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En retard

En retard

V
ingt deux heures et toujours pas de nouvelles, la soirée est fichue. Qu'est-ce qu'elle fait, cela fait déjà 3 heures que je ne fais que tomber sur son répondeur. J'ai déjà prévenu nos amis qu'il ne fallait pas compter sur nous pour le restaurant. Je passe du canapé à la table et de la télé à mon ordinateur, un peu de guitare pour me détendre, non je n'arrive à rien. J'espère qu'il ne lui est rien arrivé.

J’entends la porte qui s'ouvre et me lève dans sa direction.

Elle rentre doucement et se retourne vers moi, elle a l'air de bonne humeur quoi qu'un peu fatiguée.
Toute souriante elle me dit "bonsoir".
L'inquiétude n'est plus là mais une légère colère monte et je le cache difficilement :

- Ça a l'air d'aller, d'où est-ce que tu viens ?

Toujours avec le sourire elle me répond.

- J’étais avec des copines, désolée je n'avais plus de batterie.

Ses yeux semblent jouer avec les miens comme pour chercher ce qui se passe derrière. Mon ton se fait plus sec :

- Et tu n'as pas cru bon de me prévenir

- Je n'y ai pas pensé et je t'ai dit que je n'avais plus de batterie.

Sa voix s'est légèrement cassée sur la fin de sa phrase.

- Alors comme tu ne sembles pas te le rappeler, ce soir mes amis avaient réservé le restaurant, je suis passé pour un idiot en annulant à la dernière minute, j'étais mort d'inquiétude, et toi tu viens me dire toute sourire que tu étais avec des amies ?!

- Oh ça va il n'y a rien de grave, et puis il faut bien que je m'amuse.

Elle se moque vraiment de moi, elle le sait très bien que c'est au moins des excuses que j'attendais, ça fait quelques jours qu'elle m'agace, il est hors de question que ça dure, cette fois elle va recevoir une fessée.

- Viens par là.

Elle a compris mon intention vu comment elle met ses mains dans le dos et me regarde avec la bouche à moitié ouverte.

Comme elle ne bouge pas je m'approche vivement d'elle et lui attrape le bras.
Cette fois elle n'a plus du tout le sourire :

- Non s'il te plaît !

- On ne peut pas discuter, si tu ne comprends pas ce qui ne va pas je vais te l'expliquer autrement.

Je la tire jusqu'au milieu de la pièce alors qu'elle freine des deux pieds.

- Pardon ! pardon, j'ai oublié.

- C'est trop tard, après la fessée que tu vas prendre je pense que tu feras plus attention.
D'une petite voix je l'entends :

- S'il te plaît arrête...

Ça me fend le cœur de l'entendre comme ça, elle est tellement mignonne, mais je suis trop en colère et ma main me démange. Je relève sa jupe bien haut tandis qu'elle bat des jambes, je glisse ma main sous l'élastique de sa culotte mais elle vient la retenir.

-Ça ne sert à rien, tu vas la recevoir de toute façon.

J'attrape son poignet de ma main gauche et de la droite j’abats une claque sèche sur sa cuisse, elle a un petit cri mais lâche prise. Je bloque alors son bras en travers de son dos et baisse sa culotte jusqu'en bas des cuisses.

Je suis un peu ému devant ses petites fesses toute blanches, mais je suis remonté et c'est rouge que je veux les voir.

Je lève mon bras et laisse tomber ma main bien à plat, elle sursaute. J’enchaîne les claques, elle gigote, je l'entends gémir, elle me fait un peu de peine et je ressens une crispation. Ses fesses sont bien rougies. Je repose mon bras sur ses cuisses et les maintiens. Ses cheveux ondulés sont éparpillés dans tous les sens, je passe ma main dedans et les ramène derrière son épaule.

- J'espère que tu as compris, de toute façon on en parlera tout à l'heure, va m'attendre dans la chambre.

Elle se relève maladroitement tout en remontant sa culotte, elle a les joues toutes rouges et fait une petite moue boudeuse.

- allez file

Je la vois partir en se dandinant.
Le cadeau

Le cadeau

C
laire n’en croyait pas ses yeux ! Il avait osé !

Là, sous le sapin, un seul paquet portait son nom… la forme ne correspondait en rien à quoi que ce soit qu’elle ait pu souhaiter… Et le déballage avait confirmé sa déception. Une sacoche. Une vulgaire sacoche. Même pas belle en plus. Un truc informe, en cuir tout de même, mais tellement laid, qu’elle ne se voyait pas sortir avec.

Elle avait repris espoir en remarquant qu’il semblait y avoir quelque chose à l’intérieur. Oui, voilà ! C’était une blague ! Son vrai cadeau était sûrement à l’intérieur ! C’était forcément ça !

Et elle avait ouvert le sac…

Nous en sommes donc là. Claire, interdite, qui n’en croit pas ses yeux. Elle lève la tête et regarde son mari d’un air interrogateur

« Je t’avais bien dit qu’il fallait être sage pour être sur la liste du Père Noël ! Avec tes caprices à n’en plus finir à propos de tes cadeaux, c’est sur la liste du père Fouettard que tu as atterri ! »

Claire baisse la tête, déçue de cette mauvaise blague qui lui gâche d’un coup tout le plaisir de Noël…

« Allez, ma puce, ne fais pas cette tête… Sors ce qu’il y a dans le sac ! »

Sans entrain, Claire sort un paddle en cuir… un martinet… une brosse à cheveux… une règle… une cuillère en bois... Sa figure s’allonge au fur et à mesure de ses découvertes. Quand enfin elle sort la ceinture en dernier, elle ne peut pas contenir sa déception plus longtemps et lève ses yeux embués vers Marc.

« Je sais que c’est dur comme punition… mais tu mérites une leçon. Néanmoins, chaque instrument du sac porte un numéro. Ce numéro correspond à un des cadeaux que tu espérais tant. Seulement tu n’auras ce cadeau, qu’après avoir reçu une fessée avec ce même instrument. Cela t’apprendra la patience. Et peut-être que l’an prochain l’esprit de Noël prévaudra sur ton attitude matérialiste. »

Claire ne répond pas… Elle prend le paddle en cuir et le tend à son mari « Je voudrais mon premier cadeau s’il te plait »
Première fessée

Première fessée

C
'était l'anniversaire d'un ami à moi, il fêtait ses 18 ans et la fête a battu son plein toute la nuit. Ça se passait dans une villa assez spacieuse et à la campagne, il y avait beaucoup de monde, beaucoup de gens du lycée, beaucoup de gens que j'apprécie. Ici ça dansait, là ça discutait, là ça draguait, là ça picolait... Je suis passée de groupe en groupe en faisant un peu tout ça. Vers 4 heures du matin, j'ai senti d'un coup la fatigue qui s’abattait sur moi. En fait, c'était surtout l'alcool qui avait bien gagné tout mon corps qui me faisait vaciller. J'étais en train de chercher un coin d'herbe au calme où me reposer quand j'ai croisé Tom, le frère de mon ami qui fêtait son anniversaire.

Il m'a prise sous son aile, et il m'a dit que je ne pouvais pas rester dehors alors il m'a aidé à marcher jusqu'à la maison, nous sommes allés dans sa chambre et il m'a mise dans son lit, bordée et tout en me disant que là j'allais être tranquille et qu'il reviendrait veiller sur moi. Je me suis endormie mais un moment je me suis réveillée avec l'envie de vomir. J'ai couru aux toilettes et ouf je suis arrivée à temps. J'ai repris la direction de la chambre et je suis retombée sur Tom, il m'a raccompagnée. Je ne sais pas s'il était amusée ou énervée, je n'arrivais pas à comprendre les traits de son visage. Il m'a amené un sceau et un verre d'eau et je me suis rendormie. J'ai passé une bonne partie de la nuit à vomir dans le sceau mais quand je me suis réveillée, il faisait jour et j'allais mieux. Je suis allée vider le sceau et je suis tombée sur Tom qui ne dormait pas. Il m'a dit qu'il n'avait pas pu dormir car j'avais squatté sa chambre et en plus ça puait. On est allé à la boulangerie ensemble en discutant, je l'ai remercié mille fois d'avoir été cool la veille. Il m'a un peu fait la morale sur l'alcool, en me disant que c'était bête de boire autant pour être malade après, que j'avais sans doute raté une bonne partie de la soirée et qu'en plus, je l'avais empêché de dormir...

Quand on est revenu à la maison, c'était le silence absolu car tout le monde dormait alors il m'a dit de venir dans sa chambre. Il m'a dit que ça sentait encore le vomi, j'étais vraiment désolée et il m'a dit que ça suffisait pas d'être désolée, que je méritais une bonne fessée pour m'être comportée comme une gamine qui ne sait pas boire. J'ai cru qu'il rigolait mais il s'est assis sur son lit et il m'a dit de venir près de lui, c'était assez le sec le ton qu'il avait, alors je me suis approchée.

Je ne sais pas comment ça s'est passé mais en quelques secondes je me suis retrouvée allongée sur ses cuisses et lui il mettait des claques sur mon jean. Je croyais encore que c'était un jeu alors je lui disais qu'il était fou, d'arrêter mais lui il me maintenait les bras dans le dos. Il m'a fait glisser le corps, j'avais les mains par terre et presque la tête à l'envers par terre et il me fessait et faisant des commentaires, en disant que je l'avais mérité, que ça me servirait de leçon... Je sentais les fesses me chauffer, c'était une sensation complètement nouvelle pour moi, je ne savais pas dire si c'était agréable ou désagréable. Il s'est apaisé quelques instants et m'a dit de me lever, il a déboutonné mon jean et l'a baissé sur mes cuisses et d'un geste précis il a agrippé ma culotte sur les coté pour faire la même chose. Je me suis sentir comme électrocutée, incapable de bouger et la chaleur qui me gagne, je crois que j'ai dû rougir sur les joues, ça me brulait, j'ai mis les mains devant mon sexe et ça l'a fait sourire. Je l'ai trouvé beau et désirable à ce moment, c'est comme si je le regardais vraiment pour la première fois avec ses petites lunettes, ses cheveux en pagaille et sa peau blanche parfaite. Il m'a pris les mains et il m'a dit que c'était trop tard, que ça resterait entre nous et que ça allait me faire du bien. Il m'a demandé de m'allonger sur le ventre dans son lit. Il m'a massé les cuisses et les fesses et les reins en me disant que j'avais de jolies fesses, qu'elles le seraient encore plus roses ou rouges puis il a recommencé à me fesser, moi allongée et lui à genoux au bord du lit. C'était plus douloureux qu'avec le jean et en même temps je sentais le contact de sa main. Parfois il se penchait sur moi et me murmurait à l'oreille des choses, que je devais tenir le coup, que je méritais ce qui m'arrivait... Il a fini par tirer sur mon jean et ma culotte et tout enlever et il s'est allongé près de moi et il a continué. Il alternait fessée et caresses, ce qui adoucissait un peu les choses mais les séries de claques étaient aussi plus fortes et plus longues. Il m'a dit que je pouvais mordre son oreiller, qu'il m'autorisait et je ne me suis pas privée. Parfois, je sentais ses doigts m'effleurer entre les fesses et arriver jusqu'à mon sexe, je me sentais honteuse car j'avais l'impression de mouiller énormément. Il m'a fait tourner sur le dos et il a glissé ses mains sous mon pull pour enserrer mes seins et il m'a dit de tout enlever, je me suis retrouvée complètement nue. Après il s'est rassis au bord du lit, et il m'a de nouveau fessée allongée sur lui, je remuais des jambes car ça me picotait de plus en plus, il me tenait par les hanches fermement . J'étais au bord des larmes avec cette impression que mes fesses me brûlaient et un moment je me suis laissée glisser par terre, je me suis retrouvée à genoux contre ses jambes. Il a serré ma tête contre sa cuisse quelques minutes en me caressant les cheveux, ma respiration était rapide mais je sentais qu'il m'apaisait. Puis il a pris mes mains et les a posé sur sa braguette, je sentais qu'il bandait fort, j'ai déboutonné son jean et il a sorti sa queue de son pantalon et je lui ai fait une fellation. C'était dur car son sexe était gros, plus que ce que j'aurais imaginé. Il me tenait un peu la tête mais était bienveillant en même temps et au bout d'un moment il a fini par se masturber devant mon nez et il a joui par terre et sur moi. Après nous nous sommes endormis ensemble et quand je me suis réveillée, il n'était plus là, alors je suis retournée voir les copains comme si de rien était et après je suis rentrée chez moi. En prenant ma douche, j'ai senti que mes fesses étaient encore chaudes.
Une fessée à la plage

Une fessée à la plage

U
n jour, mon fesseur m'a demandé de lui raconter comment j'imaginais la FESSÉE DE MES RÊVES.
Et voilà que je me mise à lui raconter une histoire bien dégoulinante de romantisme.
Un coucher de soleil, l'océan à perte de vue, le bruit des vagues, une fessée sensuelle à la main...
Il leva un sourcil et me fit un sourire.
— En plus, ça nous fera des vacances, j'ai vraiment besoin de me détendre.
Il n'a pas vraiment dit oui, il n'a pas vraiment dit non.
Toujours est-il que quelques semaines plus tard, il me fit une belle surprise : il m'emmenait une semaine à la mer. Je lui sautai au cou tellement j'étais contente.


Le lendemain soir de notre arrivée là-bas, il m'emmena dîner au restaurant. C'était une table cotée, et l'ambiance me semblait un peu guindée.
J'avais mis une petite robe noire et lui aussi s'était bien habillé pour l'occasion. Il portait une chemise blanche, et il sentait le parfum pour homme.
À un moment donné, il commanda du vin, et cela déclencha une petite dispute entre nous. Il ne voulait jamais que je boive d'alcool ou alors juste un petit doigt de rien du tout.
— C'est non ! Tu ne tiens pas du tout l'alcool.
Il avait dit cela fermement, en me regardant d'un air strict.
Je boudais un peu, en mangeant mon bar grillé avec son tian de légumes provençal.
Je lui pardonnai lorsqu'il me laissa piocher avec ma cuillère dans sa mousse au chocolat.
Nous sommes sortis du restaurant main dans la main. Une légère brise faisait onduler ma robe, et je m'assurais de temps en temps avec les mains que mes fesses ne se découvraient pas.
— Ma puce... Écoute-moi bien. Depuis que nous sommes arrivés ici, ton comportement est plus que limite. Tu m'as déjà désobéi plusieurs fois, et ce soir tu te mets à bouder... Je t'ai déjà dit que pour toi l'alcool c'était non... Quand je dis non, c'est non, je ne devrais pas avoir à te le répéter dix fois ! Et comme toujours, tu insistes, tu réponds... Je ne peux vraiment pas tolérer cela.
Je n'en menais pas large pendant qu'il me réprimandait. Je savais qu'il avait raison. Il avait tout fait pour me faire plaisir, et je m'étais vraiment mal comportée.
Nous arrivâmes sur la plage.
— Ici, c'est parfait pour te donner la fessée !
— Quoi, une fessée ? Ici, maintenant ? Mais si quelqu'un passe par là ?
— Il fait nuit, et il n'y a plus personne... De toute façon, j'en assume pleinement la responsabilité, Manon. Si on nous surprend et bien tant pis. Ce ne sera pas de ta faute, tu ne choisis pas d'être punie. En revanche ça pourrait m'attirer des problèmes en effet, étant donné que tu as vingt-deux ans... Mais c'est mon devoir d'agir tout de suite. Tu mérites une bonne correction et tu n'y échapperas pas ! Tu as bien compris ?
— Oui j'ai compris...je balbutiais.
Je trouvais cela beaucoup trop risqué. Je me voyais déjà au poste de police en train d'expliquer notre affaire. Je l'imaginais déjà derrière les barreaux à cause de moi. Je soutiendrais mordicus que cette fessée ne fût point consentie, tellement il eût été davantage humiliant de reconnaître que je la voulais vraiment...
Nous vérifiâmes qu'il n'y avait personne à l'horizon. Le risque était vraiment minime. Seule la lumière de la lune éclairait les lieux.
On se tenait par la main, ou plutôt il me tirait par la main.
— Pourquoi tu traînes comme ça ? Allez !
— J'aime pas avoir les pieds tout plein de sable...
Il râla un peu, avant de me soulever par les aisselles pour me porter comme une princesse.
Nous nous dirigeâmes vers un coin encore plus isolé, où il me déposa par terre.
Il me plaça ensuite sous son bras, et souleva le bas de ma robe. Puis il baissa ma culotte d'un geste lent, jusqu'à mi-cuisses. Une brise rafraîchissante caressa mon derrière dénudé. Il m'administra trois grandes claques sèches et bien sonores sur mes pauvres petites fesses nues.
— Aaaawww ! Awwww ! awwww !
Ensuite il s'agenouilla, et posa une serviette pliée sur le sable.
— Tu vas te mettre à plat ventre.
Il m'aida à prendre la position requise, les fesses nues surélevées.
— Voilà que tu m'obliges encore à te corriger... Je vais t'apprendre à obéir, tu vas voir !
J'ai senti une main sur le bas de mon dos et une autre sur mes fesses. Ensuite il commença ma fessée.
CLACK ! CLACK ! CLACK !
Les claques étaient régulières, et alternaient gauche et droite. Entre les coups, je sentais le vent qui offrait à mes fesses nues un opportun rafraîchissement. Le son des vagues qui s'échouaient sur le sable mouillé rendait l'ambiance paradoxalement très relaxante.
J'agitais les pieds en guise de protestation, en poussant de légers gémissements.
De temps en temps, il posait sa grande main sur toute la surface de mes deux petites fesses et les caressait.
On était bien, à partager ce moment privilégié. Mes fesses commençaient cependant à me piquer. J'essayais alors de les protéger - un réflexe. Il bloqua alors mon poignet avec fermeté.
— Arrête ce cirque, et tends les bras devant toi.
Je m'abandonnais alors à cette fessée les bras tendus, et les mains brassant le sable.
CLACK ! CLACK ! CLACK !
— Pardonne moi ! Je recommencerai plus !
CLACK ! CLACK ! CLACK !
— Ta punition n'est pas terminée Manon...

Tout à coup, j'ai entendu un homme dire "Bonsoir Monsieur". Le cauchemar !
Quelqu'un était là, et devait avoir une vue plongeante sur mes fesses toutes roses. Je ne savais plus où me mettre.
Mon fesseur lui répondit de suite :
— Bonsoir.
Les claques se sont arrêtées, et la main de mon fesseur était restée posée sur mon postérieur, sans doute pour protéger mon intimité des regards indiscrets.
— La jeune fille n'a pas été sage ?
— En effet, la jeune fille n'a pas été sage. Je suis désolé de vous avoir imposé cela, mais il était urgent de corriger cette demoiselle.
— Ne vous en faites pas pour moi, j'ai l'habitude Monsieur. J'ai la même à la maison...
Profitez-en, c'est la pleine lune !
Le monsieur fit alors quelques pas devant moi, et je le perdis ensuite de mon champ de vision. J'étais un peu perturbée et me sentais terriblement honteuse.
La fessée continua, mais elle touchait à sa fin. Il me donna encore quelques claques.
— Que cela...
CLACK !
— te serve...
CLACK !
— de leçon !
CLACK !
Il m'a ensuite reculottée et je suis restée à genoux sur le sable, à me frotter les fesses.
Je remarquai alors que le Monsieur s'était en fait arrêté à quelques mètres de là pour regarder le spectacle. Il avait un grand sourire aux lèvres. Il semblait avoir apprécié ce qu'il avait vu. Je me sentais terriblement embarrassée qu'un témoin ait pu à la fois voir mes fesses, assister à ma fessée, et fait des commentaires désobligeants à mon égard.
J'attrapai mon sac et la main de mon fesseur pour partir au plus vite.
Le Monsieur s'adressa alors à moi :
— On fait moins la fière quand on a les fesses à l'air...
Mon sang ne fit qu'un tour, j'avais envie de le tuer. Mon fesseur serra ma main dans la sienne, et me chuchota de ne pas faire attention.
— Punie comme ça devant des passants, avec une bonne fessée...
Je ne pus m'empêcher de répondre :
— Oh c'est bon, la ferme !
Nous commençâmes à nous disputer tous les trois.
— Je vous en prie Monsieur, certes elle a reçu une fessée, mais ce n'est pas une raison pour l'humilier.
— Écoutez Monsieur, je fais les commentaires que je veux... Si vous n'êtes pas content c'est pareil !
C'est là que mon fesseur s'est énervé. L'homme s'est mis debout et ils ont commencé à se battre comme dans les films. J'ai eu très très peur à ce moment là. C'était de ma faute, car tout ce qu'il voulait était sauver mon honneur.
Mon fesseur lui asséna un coup de poing qui fit tomber l'homme à terre. Je pouvais voir le sang couler sur son visage.
L'homme leva la main et balbutia une vague excuse en signe de rédemption.
J'étais incroyablement fière de ce que mon fesseur avait fait pour me défendre.
Nous avons alors pris la direction de l'hôtel qui était à une dizaine de minutes de là.
— Ça va ma puce, tu n'es pas trop choquée par ce que tu as vu ?
— Non, non...
— Ça s'appelle rendre justice, Manon. Exactement comme la fessée que tu as reçue tout à l'heure.
Il semblait avoir mal à la main. Il la frottait et semblait ruminer sa haine envers cet homme qui m'avait manqué de respect.
Une fois remontés dans notre chambre, je l'ai pris dans mes bras et nous sommes restés enlacés comme ça, pendant un moment.
Après, il m'envoya au coin, la culotte baissée jusqu'aux genoux pour que je médite un peu sur mon attitude. Je n'ai pas pu m'empêcher de me retourner une fois - ce qui m'a valu une claque supplémentaire - parce que c'était la toute première fois qu’il se baladait près de moi en caleçon. C'était quand même beaucoup trop tentant.
J'avais aussi vraiment du mal à réfléchir. Je m'inquiétais trop pour lui et sa main. J'ai pensé qu'il faudrait peut être que je lui fasse un aftercare, avec des glaçons et de la crème...
Fessée expéditive !

Fessée expéditive !

D
epuis hier la vaisselle s'accumule dans l'évier et malgré le confinement, je ne me résigne pas à y mettre les mains. Pourtant, je lui ai promis de la faire mais voilà...procrastination, quand tu nous tient!
" Carole! Viens ici s'il te plait!
- J'arrive! Une minute!
- Non! C'est tout de suite!
Là, je sais qu'il ne plaisante pas! Je me lève enfin du canapé où je dois dire que j'étais plutôt bien à rêvasser tranquillement...
Sa voix vient de la cuisine et dans ma petite tête de linotte ça fait tilt! La vaisselle!! Vite trouver une excuse, vite trouver un moyen de me sortir de là... mais c'est trop tard...il est déjà sur moi et m'attrape par le bras pour me conduire devant l'évier...
" Tu m'expliques?
- Ben...heu...j'ai pas trop eu le temps...
- Tu n'as pas eu le temps? Tu es si occupée que ça?
- Ben non en fait...
- Donc tu te fiches de moi?!
- Mais non pas du tout!
- Si! Et donc tu sais ce qu'il se passe dans ces cas là?!
Je ne réponds même pas, me contentant de baisser les yeux et de frotter machinalement mes fesses...
Sans un mot, il déboutonne mon pantalon et le fait glisser à mi-cuisses. Puis dans le même élan il baisse ma culotte. Je me retrouve fesses nues, à sa merci une fois de plus... Comme à chaque fois, je sens ce mélange de peur et d'excitation qui grimpe en moi, dominé par ce sentiment de honte face à l'homme que j'aime.
Sans un mot de plus, il me cale sous son bras et m'administre une volée rapide de claques sur mon postérieur. Ca brûle! J'ai le souffle coupé et malgré la douleur, aucun son ne sort de ma bouche! Je me tortille dans tout les sens comme pour atténuer la douleur mais elle est bien là et son bras me serre comme un étau. Et les claques continuent et continuent encore et je verse des larmes de douleurs, de honte et de rage...
Au bout d'un moment qui m'a paru être une éternité, la correction s'achève.
Silencieux, il me libère, remonte ma culotte puis mon pantalon et sort de la cuisine en lançant:
" Tu fais la vaisselle et tu files dans la chambre. Tu es punie jusqu'à nouvel ordre! Et taches de méditer sur ta conduite!
Les larmes aux yeux, les fesses brûlantes et les mains tremblantes je m'applique à laver les poêles et les casseroles...Je me repasse cette fessée en boucle dans ma tête et lentement, insidieusement, je sens l'excitation venir dans mon bas-ventre, les papillons qui annoncent le désir...
Je m'empresse de terminer puis je vais m'enfermer dans la chambre et m'allonger sur le lit... Le désir est là et je n'ai qu'une hâte c'est qu'il ouvre la porte et qu'il sente à quel point je suis mouillée...La tentation est grande de glisser mes doigts dans ma culotte mais il me l'interdit car je suis tout à lui...
Des retrouvailles cuisantes

Des retrouvailles cuisantes

J
e sortais d’une longue réunion sur les nouvelles missions de notre entreprise naissante, fatiguée en cette fin de semaine, mais ce soir mon fiancé était de retour. Aussi, une fois à la maison, une nouvelle énergie se dégagea de moi et j’entrepris de prendre mon bain et de me faire belle : me recoiffer, me maquiller, choisir une jolie robe bleue. Une fois cette tâche accomplie, il était déjà l’heure, et il arrivait. Après un petit apéritif pour prendre des nouvelles avec mes parents, nous nous dirigeâmes vers un petit restaurant indien qui venait d’ouvrir, autour d’un plat épicé je buvais ses paroles, me retrouvant dans les immenses steppes glacée qu’il venait de traverser au cours de la semaine, sous son regard enjoué et amoureux. Le repas terminé, bien que le temps ait filé nous n’avions toujours pas fini notre conversation et nous décidâmes de la finir autour d’un verre dans un café. Quand enfin nous avions fini et nous apprêtions à regagner nos pénates, des amis à lui firent irruption ce qui eut la conséquence de nous retarder. Dépitée, mon impatience se fît sentir, adoptant un air bougon je commençais à me permettre des remarques insolentes et hautaines, pour manifester mon désagrément. Aussi, au bout d’un moment, il se détourna de sa conversation et me rappela à l’ordre et m’envoya me calmer dans la voiture, à défaut de pouvoir m’envoyer au coin sur place. Isolée dans le voiture, je boudais tout en réfléchissant à la portée de mes actes, il n’était pas du genre à laisser passer ce genre d’actes puérils.
Quand il finit enfin par arriver, il avait pris son air sévère. « Mademoiselle a eu le temps de réfléchir à son comportement ?» commença-t-il. Rougissant je lui bredouillais que oui. « Je n’en espérais pas moins » poursuit-il, « mais tu es consciente que je peux laisser passer ce genre d’attitude, je serai obligé de te donner une fessée quand nous serons de retour ! ». Je tentais de me défendre les yeux baissés, mais il se montra inflexible me rappelant que c’était le seul moyen approprié pour punir ces insolences. Le reste du court trajet se fît dans le silence et je l’accompagnai docile dans son appartement. Il me laissa le temps de me rafraichir avant de le rejoindre au salon pour reparler de tout ça. Avec une certaine anxiété je finis par me rendre au salon, il s’installa sur le canapé, me fît venir auprès de lui et entama une leçon de morale sur le comportement en société, l’impatience et l’insolence. En me sentant rougir, je dus reconnaitre mettre mal comportée et m’excuser en le regardant dans les yeux. « Heureux de te l’entendre dire » me dit-il, « mais ce comportement digne d’une gamine capricieuse, mérite la punition lui correspondant : une bonne fessée ! ». Sans me laisser répliquer il me bascula sur ses genoux, remonta sa manche et m’administra quelques claques sèches sur ma robe, m’arrachant quelques cris indignés. Puis il fit une pause et me rappela qu’une fessée s’appliquait sur les fesses nues quand on faisait des caprices surtout en public et remonta ma robe sur mes reins, découvrant une jolie culotte en dentelles bleue. Déstabilisée par la tournure des événements, je tentais de lui dire j’avais bien compris et que ça ne se reproduirait plus. Mais sans prêter attention à mes suppliques, il descendit ma culotte en me disant « tu sais très bien que l’insolence mérite une fessée déculottée, tu l’as déjà appris à tes dépends, et comme tu le vois cela peut encore t’arriver ! ». J’admis qu’il avait raison et que j’étais désolée de m’être laissée emportée. Sa main caressa tendrement ma croupe offerte, puis il reprit son office en distribuant des claques régulières d’une fesse à l’autre. La morsure particulière des claques peau sur peau me crispa faisant directement monter la chaleur sur mon derrière. Son autre main me maintint ferment pour que je ne gigote pas trop, tandis que l’autre battait la cadence. Focaliser sur mes fesses, le souffle court je sentais une brûlure croitre et irradier mes fesses et mon esprit, je serais les dents essayant de retenir mes cris. Au bout de quelques minutes l’orage s’interrompit et je pus reprendre mon souffle, une larme roulant sur ma joue avec le relâchement. Il m’attrapa le menton et me dit : « Mademoiselle a compris ? Elle sera sage ce weekend ? ». Je lui assurai, il me fit un bisou sur le front et m’envoya au coin en pénitence. Pendant que j’attendais immobile, face au mur, les fesses toujours dénudées, je sentais l’intense chaleur de mes fesses se répandre au fond de moi et griser mon esprit. Quand je fus enfin autorisée à me retourner il me prît dans ses bras et me câlina et me pardonna, puis m’invita à le rejoindre pour découvrir les cadeaux qu’il m’avait rapportés.
La révélation.

La révélation.

L
'embouteillage était prévisible au péage. Dernier week-end d'août en direction de Paris, je m'attendais à quoi, franchement ?

Mais il l'a mérité sa fessée et je m'y suis engagée. Un engagement ne se rompt pas, si? Non !
C'est un peu le bronx dans ma tête. La fessée m'as toujours attirée, d'aussi loin que je m'en souvienne. Seulement j'avais décrété être une receveuse.
Je ne comprend pas comment on en est arrivé là, pas plus que ce qu'il a pu déceler en moi.

Trois heures de routes en tout, ça me laisse le temps de poser ma réflexion, d'essayer de me visualisée avec un homme pénitent allongé sur mes genoux.
Trois heures, c'est aussi le temps qu'il me faut pour asseoir ma détermination. C'est le temps qu'il m'a laissé poireauter, m'inquiéter. La durée qu'il a fallut pour qu'enfin je me fâche.

Je croyais que l'attente avant d'être punie était ce qu'il y avais de pire, j'en découvre une autre aussi éprouvante.
Un message d'encouragement de mon tuteur me rassure. Il y croit lui, je lui fait confiance.

J'arrive, il viens m'accueillir. Jogging et t-shirt. Je suis outrée mais mon manque d'expérience me fait retenir la remarque que je sent poindre sur le bout de mes lèvres. Franchement pour qui je me prend ?
La discussion s'engage, je ne suis vraiment pas à l'aise.

Lecture de ses tords et de ses excuses, rappels du sermon déjà fait.
Il prend place sur mes genoux, ma tête explose :
"Mais qu'est ce que je fait ici ? Je suis soignante moi ! Ça ne claque pas une soignante !" Cette réflexion se mélange avec une autre "ne te dégonfle pas, il l'a mérité. Il a confiance, ça ne se trahis pas."

Je lève la main et l'abat avec une fermeté dont j'ignorais être capable.
Une grosse centaine de claque plus tard, je l'envoi au coin histoire de méditer un peu.

En le regardant attendre il me vient deux certitude :
J'ai été clémente, je ne le serais plus.
J'ai été spankee, je ne le serais plus.
Un curieux jeune homme

Un curieux jeune homme

C
e jeune homme me rend perplexe. Vautré dans le canapé, avec un brin d’insolence dans le regard, son attitude nonchalante bouleverse mes habitudes. En temps normal, le « gus » se serait déjà retrouvé en travers de mes genoux à regretter son comportement puéril. Mais, rendue curieuse par une telle outrecuidance, je ne réagis même pas. Je me demande jusqu'où il peut aller comme ça.

Alors qu’il est censé recevoir une punition méritée en regard de la liste des offenses qu’il a lui-même notées, Monsieur joue les désinvoltes et fait comme chez lui. C’est la première fois que je le rencontre et tout porte à croire que ce rendez-vous est le premier d’une longue série.

Nous continuons de faire connaissance, et, subrepticement, le garçon parvient à faire diversion. Nous parlons de tout et de rien et, sans que je m’en rende compte, une bonne demi heure s’écoule avant que je prenne conscience que la situation m’échappe. Le fourbe m'as branché sur mon travail… Trêve de galéjades, son comportement m’agace de plus en plus. Croit-il vraiment que je l’ai fait venir chez moi pour me contenter de bavarder comme le feraient deux amis ? Lors de ce retour de lucidité, je décide de reprendre la main. Sans ménagement, je reviens sur les raisons de sa présence chez moi et le rejoins sur le canapé. Subitement gêné, le bougre se redresse et son sourire provocateur disparaît. Tiens, tiens : il semblerait que la confiance de ce jeune coq s’effrite alors que je montre seulement un peu plus d’empressement. Profitant de mon ascendant, je lui demande de se lever. C’est un grand garçon de plus d’1m90 et je me sens en vérité assez petite, assise à côté de lui. J’ai bien fait de venir sur le canapé pour davantage de confort (pour moi…)

Puis je lui demande de baisser son pantalon. A ma surprise, M., ne rechigne pas et s’exécute mollement et avec maladresse. Voici que me font face deux longues jambes dénudées et un caleçon bleu. Ce doit déjà être assez humiliant pour lui. Mais bien sûr je n’en reste pas là et indique au bougre la position à adopter, position qu’il semble d’ailleurs parfaitement connaître. Le contraire m’eût étonnée. Curieusement, le mètre 90 n’est pas si encombrant à l’horizontal et voilà l’insolent parfaitement calé en travers de mes genoux. La punition peut commencer.

Après quelques claques d’échauffement sur les fesses fermement maintenues, je procède au déculottage. Après tout, il l’a bien cherché par ses incessantes provocations. C’est donc à cul nu que la fessée se poursuit. Je n’entends plus l’insolent qui garde la tête enfouie dans les coussins du canapé. Les claques s’enchaînent et les fesses de M. prennent une teinte rosée puis rouge, réactions qui forment en partie ma récompense.

Puis je fais relever mon puni et, alors que je cherche dans ses yeux une once de fierté, je constate que celle-ci a totalement disparu. Ravie par la tournure des événements, je lui intime l’ordre d’écrire le récit de sa punition en venant s’assoir fesses nues sur une chaise. Malgré ses nombreux défauts, je le sais à l’aise avec les mots et décide donc de profiter de la situation pour mon propre plaisir. Penaud, les pieds entravés par son pantalon, mon puni s’exécute. Je me retiens de sourire en le voyant marcher avec difficulté. Tombé de son piédestal, le jeune homme flirte avec le ridicule. Il manque de trébucher puis vient prendre place à la table de la cuisine où, sagement, il se met à écrire sans un bruit. Dehors, je fume ma cigarette en songeant à la suite... Que vais-je lui réserver maintenant ?




Note : texte rédigé avec Mercurid
Le photographe

Le photographe

U
ne amie qui avait posé pour lui, m'avait recommandée.
Je courrais après tous les petits boulots qui pouvaient me permettre un complément à ma bourse
d'étudiante aux Beaux Arts.
La voix chaleureuse du photographe et sa conviction dans l'exposé qu'il m'avait fait de son projet,
ma rassurait un peu. La totale confiance que lui faisait ma camarade, m'avait décidé à poser nue.
Bien que très pudique je pouvais, à bon compte et sans trop de fatigue, augmenter mes revenus.
Cet homme souple et ouvert d'esprit, faisait preuve d'une extrême rigueur sur le respect des horaires.
Ma copine avait d'ailleurs bien insister sur ce détail.
Bien sûr, le jour de ma séance, tout se déroula de travers. J'arrivais au pied de son immeuble avec
trois bons quarts d'heure de retard.
Il fallu grimper quatre étages, les marches semblaient plus hautes à mesure de ma progression.
Je sonnais plusieurs fois avant qu'il vienne ouvrir la porte.
Un homme de grande stature me reçu. Recevoir est beaucoup dire, car il ne parla pas. A vrai dire,
dès qu'il me laissa le passage libre, je le noyais d'explications et d'excuses, me disant que l'attaque
était la meilleure défense, mais il ne semblait pas entendre.
Je parlais encore quand déjà entrés dans une grande pièce encombrée d'éclairages divers et de
matériels dont j'ignorais l'usage, il m'indiqua une patère où j'accrochais mon blouson et mon sac.
Il installa alors une chaise au milieu de la pièce.
Il me pris alors par le poignet, me tira fermement à lui avant de s’asseoir. Je ne comprends pas où il
veut en venir, je cède, me courbe et je finis en travers de ses genoux, le corps en port à faux, mes
mains cherchant en vain un appui.
Ma robe est alors troussée jusqu'à ma taille, ma culotte tirée sur mes cuisses. L'air est subitement
frais sur mes fesses.
La première claque est sonore, vive, mordante, portée du plat de la main qui semble large et
déborde de part et d'autre du sillon.
J'ai le souffle coupé.
A peine le temps de respirer, l'orage gronde. Ça tombe plus haut, plus bas, sur les côtés, l'incendie
se déclare, j'essaie, vainement, de me protéger avec ma main droite, elle est vivement écartée.
Des claques bien appuyées arrivent par vagues, de façon aléatoire, si bien qu'il m'est impossible de
deviner quel endroit va être maltraité.
Je pousse de légères plaintes, je cherche à conserver mon quant à moi, mais je proteste, je bénéficie
de répits durant lesquels il pétrit mes fesses qui se consument, puis ça repart, comme en 14 aurait dit
mon grand père.
Je me cabre, je crie, je pleure, mon nez coule, je serre et relâche mes fesses, mais toujours à contre
temps, car il gère bien son affaire.
L'impudeur de la situation et la douleur ont raison de moi, c'est un flot de larmes qui coule
maintenant, j'ai honte d'offrir ainsi mon intimité, mon visage doit être aussi empourpré que mon
derrière dont j'imagine la couleur. Je m'abandonne, défaite.
Le rythme fléchit, le calme revient, il masse maintenant mes fesses que j'ai totalement abandonnées
à ses mains, je me dis que c'est pour en apaiser le feu, ou pour tenter d'effacer son méfait et énoncer
un regret.
Je me plais à penser, alors, qu'il est mon père, mais mon père ne s'est jamais occupé de moi, même
pour me corriger.
Il me relève, il prends mes joues mouillées dans ces deux mains, il fixe mes yeux embués. Je pose
ma tête sur sa poitrine, j'enserre son torse de mes bras et j'éclate en sanglots.
Ad libitum

Ad libitum

J
'ai envie de faire des bêtises...

J'ai envie de faire ma pénible, de provoquer, de me moquer et puis après de me sauver pour essayer d'échapper à la fessée qui ne manquera pas d'arriver...

J’ai envie de faire l’innocente, surprise qu’on lui reproche quelque chose !

J'ai envie de rire de mes bêtises, de le voir sourire avant de m'attraper au vol...

J'ai envie de me débattre (pour la forme évidemment), de chahuter, de finir par perdre...

Et m'abandonner

Sur ses genoux

Sous sa main qui punit les bêtises sur mes fesses

Je vais rire sous les premières claques, parce que je suis bien là, et rire aussi quand ça claquera plus fort au point que je cherche à m’échapper, pour de vrai cette fois 

J’aurais encore envie de continuer mes bêtises… mais mes fesses me commanderont de me tenir tranquille... enfin un peu… pas trop longtemps… juste le temps de se remettre de leurs émotions.

Et quand elles seront remises… Reprise du début ad libitum.
Punition pour insolence

Punition pour insolence

Q
uand mes doigts tapent plus vite que je ne pense, quand je rougis à la lecture de mes propos et que je ne peux m’empêcher d’envenimer les choses…

J’ai honte de ce que j’écris bien que cela m’amuse et pourtant je continue encore et encore.

J’aimerais avoir la sagesse de m’arrêter moi-même. Alors que je peux me montrer si raisonnable la plupart du temps, je ne sais ce qui me pousse à me comporter avec autant d’insolences.

Je sais que la limite est proche. Je le vois. Je le sens. Je suis prévenue et pourtant je continue.

La machine est lancée à trop vive allure pour que je ne puisse l’arrêter. Alors j’accélère encore et encore jusqu’à ce le choc ait lieu.

Le voir écrit en toutes lettres, ce mot infamant est comme un coup dans le cœur.

Je regrette tellement d’en être arrivée là. De ne pas avoir su me retenir. De ne pas avoir su m’excuser. De vous avoir obliger à sévir et à m’infliger votre sentence.

Ce mot que je honnis. « Punition ».

Je ne suis que honte et remords. Je suis Punie.

Je vous en remercie.
Voleuse

Voleuse

Un petit texte en illustration du dessin de Doz…

E
lle vociférait tout ce qu’elle savait. Elle, une voleuse, elle ! Non, mais alors là, c’était la meilleure. Elle ! Oh, mais ça allait pas se passer comme ça. Ah, non, alors ! Elle avait le bras long. Très.
– Et puis d’abord, pour commencer, je vais vous faire fermer boutique, moi, ma petite ! Ensuite il va vous tomber dessus un de ces contrôles fiscaux dont vous me direz des nouvelles. Sur la paille, je vous mettrai. Sur la paille. Il vous restera que les yeux pour pleurer. Et encore !
– Bon, ça y est ? Vous avez fini ?
Brièvement déstabilisée, elle a marqué un court temps d’arrêt avant de s’époumoner de plus belle. Non, elle avait pas fini, non. Parce que c’était inadmissible d’accuser les gens, comme ça, sans preuves.
J’ai éclaté de rire.
– Sans preuves ? Le magasin, chère madame, est équipé de caméras dernière génération parfaitement indétectables.
Elle a accusé le coup, balbutié quelque chose d’incompréhensible.
J’ai enfoncé le clou.
– Ah, ils vont apprécier, les gendarmes !
Elle m’a lancé un regard inquiet.
– Vous allez pas les appeler ?
– Bien sûr que si ! Parce que moi, j’ai pas le droit de vous fouiller, mais eux, si. Et j’en ai plus qu’assez, figurez-vous, de me faire piller, comme au coin d’un bois.
– Les gendarmes ! Non, mais vous vous rendez pas compte. Mon mari occupe un poste de la plus haute importance et quand on va savoir… La presse locale va nous tomber dessus. L’horreur absolue. Sans compter que…
– Il fallait y réfléchir avant.
– On peut peut-être s’arranger.
– Comment cela ?
– Je vais vous payer. Le double de ce que ça vaut.
J’ai fait la moue.
– Le triple.
– Ce serait un peu facile, non, vous trouvez pas ? On paie, on écrase de son fric et on remet ça ailleurs.
Elle a repris son air hautain.
– Mais vous voulez quoi alors finalement ?
– Vous donner une bonne leçon. Pour vous faire passer à tout jamais l’envie de recommencer.
– Une leçon ?
– Oui. Une fessée. Déculottée. Je suis sûre que ça vous remettrait définitivement les idées en place.
– Et puis quoi encore ? Non, mais ça va pas ! Vous êtes complètement barrée dans votre tête, vous, hein !
– Dans ces conditions… Vous nous appelez, les gendarmes, Nathalie ?
– Tout de suite, Madame !
Ma vendeuse est passée derrière la caisse, s’est emparée du téléphone.
– Non, attendez !
– Oui ?
– On peut discuter… Trouver une autre solution.
– Il n’y a pas d’autre solution. Vous avez une minute pour vous décider. Pas une de plus.
Et, l’œil rivé à ma montre, j’ai commencé à égrener les secondes.
– Une… Deux… Trois…
À cinquante, elle m’a jeté un regard furibond
– Puisque vous ne voulez rien entendre…
– Vous acceptez donc la sanction ?
Elle a marmonné
– J’ai pas vraiment le choix.
– Très bien. Alors Gilbert va aller baisser le rideau – qu’on soit tranquilles ! – et revenir s’occuper de vous. Il est orfèvre en la matière, vous verrez…


Il s’est assis. S’est tapoté les genoux.
– Viens ! C’est ici que ça se passe.
Elle a blêmi sous le tutoiement. Voulu dire quelque chose. S’est finalement tue. Approchée.
– Plus près !
Elle a obéi.
– Encore plus près !
Il l’a résolument fait basculer en travers de ses cuisses. A tout aussitôt, dans le même mouvement, relevé la jupe haut. Très haut. Au-dessus des reins. Elle a esquissé un geste pour la retenir, y a finalement renoncé.
La première claque, vigoureusement assénée, à même la culotte, lui a arraché un cri. D’autres ont aussitôt suivi. En cascade. Elle les a accompagnées d’une petite mélopée sourde de fond de gorge, les yeux clos.
– Serre les dents ! C’est un mauvais moment à passer.
Et il a tapé de plus belle. S’est brusquement interrompu. A levé sur moi des yeux interrogateurs.
– On lui baisse sa petite culotte ?
Nathalie a poussé un retentissant et enthousiaste « Oh, oui ! » On a tous les trois éclaté de rire. Pas elle, qui a essayé de la retenir, les doigts crispés sur l’élastique.
– Allons, sage !
Il la lui a descendue, d’autorité, jusqu’à mi-cuisses. Sa main s’est à nouveau abattue. À pleines fesses cette fois. Beaucoup plus fort encore. Beaucoup plus rapide.
– Arrêtez, s’il vous plaît, arrêtez ! Je le ferai plus. Je vous promets.
– Oui, oh, alors ça !
Elle a désespérément battu des jambes. Supplié. Crié.
Je me suis approchée.
– Vous savez que vous avez une très belle voix ?
Elle m’a lancé un regard assassin.
– Et que le rouge vous va à ravir.
J’ai fait signe à Gilbert que… bon… ça pouvait peut-être suffire.
Au grand désappointement de Nathalie qui a suggéré
– On lui fait pas aussi à la ceinture ? Avec toutes celles qu’il y a là, sur le tourniquet.
– Une autre fois, Nathalie, une autre fois ! Peut-être que Madame y aura pris goût. Et nous reviendra. Qui sait ?

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