier jusqu’à ce que Marie ne puisse plus maintenir cet effort musculaire au moins de manière continue.

Ses réactions de Marie sont maintenant beaucoup plus visibles et audibles. Ses jambes, bien qu’elles soient entravées par son jean au niveau de ses chevilles, commencent à gigoter et elle ne peut réprimer quelques gémissements lorsque j’accélère le rythme de mes claques et en augmente l’intensité.

Puis je diminue petit à petit le rythme et je lui laisse le temps de reprendre un peu ses esprits en lui caressant doucement les fesses et les cuisses. Je lui redemande de se lever fasse à moi. Je sens un instant d’hésitation, surement parce qu’elle appréhende ce qui va se passer ensuite, mais elle finit par s’exécuter sans avoir besoin de lui répéter.

- « Enlève-moi ton jean s’il te plaît ! » je lui ordonne !

Comme soulagée elle se penche et libère ses chevilles de cette entrave et se retrouve devant moi avec son chemiser, son slip et ses jambes complètement nues.

Éphémère soulagement cependant !

- « Comment donne-t-on une bonne fessée à une gamine pas sage comme toi Marie ? » je la questionne !

Long moment de silence !

- Je l’interpelle : « J’attends Marie ! ».

Je sens que son désarroi est grand !

- « Allons, une chipie comme toi doit bien savoir ! »
- « On lui donne une fessée déculottée. » marmonne-t-elle de manière incompréhensible.
- « Je n’ai pas entendu Marie. » dis-je.
- « On lui donne une fessée déculottée. » dit-elle de façon plus audible.
- « Oui c’est tout à fait ça Marie ! Une bonne fessées cul nu ! Comme une vilaine fille ! » je lui réponds en insistant sur chacun des mots !

Mes mains se rapprochent de sa taille mais les siennes s’interposent ! Je me lève, lui saisis le bras, la retourne et lui administre une bonne série de claques sur ses deux fesses et me rassois.

- « Si tu ne me laisses pas te déculotter la punition n’en sera que plus cuisante Marie ! Je te préviens ! » lui dis-je froidement !

Mes mains se rapprochent à nouveau de sa taille et cette fois si pas de résistance. Le message semble être passé !

Mes doigts s’immiscent entre sa peau et l’élastique de sa petite culotte qui laisse maintenant clairement apparaitre une trace de son excitation. Mes yeux bleus plongent dans les siens alors que je baisse lentement le dernier rempart de son intimité ! Son visage n’a jamais été aussi rouge !

Une fois sa petite culotte ayant atteint ses genoux je la repositionne sur mes cuisses et j’admire ses fesses bien rouges et totalement offertes à ma main ! Cette dernière en profite pour les caresser lentement et en ressentir la douce chaleur qu’elles produisent !

- « C’est maintenant que tu vas réellement recevoir la correction que tu mérites jeune fille ! » je la préviens !
- « Pas trop fort s’il vous plaît » me supplie-t-elle !
- « Ça il fallait y penser avant Marie » je lui rétorque !

Ma main se lève à nouveau et s’ensuit une très longue série de claques alternées de caresses qui poussent Marie à gigoter de plus en plus et à émettre des petits cris. Elle en oublie toute pudeur et dans ses tentatives d’éviter mes claques elle me dévoile par moment ses lèvres intimes que je devine humide.

Je fini par arrêter une fois que ses gigotements prirent fin, signe de l’acception totale de sa punition, et que j’eu entendu ses premiers sanglots de contrition.

Une fois la fessée finie je demanda à Marie de s’assoir sur mes genoux et je la pris dans mes bras pour la réconforter.

Enfin, après un moment au coin, elle se rhabilla et nous discutâmes jusqu’à prendre congé l’un de l’autre en nous promettant de nous revoir pour résoudre ses futurs écarts de conduite !
La récidive !

La récidive !

Un matin mon téléphone vibre …

Marie avait récidivé …

Cette fois ma main ne sera pas suffisante pour recadrer cette jeune demoiselle rebelle et fière …

L’interphone sonne !

- « C’est Marie. » m’annonce-t-elle !
- « Très bien Marie. Je t’ouvre. Ma porte est ouverte. Tu rentres, tu m’enlèves tes chaussures, ton pantalon, tes chaussettes et tu vas te mettre au coin les mains sur tête au même endroit que la dernière fois. »

Pas de réponse mais je l’entends s’approcher.

Pas de discussion cette fois. On avait convenu tous les deux que cette fessée allait être sévère !

La voilà maintenant au coin en t-shirt et petite culotte.

Je place une chaise au milieu de la pièce, m’assoie et prend un instant pour regarder Marie qui reste immobile. Sa culotte blanche épouse parfaitement ses rondeurs que je m’apprête à rougir.

- « Marie, quand tu te sentiras prête tu viendras te positionner devant moi et tu me demanderas de te donner la correction que tu mérites. » je l’informe.

Après un long moment d’hésitation elle se retourne, vient se positionner devant moi et s’exécute tant bien que mal.

- « J’ai encore été désagréable avec mon entourage et pour cela je mérite d’être punie sévèrement. Pouvez-vous me donner une correction ? » me demande-t-elle toute penaude.
- « Oui Marie je le peux. Toi et tes fesses allez vous souvenir longtemps de cette correction. » je lui réponds en la basculant sur mes genoux.

La voilà sur mes genoux, son fessier offert à ma main, ses jambes blanches tendues et ses pieds nus solidement ancrés dans le sol. Elle semble prête à endurer sa punition comme une grande.

Je lui caresse doucement les fesses par-dessus son slip. Le calme avant la tempête …

Je lui administre une première claque appuyée pour ne lui laisser aucun doute sur la suite de la punition. Je la sens se contracter de tout son long. Je n’y prête pas attention et démarre une très longue série de claques alternant des claques lourdes et lentes avec des claques sèches et rapides.

Marie commence à gigoter et à émettre quelque soufflement et grognement. Je marque une pause.

- « Il ne s’agit que du début Marie. Tu le sais ça n’est-ce pas ? » je la questionne.
- « Oui monsieur. » me répond-elle assez fermement avec une once de défis dans la voix.
- « J’espère bien car on a convenu que tu méritais une sévère déculotté pour cette récidive ! » je la sermonne.

Les extrémités de ses fesses dépassant de sa petite culotte sont maintenant bien rouges. Je glisse mes doigts entre sa peau et les deux bords de son slip que je tire vers sa raie pour lui faire un string. Ses deux globes sont maintenant totalement nus et encadrés par ce bout de tissu.

Ma main se lève à nouveau et s’abat à rythme régulier en alternant entre sa fesse gauche et sa fesse droite. Ses gigotements sont maintenant beaucoup plus prononcés et des petits sons sortent de ses lèvres.

Je m’arrête, repositionne sa culotte normalement et relève Marie pour la positionner devant moi. La trace d’humidité au niveau de son entrejambe me confirme que la jeune demoiselle y trouve autant de plaisir que moi.

Elle profite d’ailleurs de cet instant d’inattention pour reprendre son souffle. Elle a raison car le pire est à venir.

- « Enlève-moi ta culotte ! » je lui ordonne sèchement.

Je devine un tressaillement.

- « Dépêche- toi ou tu retournes sur mes genoux ! » je la menace.

Après un court instant ses mains finissent par saisir sa culotte qu’elle commence à descendre. Arriver à la moitié de ses fesses et juste au-dessus de son pubis elle marque un arrêt et me regarde toute gênée.

- « Allons Marie je t’ai déjà vu cul nul. Ne m’oblige pas à t’aider tu risques de le regretter ! » je lui précise.

Cette menace semble porter ses fruits car sa culotte finit par descendre le long de ses cuisses, passer ses genoux et tomber délicatement à ses pieds.

- « C’est bien Marie. Te voila prête à recevoir la suite de ta fessée les fesses nues comme la vilaine que tu es. » je ne peux m’empêcher de rajouter.

L’effet est immédiat : ses joues deviennent aussi rouges que ses fesses.

- « Pour la suite de ta correction tu vas maintenant t’allonger au coin du lit en écartant bien tes cuisses pour que chacune de tes jambes soient positionnées de chaque côté de ce dernier. ».

Résignée Marie s’exécute. Cette position me permet d’avoir une grande marge de manœuvre pour utiliser des instruments et obliger la punie à dévoiler toute son intimité. Intimité que je devine gonflée et trempée de désir.

Je recommence à lui administrer des claques à la main mais beaucoup plus fortes grâce à cette nouvelle liberté de mouvement. Marie a enfoui sa tête dans la couette pour étouffer ses gémissements.

Je m’arrête. Il est temps de passer à la phase finale de la punition.

Je saisie le bat de son t-shirt que je ramène vers sa tête et lui enlève complètement. Marie résiste un peu mais finit par se rendre. La voilà quasiment complètement nue avec pour dernière protection son soutien-gorge.

- « Tu sais ce que l’on avait prévu si tu récidivais Marie ? » je la questionne.
- « Oui monsieur … » marmonne t’elle la tête toujours enfoui dans les draps.
- « Je veux te l’entendre dire Marie ! » je lui précise fermement.
- « La ceinture monsieur … » articule-t-elle.
- « C’est ça Marie. Et j’espère que cela te servira de leçon ! » je la sermonne.

Je déboucle ma ceinture et la fait glisser lentement le long des passants. Je la plie en deux et fais claquer chacune des extrémités. Marie a un léger sursaut en entendant le bruit sec.

- « Pas encore Marie … Pas encore … » je murmure.

Je pause le bout de la ceinture sur ses fesses et la fais glisser le long de ces dernières ainsi qu’à l’intérieur de ses cuisses.

Je l’enlève brusquement et lui administre rapidement un premier coup. Elle ne peut laisser échapper un petit cri de surprise ou de douleur et contracte ses fesses.

Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits et la ceinture s’abat une deuxième fois sur son cul encore serré. Cette fois c’est tout son corps qui se tend et elle saisit le drap avec ses mains.

J’attends un instant que la douleur de ces deux premiers coups s’estompe. Marie ne peut s’empêcher de serrer les fesses de manière aléatoire dans l’espoir de parer le prochain coup.

Celui-ci s’abat malheureusement entre deux contractions. Et le suivant tombe à la suite. Elle respire maintenant plus fort.

Je luis assène cinq nouveaux coups qui la poussent à se retourner totalement sur le dos sans aucune pudeur pour éviter le suivant.

- « Très bien Marie ! Tu refuses d’endurer ta punition comme une grande fille ! Eh bien tu vas être fessée comme un bébé à qui on change une couche. Lève tes jambes tout de suite ! » je lui ordonne.

Je peux lire l’incompréhension dans son regard.

Je lui saisi les pieds de ma main libre et les lui lève !

- « Ho non pas comme ça s’il vous plait ! » me supplie-t-elle.
- « Si comme ça Marie ! Comme doit être punie une demoiselle qui est incapable de se tenir comme une grande ! » je lui rétorque.

La voilà totalement livrée à ma volonté pour la dernière phase de sa correction.

Je lui administre dix nouveaux coups venant lui cingler les fesses impitoyablement. Elle tente tant bien que mal d’’y échapper mais rien n’y fait la punition arriva à son terme.

Je lui laisse quelques instants pour sécher ses larmes et reprendre ses esprits, lui demande d’aller au coin et ajoute qu’une fois qu’elle se sentira prête elle pourra venir dans mes bras.

Enfin, je l’autorisai à se rhabiller et nous nous quittâmes après avoir parlé de tout et de rien.
Dans le dortoir des grandes

Dans le dortoir des grandes

Le dortoir du village sportif était plutôt confortable et bien aménagé.
Des panneaux cloisonnaient des espaces où les jeunes gymnastes à peine majeures venues participer au championnat ne dormaient que par deux, en lits superposés.
Mais l’ambiance ce soir-là était tendue, six jeunes n’ayant pu pour diverses raisons administratives, il manquait des pièces à leur dossier, participer à une sortie de détente.
Une septième, un peu plus âgée, s’était portée volontaire pour elle aussi rester et s’assurer que tout se passerait bien, en restant en liaison téléphonique, un fixe, à l’époque, avec un responsable du village sportif, en quelque sorte le gardien, et les services d’urgence.
Elle préparait un diplôme d’entraîneuse.
Elle parvenait plus ou moins bien à se faire appeler « Madame », mais elle eut droit à « Carole » quand elle dut intervenir pour demander à deux gymnastes partageant le même box de faire moins de bruit.
Elle disposait d’une pièce à part, et y retourna, comptant sur le sens des responsabilités.
Mais cela reprit de plus belle chez ces deux excitées qui envisagèrent même de faire le mur, se rhabillèrent comme prêtes à sortir en ville.
Carole sortit à nouveau de sa pièce, mais voilà que depuis un autre box elle fut grossièrement raillée par la plus jeune, Virginie, qui y allait de ses slogans qui se voulaient contestataires : « attention, v’là la pionne, v’là l’flic, gare à vous, gare à la répression, gare à vos fesses ! »
Sa copine de chambre eut droit à « Et toi, grosse fayote, tu dis rien, tu fais rien », et à un énergique et hostile lancer d’oreiller : la bagarre n’était pas loin.
La « pionne » bondit sur Virginie et lui bloquant d’avant- bras, elle l’immobilisa.
« Eh bien, je vais devoir contacter le responsable du village, et dès demain matin rédiger un rapport qui pourrait bien pour vous trois, misses Virginie Chantale et Béatrice, interrompre votre carrière de gymnaste.
- Soyez compréhensive, Madame, c’est pas drôle, la soirée ici …supplia Béatrice, arrivée dans la chambre de Virginie.
-Et pour moi ? Et vos copines restées plus tranquilles et qui voudraient bien se reposer.
- Nous allons nous calmer…
-Un peu tard, je sais ce qui me reste à faire, avertir avant que ça ne tourne à la bagarre et signaler. Moi à huit ans quand je me chamaillais avec ma sœur de dix c’était la fessée ! pour les deux !"
Un ricanement vint d’une des filles restées sages, mais qui elle aussi sortie de sa chambrette assistait à cet entretien houleux.
« La fessée ? Madame ? Et vous avez entendu ? « Gare à vos fesses », qu’elle a dit, Virginie.
-Voilà qui nous ferait un joli petit spectacle, sans sortir, renchérit sa copine de chambre, rejoignant le groupe.
-Eh bien je vais vous montrer comment je m’y prends, à moins que ces demoiselles ne préfèrent le signalement et le rapport ?
Elle tenait toujours Virginie par l’avant-bras.
« Chantal et Béatrice, par ici, attendez debout au pied du lit, chacune d’un côté ; les autres installez-vous et regardez bien.
Voici donc tout le monde dans la même pièce.
Les trois filles restées sages s’allongèrent sur les lits, deux en haut, une en bas.
La candidate entraîneuse s’assit sur le lit du bas et bascula Virginie en travers de ses genoux.
« Tu es la plus jeune, je commence par toi ! Je t’épargne l’attente en attendant ton tour. Cela va te calmer, ce sera bon pour toi, tu seras en meilleurs conditions pour le championnat»
Elle continua de maintenir l’avant-bras de la punie et la main droite souleva facilement la chemise de nuit.
« Je ne fais pas les choses qu’à moitié. »
Elle envoya la culotte aux chevilles et la fessée commença, d’abord lourde et pesante, méthodique, appliquée à rougir uniformément les deux globes, puis se termina en saccades sèches et nerveuses qui firent pousser de petits cris à la punie.
Anéantie, celle-ci donna l’impression de ne pas comprendre quand ce fut fini.
« Relève-toi ! Laisse la place ! »
Elle la laissa réajuster sa culotte, ce qui dans la honte précipitation de revenir à une tenue décente ne fut pas facile pour Virginie, qui avait cependant pu se retenir de pleurer.
Les deux autres chipies, promises au même sort, qui avaient eu l’idée de s’habiller prêtes à sortir, avaient suivi cela complètement médusées, et tellement qu’elles n’avaient pas bougé d’un pouce.
Les trois autres avaient suivi d’un regard sage et approbateur, tranquillementallongées.
Virginie spontanément se dirigea vers sa droite, prit place à côté de Chantal, qui s’était mise sur son trente et un, ayant sorti du placard et revêtu une belle robe, de coupe plutôt serrée, descendant jusqu’ à mi mollet.
« Bien, voilà qui permet de déterminer qui va maintenant y passer…à toi, Chantal ! «
Mais la robe n ‘était guère facile à retrousser, faisait des plis sur les cuisses de Chantal qui avait pris la position.
« Désolée, relève-toi, et déshabille-toi ! Fais-toi aider ! »
Virginie dégrafa les boutons du dos, puis Chantal leva les bras et la robe fut tirée par-dessus tête par Béatrice.
En sous-vêtements, Chantal revint s’allonger en travers des cuisses de Carole et fut à son tour bien déculottée et bien fessée.
Les chairs de ces sportives étaient bien fermes : aucun surpoids. Mais le bassin plus large de Chantal fit durer la fessée, qui fut elle aussi ponctuée de quelques impacts particulièrement piquants.
Béatrice triturait nerveusement la robe de Virginie. Son tour allait venir.
Carole remonta la culotte de Chantal, estimant que l’épisode de la robe avait suffi comme touche supplémentaire à la honte, au ridicule.
Béatrice se mit à pleurer !
« Rends donc cette robe à ta copine, elle ira la ranger après ta fessée ! Comment ? tu pleures déjà ?»
Rires des spectatrices depuis les lits ! Mais aussi, plus nerveux, des deux qui viennent de recevoir leur fessée.
« Madame, ne me déculottez pas, je vous en prie !
-Tiens donc ! Tes fesses seraient donc différentes ? de celles de tes copines ? »
Rires.
« Eh bien, je vais t’accorder cette faveur : je ne te déculotte pas !
-Merci madame !
-C’est toi qui vas le faire ! Retrousse ta jupe et baisse ta culotte ! et n’aggrave pas ton cas ! »
Béatrice s’exécuta et prit position.
"Et mieux que ça, la culotte !"
Carole, par de bonnes claques sur les cuisses, obligea Béatrice qui s'était contentée de baisser l’arrière de l’élastique à bien la faire glisser.
Cris, pleurs et supplications n’entamèrent en rien la détermination de l’élève entraîneuse, qui se mit à sermonner en même temps qu’elle fessait.
Le ton monta jusqu’ à une sorte de spasme, de rire, de la punie, et ce fut la fin.
Le séjour se termina dans le calme, et les trois qui avaient reçu la fessée furent remarquées et appréciées pour une bonne humeur qu'on ne leur connaissait pas auparavant et pour leur conduite responsable et sportive.

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