
En retard
22 heures et toujours pas de nouvelles, la soirée est fichue. Qu'est-ce qu'elle fait, cela fait déjà 3 heures que je ne fais que tomber sur son répondeur. J'ai déjà prévenu nos amis qu'il ne fallait pas compter sur nous pour le restaurant. Je passe du canapé à la table et de la télé à mon ordinateur, un peu de guitare pour me détendre, non je n'arrive à rien. J'espère qu'il ne lui est rien arrivé.
J’entends la porte qui s'ouvre et me lève dans sa direction.
Elle rentre doucement et se retourne vers moi, elle a l'air de bonne humeur quoi qu'un peu fatiguée.
Toute souriante elle me dit "bonsoir".
L'inquiétude n'est plus là mais une légère colère monte et je le cache difficilement :
- Ça a l'air d'aller, d'où est-ce que tu viens ?
Toujours avec le sourire elle me répond.
- J’étais avec des copines, désolée je n'avais plus de batterie.
Ses yeux semblent jouer avec les miens comme pour chercher ce qui se passe derrière. Mon ton se fait plus sec :
- Et tu n'as pas cru bon de me prévenir
- Je n'y ai pas pensé et je t'ai dit que je n'avais plus de batterie.
Sa voix s'est légèrement cassée sur la fin de sa phrase.
- Alors comme tu ne sembles pas te le rappeler, ce soir mes amis avaient réservé le restaurant, je suis passé pour un idiot en annulant à la dernière minute, j'étais mort d'inquiétude, et toi tu viens me dire toute sourire que tu étais avec des amies ?!
- Oh ça va il n'y a rien de grave, et puis il faut bien que je m'amuse.
Elle se moque vraiment de moi, elle le sait très bien que c'est au moins des excuses que j'attendais, ça fait quelques jours qu'elle m'agace, il est hors de question que ça dure, cette fois elle va recevoir une fessée.
- Viens par là.
Elle a compris mon intention vu comment elle met ses mains dans le dos et me regarde avec la bouche à moitié ouverte.
Comme elle ne bouge pas je m'approche vivement d'elle et lui attrape le bras.
Cette fois elle n'a plus du tout le sourire :
- Non s'il te plaît !
- On ne peut pas discuter, si tu ne comprends pas ce qui ne va pas je vais te l'expliquer autrement.
Je la tire jusqu'au milieu de la pièce alors qu'elle freine des deux pieds.
- Pardon ! pardon, j'ai oublié.
- C'est trop tard, après la fessée que tu vas prendre je pense que tu feras plus attention.
D'une petite voix je l'entends :
- S'il te plaît arrête...
Ça me fend le cœur de l'entendre comme ça, elle est tellement mignonne, mais je suis trop en colère et ma main me démange. Je relève sa jupe bien haut tandis qu'elle bat des jambes, je glisse ma main sous l'élastique de sa culotte mais elle vient la retenir.
-Ça ne sert à rien, tu vas la recevoir de toute façon.
J'attrape son poignet de ma main gauche et de la droite j’abats une claque sèche sur sa cuisse, elle a un petit cri mais lâche prise. Je bloque alors son bras en travers de son dos et baisse sa culotte jusqu'en bas des cuisses.
Je suis un peu ému devant ses petites fesses toute blanches, mais je suis remonté et c'est rouge que je veux les voir.
Je lève mon bras et laisse tomber ma main bien à plat, elle sursaute. J’enchaîne les claques, elle gigote, je l'entends gémir, elle me fait un peu de peine et je ressens une crispation. Ses fesses sont bien rougies. Je repose mon bras sur ses cuisses et les maintiens. Ses cheveux ondulés sont éparpillés dans tous les sens, je passe ma main dedans et les ramène derrière son épaule.
- J'espère que tu as compris, de toute façon on en parlera tout à l'heure, va m'attendre dans la chambre.
Elle se relève maladroitement tout en remontant sa culotte, elle a les joues toutes rouges et fait une petite moue boudeuse.
- allez file
Je la vois partir en se dandinant.
J’entends la porte qui s'ouvre et me lève dans sa direction.
Elle rentre doucement et se retourne vers moi, elle a l'air de bonne humeur quoi qu'un peu fatiguée.
Toute souriante elle me dit "bonsoir".
L'inquiétude n'est plus là mais une légère colère monte et je le cache difficilement :
- Ça a l'air d'aller, d'où est-ce que tu viens ?
Toujours avec le sourire elle me répond.
- J’étais avec des copines, désolée je n'avais plus de batterie.
Ses yeux semblent jouer avec les miens comme pour chercher ce qui se passe derrière. Mon ton se fait plus sec :
- Et tu n'as pas cru bon de me prévenir
- Je n'y ai pas pensé et je t'ai dit que je n'avais plus de batterie.
Sa voix s'est légèrement cassée sur la fin de sa phrase.
- Alors comme tu ne sembles pas te le rappeler, ce soir mes amis avaient réservé le restaurant, je suis passé pour un idiot en annulant à la dernière minute, j'étais mort d'inquiétude, et toi tu viens me dire toute sourire que tu étais avec des amies ?!
- Oh ça va il n'y a rien de grave, et puis il faut bien que je m'amuse.
Elle se moque vraiment de moi, elle le sait très bien que c'est au moins des excuses que j'attendais, ça fait quelques jours qu'elle m'agace, il est hors de question que ça dure, cette fois elle va recevoir une fessée.
- Viens par là.
Elle a compris mon intention vu comment elle met ses mains dans le dos et me regarde avec la bouche à moitié ouverte.
Comme elle ne bouge pas je m'approche vivement d'elle et lui attrape le bras.
Cette fois elle n'a plus du tout le sourire :
- Non s'il te plaît !
- On ne peut pas discuter, si tu ne comprends pas ce qui ne va pas je vais te l'expliquer autrement.
Je la tire jusqu'au milieu de la pièce alors qu'elle freine des deux pieds.
- Pardon ! pardon, j'ai oublié.
- C'est trop tard, après la fessée que tu vas prendre je pense que tu feras plus attention.
D'une petite voix je l'entends :
- S'il te plaît arrête...
Ça me fend le cœur de l'entendre comme ça, elle est tellement mignonne, mais je suis trop en colère et ma main me démange. Je relève sa jupe bien haut tandis qu'elle bat des jambes, je glisse ma main sous l'élastique de sa culotte mais elle vient la retenir.
-Ça ne sert à rien, tu vas la recevoir de toute façon.
J'attrape son poignet de ma main gauche et de la droite j’abats une claque sèche sur sa cuisse, elle a un petit cri mais lâche prise. Je bloque alors son bras en travers de son dos et baisse sa culotte jusqu'en bas des cuisses.
Je suis un peu ému devant ses petites fesses toute blanches, mais je suis remonté et c'est rouge que je veux les voir.
Je lève mon bras et laisse tomber ma main bien à plat, elle sursaute. J’enchaîne les claques, elle gigote, je l'entends gémir, elle me fait un peu de peine et je ressens une crispation. Ses fesses sont bien rougies. Je repose mon bras sur ses cuisses et les maintiens. Ses cheveux ondulés sont éparpillés dans tous les sens, je passe ma main dedans et les ramène derrière son épaule.
- J'espère que tu as compris, de toute façon on en parlera tout à l'heure, va m'attendre dans la chambre.
Elle se relève maladroitement tout en remontant sa culotte, elle a les joues toutes rouges et fait une petite moue boudeuse.
- allez file
Je la vois partir en se dandinant.